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Ah ouais, qu'est-ce que tu reproches à ce comics? Que ça soit à l'écriture, au dessin ou dans la continuité car c'est la suite directe de Killing Joke je trouve que c'est une bonne petite lecture.
Il t'obsède ce comics, si ma mémoire est bonne tu nous l'avais proposé dans un 52 cases. Et d'ailleurs ça fait un bout de temps que je l'ai et je ne l'ai toujours pas lu. Je vais réparer cette erreur vite fait. |
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Joyeux anniversaire Batman!
J'ai bien envie de me ressortir Legacy (car il y en a eu en 75 ans )!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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À l'époque, ca m'avait fait chier , d'ailleurs , j'avais direct revendu le TPB.
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Joyeux anniversaire à mon héros DC préféré. Pour moi ce sera le premier numéro ou le héros apparait, Detective Comics #27, ainsi que le Batman: The Dark Knight Returns de Miller et je conclurai le tout par des épisodes de série. Happy Birthday Bruce " A kiss under the mistletoe. You know, mistletoe can be deadly if you eat it."
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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Frank Miller & Scott Snyder Sinon au C2E2 pour l'anniversaire du héros on pouvait répondre à des questionnaires pour gagner des cadeaux genre des numéros signés par Snyder ou bien des anciens Batman, il y avait aussi des figurines, des statues, des dvds. Une vidéo ^_^ : View My Video J'espère que c'est bon, car je ne suis pas douée pour héberger une vidéo. Ce n'est pas moi, mais une amie.
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Franck Miller ressemble de plus en plus à Freddy Krueger.
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In Doop we trust. |
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C'est ce que je me suis dit!
Sauf que lui est bien réel!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Tout à fait !
JE me suis dit : putain, c'est qui à côté de l'acteur qui joue freddy ! |
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Triste nouvelle
Il n'était plus tout jeune, mais quand même:
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Culture
Journal numérique 11 juin 2014 A l'origine, Batman était le double négatif de Superman. (Collection DC Essentiels. Urban Comics) CULTE A l’occasion des 75 ans du justicier de Gotham City, Urban Comics sort une réédition prestigieuse. Coup de projecteur sur Bruce Wayne, orphelin devenu super-héros, tout au long de ses diverses incarnations. «Il n’était pas vieux, bon sang ! Il était toujours fringant, pimpant… […] Aucune ride sur son cou de taureau. Toujours sûr et certain de ses capacités physiques. Eternellement jeune, plus jeune que Magic Johnson ou Michael Jordan.» Dans la préface à The Dark Knight Returns (1986), Frank Miller explique que son récit, mettant en scène le crépuscule de Bruce Wayne, était avant tout une façon d’exorciser le fait que Batman se dirigeait alors vers la cinquantaine. Depuis, le personnage a continué de grandir, déferlant à intervalles réguliers au cinéma, en jeux vidéo et sous forme de figurines dans les magasins de jouets. Mais le socle de Batman reste la bande dessinée, les comics paraissant chaque mois (et dans plusieurs titres). Jusqu’à ce que le personnage atteigne ce mois-ci, les 75 piges. En soi, l’âge du capitaine ne signifie pas grand-chose. Tintin ne tutoie-t-il pas les 85 ans ? La différence tient au rythme de parution, au caractère ininterrompu d’aventures qui ont débuté avant la Seconde Guerre mondiale, les auteurs se relayant et redéfinissant à l’envi le personnage au fil des décennies. Ironie de l’histoire, l’orphelin Bruce Wayne se retrouve avec un sacré paquet de pères (mais peu de mamans). Les pères «biologiques» Bob Kane et Bill Finger, qui ont donné naissance au personnage en mai 1939, et les pères fondateurs : les Jim Aparo, Dennis O’Neil, Frank Miller, Alan Moore, Jeph Loeb et autres Grant Morrison. Devant une pile de 11 000 comics (estimation à la louche), le lecteur, lui, se fabrique sa propre version de Batman par sédimentation, en piochant dans les classiques au gré de son humeur. La jeunesse dorée (1939-1970) A l’origine, il y a Detective Comics # 27. La première apparition n’est pas des plus glamour : Bruce Wayne, la petite trentaine, costume jaune à carreaux, est confortablement enfoncé dans un fauteuil en tissu bleu. Il apprécie une petite pipe, tandis qu’en face de lui le sexagénaire commissaire Gordon rallume son cigare. En lieu et place de Batmobile, le héros se taille dans une traction-avant rouge pivoine. Pour le côté noir et torturé, on repassera. Les premières années font la part belle au côté «détective» de Batman. Le flair, la détermination à toute épreuve, le flingue (vite abandonné) et le boy wonder Robin… Tout cela hume bon la défense des valeurs morales, rappelées avec peu de légèreté en fin d’épisode par le «Robin’s Code» («Readiness, Obedience, Brotherhood, Industriousness, Nationalism» - soit être «prêt, obéissant, fraternel, zélé, nationaliste»). Ça calme. Le public est surtout constitué d’enfants, les comics étant alors, selon le mot de Jeph Loeb, qui a signé plusieurs classiques de «Batou», un «shup up gift», un cadeau qu’on achète à son gamin pour le faire taire à la caisse d’une épicerie. Difficile pour le lecteur d’aujourd’hui de plonger dans ces BD autrement que dans la position de l’archéologue. Pourtant, la galerie des méchants habituels se met rapidement en place. A la fin des années 50, le Joker, Catwoman, Double Face ou le Pingouin ont tous déjà pointé le bout de leur nez. Les histoires lorgnent du côté du pulp ou de la SF, faisant intervenir un Batman du futur ou Bat-Mite, un diablotin de la 5e dimension… Gentiment bariolé, l’ensemble paraît assez peu compatible avec la vision qu’on se fait actuellement du héros. C’est l’éternel problème de la continuité dans les comics, les lecteurs et l’éditeur se partageant la responsabilité de définir ce qui est canonique et ce qui passe aux oubliettes de l’histoire. L’adolescence (1970-1984) Lessivé par la Batmania, liée à la très kitsch sérié télé avec Adam West, le personnage prend un nouveau tour sous les crayons de Jim Aparo et Neal Adams. Aparo en fait un héros élégant et longiligne, tandis qu’Adams entame un tournant plus sombre. Comme la durée des récits, la cape s’allonge. Ce retour au concept originel du Batman comme double négatif de Superman - au surhomme qui agit à visage découvert dans un costume aux couleurs primaires, répond un simple humain, masqué paré d’un costume sombre qui doit instiller la peur - correspond aussi à une réhumanisation du héros, qui s’ancre dans la société des années 70 en évoquant la question des droits civiques et d’une jeunesse révoltée. La maturité (1984-2011) En trois ans seulement, un trio d’œuvres secoue le personnage pour lui donner peu ou prou le visage qu’on lui connaît aujourd’hui. En 1986, Frank Miller met en scène, dans The Dark Knight Returns, les dernières heures de Batman. Retraité depuis dix ans, moustachu, Wayne trompe l’ennui avec une bouteille et le commissaire Gordon. Et si Batman rempile une dernière fois, son environnement, lui, est condamné. Ecrasée par la pollution, les inégalités sociales ou la brutalité policière, Gotham City porte les stigmates de l’échec ultime de Bruce Wayne, incapable, durant ses années passées à jouer au vigilante, d’améliorer le quotidien de ses concitoyens. Bavard, dense et radical, l’ouvrage publié d’emblée dans un format prestigieux assurera aux comics une respectabilité jusqu’en France. Un an plus tard, Miller écrit Année Un, qui redéfinit les origines de Batman en narrant l’arrivée en ville des idéalistes Wayne et Gordon. Le scénariste se débarrasse de l’attirail super-héroïque (pas de Joker, pas de Double-Face, juste des mafiosos et un Batman hors-la-loi), pour se concentrer sur l’homme derrière le masque. Livrée à la pègre et à la corruption policière, la Gotham de Miller est déjà un canyon de béton où les vautours attendent que les plus faibles défaillent. «On ressent encore aujourd’hui l’onde de choc de ce livre», nous expliquait récemment Lee Bermejo, auteur de plusieurs graphic novels consacrés à Batman. «Cet album a jeté un pont entre des concepts typiques du comic book [les super-vilains, les gadgets, ndlr] et une approche plus réaliste, embrassant l’idée que Batman n’est qu’un simple humain.» Quelque mois, plus tard, The Killing Joke finit de créer le Batman moderne. En 80 pages étouffantes, le Britannique Alan Moore secoue son héros et met au jour le fait qu’il est aussi dérangé que le Joker. En trois petites histoires, le personnage renaît, devenant «tout à la fois le remède et la maladie qui contamine Gotham», selon Bermejo. Tim Burton ou Chris Nolan se serviront joyeusement dans cet héritage pour définir le Batman cinématographique. Dans la lignée de ces classiques, DC Comics n’aura de cesse, pendant des années, de sadiser ce pauvre Bruce Wayne, en s’attaquant à sa famille - le second Robin tué, Barbara Gordon (Batgirl) paralysée… - ou directement à lui. Cette vendetta culmine avec la saga Knightfall, où Bane lui brise le dos et l’oblige à laisser le costume à un sombre inconnu. A ce point de martyrisation, il ne faut pas s’étonner de voir le personnage virer parano à la fin des années 90 et se mettre à ficher tout son entourage. C’est aussi la période des grandes sagas (Knightfall, No Man’s Land…) ; les récits, qui se sont contentés de quelques dizaines de pages pendant des décennies, gagnent en ampleur et s’étendent sur des centaines de pages. Le Batman actuel (2011-2014) Le passage (dans le milieu du comics, on parle de run) de Grant Morrison est à ce titre remarquable. Entre 2007 et 2013, le scénariste écossais s’attelle à déconstruire le personnage, à remodeler la batfamily avec un objectif en tête : donner une cohérence éditoriale à tout ce qui a été publié pendant soixante-dix ans. Mettre en conformité le Batman moderne et les frivolités éditoriales des années 50. Pour se faire, il n’hésite pas à tuer (notion certes toute relative dans les comics, mais une première pour Batman) Bruce Wayne, à confier le costume à Dick Grayson, le premier Robin, et à donner le rôle de Robin à Damian Wayne (oui, le fils de Bruce). Très fun, bourré d’action et de suspense, le run est également très érudit et offre une relecture ambitieuse du personnage. Un régal pour les amateurs de jeu de pistes. Pendant ce temps-là, DC décide, en 2011, de faire table rase du passé et relance toutes ses séries au numéro 1, histoire d’attirer de nouveaux lecteurs. Batman n’échappe pas à ce relooking extrême et, tandis que Morrison poursuit son approche holistique dans sa série, le scénariste Scott Snyder est chargé de relancer la série principale, Batman. Son run, toujours en cours aux Etats-Unis est probablement la meilleure introduction possible au personnage. Après avoir exploré la relation de Batman et Gotham dans la Cour des hiboux et avoir mis en scène ses retrouvailles avec le Joker dans le Deuil de la famille, il s’attaque aujourd’hui… à la réécriture des origines mêmes de Batman. De quoi repartir pour un autre quart de siècle. «Time is a flat circle», comme dit Rustin Cohle dans True Detective. Marius CHAPUIS |
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Sympa comme article.
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C'était intéressant à lire en effet, très condensé, mais une bonne entrée en la matière pour ceux qui ne connaissent rien au personnage.
Merci pour le partage.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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Mon acquisition le mois prochain pour l'anniversaire de Bruce:
Kotobukiya proposera en (quasi) exclusivité à la San Diego Comic Con 2014 une nouvelle statuette « première apparition » du Batman de Bob Kane et Bill Finger
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C'est un anniversaire bien terne sur certains aspects:
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j savais pas où le poster:
y a quand même des autistes qu ont du talent! |
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