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Bite Club #1
Bite Club 1
Scénario : Howard Chaykin & David Tischman Dessins : David Hahn Couverture : Frank Quitely Ou quand Les Sopranos rencontrent Buffy Eduardo Del Toro, chef de la pègre de miami, vient de se faire assassiner violemment à l’âge de 265 ans. Et oui c’était un vampire, et il laisse derrière lui ses enfants : Risa, dirigeant Vamp Records, un label de disque indépendant, Eduardo junior, suivant les traces de son père mais tachant d’éviter les mêmes problèmes à son fils Danny, Leto, qui a embrassé la voie de la prêtrise; sa femme Arabella, veuve pas trop éplorée ; son neveu Victor, l’homme qui gère les affaires quotidiennes… Qui l’a tué ? Qui va prendre sa suite à la tête du plus puissant cartel du crime de Miami ? Ce premier numéro est un numéro en quelque sorte de présentation. Les auteurs s’amusent à nous présenter un monde où les vampires sont intégrés dans la société depuis la nuit des temps, d’une manière réaliste (dans le sens où les vampires ne sont pas cachés mais « intégrés » ) et quelques passages sont divins : par exemple, la scène chez le dentiste où on voit l’importance de cette profession pour nos amis aux longues dents… On découvre ainsi tour à tour la position ambiguë de l’Eglise face au phénomène vampire, des gens prêts à tout pour garder leur jeunesse éternellement (plus besoin de chirurgie, suffit de devenir vampire)… On découvre surtout une galerie de personnages tous plus antipathiques les uns que les autres : déjà, rien que par le fait qu’ils soient vampires, ensuite par le fait qu’ils sont maffieux, enfin parce que sans morale… Risa se sert du sexe pour obtenir ses fins aussi bien au niveau plaisir qu’au niveau travail, Victor l’homme à tout faire semble plus obsédé par la succession de Eduardo que par son décès.. vient enfin Leto, sorte de mouton noir, personnage original (vampire et prêtre) qui est rejeté par sa famille du fait de son choix de vie. Le moins que l’on puisse dire est que rien n’est épargné au lecteur : sang, violence, sexe bien entendu (les vampires et le sexe étant intimement liés), tout ceci dans un mélange succulent…. Ames sensibles s’abstenir ! Luttes d’influence, rapports familiaux conflictuels, humour noir, ce numéro se dévore littéralement du début jusqu’à la fin, jusqu’au cliffhanger final qui promet de bien belles choses pour les épisodes à venir. Concernant le dessin, après une couverture superbe de Quitely, nous avons droit à un dessinateur (que je ne connaissais pas) me faisant penser à Oeming, avec un style cartoony. Indéniablement, il se dégage une atmosphère certaine de ses planches, notamment du au choix de la colorisation : en effet, chaque planche est envahie par une couleur dominante différente, chaque couleur étant associée à un personnage : violet pour Risa, bleu pour Leto, rouge pour Victot... Ce choix de colorisation presque monochrome peut rebuter, mais finalement après un petit temps d’adaptation, cela contribue très bien à l’ambiance du comic. Bref mon avis : vivement conseillé ! Pour ceux qui veulent avoir une idée, vous avez la présentation des personnages ici : http://www.dccomics.com/pdfs/vertigo/biteclub1.pdf |
#2
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j' ai hesite a le prendre et d' apres ta critique, je vois que j' ai eu tort ....
je vais le rajouter sur ma liste mon porte-monnaie va me flinguer
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes |
#3
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Le numéro est également excellent, il va tout à fait dans ce sens, du vampire mafieux et déluré avec des détails très différents des classiques, et ça fonctionne très bien. J'avoue que le coup du prêtre vampire m'a bien fait marrer, ça me plait un max pour la peine!
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johnkeats.space-blogs.com |
#4
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Très bonne critique en tout cas. Merci Archno .
Je l'ai reçu la semaine dernière, dès que je l'ai lu je donne mon point de vue... |
#5
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je crois l'avoir commander ......
en tout cas je suis heureux d'avoir choisi un avatar d'une bonne serie .. |
#6
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Doublement oui!
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#7
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Bonne critique, Archnoangel
Ce qui est cool aussi, c'est que le numero 2 tient egalement tres bien la route, meme une fois l'effet de surprise et le cote "over the top" du #1 passes. |
#8
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Bon, eh bien je vais attendre la suite, car pour l'heure, je dois dire que je n'ai pas été vraiment impressionné par ce début d'histoire. J'aime beaucoup, graphiquement, mais quelque chose me dérange un peu dans l'histoire (ne me demandez pas quoi, j'ai pas encore trouvé...)
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#9
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Ben dit donc ça à l'air plus que sympa cette petite histoire et le graphisme de David Hahn permet déviter, semble-t'il, le côté gore et trash qui aurait pu sortir d'une telle histoire!
A quand la trad chez semic?!? (Je suppose qu'ils ont pris une option comme pour...etc lol!)
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Miguel&Diego! Mes ventes Mon blog à môa https://fr.ulule.com/arelate-t9-et-valerius-proculus/ |
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Ca a l'air pas mal ce truc... Les covers de Quitely m'inspiraient mais malheureusement je n'ai pas tenté...
Bah ptet un tpb un jour...
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Nounours1005 J'avance mais la chenille en chie pour devenir papillon... Blog : Les Arts Narratifs - Podcast : Les Bières Narratives |
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ou des back issues c'est toujours un plaisir!
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Oh John Keats c'est Vladimir Donn visiblement...
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Tu fais toujours dans le cryptique à ce que je vois. Je me vois plutot comme un Salieri parfois, voire même souvent ces derniers temps.
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