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Mon budget n'est pas assez grand pour pouvoir prendre des choses plus tard, parce que je planifie à l'avance, et qu'à chaque fois, j'atteints trop rapidement mon prix limite...
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Sors de sa grotte et reviens lire des comics |
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Ben pourtant quand tu prends plus tard t'as des occaz
Enfin pour moi ce mois ci ce sera sans hésiter Flex Mentallo et Casanova, et je verrais après s'il reste un peu de sous.
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je viens de le récupérer ce matin, pour le prix, c'est vraiment miam miam. Je peux pas parler de l'histoire, mais les dessins,
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Raaah j'ai hâte ! Demain normalement. J'avais tellement hésité lors de la sortie du HC VO l'an dernier. Mais Morrison, surtout sur ce type de récit, je préfère attendre la VF.
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Intrigué par l'enthousiasme et séduit par le slip sexy et la pilosité exubérante du héros, je me suis décidé à acheter ce bouquin et clairement je ne le regrette pas, c'est du Morrission en très grande forme, c'est dense, barré assez complexe, plein de références.En fait il faudra que je le relise pour mieux appréhender certaines choses et pouvoir bien tout relier.
Graphiquement Quitely était vraiment presque aussi bon à l'époque que maintenant. Mais je me pose une question qui a écrit la postface? |
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Ben c'est Morrison. Ca fait partie de l'histoire fictive du héros (qui n'a jamais existé dans les comics, hein ).
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Ca fait des années que j'attends Flex Mentallo . Jim m'avait prêté la VO, je crois, mais je m'imaginais que l'obstacle de la langue était important parce que je m'étais arrêté au premier épisode . En fait, je peine toujours en français . Je lis un épisode à chaque fois chaque jour, je suis obligé de m'arrêter . J'imagine que c'est trop dense, mais c'est plus que ça .
Il y a huit ans, j'ai fait une bande dessinée sur le même thème le personnage qui sort de la bande dessinée ), ne connaissant pas l'existence de Grant Morrison, de son animal Man et de son Flex Mentallo . On m'a signalé les bandes de Morrison .Il y a un moment que j'ai lu son animal man, et les thèmes du troisième TPB m'avaient montré une vraie démarche ontologique, et puis peut être que le dessin de Chas truog , un peu gauche, m'a montré qu'on était bien dans une bande dessinée, pas dans la réalité . Le dessin de Quitelyn très fin, peut montrer le côté sordide et on le prend en pleine face .Dans son Flex mentallo, il y a vraiment quelque chose qui me gène . Je n'ai pas encore lu l'intégralité, mais je me sens un peu trompé sur la marchandise, reste à savoir si au bout du compte je serai satisfait de l'avoir été . D'un point de vue graphique, c'est la grande classe, et Quitely fournit un excellent boulot, peut être l'un de ses meilleurs . Vraiment je suis épaté de chaque page . D'un point de vue scénario, il y a redite avec Animal Man : pourquoi faut-il que ces considérations ontologiques soient liées forcément à l'ingestion de drogues ? Pourquoi faut-il des champignons hallucinogènes, ou une overdose , pour pouvoir prendre conscience de l'état de personnage de fiction ou pour faire prendre vie un personnage ? Je suis vraiment gêné par ce postulat de départ . C'est certain qu'il faut un changement de posture radical pour prendre le recul nécessaire à cette nouvelle vision du monde . Ce pourrait être la folie qui le provoque. Chez Moore, dans Promethea, ce peut être la folie de la guerre, mais aussi la perte de controle du conscient avec l'écriture automatique, mais avec la simple concentration. Chez Gotlib, ce peut être un simple coup de colère pour sortir de son monde virtuel . Les drogues ne sont pas obligatoires ! Donc, je suis gêné par cette redite qui montre un attachement morbide aux drogues. J'attendais une bande plus lumineuse et fun, et pas cette lente descente d'acide . Mais je changerai peut être d'avis à la fin . Reste que l'édition est remarquable, avec plein de bonus . |
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Pris hier aussi.
On ne sait jamais, s'il marche bien peut-être qu'Urban réfléchira à un Grant Morrison présente Animal Man ou Doom Patrol. |
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ben du coup, les drogues et morrison, limite c'est lié. Dans son bouquin (Supergods) il explique qu'à cette époque là, il s'est même retrouvé à l'hôpital (enfin, il me semble) tellement il abusait. DU coup, c'est presque plus autobiographique qu'ontologique. ET effectivement, c'est l'un des tout meilleurs boulots de Quitely.
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#25
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Et si Sandman marche bien, Lucifer serait sympa. Et je ne parle pas des merveilles inédites telles Shade ou Enigma. Remarque, avec la "fin" de Vertigo, exploiter ce catalogue plus ancien pourrait assez vite arriver. |
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Purée, c'est clair que tu peux faire un album tout juste monstrueux avec la mini ENIGMA !
En plus, ca resterait quand même vachement dans la mouvance DAYTRIPPER/FLEX MENTALLO. ET s'ils font le même traitement avec SHADE qu'avec SANDMAN, ca peut aussi le faire. |
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Oui OUi , mais là tu as quatre pages fictives qui font style "histoire des comics" avec une interview du dessinateur de flex mentallo et son histoire de 1942 à nos jours. DU coup j'ai eu peur que le monsieur au dessus le prenne pour argent comptant.
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Les "trips" toxicos d'auteurs hallucinés ont tendance à me faire fuir, c'est vraiment tout ce qui m'énerve dans les postures des pseudo-artistes! Les hallucinations, le psychédélisme, et l'onirisme dans une moindre mesure, au mieux m'indiffèrent et m’ennuient profondément. Dommage, Quitely avait effectivement l'air au top. |
#30
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Non mais ca n'est pas un délire toxicos non plus hein, c'est juste que Morrison se sert de l'addiction d'un des personnages comme un des moteurs de l'intrigue. Tout ne tient pas qu'à ça, d'une part, et d'autre part le scénario a un véritable propos qui dépasse largement le postulat de ce personnage et le fait qu'il se drogue. D'ailleurs je trouve que Morrison utilise vraiment intelligemment cette addiction dans son récit.
Donc vas-y, c'est loin d'être une BD de toxico halluciné, n'exagérons pas...
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flex mentallo, frank quitely, grant morrison, urban comics |
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