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Bifrost 53 est dispo en librairie. Au sommaire un gros dossier China Mieville, interview + biblio commentée + une excellente nouvelle.
Par ailleurs, les vieux gens comme moi devraient ressentir un plaisir certain en voyant le dernier Ailleurs & Demain qui vient de paraitre (Trames de Iain Banks, nouveau volume de son cycle de la Culture) et qui affiche une belle couverture argentée comme à la grande époque. Un joli clin d'oeil pour l'anniversaire de la collection, qui fête cette années ses 40 ans. |
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Oh je suis pas vieux (enfin j'aime à le penser) et je me souviens très bien avoir découvert ces fantastiques bouquins à la couverture argentée dans la bibliothèque communale lors de mon adolescence.
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Replay de Ken Grimwood.
En ce 18 octobre 1988, Jeff Winston se trouve dans son bureau new-yorkais, et écoute sa femme lui répéter au téléphone: - Il nous faut, il nous faut... Il leur faudrait, bien sûr, un enfant, une maison plus confortable. Mais surtout parler. A coeur ouvert. Sur ce, Jeff meurt d'une crise cardiaque. Il se réveille en 1963, à l'âge de dix-huit ans, dans son ancienne chambre d'université... Sur une idée simple mais originale, Grimwood construit un livre haletant et passionnant qui ménage le suspense jusqu'à la fin. A lire sans modération. |
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DUNE ...de Frank HERBERT, certes...Mais DUNE telle que d'autres l'ont interprétée...Ce sera très prochainement à OZOIR LA FERRIERE, Seine et Marne, lors du 26 ème Salon de Printemps....avec une exposition de peinture et de dessins de...SIUDMAK
DUNE, une épopée imaginaire. Cette exposition qui sera visible au CENTRE ARTISTIQUE ET LITTERAIRE, situé à la Ferme Pereire, Avenue Erasme (à l'est de la commune, très proche de Gretz Armainvilliers...mais il y a aussi la station RER....à 3km !) 77330 OZIR LA FERRIERE. Du 21 mars au 19 avril. Du Lundi au vendredi de 14H à 18h et les samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h. Entré gratuite....et l'évènement est de taille : Wojtek SIUDMAK, illustrateur des couvertures française de cette saga sera présent le samedi 21 mars à 17H ! |
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Je crois que ce n'est pas la peine d'insister. Je vais arrêter L'affaire Jane Eyre, de Jasper Fforde en son plein milieu. Ca partait très bien, des idées géniales, un contexte ambitieux et prometteur. Une brigade littéraire, un dodo cloné, des personnages de roman qui s'échappent de leurs pages. Mais. Je. M'emmerde.
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Les boules : avant les examens partiels, je chope deux recueils de nouvelles de gens biens (Dick, Vance) en espérant décompresser et prendre du bon temps. Mais c'est parmi les trucs les plus chiants que j'ai lu.
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J'ai beau vénérer Dick, j'ai souvent été déçu par ses nouvelles. A croire que ce format ne lui convenait pas vraiment, sinon à titre d'ébauche pour certains de ses (meilleurs) romans.
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Je n'ai qu'à moitié lu ce recueil de lui et une autre dans une anthologie dans cet exercice, mais c'est vrai que ça ne colle pas du tout du tout. Il y a de très bonnes idées extrêmement mal gérées, mal amenées et avec des fins trop banales. Décevant.
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Il faut voir aussi qu'une bonne partie de ses nouvelles a été écrite dans les années 50 -donc au début de sa carrière- à une époque où il faisait encore de la SF "traditionnelle".
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Je crois que c'est dur de lire les premières oeuvres d'un auteur dont on a beaucoup apprécié les plus grandes performances. |
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Tu tombes bien, toi. Tu me le rends quand mon waterproof?
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Tu sais très bien que je l'ai prêté à Amandine. Mais siii, je te l'ai dit la dernière fois, quand on était au salon de bronzette. Et puis, Amandine, elle a des problèmes avec son mec, ce balourd, même s'il fait le ménage, la bouffe, qu'il est beau gosse, adorable, et serviable, il a laissé un poil de couille sur la cuvette des WC, tu y crois à çaaaaa? Moi, j'hallucine, je lui ai dit: "Amandine, tu devrais trop le larguer, ce creuvard!!" J'crois qu'elle va m'écouter. D'façon, je les sens les mecs pas stables, ils ont un truc chelou dans les yeux, et les cheveux mal coiffés. Mais j'ai fait péter un glossy glossy, tu m'en diras des nouvelles!
Sinon, j'aime beaucoup Jasper Fforde, il sait écrire habilement, avec un humour pince-sans-rire typique qui me plaît toujours autant, a un sens de la découture narrative assez bluffant, et maîtrise aussi bien la littérature britannique classique que les concepts saugrenus de science-fiction. |
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Ah, mais j'avais très bon espoir, williams. Seulement, que veux-tu, il faut croire que l'ordonnancement implacable des lettres de l'alphabet par delà le talent qu'elles convoquent dans la formation des mots et au-delà des phrases est soumis à quelque chose de plus implacable encore, la patience du cochon de lecteur. Dont je.
J'ai vraiment pêché par excès de capillopalmipédie pour le coup, je l'avoue. Tu me fais culpabiliser, merde. T'as lu toute la série des Thursday? Et? |
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Ouais, j'ai lu toute la série. Les deux premiers volumes restent les meilleurs, à mon avis, pleins de trouvailles et de bonnes idées joliment mises en écrit, des situations cocasses, des rebondissements en pagaille, des concepts fictionnels ciselés aux petits oigons. Les trois suivants sont plus pépères, avec un léger regain de tension dans le quatrième. Le cinquième, Le Début de la Fin, m'a un tantinet déçu. Cependant, Fforde a un sens de l'écriture certain qui rend la lecture de chacun de ses ouvrages très agréable. Rien de transcendant, mais ses livres font travailler mes zygomatiques, presque autant que Terry Pratchett à ses débuts.
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Tags |
livres, science-fiction |
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