2021 !! Tu critiques ou bien ?

[Slobo]

	Citation:			Posté par mugiwaraya
	Pour moi, c'est trop tard, ils ont déjà buté mon préféré. Et son meilleur pote l'a déjà oublié.

Ha qui ça ?

[mugiwaraya]

	Citation:			Posté par Slobo
	Ha qui ça ?

Rockslide (mon préféré de la génération Redshirt, pour être précis). Un des New X-Men présent dans un event, j'aurais dû me douter que ce serait pour être le premier mutant à mourir sans pouvoir être ressuscité. Et Anole n'a pas une seule fois parlé de sa mort dans New Mutants, pour autant que je sache.

[Slobo]

Hé désolé. Oui c’est un bon perso que j’apprecie aussi

[scarletneedle]

Tout ça pour ça...
Au moins, c'est bien dessiné car c'est du remplissage tout du long quand au bout de 2 pages, tu as compris où ça va.

J'espère Gerry Duggan sera plus inspiré sur X-Men car Pepe Larraz ne va pas pouvoir continuer à sauver les meubles de la franchise...

Quand tu mets en opposition le discours de Scott dans X-Men #21, ça fait vraiment mal au cœur de voir le rêve exploser et explosé...

[scarletneedle]

La banane tout du long de la lecture.
Que c'est bon de (re)voir Wally ainsi!

[scarletneedle]

J'ai déplacé la discussion sur les X-Men & co dans le topic idoine vu qu'elle rejoignait déjà des concepts abordés.

[Ben Wawe]

Action Comics #1032
Pas mal, pas mal.
Phillip Kennedy Johnson pose intelligemment les bases de sa future saga Warworld, avec ici Clark qui souffre de voir une Kryptonienne, ou descendante de colons de Krypton, encore sous influence de Mongul même sur Terre. L'avancée est progressive, les éléments annexes dont l'étrange pierre Genesis permet de voir Aquaman, Murk et Steve Trevor qui exige des réponses liées à Warworld.
Phillip Kennedy Johnson fait bien naître l'idée d'univers partagé avec eux, Supergirl et encore Jon. L'ensemble se lit bien, c'est fluide et dynamique.
C'est surtout formidablement joli, avec un Daniel Sampere en très grande forme, avec des planches magnifiques et très agréables à suivre.

Je continue d'ignorer la back-up, qui me semble chiante et moche, mais la saga principale est réussie, même si encore une fois Future State la vide de tout suspense.

Batman/Superman #19
Oula.
Déjà, il est clair que, sans Ivan Reis, la série perd de son attrait : le dessinateur apporte une fraîcheur, un dynamisme, un plaisir de lecture hélas complètement absents ici.
Il est remplacé par des Emmauela Lupacchino et Steve Lieber à peine reconnaissables, tandis que Darick Robertson et Kyle Hotz livrent des planches correctes, mais sans forcer.
Le scénario "justifie" ces changements d'ambiance par des bonds de nos héros "passéistes" entre plusieurs mondes, à la poursuite d'Auteur.io qui se révèle être

un ancien dieu du savoir, oublié de tous, qui a erré sur Terre jusqu'à être charmé par le cinéma, et se perdre ensuite dans une archive des mondes avec son armure qui le possède.

Mouais, mouais, mouais. Que ça soit le fond de la saga, avec cette révélation grossière, ou bien la narration, qui est une course en avant soudain brutale avec beaucoup de changements de décor et le rajout d'Alanna au passage, je trouve que Gene Luen Yang se perd et me perd grandement.
Le charme n'y est plus, là, c'est une succession de rebondissements maladroits... et c'est beaucoup moins joli, aussi.

Grosse déception.

Checkmate #1
Enfin ?
Enfin, Brian Michael Bendis et Alex Maleev lancent Checkmate, la suite de leur Event Leviathan ? Enfin, l'auteur "star" des polars s'empare pleinement de l'espionnage DC ? Enfin, Bendis s'accapare pleinement un recoin de son nouvel éditeur, pour relancer un séjour qui s'essouffle ?
Oui... mais pas vraiment.
En fait, le plaisir de reprendre là où Leviathan s'est terminé s'évapore hélas très rapidement devant des tics d'écriture lourds. Bendis en revient aux dialogues trop longs, aux passages trop figés, et aux avancées trop lentes. Les "super-détectives" forment Checkmate (ah bon ? quand ça ? rien n'était clair à l'issue d'Event Leviathan), tandis que Talia et son fils tentent de s'en prendre à Mark Shaw lui-même, et ça échoue. Le même Shaw tente d'attirer à lui Lois Lane (beh oui, il n'a fait "que" tuer son père, hein).
Pff. C'est long, c'est lent, c'est chiant.
Je suis très déçu car j'avais bien aimé Event Leviathan, mais là je me suis ennuyé et la lecture a été désagréable. Damian est très mal écrit, la réunion de Checkmate est mal foutue, et si "ça passe" pour Lois, ça reste maladroit.
Alex Maleev livre des planches correctes, mais même ses ambiances ne peuvent pas tout.

Grosse déception. Et j'étais jusque-là un ardent défenseur de Bendis chez DC.

[ollieno]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Action Comics #1032 Checkmate #1 Enfin ? Enfin, Brian Michael Bendis l'auteur "star" des polars s'empare pleinement de l'espionnage DC ? Enfin, Bendis s'accapare pleinement un recoin de son nouvel éditeur, pour relancer un séjour qui s'essouffle ? Oui... mais pas vraiment.

Hummmmm

Rucka romancier de Polar, oui, et j'aime beaucoup ses Atticus Kodiak

Winnick romancier... j'accroche moins (je n'ai lu que 2 romans sans accrocher)

Mais Bendis... non je ne le classerai pas comme auteur Star de Polar ^^

(je remballe mes piques)

[Ben Wawe]

Oh quand même : Goldfish, Torso, Alias, Sam & Twitch...

[Ben Wawe]

Infinite Frontier #1
Sympa', mais très redondant.
C'est sympa', parce que Joshua Williamson sait raconter une histoire et flatter le fan. On a donc Batman / Thomas Wayne qui s'échoue mystérieusement sur Terre-23, on croise Justice Incarnate (plus Justice LEAGUE Incarnate, d'ailleurs ?) avec quelques passages rigolos ("je veux voir Flash" "lequel ?" "Barry Allen" "lequel ?"). On croise aussi l'équipe "secrète" formée par Martian Manhunter, Lex Luthor, Mr Terrific, Talia, Hawkgirl, Alan Scott, Vandal Savage qui gère les grosses crises, avec ensuite Alan qui veut du temps en famille mais

l'hôtel de la JSA explose, et Jade disparaît mystérieusement.

On a Barry qui parvient à la mystérieuse Terre-Omega où Darkseid a tué la Quintessence, et il semble être corrompu par

Psycho-Pirate et son nouveau maître, qui veulent l'utiliser pour leur ramener quelqu'un.

Et on a Roy Harper qui tente de vivre une existence normale, alors que les gens ont des frictions entre eux car certains se souviennent de Dark Nights : Death Metal et pas d'autres. Mais Roy est attaqué par un groupe inconnu, et s'en sort en

bénéficiant d'un anneau Black Lantern, carrément.

Ca se lit bien, c'est dynamique, c'est fluide, les enchaînements sont bons et Xermanico livre de belles planches, autant lisibles que jolies à regarder.
Mais... mais c'est que du fan-service, en fait.
Que ça soit l'énième réutilisation du Batman de Flashpoint, ou bien Justice Incarnate, ou encore la réutilisation de celui que Barry croise, ou enfin le final, tout ceci n'est que clins d'oeil et coups de coude aux fans. Ce n'est pas désagréable, hein, mais ça devient trop voyant et redondant.
Le fameux "Worlds Will Live" résonne au début, et j'avoue que je n'en peux plus du délire Crisis. On apprend qu'une autre Crisis arrive, et j'en suis déjà soûlé. Là, Williamson prépare bien le terrain, mais ça me lasse déjà après Dark Nights : Death Metal.

C'est sympa', mais c'est trop fan-service pour moi. C'est dire.

Justice League #63
Quelle frustration.
Quelle frustration parce que, si Brian Michael Bendis propose un scénario essentiellement basé sur l'action et des double-pages qui se survolent plus qu'elles ne se lisent, il y a quelques bonnes choses. Quelques bons dialogues, comme Batman/Green Arrow sur le financement de la Justice League en l'absence des fonds illimités de Bruce Wayne, et la prise de contrôle officieuse d'Oliver Queen dans le groupe. Ou bien Black Adam/Superman sur le recrutement du premier par le second, avec un lien basique avec Hippolyta, mais qui fonctionne (oui, clairement, on sent que

Hippolyta et Adam vont vivre "quelque chose" ensemble).

Ou encore quelques interactions borderline de la Justice League, avec des vannes un peu drôles.
Mais pff... c'est long, en fait. Cinq épisodes, pour ça ? C'est trop long, d'autant que la menace de la Terre-42, d'origine de Naomi, est trop floue et bourrine. Zumbado ne ressemble à rien et a un nom pourri (après Rogol Zaar et Tim Drake devenant le super-héros Drake, on sent la grosse inspi' chez Bendis, là), et son monde est basique.
David Marquez propose de bonnes planches, mais surtout de bons visages et des personnages bien fichus. Ca se lit, hein, mais c'est trop décompressé, trop lent, et il y a quand même des choses qui tapent à côté.
Quelle frustration, car il y a malgré tout de bonnes choses.
En parallèle, Ram V avance (très) lentement sa saga JLD, avec l'équipe qui poursuit Merlin très lentement. L'auteur galère à gérer son intrigue avec peu de pages, Xermanico livre de belles planches mais ça n'avance pas. C'est bien dialogué et sympa', hein, mais ça n'avance pas, et ça devient chiant.

Une série frustrante et crispante, pour ce qu'elle pourrait être mais ce que ses auteurs n'arrivent pas à créer.

Mister Miracle : The Source of Freedom #2
Pas mal.
Brandon Easton propose un numéro qui s'ouvre et se termine sur de grosses phases d'action, où Shilo Norman / Mister Miracle tente d'échapper à N'vir Free, fille de Scott Free et Big Barda, qui l'accuse de voler son héritage. Sauf que...

Shilo ne sait rien de Scott Free, et a été formé par Thaddeus Brown - un artiste de l'évasion afro-américain !

La MotherBox confirme la piste des mondes parallèles, alors que Shilo gère la révélation de sa couleur de peau par les médias, après la bataille.
C'est pas mal, en soi. En fait, je suis intrigué par cet aspect de mondes alternatifs, même si ça fait "facile" finalement, mais surtout par l'approche de Brandon Easton sur la popularité de Shilo qui s'affaisse alors que sa couleur de peau est révélée. C'est intéressant, c'est contemporain, mais ça demande à être plus creusé.
Fico Ossio propose des planches dynamiques, nerveuses, que je trouve plus jolies et efficaces que dans le #1. L'avis est bon, je suis intrigué et le propos social et politique me plaît, mais... ça demande quand même d'aller plus loin, et d'être un peu plus léger sur l'action bourrine qu'on a ici.

Robin #3
Et ben, ça se lit vite ça, quand même.
Bon, Joshua Williamson rédige un numéro correct, avec ce qu'il faut de rebondissements, de révélations, d'événements. Mais c'est "ce qu'il faut", en fait. J'ai l'impression de lire un épisode taillé depuis un standard, avec des effets attendus, des surprises dont le contenu peut prendre, mais dont l'arrivée suit un équilibre, un rythme prévisible.
Ca n'est pas désagréable, mais c'est complètement sans vrai choc, sans surprise.
Ici, Damian se fait quelques potes, croise Connor Hawke avec

confirmation qu'il est bien le fils d'Oliver Queen, mais il a été récupéré par la Ligue des Ombres, dont le meneur déteste Damian qu'il considère comme un échec.

Les deux finissent par s'affronter, Damian

perd et est jeté dans le vide

mais est récupéré par

un Ra's al Ghul barbu et en piteux état.

Ca se lit bien, oui, mais c'est sans surprise, et sans vrai engouement. Gleb Melnikov commence à tirer un peu la langue, les personnages sont plus rigides même si l'ensemble reste correct.

C'est sympa', hein, mais bon, ça reste très basique.

[Ben Wawe]

Superman #32

Dieu que c'est chiant.
Phillip Kennedy Johnson finit très péniblement sa saga extraterrestre très chiante, que j'ai joyeusement survolée. Pour simplifier : on a l'origine de la corruption de ce monde jadis sauvé par Clark, Clark est affaibli, Jon prend sur lui et dépasse les attentes de son père, le père et le fils sont contents.
Pff, c'est naze, long, mal foutu et niais. Scott Godlewski fait ce qu'il peut, mais il ne peut pas grand-chose, alors ça n'apporte rien de vraiment pertinent.
En parallèle, Sean Lewis achève une p'tite saga sur Metropolis et les personnages (très) très secondaires. C'est sympa', hein, mais si même un lecteur de plus de 22 ans comme moi galère à identifier tout le monde, c'est que l'auteur vise des personnages très catégorisés, et pas vraiment accessibles. En tout cas, pas sans un accompagnement qui n'est pas assuré ici. M'enfin, ça se lit, c'est sympa', Bibbo est bien écrit et Sami Basri, oui, propose de bien jolies planches, avec une belle ambiance.

Quelle purge. Vivement la reprise du titre par Tom Taylor.

Teen Titans Academy #4
Et ben.
Tim Sheridan essaye tellement d'être drôle et décalé dans ce numéro où le "Bat Pack" (Chupacabra qui se rêve en super-détective, la hackeuse Bratgirl, le massif mais silencieux Nega-Bat) enquête sur l'identité de Red X... qu'il finit par y arriver. Un peu. Mais au prix de nombreux passages qui tombent à plat, hein.
Alors oui, ça reste rigolo cette idée d'un trio de Bat-fans élèves de l'Académie, qui veulent découvrir l'identité de Red X et multiplient les conneries pour enquêter sur plusieurs élèves. Mais, déjà, l'impact des enquêtes sur chaque perso' serait plus fort... si on connaissait tous les élèves, hein, ou si au moins on avait quelque chose sur eux. Là, c'est une accumulation de noms inconnus, avec des haussements d'épaules quand on comprend que ce n'est pas eux.
Et ensuite... ça reste un peu lourd, quand même. L'idée est sympa', mais les rebondissements et enquêtes restent lourdingues, avec une ficelle bien tirée pour parvenir à faire sourire. Ca fonctionne un peu, quand même, mais ce n'est vraiment pas fou.
Bon, ça se lit quand même, et le subplot sur Billy Batson qui galère à se transformer, c'est pas mal. Steve Lieber propose de belles planches, l'ambiance est bonne et c'est joli. Mais encore une fois, on reste sur ce Red X dont je me tape entièrement...

Un numéro qui essaye tellement d'être drôle qu'il y arrive parfois, à l'usure. Un point pour l'effort, mais ça reste moyen-moyen.

Wonder Woman #774
Bien !
Becky Cloonan et Michael W. Conrad ont beaucoup à prouver en enchaînant après un bon premier story-arc à Asgard, en amenant ici Diana dans un Olympe encore une fois en ruines, avec des dieux encore une fois massacrés. Mais les auteurs parviennent à trouver un peu d'originalité, notamment en utilisant les nouveaux alliés de Diana : l'écureuil Ratatosk qui a bien des secrets et Deadman, ça fonctionne bien, c'est rafraîchissant et ça créé de bonnes interactions.
Mais surtout, les auteurs avancent vite et bien, en révélant la menace :

une des parties de Janus, le dieu romain "adopté" par l'Olympe grâce à Hermès. La partie "passée" de Janus reste comme signal pour Diana, pour l'empêcher de suivre la partie "future", qui ressemble à Diana et a décidé de prendre sa place dans une prophétie la mettant en avant.

Cette menace a massacré les dieux grâce à une lame également tueuse de dieux, et même si tout ça est un peu "rapide et facile" dans les révélations, ça reste sympa' d'avoir une menace un peu différente.
Surtout que les auteurs font avancer la chose, avec Diana et ses potes qui passent dans le Tartare et vont quand même vite. C'est bien, c'est rythmé, le perso' est bien écrit même si je trouve que la Diana sur Asgard était plus "relâchée", ce qui était agréable aussi.
Andy McDonald illustre ça efficacement, c'est solide et correct, même si le visage de Diana est souvent trop figé.

La série continue de me plaire, la transition est réussie. Cool !

[watchblue]

Merci beaucoup Ben !!

Questions : Tom Taylor reprend Superman ??


Green Arrow a donc de nouveau la quarantaine ??

J ai pas lu Infinite Frontière mais je pense que DC, avec ce que les persos ont ramassé et comment ils ont encore chié sur toute la continuité, doit faire du fan service surtout sur des titres comme ça..

Comme le flash de la semaine dernière ou le Nightwing... Y a besoin de ça

[scarletneedle]

	Citation:			Posté par watchblue
	Merci beaucoup Ben !! Questions : Tom Taylor reprend Superman ??

Juillet.

[watchblue]

La hype de dingue !! Et bing un autre titre Dc

[mrcitrouille]

Oui mais il n écrit pas Siperman non ? Enfin son fils si je ne me trompe