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Je ne pense pas que Lost fasse partie des séries que je rematerais un jour.
Parce que j'ai l'impression, c'était le coté feuilletonnant et la découverte du background des personnages qui faisaient tout son charme. Et finalement, pas mal de choses étaient bien bancals
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Mes critiques à moi Mon blog où je partage mes coups de cœur divers et variés https://cultureetgeekitude.wordpress.com/ |
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Au fait, ça finit comment?
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Spoiler Lost
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Maaaiiis c'est la solution de facilité ! !
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Et rien ne t'oblige à mater les 6 saisons en 1 WE.
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mes ventes comics et TPBs |
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Bon, j'essaie alors, i'll tell you.
Thanks guys!
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
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Ca m' a toujours surpris que des lecteurs comics n' aiment pas Lost, parceque c' est exactement les mêmes structures narratives. Des personnages, des subplots croisés pour bien étaler sur une saison, des révélations surprenantes, des morts qui ressucitent, des flash-backs, des communautés avec changements de camps et des scénaristes qui changent -je crois- tous les ans. Je pensais même naïvement que ça avait plutôt contribué les spectateurs/lecteurs à s' interroger sur la notion d' intrigue (qui n' est pour moi qu' un artifice mécanique pour mettre en valeur des personnages et donner l' illusion de les faire exister) et à se demander pourquoi on regarde une série. Et à en finir une fois pour toutes avec les notions de crédibilité/continuité. |
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Je pensais faire aussi une allusion avec les comics de super-héros.
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mes ventes comics et TPBs |
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Mais si je revois la série intégralement, peut-être que je serai plus indulgent parce que j'en attendrai moins. Lost s'appuyait quand même beaucoup sur ce buzz permanent, et je crois que, du coup, il était impossible de ne pas être déçu (sauf si on était vraiment mordu). Un peu comme X-Files, où sur la fin, c'est parti en sucette (en fait, avec le départ de Duchovny/Mulder). C'est le souci avec les productions d'Abrams : il promet énormément, pose beaucoup (trop) d'éléments, mais ça tient rarement sur la durée. Récemment, sur NT1, un de ses derniers trucs, Alcatraz était passé : 13 épisodes (la série a été annulée), tout un arrière-plan conspirationniste, un mélange de fantastique et d'histoires fondés sur les personnages, mais qui n'était qu'un recyclage de ce qu'il a déjà fait.
D'ailleurs Lost était une série passionnante en ce qui concerne son écriture, elle a sans doute fait partie des séries importantes pour ce qu'elle a amené sur ce point (comme Urgences, ou Friends, par exemple). Le souci, c'est que les auteurs de Lost ont avancé beaucoup de pions sans que ça aboutisse toujours à un résultat satisfaisant : c'est étrange car le projet au départ était d'une richesse incroyable, mais c'était peut-être justement trop riche. Comme Christophe Gans l'avait expliqué dans un article sur ses films et cinéastes préférés, il y a deux catégories : les histoires pour les gourmets et les histoires pour les gourmands. Lost, c'est pour les gourmands, c'est comme un buffet très garni, où il y a trop de choses à manger, et ça te frustre (ou ça te reste sur l'estomac). La série, telle que je me la rappelle dans son ensemble, était à la fois indigeste et en même temps ne m'avait pas rassassié. Quand ça s'est terminé, c'était vraiment "tout ça... Pour ça ?!" |
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Jeudi, j'ai revu Juno de Jason Reitman (sur F4). C'est un film qui possède une vraie grâce, en grande partie parce que le réalisateur a trouvé l'actrice idéale pour le rôle, Ellen Page. C'est impossible de lui résister, avec son petit air à la fois buté et fragile, elle a une justesse, une énergie qui illumine le film. Le sujet est casse-gueule mais très bien écrit, très bien filmé, toujours à la bonne distance. |
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Hier soir, Iron Man 2 sur TF1 (avant le 1 la semaine prochaine sur M6). C'est dommage, ça partait bien... Le film n'est pas mauvais en fait, c'est plutôt qu'il se disperse, il s'égare progressivement. Trop de méchants et mal exploités, inégalement joués (Mickey Rourke fait peur mais pas pour de bonnes raisons, Sam Rockwell fait pitié dans le genre "je cabotine plus mais pas mieux que Downey Jr). Trop de Iron Men tue le Iron Man. Que reste-t-il ? Robert Downey Jr (LA meilleure idée de casting de tous les temps pour un film de sup'héros ?), impérial, qui s'amuse et nous amuse tout en étant crédible dans le rôle. Gwyneth qui est aussi l'autre révélation des films, qui s'est bonifiée avec l'âge (plus élégante, plus séduisante, plus subtile). Don Cheadle, mouais... Bof. Scarlett... C'est moi ou elle était un peu plus affutée dans ce IM 2 que dans Avengers ? Bon, elle n'a pas grand'chose à faire, encore moins à jouer, et quand la Veuve se bat, c'est rigolo parce qu'on voit comme le nez au milieu de la figure que c'est pas elle qui fait les cascades (mais bon, quand c'est aussi visible, c'est rigolo et gênant). Bon, après, on voit mal comment le 3 pourrait être plus bancal. Le pire, c'est qu'on ne s'ennuie pas, mais on passe quand même une partie du film à penser à ce qui ne marche pas. |
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Perso, je l'ai trouvé bien meilleur qu'au ciné... alors justement, je pense que ce que l'on appelle "dispersion du scénario" est en fait loin d'un scénar bêtement linéaire comme dans le premier... et Scarlett est tout à fait correcte dans les scènes de comédie . Bref, un vrai-faux blockbuster, et avec plus d'humour que dans le premier.
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C'est surtout qu'honnêtement, on s'en branle de Whiplash.
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Oui, le Whiplash du comic c'est sur, mais la backstory et le contexte crees pour le perso et l'utilisation qu'ils en font pour amener les evenements de la fin du film, c'est quand meme plutot bien vu. A la limite on s'en fout que ce soit Whiplash comme point central.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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D'ailleurs, le Mandarin, je m'en suis toujours foutu.
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séries tv |
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