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oui, excellent album
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Yep, j'espère que leurs ref seront moins visibles au prochain, et ça peut en faire un très, très grand groupe.
Il parait déjà que l'évolution est nette entre le premier et le deuxième album.
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
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Si par "évolution", tu entends "progression", je ne dirais pas que le second est meilleur que le premier. Il est certainement plus pop, plus riche au niveau des arrangements et plus produit alors que le précédent était plus rock, avec une place plus grande donnée aux guitares crades mais les deux alboums se valent en terme de qualité des compos. Jette une oreille sur leur premier, "Innerspeaker".
Et ça tombe bien que vous reparliez de Tame Impala parce que je suis en train d'écouter à haute dose le deuxième album d'un groupe assez proche Unknown Mortal Orchestra. Je ne sais pas si c'est la proximité géographique qui veut ça, ils sont néozélandais, TI étant australiens, mais il y a vraiment des similitudes sonores, des influences pop-rock digérées de la même façon, UMO étant peut-être plus groove avec une bonne basse bien ronde, plus stax que emi. Comme il y a un son islandais, un son canadien, il faut donc croire qu'il y a un son austral. J'attends d'épuiser celui-ci avant de me porter acquéreur de leur précédent. |
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Apres c est sur que ca fait un peu "les faces B" de loveless ou les chutes de studio (facon reeditions deluxe).. donc je suis un peu ambivalent... mais décu |
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Mais j'y jetterai une oreille, c'est prévu! Et pour l'autre groupe dont tu parles, merci du tip, je vais l'écouter de ce pas!
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
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Là, comme ça, ça a l'air d'être dans le même trip que Tame Impala, mais avec une inspiration pop finalement plus proche de Pet Sounds plutôt que de Revolver, dans le chant en tout cas.
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
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J'écoute beaucoup le dernier The Knife :
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Après une longue pause où se sont entrecroisés deux Grinderman, quelques BOs, un livre et un scénar pour son pote John Hillcoat, Nick Cave revient enfin aux affaires sérieuses avec ses mauvaises graines. Même si celles-ci ne sont plus vraiment les mêmes depuis "Dig!!!Lazarus, dig!!!". Bye-bye Mick Harvey. Blixa Bargeld, il me semble, a également mis les voiles. Bref une section guitares sinistrée en échange d'une place de plus en plus importante donnée au violon de Warren Ellis. Pas forcément le meilleur des changements, à mon goût. Heureusement, le talent de l'artificier en chef est toujours au rendez-vous et éclate superbement et une fois de plus sur ce quinzième album. Bon sang, QUINZIÈME! Et encore, j'oublie les deux Grinderman. Mais quel vétéran du rock peut se vanter d'un tel parcours sans faute? Personnellement, je ne vois pas. Même Tom Waits a accusé une sérieuse baisse de régime voilà quelques années. Nick Cave, lui, de "From her to eternity"(1984) jusqu'à ce "Push the sky away", c'est trois décennies dédiées au rock, le fiévreux, le mélancolique, le furieux, le tendre, et encore et toujours le mélodique. Album après album, Nick Cave a bâti une oeuvre d'une cohérence assez incroyable, se renouvelant à chaque fois, et il en fait encore la démonstration ici avec une atmosphère chargée d'une colère sourde et rentrée assez inédite chez lui, très cinématographique en fait, sûrement la trace de ses récentes BO avec l'homonyme Ellis. Parolier incroyable, mélodiste surdoué, chanteur habité, Nick Cave est un artisan, au sens le plus pur du terme, un vrai travailleur de force qui remet en jeu son talent à chaque nouvelle chanson et n'a jamais pris son auditeur pour un con, convoyant son gang de mauvais garçons sur les chemins du silence et du bruit, sans jamais dévoyer son art. Dans sa discographie, je ne vois guère que Nocturama (2003) pour avoir ébréché ce parcours exemplaire. Encore qu'il me plait de considérer ça comme le défaut nécessaire dans toute tapisserie, la preuve qu'il faut un accroc dans chaque oeuvre d'art parce que seul Allah est parfait, comme dit le croyant. Nick Cave est un tapis persan, un modèle du genre, sur lequel tout amateur de musique se doit de s'agenouiller. Ou de s'essuyer les pieds, au choix, parce que, merde, c'est de rock dont il est question ici. Dernière modification par HiPs! ; 19/02/2013 à 00h21. |
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Raaah, nouveau Nick Cave, faut que j'écoute ça.
Je sais plus si j'en ai déjà parlé ici, mais Disiz fait toujours des trucs cools, plus de 10ans après Poisson Rouge.
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Mes ventes de Comics VO ! |
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Par contre, pour Waits, tu penses juste au dernier album ou tu mets aussi son triple?
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
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les australiens ont toujours fait de la bonne musique et je vous conseille cela :
je pense que vous pouvez aimer si vous aimez le garage rock un peu mélodique. Ca s'appelle Royal Headache, c'est sorti en 2011 las bas et plus proche de nous en 2012. |
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Pour Tom Waits, non, j'adore son dernier, un de mes albums favoris de 2011. C'est sa période entre "Mule variations" et "real gone" que je trouve moins inspirée. Mais je sais que ça se discute. PS: si vous allez jeter un oeil sur le dernier nick cave sur itunes, vous remarquerez que ces abrutis ont flouté le corps de la jeune femme (qui se trouve être la sienne) sur la pochette par rapport à celle que j'ai posté. Mais quelle bande de tristes culs-serrés... Dernière modification par HiPs! ; 20/02/2013 à 14h47. |
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Ouais, voilà, en concert, il a vraiment une classe folle et une présence entre le sacré, l'intimidant et le modeste. Je l'avais vu plus tard moi, au Théâtre du Marignan avec Warren Ellis (même si comme toi, je préfère quand il fait du rock), et il lisait des extraits de son bouquin en musique le tout entrecoupé de longues sessions musicales. On lui a posé des questions et tout, il répondait à tous et à tout le monde. Un grand type.
Oui, d'accord, je vois de quoi tu veux parler, bien que j'aime bien les albums dont tu parles même si je les trouve moins solide en tant qu'albums mais plus sur des morceaux particuliers en fait. J'avais adoré son triple avec des reprises et des nouveautés, Orphans: Brawlers, Bawlers & Bastards. D'ailleurs, Waits, meilleur concert de ma vie sur sa tournée Glitter & Doom.
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
#4709
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Ce disque existe.... vraiment????????? |
#4710
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Cette semaine, j'ai réécouté ces albums de Eels. Mark Everett est un grand songwriter et j'ai eu envie de me replonger dans les cd que j'avais après avoir écouté la reprise d'un de ses titres par un candidat de "Nouvelle Star" (chanson dont il ne s'est pas mal sorti au demeurant alors que c'est un répertoire casse-gueule, où alternent des morceaux abrasifs et délicats). Le souci avec Everett est qu'il produit comme un fou furieux et j'ai du mal à suivre sa cadence, donc je suis loin d'avoir toute sa discographie, mais c'est toujours passionnant à écouter. Sinon, je puise régulièrement en ce moment dans l'abondant coffret d'inédits du "Boss", dont je suis un grand fan. Quand on entend tout ce qu'il ne garde pas sur ses albums et a rassemblé dans ces 4 CD, c'est impressionnant d'exigence. Et puis bon, Springsteen, c'est l'énergie, certes, mais quand on fait l'effort de lire aussi ses textes, quel fabuleux auteur, quel conteur : ses chansons sont le grand livre de l'Amérique, la vraie. J'ai aussi écouté Le calme et la tempête, le dernier opus d'Olivia Ruiz. C'est pourtant une chanteuse dont je suis peu friand, mais j'ai été accroché par son dernier single et j'ai voulu savoir si le reste était au diapason. C'est un très bon album, qu'elle écrit et composé, très vif, élégant, racé. Comme disent les experts, c'est le "disque de la maturité". En attendant le retour de David Bowie, début Mars. Sa nouvelle chanson, après une trop longue absence, est magnifique. David Bowie Where are we now Dernière modification par wildcard ; 23/02/2013 à 18h59. |
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