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Petites questions en passant sur ce que je vais bientôt lire en ce moment :
1) je peux lire batman showcase 1 et 2 de chez Urban sans rien lire d'autre? 2) je peux lire les batman spéciaux 2-3-4 de chez urban à la suite de manière indépendante du reste? 3) quid du batman spécial 5? merci pour votre aide
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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1) Non pour le 1, oui pour le 2.
2) Alors ça s'inscrit dans le run de Morrison, tu perdrais à la lecture indépendante, mais de mon point de vue, ça reste compréhensible. A toi de voir. 3) C'est le Spécial Villains Month c'est ça ? Perso j'ai pas pris. |
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Merci Kani.
En gros, les événements de Batman saga HS 1 et les showcase se déroulent avant renaissance. Le Batman saga HS 5 reprend le vilain month, il est donc par définition très dispensable... Les Batman saga HS 2-3-4 reprennent l'intégralité de la série Batman incorporated par Morrison donc tout a fait lisible mais elle est rééditée dans un Grant Morisson présente Batman je suppose... C'est bien ça?
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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oui
Et puis non, Batman Incorporated est difficile à lire si tu n'as pas tout suivi , car il finit sur tout ce que morrison a développé depuis son premier épisode. Après, tu peux quand même le lire, mais y'aura des trucs "bizarres" |
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En effet, j'avais lu le batman saga HS 2 à l'époque et je n'avais pas tout compris...
Ces Batman sont repris dans un tome GM présente Batman ? Le 8 je suppose?
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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Oui. Ils sont tous dans le 8.
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Lu DD end of days tome 1 et 2.
Très bonne lecture: Cohérence graphique. Scénario solide. Trad de qualité. Format plaisant. Pour ceux qui aiment DD, cette histoire est vraiment à lire. Même s'il vaut mieux avoir quelques connaissances de l'histoire du perso...
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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The Establishment, série en 13 numéros de Edginton et Adlard. Il s'agit d'une équipe britannique réminiscente de l'Authority et inspirée de série TV britanniques : le leader, Jon Drake, est inspiré de Destination Danger (et par extension, selon certain, du Prisonnier), un couple un peu sado-maso ressemble à Emma Peel et John Steed, un trio de survivant d'un crash dans l’Himalaya partage les origine des Champions, etc.
Les aventures sont assez caractéristiques de Wildstorm à l'époque et donc bien barrées : des Démonites, un groupe de tumeurs intelligentes, des vénusiens ayant pris la forme d'une équipe de cosmonautes perdue depuis des décennies, des zombies qu'ils combattent à l'aide d'une nonne armée d'un automatique, et un duo de voyageurs temporels. Deux éléments qui élèvent ce titre au dessus d'un simple clone d'Authority : tout d'abord, plusieurs numéros s'attachent aux protagonistes et s'intéressent à leurs origines, tour à tour tragiques ou humoristiques (j'aime bien celle qui, en une case, montre deux des héros fuir une tribu de pygmées dans les égouts de Londres, dont l'un, un ex-flic macho, chauve et bedonnant, est habillé en vahiné, sans explication). Ces mêmes scènes payent plus tard lorsque l'approche d'un embryon de démon-dieu (j'adore cette série) amplifie leurs doutes et insécurités. Le second point qui m'a intéressé est le lien de cette série avec un numéro de Wildstorm spotlight scénarisé par Alan Moore, où l'univers Wildstorm du futur, dévoré par l'entropie, n'est plus habité que par Majestic, le Superman local, et Spartan, un androïde qui a ici évolué au point de devenir omnipotent. Ils finissent par fusionner en prononçant une dernière/première phrase, "que la lumière soit", et recréent l'univers. Il s'avère dans cette série que les voyageurs temporels susmentionnés ont assisté à cet évènement et tentent d'en affecter le déroulement pour remodeler l'univers à leur image, et la fin de l'univers diverge effectivement du récit de Wildstorm Spotlight #1. Cela implique à un niveau méta que l'univers Wildstorm est dans une boucle temporelle instable et condamné à être rebooté après avoir été détruit par l'entropie, ce qui arrive plus ou moins à nouveau dans Captain Atom: Armageddon, voir Worldstorm. En tout cas, la fin de cette série justifie le côté violent des séries de l'époque : Dernière modification par JB ; 16/08/2014 à 17h20. |
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Solar : Man of the atom #1 à #4
J'ai enfin lu le premier arc (#1 à #4) de Frank J. Barbiere sur SOLAR : MAN OF THE ATOM.
Troisième titre de la gamme Gold Key de Dynamite, Frank J. Barbiere pose un récit entre le classicisme et la modernité. Par rapport aux autres titres de la gamme, le scénariste joue la carte de la continuité en nous proposant de reprendre le héros de la série Valiant, Phil Seleski. De même, les jumeaux Seleski, Frank et Helena, sont issu de la série Acclaim. A travers eux on voit bien ce qui intéresse le scénariste. Il construit une histoire autour des liens familiaux et du thème de l'héritage. Il bouscule à cette occasion les poncifs du genre en transformant le passage de témoin à l'enfant dont on s'attend le moins, c'est à dire Helena. On a donc désormais une véritable WOMAN OF THE ATOM. C'est pourtant ce contraste trop bien équilibré entre passé et futur du personnage qui fait que le récit a quand même un peu de mal à décoller. Le côté classique empêche l'histoire de prendre son envol mais pose par contre des bases solides pour la suite. De plus le scénariste prend le temps qu'il faut pour bien nous présenter la famille Seleski et en quatre numéro les protagonistes sont réussis (l'ambiguïté et le poids de chef de famille responsable de Frank, les rapports frère-soeur, mais aussi Frank-Phil et Helena-Phil). Helena est parfois à la limite de la caricature en étant trop impulsive mais cela permet aussi à Barbiere de rapidement camper le personnage. Côté action il faut 4 épisodes pour se débarrasser d'une menace. C'est peu et assez à la fois. Mais la fin du dernier numéro montre bien que l'on est parti pour des aventures à rebondissements, ce qui en fait un bon point. Pour les pouvoirs de Solar on peut voir cela comme un l'homme molecule (Marvel) mais toujours à base d'équations mathématiques. C'est toujours compliqué de vulgariser la science. Visuellement c'est là encore à mi-chemin entre esbroufe et parti pris intéressant. Parfois les dessins suffisent avec l'incrustation de différentes formules, parfois on est frustré car on aurait envie de mieux comprendre le procédé en jeu. Graphiquement le titre a été confié pour le premier arc à Joe Bennett. Son style a encore évolué et il est à mi-chemin entre du Brian Hitch et des hommages à Kirby. On croit parfois déceler du BWS (là encore dans l'hommage). C'est du bon travail, très propre et solide. Mais il fait affaire à plusieurs encreurs et à l'aide d'autres dessinateurs (surtout dans le #3 avec Jonathan Lau qui desinera seul le #5). Conclusion : un titre qui part bien. Le scénariste c'est attaché en premier lieu à donner des bases solides à son récit, qui ne complique pas à outrance. On prend facilement le train en marche et le deuxième arc risque d'être passionnant maintenant que l'on a compris où veut en venir Barbiere. |
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J'attaque la mini-série de Peter David Time and Tide sur Aquaman. ça pique un peu les yeux, mais y'a pas mal d'humour à la limite du grotesque (les requins complètement cons qui se font insulter par Curry...). Pour l'instant j'aime beaucoup, ça se lit très bien.
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J'ai lu le Guardian of the Galaxy : War Of Kings.
War of Kings était un event que j'avais bien aimé, un rien bourrin, mais avec des persos que j'aime beaucoup dans une guerre d'ego et de pur suprématie. Le tie in des GoG se fout un peu de qui à tort et qui à raison dans le conflit, ces derniers voulant surtout limiter les dégats collatéraux genre la destruction de l'univers. On part dans des délires de voyage dans le temps comme développé dans les chapitres précédent, l'équipe défonce tjs autant (j'aurais aimé avoir Major Victory et Mantis dans la team), Kang fait une apparition, Cosmo est le meilleur ami de l'homme, bref ça tue, et il y a des choses qui se passe qui font vraiment avancer l'histoire. Vraiment du très bon comics galactique. Je sais plus qui dessine, mais ils assurent |
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Lu les quatre premiers masterworks sur Spiderman. Quel régal !
Passionnantes sont ces histoires narrant les débuts de Peter et de Spidey. Je ne pensais pas retrouver la plupart des grands vilains dès ces premiers épisodes. On rentre directement dans la vie (mouvementée) de Peter, entouré de personnages aux rôles déjà établis. J'y ai également découvert Betty Brant, première relation compliquée de Peter. Ce coté soap, un peu répétitif, peut paraître un peu trop long, surtout quand on le lit en recueil, mais n'empêche pas d'apprécier pleinement ces numéros. Edit: Betty Brant, pas Grant... Dernière modification par Al Pennyworth ; 21/08/2014 à 14h08. |
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Pour ma part, sinon, j'ai attaqué les Masterworks 2 et 3 de Hulk qui contiennent les Tales to Astonsih 59 à 100. C'est du bon oldie comme je l'aime! |
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J'ai commencé le premier SHOWCASE de SUPERMAN (personnage dont je n'ai lu aucune histoire jusqu'à présent), le seul truc qui me vient à l'esprit c'est : WTF.
Je m'attendais à des combats épiques, au final j'ai droit à Batman qui fait des blagues carambar à Superman... Bon c'est rigolo, mais ça fait bizarre. |
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