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oé mais ptet il a pas de comics shop le monsieur Gumby.
Je suppute,hein,je precise.
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Un vrai damne de la terre, alors, c'est sur...
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oh connaitrais tu l'ouvrage de Franz Fanon mon bon Nix?
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Non, juste les deux premiers vers de l'internationale mon bon Keats.
Mais Wikipedia me presente quelqu'un d'interessant, la...
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L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
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Je confirme : un jour, de Mai, nous saurons si la prose de keats disait vrai.
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Hmm, American Virgin, ça me tentait pas du tout (à part les covers, bien évidemment), mais vu tes critiques, Keats... hmmm si je trouve le #1 à Toystar, je me lance, allez, je suis un fou.
Voir même DMZ, mais ça, je pense pas trouver par contre.
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bah un joli trade se pointera à n'en pas douter tot ou tard, ça sera l'occasion de donner une chance à la bonne histoire de Wood et Burcchielli.
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le traide est déja solicité, voyons, DMZ#1-5, 10 beuqse. djoune seiveunne.
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Bah DMZ,Mr Gilles m'a offert le #1,et j'ai pas accroché du tout moi.
Ca veut surement dire que c'est bien,vu ce que je lis ^^
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me fait penser que j'ai the tourist de Wood a lire..
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les trois premières lectures de la semaine en dehors des deux gros univers partagés, sont Bite Club : Vampire Crime Unit, Hellblazer et Ex Machina Special, soit deux vertigo et un wildstorm signature.
on commence par le machin qui a la superbe couverture avec une madame toute nue et des grosses canines toutes acérées. cette mini en six fait suite à la première Bite Club, déjà écrite par le couple Tischman&Chaykin et dessinée par David Hahn. d'entrée de jeu la volonté est de faire de la surenchère dans le gore et le cul, et une double page avec sang et tripaille à l'air nous met d'entrée de jeu dans l'ambiance, pour être suivi tout de suite après par une scène d'amour lesbien. je vois venir mes petits messieurs critiques à vos heures, oui mais mon bon John est ce gratuit? et bien je ne trouve pas, ça colle bien avec cette ambiance glauque qui est celle de cette Miami décalée où règne les suceurs de sang les plus sexys de la cote Est. le pitch gars oublie pas le pitch, donc rappelons que Risa, la belle au tatouage sur la couverture, est seule à la tête de sa famille, les Del Toro, après avoir liquidé tout ce beau monde dans la première histoire, restant avec sa girlfriend Carrie à jongler avec le magot familial. ce nouvel épisode de Bite Club s'ouvre donc sur un meurtre particulièrement dégueulasse, coeur arraché et morceaux dans la culotte de la belle, et enquête policière qui mène nos inspecteurs tout droit chez Melle Vampire horny as hell. ici l'angle de vue n'est plus celui d'un membre de la famille comme précédemment, mais plus celui de la police, qu'on suit dans son investigation, à travers deux binomes de flics. ça marche bien, numéro efficace et sexy, un polar gore qui m'a bien séduit. Hahn a progressé au niveau du style je trouve, les oreilles ne sont plus ces horribles ronds assez grossiers, le dessin plus détaillé, il nous raconte très bien cette histoire de vampires qui marchent au soleil. du tout bon. ensuite le Hellblazer #219, quatrième partie de la première (et dernière?) histoire de Denise Mina, Empathy is the Enemy, dessinée par Leonardo Manco qui tient décidemment bon sur la série. à noter que le cover artist au look froissé est de retour au moins pour ce numéro, c'est pas Bermejo mais je trouve ça pas mal (ça a au moins le mérite de trancher d'avec Bradstreet qui a hanté le titre pendant très longtemps). bon notre John arrive à Glasgow, la ville de la scénariste au passage, pour rencontrer le fameux Steve Evans dont on entend parler depuis le premier épisode, histoire de savoir pourquoi celui ci en veut à notre anti héros préféré. même schéma narratif, récit entrecoupé de scènes flashbacks historiques retraçant le mystère de cette île au large de l'Angleterre et de son drole de culte. celui ci semble lié au personnage de Steve, et l'empathie est au centre du mystère. si j'étais sceptique jusque là j'avoue que ce numéro permet de voir un peu mieux où veut nous mener Mina, et ça commence à devenir plus séduisant. elle a le mérite ici de m'intriguer et de me faire apercevoir du Constantine comme on ne l'avais pas vu depuis un petit moment. pas encore du Ennis flavor, mais quelque chose de déjà plus consistant et prenant. histoire à relire impérativement en un seul bloc, car on sent que ça fonctionne beaucoup mieux quand ce n'est pas entrecoupé par la pause mensuelle, mais ça sent déjà meilleur. Manco signe un joli numéro en plus. Hellblazer redeviendrait il intéressant? enfin le Ex Machina Special #1, par Vaughan et Sprouse, premier numéro d'un dyptique nommé Live and Death, et qui est quelque peu détaché de l'intrigue qui nous intéresse dans la série régulière. Vaughan nous ramène sur un moment fort de la carrière de justicier de Mitchell, quand il revêtait encore le costume du Great Machine, avant son élection donc. je dois avouer que je ne sais trop quoi penser du numéro, j'oscille entre le sentiment de ridicule et l'intérêt pour cette contrepartie animale au pouvoir d'Hundred. en effet Mitchell tombe sur un homme possédant les mêmes pouvoirs que lui, à la différence prêt que celui ci commande non pas aux machines mais aux animaux. donc là il va falloir qu'il me convainque sur ce coup là, que ça prouve un intérêt autre que celui de faire le gimmick tiens un mec qui controle les animaux. truc troublant c'est à quel point on dirait que c'est Harris qui fait le numéro et non Sprouse, à croire que le coloriste fait tout avec cette série! bilan, pas trop convaincu, on verra au deuxième numéro pour vraiment se faire un avis sur un special qui a tout d'un gadget pour combler les trous.
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johnkeats.space-blogs.com Dernière modification par John Keats ; 22/04/2006 à 20h39. |
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Leonardo Manco, le dessinateur de Hellblazer, c'est pas celui qui avait dessiné le Deathlok de Casey sous Marvel Tech, que Doop nous avait présenté y a quelques semaines ?
Sinon très intéressantes tes critiques, John, j'me mettrais bien à Bite Club, moi. |
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Sympa l'hommage a Goya sur la couve de Hellblazer.
Bien aime aussi le Bite Club, meme si c'est du pur smut. Bonne critiques, John
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Ouaip, bonnes critiques.
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