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#3992
23/10/2015, 19h13
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Jamais eu de problème de mon côté. 
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#3993
23/10/2015, 19h21
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j'ai crû à une traduction bancale, des pages blanches (genre la première version Hokuto No Ken Deluxe) ou des pages manquantes; les éditeurs et imprimeurs sont tellements imaginatifs là dessus ! 
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#3994
27/10/2015, 23h40
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Etant plutôt fan de Soul Eater et des petits éclairs de génie de Atsushi Ōkubo, même si la fin était pas top, je me suis lancé dans son nouveau projet, "Fire Brigade of Flames", et je suis pas mal déçu, tant par le dessin que par la trame scénaristique ultra convenu. Du monde suis ça aussi ?
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#3996
28/10/2015, 23h37
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#3997
12/11/2015, 11h33
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Tiens, je me suis enfin pris le tome 1 de Paradise lost, la suite de GTO.
Alors premier truc qui fait bizarre : c'est pas tres beau. Enfin, corrigeons : ça manque furieusement de charme. Ca m'avait fait deja un peu ça en lisant le spin off consacré à Saejima (ou on pouvait en plus directement comparer avec l'épisode original ou il apparait, qui avait bien plus de gueule), mais ici, c'est pire. De là à penser qu'il ne rédige que l'histoire et fait dessiner le tout uniquement par ses assistants, il y a un pas que j'hesite à franchir. Et l'histoire, du coup ? Ben... Disons que pendant les 80 premiers % du tome, je me suis bien emmerdé. l'auteur met un temps fou à poser son histoire, un comble pour une série en 3 tomes ! Mais les dernieres pages sauvent le tout, nous mettant en face de l'humour bien cracra qu'on connait et qui m'a fait hurler de rire il y a 15 ans. bref, il n'y a qu'a esperer que les deux volumes suivants poursuivent dans cette voie.
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#3999
20/11/2015, 17h28
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Colère nucléaire 1 (Akata)
Ce manga quasi documentaire se déroule en mars 2011, au moment de la catastrophe de Fukushima. Le protagoniste est un employé de bureau tokyoïte qui prend vraiment très mal les mensonges de Tepco et du gouvernement. Tellement mal que ça le dévore de l’intérieur et qu’il bouillonne toute le temps, dévorant les articles sur le sujet, les tweets et déclarations des élus et responsables et se rassurant comme il le peut. Il est furieux et désespère de voir les Japonais et notamment les Tokyoïtes aussi amorphes et indifférents alors que ça se passe à quelques kilomètres d’eux, participant aux manifs anti-nucléaire, discutant avec ses rares collègues curieux de la situation qui ne font pas les autruches. Il s’intéresse même aux accords transpacifiques entre les USA et le japon, qui vendent à court terme le pays à Wallstreet (à ce sujet, on a les mêmes en train d’être négociés chez nous en ce moment, TAFTA). Vous l’aurez compris, Colère nucléaire n’est pas franchement le manga le plus divertissant ou qui détend le mieux. C’est plutôt comme lire le Canard enchaîné ou Mediapart : nécessaire mais déprimant. C’est d’autant plus étonnant que le réalisme à ce point est rarissime parmi les mangas traduits en France mais aussi parce que le graphisme est franchement laid. Voilà un manga qui risque de ne pas bien se vendre pour toutes ces raisons. Et c’est pour ça que je vous le signale car même en BD française, la BD de reportage reste assez marginale. Saluons donc l’initiative de l’éditeur qui nous propose cette curiosité en 3 tomes qui fait bien réfléchir sur le sujet, comme deux autres titres de cet éditeur en pointe sur la question du nucléaire civil, Je reviendrai vous voir et Daisy/Lycéennes à Fukushima, tous deux excellents et bien plus faciles d’accès mais moins documentés que ce Colère nucléaire. Ajoutons que ce manga a fait l’effort d’un rédactionnel considérable, avec diverses préfaces de spécialistes et plusieurs pages de notes de compréhension ainsi qu’une entrevue dense et intéressante entre l’auteur et un homme politique qui dresse un portrait terrifiant des gérontes qui gouvernent le pays. Histoire : 15/20 C’est le simple déroulement des évènements vu par un quidam, mais c'est passionnant Dialogues : 17/20 Le point fort du manga! Personnages : 12/20 Basiques et très vite oubliés Dessins : 07/20 Un des mangas les plus laids que j'ai lus, juste un poil mieux que Crayon Shin chan Fun : 14/20 Disons que c'est franchement déprimant mais passionnant, d'où la note Note finale: 16/20 Un très bon manga, qui sort des sentiers battus Le vrai titre de la série : Colère nucléaire Si vous aimez : Le canard enchaîné, les bande-dessinées reportages à la Française, en savoir plus sur le monde Taux de harem : 0% Nyet Taux de moe : 10% Mais une case porno. Une seule, certes.  My girlfriend is a fiction 1 (Delcourt) Notre héros est un collégien lambda timide dont le meilleur ami est un dragueur impénitent. Il est amoureux de la star de son club de littérature, un jeune prodige pourvu de nombreuses qualités et idolâtré par les filles. Mais il a un secret : ses parents étant toujours par monts et par vaux et ayant été forcé de déménager très souvent, il a toujours eu les plus grandes difficultés à se faire des amies. Pour y remédier, il a créé dans les moindres détails biographiques et physiques un personnage de fiction, sa femme idéale. Une sorte d’amie imaginaire qui accepte tous ses travers, quoi. Suite à une visite au temple pour se débarrasser des 99 cahiers qu’il a noirci de texte et de dessins la définissant, il parvient à se rapprocher de la fille bien réelle qui l’aime mais…celle qu’il a inventé devient elle aussi réelle. Et vu que son caractère et ses capacités physiques sont encore plus destructrices que celles de Lum d’Urusei Yatsura… Un petit shonen romantique bien troussé et réussi, avec des personnages simples mais attachants. En plus, ça ne dure que 4 volumes, on aura pas le temps de s’ennuyer. Parfait pour se détendre et en plus ça évoque des thèmes aussi intéressants que le fantasme contre la réalité ou encore des limites des rêves quand on décide de se confronter à la réalité. Histoire : 15/20 Classique mais bien mise en scène. Pèche seulement parce que chaque chapitre s’ouvre par un résumé de la situation, ce qui est pénible en album relié alors que ça doit mieux passer en magazine de prépublication Dialogues : 16/20 Tout sonne juste. Personnages : 15/20 Classiques mais vraiment bien travaillés et attachants Dessins : 15/20 Vraiment convaincants, même si sans génie ou style particulièrement marquant Fun : 16/20 Pas de doute, c’est du bon shonen romantique de derrière les fagots Note finale: 15/20 J’aime vraiment beaucoup ce tome 1, que j’ai lu d’une traite. Le vrai titre de la série : 2D vs 3D Si vous aimez : Video girl Aï, Urusei yatsura, les shonen romantiques et légers Taux de harem : 30% Triangle amoureux Taux de moe : 30% Dans la moyenne des shonen romantiques actuels  Saint Seiya episode G : Assassin 1(Panini) Ouh là là ! C’est quoi ce truc ? Ça semble se passer après les évènements de Saint seiya episode G mais on dirait presque un What if tant ça diverge de Saint Seiya et même d’épisode G, c’est dire ! Le chevalier du capricorne, Shura, a quitté le sanctuaire pour une raison inconnue et parcourt le monde à la recherche d’assassins qu’il s’est donné pour missions d’éliminer, tel le Punisher. Il sauve une jeune fille d’un genre de momie qui attaque en projetant des flammes et dont on ne sait rien, si ce n’est qu’elle a éliminé un secrétaire parlementaire qui lui était allié, tuant dans les flammes quinze personnes de plus. Shura est un malin et s’est déguisé en djeun’s branchouille façon Shibuya, avec lunettes noires et tout pour passer inaperçu. Arrive alors un Aïolia bien différent de celui qu’on connait et même de celui d’Episode G ! En effet, il semble plus petit et surtout ses cheveux sont bruns et raides, adoptant seulement sa « crinière » châtain quand il revêt son armure. Sérieux, ils ont fumé quoi ? Aïolia est envoyé par le sanctuaire tuer Shura et est accompagné d’une drôle de petite chouette parlante qui répète certaines de ses phrases et qui semble avoir sur la tête trois bébés qui parlent aussi… Je vais bien, tout va bien. Ajoutons à cela une guerre de porteurs d’épées légendaires de plusieurs religions et mythes qui se défient l’un l’autre façon Highlander avec Shura et son Excalibur dans leur ligne de mire et vous comprendrez que c’est un Saint Seiya encore plus…original qu’Omega et Legend of Sanctuary. Ça reste lisible et divertissant pour peu qu’on supporte le style si particulier du dessinateur encore plus caricatural que dans Episode G (les pectoraux d’Aïolia torse nu, c’est quelque chose dans le genre « maigre, musclé et inhumain ») Par contre, c’est clairement pas le manga de l’année. Histoire : 08/20 Franchement, on dirait une fanfiction écrite par un collégien. Dialogues : 12/20 Aïolia est insupportable avec sa manie de détacher lentement chaque mot. Personnages : 13/20 C’est ceux qu’on connaît, mais version Djeun’s rebelles. Dessins : 12/20 Objectivement, c’est bien dessiné, si on supporte le style de l’auteur mais bon. je suis pas fan. Fun : 13/20 Du gros shonen de baston qui tâche Note finale: 12/20 Pour les complétistes seulement Le vrai titre de la série : Saint Seiya par les nuls Si vous aimez : Saint Seiya episode G, les situations un peu nawak, les graphismes biscornus Taux de harem : 0%Nyet Taux de moe : 10% Euh...Aïolia difforme et torse poil, ça compte? 
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 Dernière modification par Man-Thing ; 20/11/2015 à 21h38.
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#4000
07/12/2015, 18h56
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Rozen maiden saison 2 tome 10 (Soleil)
 Le Jun de l’univers à la clé tournée et sa version adulte du monde où il n’a pas tourné la clé se retrouvent ensemble, aidés des Rozen maiden survivantes dans le monde de la flippante Kirakishou, la dernière-née du magicien Rozen et la seule à ne pas avoir de corps. C’est le grand final avec des alliances contre nature (Shinku et Suigintou), des révélations (Rozen apparait enfin et le voile sur ses motivations pour avoir créée les poupées est levé), des coups de théâtre (Kirakishou se taille la part du lion de ce point de vue) et un final époustouflant et très satisfaisant, une fin ouverte et très belle. Voilà un des plus beaux tomes des deux saisons écoulées. La raison ? Il fait la part belle à l’ensemble des protagonistes et antagonistes, épousant à chaque fois leur point de vue pour nous faire toucher du doigt leurs visions du monde, toutes étant acceptables et sans manichéisme. Rozen maiden est au final un des mangas les moins bourrins que je connaisse dans le registre du seinen de baston, ce même si il a de grosses allures de shoujo manga. Le duo Peach Pit nous fait parfaitement ressentir les états d’âme de chacun, lui réservant un moment de gloire, fût-il bref. De nombreux passages sont magnifiques et il est dur de tous les citer sans les spoiler mais la rencontre entre le Jun qui a tourné la clé et le magicien Rozen remporte la palme, étant une petite merveille d’ambiance et de surprises. On est alors en plein dans une ambiance onirique et bizarre à la Doctor Strange, où l’intellect et la connaissance sont plus utiles que la force. Le passé révélé des Rozen maiden avant que le jeu d’Alice soit mis en place est également riche en révélations sur Shinku et Suigintou, nous amenant à revoir une bonne partie des informations que nous pensions avoir accumulées jusque-là et nous offrant une des scènes les plus émouvantes de la série, montrant les liens fraternels existant entre les sœurs Rozen maiden. Le seul bémol que l’on émettra (si on excepte les deux ou trois fautes d’orthographe ou mots manquants propres à l’éditeur Soleil) concerne les dessins très shoujo, parfois un peu durs à lire. Les trois adaptations animées des deux saisons du manga étaient, de ce point de vue, bien plus convaincantes. Reste un final vraiment beau et attachant pour une série qui nous aura enchantés de bout en bout. J’espère vivement qu’une dernière adaptation animée viendra boucler l’adaptation de la dernière saison du manga. Histoire : 16/20 A l’image du reste de la série, simple mais fin et riche en émotion Dialogues : 16/20 Un des tomes les plus convaincants de la série parus jusqu’ici Personnages : 17/20 Il y’a forcément une Rozen maiden ou un humain qui vous parle tant ils sont variés et bien brossés Dessins : 15/20 Le point faible du manga, mais cela reste très acceptable Fun : 17/20 Un des tomes les plus forts jamais parus en deux saisons Note finale: 17/20 Un final excellent et convaincant. Le vrai titre de la série : Doctor Strange, le manga Si vous aimez : Le manga, les adaptations en anime qui en ont été tirées, les seinen pleins d’empathie Taux de moe : 60% des poupées super moe partout Taux de harem : 30% ça ressemble à un harem mais ça n’en est pas un, plutôt une famille d’un genre unique
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 Dernière modification par Man-Thing ; 07/12/2015 à 22h16.
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#4001
08/12/2015, 09h43
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J'en ai vu l'adaptation en anime (enfin celle du début du manga) sur KZTV et j'avais vraiment pas accroché, tu tournes tellement bien le truc que ça donne envie mais bon tellement de lecture, si peu de temps... et d'argent.
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#4002
15/12/2015, 19h35
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Gokicha 1 et 2 (Komikku)
Gokicha est une petite blatte humanoïde et intelligente qui vit à Tokyo où elle a bien des malheurs ! Elle est persuadée qu’elle peut cohabiter avec les humains en faisant montre de gentillesse et de serviabilité. Las ! Ceux-ci ne voient en elle qu’un parasite envahissant et répugnant et tentent par tous les moyens de l’écraser. Un jour elle entend dire que l’île d’Hokkaido est dépourvue de blattes et décide de s’y installer afin de s’y faire des amis. Malgré de nombreuses déconvenues, elle s’accroche à ses convictions et reste persuadée que ses problèmes viennent d’un malentendu et qu’elle sera très vite populaire. Fort heureusement, la malheureuse et gentille Gokicha se fait assez vite une amie, autre blatte anthropomorphique qui se comporte quant à elle comme un véritable pique assiette sans gêne et sans complexes. Le duo comique qu’elles forment toutes les deux est la base des meilleurs gags de ce manga somme toute très conseillable, dans le genre relativement rare en VF des tranche de vie mignons. Voilà un des rares mangas de style yon koma (bandes ou plutôt colonnes de 4 cases successives) parus en France. Attendrissant et comique, il est simple et léger, souvent plus mignon que réellement drôle. Par sa simplicité, c’est un bon choix de lecture pour les enfants. Gokicha possède également une dimension plus tragique et cynique (c'est un seinen) puisqu’on s’émeut et on s’amuse des malheurs de son héroïne, dus à sa croyance qu’à force d’acharnement et de gentillesse, elle se fera forcément des amis humains alors même que ceux-ci veulent s’en débarrasser et ne l’envisagent pas autrement que comme un nuisible. Le rire du lecteur adulte peut ainsi se faire cruel tout en plaignant la gentille et maladroite créature qui ne comprend rien à ce qui lui arrive…Personnellement, les bons sentiments mis de côté, ce manga me fait beaucoup penser à un certain Nicolas S., persuadé d’être populaire et irrésistible alors que tout incline à penser le contraire. Au final, un manga bien sympathique. Histoire : 14/20 Simple et efficace Dialogues : 14/20 Gokicha semble parfois entrevoir la vérité quand elle se parle à elle-même Personnages : 14/20 Mignons et bien brossés Dessins : 15/20 Les décors sont simples mais convaincants et les mines des personnages (particulièrement leurs yeux) très expressifs Fun : 14/20 meugnon tout plein, amusant et reposant Note finale: 14/20 Un manga pas indispensable à votre mangathèque mais qui fait son boulot Le vrai titre de la série : Moe Nicolas Si vous aimez : les moeifications d’objet et d’animaux, les personnages persuadés d’être populaires mais en fait non Taux de moe : 80% Les deux blattes sont kawaï en diable Taux de harem : 0% Nada  
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#4003
20/12/2015, 21h37
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J'ai fini par craquer pour le premier tome de Levius, que j'ai beaucoup apprécié. Graphiquement je trouve que ça va parfois un peu trop loin (les cases flous), mais globalement c'est totalement ma came. Et l'histoire est très bien construite, j'ai été totalement pris dedans. Vivement la suite.
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#4004
07/01/2016, 13h07
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Je découvre (mieux vaut tard que jamais) lone wolf & cub et grosse grosse claque je dois dire.
Graphiquement ça poutre mais c'est vraiment niveau histoire et finalement surtout historique que je prend mon pied. J'ai mis la main sur les 6 premiers et je constate que Panini n'est pas qu'une buse sur son fond comics mais également sur son fond manga....'tain le prix des revendeurs pour les n° suivants c'est du tir au pigeons ! Bon je vais devoir me rabattre sur les omnibus de Dark Horse a moins que PAnini se décide à rééditer la chose... Du coup j'ai regardé un peu les autres titres des auteursr mais je n'ai pas l'impression qu'ils aient été traduits ( Samurai Executioner ou Path of the Assassin) ...
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Miguel&Diego! Mes ventes Mon blog à môa https://fr.ulule.com/arelate-t9-et-valerius-proculus/
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#4005
07/01/2016, 13h31
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En 2 tomes plus un extra. Mais sinon, ce que tu me dis m’inquiète, il doit me manquer 5-6 tomes dans ma collec et je me suis dit « un jour je finirai », bah du coup, je sais pas. Sinon sur un autre sujet, je mate l'anime "Gangsta." C'est jamais ouf, mais ça se suit bien et y'a un magnifique morceau musical (ManThing en a parlé d'ailleurs dans un autre topic) au milieu de la série. Mais en feuilletant le manga... putain... on dirait du Hellsing trait pour trait. Même dans les petits manga-blagounette. Et on y retrouve certains trucs, le perso borgne, une thématique autour de la relation maitre-esclave etc. Et comme on sait pas qui est l'auteure de Gangsta, juste le pseudonyme Koshke... ce serait pas une disciple ou un pseudo de Kohta Hirano qui faisait Hellsing ?
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Mes ventes de Comics VO ! Dernière modification par zarma ; 07/01/2016 à 13h43.
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