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Birds of Prey
En cherchant des persos tombés dans le domaine public pour Mast, je suis tombée sur ça. Je pense que ça peut vous interesser.
Article DVDrama.com "Série peu connue des producteurs de Smallville, Les Anges de la nuit n'a pas rencontré le succès qu'elle méritait. Lancée suite au succès des chroniques du jeune Clark Kent, la série ne proposait pas une régression de l'univers DC mais au contraire un enrichissement de ce dernier. Il n'est pas question ici de montrer la génèse de ses héroïnes, contrairement aux aventures du futur Superman. Les Anges de la nuit est une réelle adaptation d'un comics existant mais peu populaire et son originalité réside dans son emplacement chronologique dans ce même univers : les aventures se déroulent non pas "avant" les histoires du Dark Knight, mais "après". Cette série vient nous rappeler que le domaine de l'adaptation de comics est une entreprise pour le moins risquée. Si au cinéma, une adaptation réussie se révèle ardue en raison de la difficulté à garder la dimension feuilletonnesque, une adaptation sur le petit écran se révèle au moins aussi périlleuse en raison des restrictions budgetaires qui ne permet pas de réelle extravagance visuelle. Ainsi, les quelques super-héros qui se sont hasardés dans une série télé ont perdus un peu de leur superbe en montrant une interprétation différente et moins couteuse de leur matériau d'origine : le Batman des années soixante se révèle une parodie des serials, Hulk est une nouvelle version du Fugitif.... A une heure où les individus aux superpouvoirs ne sont plus prêt de quitter le petit écran après le carton de Heroes, il est bon de se pencher sur cette série peu connue du grand public mais aussi gratifiante que d'autres plus populaires comme Smallville ou Buffy. Les Anges de la nuit se révèle alors appartenir à cette catégorie de petites perles télévisuelles qu'il est bon de redécouvrir. La légende parle d'un justicier masqué, Batman, gardien de Gotham City, et de son grand amour, Catwoman, reine du monde de la pègre. De leur passion est né un être extraordinaire, une fille, Chasseresse. Moitié meta-humaine, elle suit les traces de son père et dès que la nuit tombe, elle se bat pour protéger les faibles et les innocents. A ses côtés, Oracle, qui un jour fût Batgirl, protégée de Batman, le combat ayant opposé le Joker à son protecteur la laissait sans l'usage de ses jambes. Aujourd'hui, elle poursuit la lutte avec d'autres moyens. Maîtresse des royaumes cybernétiques, elle est un mentor et entraîne de nouvelles recrues. Ensemble, elles ont accueillis une jeune fugueuse, Dinah, elle-même méta-humain et dont les pouvoirs permettent l'accès au monde de l'esprit, des pouvoirs qu'elle commence seulement à explorer. Ses trois jeunes femmes sont les nouvelles gardiennes de Gotham City, Les Anges de la nuit. Je m'appelle Alfred Pennyworth, et voici leurs histoires. L'histoire de la série prend sa source dans une des sagas les plus mythiques du Dark Knight, Killing Joke, ici résumée par Alfred. Nous apprenons pourquoi Batman ne réside plus à Gotham, on ne se souvient plus de lui comme le déclare quelques personnages en affirmant "Il y a quelques années, il y aurait eu un homme habillé en chauve-souris qui terrifiait les malfrats à Gotham". De légende urbaine dans les films de Burton (rappelez-vous de la scène précédent son apparition où des malfrats dissertent sur sa propre existence "On dit que la chauve-souris l'a chopé. - Ecoutes, les chauve-souris, çà n'existe pas.") le Caped Crusader passe au statut de mythe passée, un équivalent des héros antiques tel Achille en son temps. De plus, en raison de l'idylle évoquée entre Batman et Catwoman, Les Anges de la nuit est censée faire suite à Batman returns. Cependant, la ville n'est pas le Gotham que nous connaissons à travers le film de Burton. Il s'agit en fait du New Gotham, ville bâtie après une autre saga mythique, No man's land. On le voit, les références à l'univers DC pullulent, autant dans l'évocation de certains personnages (Batman bien sûr, mais aussi le Joker, Alfred et bien d'autres encore) que dans les situations comme cette relation entre l'inspecteur Reese et la Chasseresse Helena. Au début, leur duo renvoit à celui de James Gordon et Batman, mais il s'en écartera au bout de quelques épisodes en raison de la sensualité affirmée de Ashley Scott. Il faut dire que ses faux-airs de Max dans Dark Angel se prêtent bien à une éventuelle love-story. Nous remarquons aussi la mythologie autour des meta-humains qui fonctionne comme les mutants à la kryptonite de Smallville. D'ailleurs, nous notons que l'écriture des Anges de la nuit est similaire à celle du feuilleton avec Tom Welling : chaque épisode met en scène un nouveau mutant. Dans le bled de Clark Kent, c'était la kryptonité, à New Gotham, ce sont les meta-humains. Innovation par rapport aux comics, il faut bien reconnaître que ces meta-humains enrichissent grandement la série. Sans eux, on aurait eu certainement droit à des voyous sans envergure en guise de méchant de la semaine. Il convient aussi de souligner l'appartenance de deux personnages du trio à ses êtres qui apportent un côté "X-men" à la série : certaines scènes sur la notion de différence renvoient aux introspections identitaires des comics sur les mutants et tout comme dans ces dernières, elle permet une piste de réflexion sur la solitude éprouvée par les héros envers leur devoirs et la société. Cette introspection, c'est un sentiment que Batman lui-même connaît très bien, de même que Superman. Toutefois, si on la compare à Smallville, on pourrait lui préférer l'ambiance des films noirs que Les Anges de la nuit affiche plus volontiers au détriment de l'aspect chronique sentimentale que laisser pourtant présager le personnage de Dinah. Celle-ci se retrouve d'ailleurs un peu mise à l'écart par moment. La série des trois justicières obéit au canevas sur lequelle lorgne régulièrement l'ado habillée en rouge et bleu. Lorsque les scénaristes manquent d'inspiration, on se retrouve ainsi avec le schéma suivant crime commis/enquête du trio/combat avec le méta-humain trouvé. Un canevas qui n'est pas sans rappeler certains épisodes de la série du futur Superman. A la seule différence, Les Anges (qui n'ont décidément rien à voir avec ceux de Charlie) l'assument pleinement en fréquentant les bas-fonds, la pègre et la police de Gotham. Version plus adulte, plus mature que Smallville, elle illustre un monde tentant de se redresser, de perdurer, de survivre malgré les épreuves traversées. Les Anges de la nuit s'est éteint au bout de treize épisodes à cause d'un audimat insuffisant. Elle rejoint Flash dans la catégorie des oeuvres nées trop tôt pour trouver son public. Série sur l'héritage et le traumatisme qui conditionne chaque individu dans la quête de propre identité. Le résultat n'a pas été à la hauteur des espérances du point du vue commercial, mais Les Anges de la nuit sont traité avec suffisamment de sincérité et de passion par leurs auteurs pour mériter que l'on s'y attarde. Une petite perle, vraiment. PERSONNAGES Helena Kyle/Huntress : De l'amour entre Catwoman et Batman est né Héléna Kyle. Ayant grandi sans avoir connu son père, elle reprend le flambeau laissé par ce dernier qui a disparu de Gotham. Avec l'aide de Barbara Gordon, elle endosse le rôle de Chasserresse et poursuit la lutte initiée par son père qui ne sait rien de son existence. Barbara Gordon/Oracle : Fille de l'inspecteur James Gordon, Barbara a participé à la lutte du crime à Gotham aux cotés de Batman sous le costume de Batgirl. Grièvement blessée suite à un combat avec le Joker, elle continue le combat grâce à l'évolution technologique qui lui permet d'aider son allié Chasseresse sans être contrainte de quitter son fauteuil roulant. Elle est la seule avec Alfred à connaître l'identité de Batman et de Chasseresse. Alfred Pennyworth : Un personnage directement issu des comics de Batman, le serviteur de Batman/Bruce Wayne a aussi connu plusieurs interprètes. Alfred sert de lien avec l'univers de Batman et est également le narrateur. En effet, le pré-générique nous le laisse entendre présenter les personnages de la série. Il s'entend à merveille avec le trio avec lequel il entretient les mêmes relations paternels de mentor, relations qu'il avait déjà avec Bruce Wayne. Harley Quinzel : Apparaissant d'abord comme la psychiatre de Chasseresse, Harley Quinzel révèle très vite de sombre dessein en voulant venger son ancien amant : le Joker. On remarque que le personnage Harley Quinzel n'a pas été crée à l'origine dans le comics mais dans la série animée Batman de Paul Dini et Bruce Timm sous le nom de Harley Quinn. Le personnage a tellement plu au public qu'il a été intergré à la mythologie du Chevalier de Gotham. Dinah Lance/Black Canary : Orpheline, Dinah Lance vient à New Gotham pour commencer une nouvelle vie. Elle se sert de ses pouvoirs de télépathie pour aider le trio dans sa mission. Son personnage est une invention du comics, Black Canary étant le rôle tenu par sa mère. " Voili voilu voilou!Ca m'a donné envie de voir cette série... |
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Et bien dans ce cas il vaudrait mieux que l'envie te passe c'est une des pires séries que j'ai vu ces dix dernières années...
Le pilote est totalement raté, les épisodes suivant ne sont guére mieux, a oublier
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Ah oui?Ok, c'est gentil de me le dire.
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Ou a tu trouvé cet article? L'auteur a touché combien pour comparer ce truc à Buffy?
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DVDRAMA.COM
et ben...en général je fais du flood, là j'ai fait un flop! |
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Ca vaudra jamais la série Flash !
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la galerie de Skrutum Mon blog de dessins: "C.Phan-Art" Et pour ceux qui ça intéresse, je commissionne donc MP et tout ça..... |
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Honnêtement, c'est vrai que le mec s'enthousiasme pour une série Z vraiment pas réussie. A le lire on a l'impression que c'est un super truc et au résultat... A la limite essaie de te récupérer au moins le pilote, histoire de juger par toi même mais tu verras que bon... C'est quand même pas le trucs transcendant que l'auteur de cet article a semble-t il vu !!!
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Mon site (qui date ) |
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Bah...on a du le payer...
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C'est ultra dispensable.
D'ailleurs pour tout dire, la baston finale se paie comme musique All the things she said du groupe tatou. Là, en terme de ratage c'était bien l'apogée finale du truc.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Presque aussi mauvais que "Mutant X", c'est dire !
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Des pépites ? Des bonnes histoires ? Des curiosités ? Des souvenirs ? Ne manquez pas de visiter la section rétro ! |
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La prochaine fois que je tombe sur un article comme ça, promis, pour une fois je fermerai ma g...
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Surtout pas! On aime bien cracher notre fiel, le dimanche matin!
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Bande de c.... coquins!
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quand tu n'en vois qu'un ou deux épisodes de temps en temps c'est pas si mauvais...mais pas plus sinon ça ecoeure vite
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"l'homme qui a perdu la faculté de s'émerveiller et d'etre frappé de respect est comme s'il avait cessé de vivre" A.Einstein
Excusez mon humour de chiottes mais c'est parce que j'y mets tous les déchets de mes sentiments. |
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