#2131
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Et la tôle d'acier recouverte d'étain des boites de conserve est appelée fer-blanc. Donc Tin Man en Homme de fer, ce n'est pas nécessairement choquant.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#2132
|
||||
|
||||
Bien merci, une erreur de corrigée, ça fait des années que je suis persuadé que c'est de l'alu.
|
#2133
|
||||
|
||||
Et la question parlait bien d'un métal blanc
__________________
http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu. |
#2134
|
||||
|
||||
On fait aussi des boîtes de conserve en aluminium mais à l'époque de l'écriture du Magicien d'Oz, c'était essentiellement en fer-blanc.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#2135
|
||||
|
||||
Lu dans le marvel omnibus spiderman todd mac farlane, amazing spiderman 302 : "il a plus d'instruments que rémy bricka" dixit spidey contre un savant fou.
Quelle culture ces amerlockes quand même ! |
#2136
|
||||
|
||||
Mouais, c'est un choix ça pas une erreur de trad, je le trouve plutôt parlant en plus.
|
#2137
|
||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||
Et il n'est pas propre aux comics, les séries TV pour ce qui regardent (encore... ) en VF, c'est la même chose. La question du parti-pris quant au contexte de l'oeuvre n'est jamais affichée de manière claire, et même j’irais jusqu'à dire jamais tranchée, comme si cette question était secondaire au travail du traducteur, et que celui-ci peut en fonction de son inclination (voire de sa bonne humeur) choisir son approche (et même la changer d'une page à l'autre). Soit on est totalement fidèle au contexte original, et on "traduit" fidèlement en reprenant les références telles quelles (après tout quand on est à New York, on invente pas une nouvelle ville). Et quand on fait une nouvelle édition, on s'applique à conserver le ton d'époque. On se situe là dans une approche de respect de l'oeuvre originale (et donc des auteurs). Soit on est dans une logique d’accessibilité et on "interprète"en tentant de trouver des équivalence culturelles locales, au risque de discordance de ton et/ou d'incongruité. Et on se situe là dans une approche d'extension du lectorat et tentant de "corriger" l'oeuvre originale pour la mettre au niveau du public cible. Personnellement l'intervention d'une référence que je qualifierai de "franchouillarde", à la limite de la "private joke" (j'ai du aller chercher sur le net pour savoir qui était le Rémy Cabri en question... mais je pense aussi au massacre des Intégrales X-men) me gêne. J'irais même jusqu’à dire que ce genre d'approche est vouée à l'échec, car en substituant une référence culturelle par une autre on s'expose tout autant à "l'incompréhension" et à une forme "d'inaccessibilité" puisque le postulat passe de "ils ne comprendront pas cette référence" à "tout le monde comprend mes références". C'est un sacré "culturo-centrisme" prétentieux (et faux) qui rend la traduction vouée à périmer à moyen terme, si ce ne n'est à échouer dés la publication même. Je suis donc partisan d'un approche "littérale", fidèle aux auteurs et aux oeuvres. En ajoutant pour finir que lorsque l'on sort une intégrale, un omnibus en tout cas une édition d'oeuvre datant de plusieurs décennies, c'est que l'ouvrage lui même est porteur d'une certaine intemporalité qui mérite donc une approche respectueuse et fidèle aux auteurs. Il y a un autre problème qui survient quand on confie la traduction à quelqu'un qui ne sait pas fait des phrases avec une syntaxe et une orthographe correcte, mais ça normalement ça ne se pose pas en milieux professionnel. Dernière modification par VascoVince ; 18/04/2014 à 09h41. Motif: ajout - correction |
#2138
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Perso, je ne trouve rien de pire qu'une référence franchouillo-nombriliste dans un texte où elle n'a pas sa place ! |
#2139
|
||||
|
||||
J'ai du taper son nom dans une barre de recherche pour savoir qui était Rémy Bricka...
Dans ce genre de cas, si le traducteur a peur que le lecteur français ne comprenne pas la référence originale, pourquoi est-ce qu'il ne fait pas une traduction plus généraliste ? Exemple ici : "il a plus d'instruments qu'un homme orchestre".
__________________
"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
#2140
|
||||
|
||||
Juste comme ça, c'est à quelle page de Amazing #302 pour comparer avec le texte original?
|
#2141
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#2142
|
||||
|
||||
Moi, Rémy Bricka, j'ai compris tout de suite... mais je suis vieux, c'est pour ça.
|
#2143
|
||||
|
||||
Je suppose que c'est celle-ci :
Doug Henning était illusionniste, magicien, escapiste, politicien et canadien. Tiens ! Pendant que je suis là : Je viens d'acheter l'intégrale des Gentlemen extraodinaires de Panini. Comme elle était sous blister je n'ai pas pu voir le nom du traducteur qui n'est autre que Geneviève Coulomb qui semble apparaître assez souvent dans ce topic. Ai-je fais une connerie (en même temps Alan Moore en Vo, je ne le sens pas trop...)
__________________
"Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt" Albert Einstein |
#2144
|
|||
|
|||
Episode sorti en juillet 1988, Apparement Rémy Bricka traverse l'atlantique en avril/mai 1988...
En marchant sur l'eau (des skis flotteurs propulsés selon wikisaitou). La traduction pourrait être d'époque. |
#2145
|
||||
|
||||
Doug Henning, par contre, ça ne me dit rien.
L'année des grands succés, c'est 1977 -1978 pour Bricka. |
Tags |
chouineries |
|
|