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D'accord avec Conspi et Doop, je m'attendais à un truc génial avec Mad Monk, et là, plouf, comme un gros soufflé qui retombe.
Honnêtement, l'histoire est franchement pas très prenante, contrairement aux Monster Men que j'avais trouvé intéressants. Par contre le Batman de Winnick m'a vraiment bien plu lui. |
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Dites donc Doop et Conspi, vu que vous êtes génétiquement compatibles (d'après vos avatars), vous pourriez nous faires des petits
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Comment dire....
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sinon, j'ai pas trouvé ça mauvais, j'ai même trouvé la lecture agréable, mais décevante si on considère l'équipe d'artistes dessus. Jr Jr + gaiman, j'attendais ça avec curiosité et gourmandise. je suis resté sur ma faim... Surtout que ça démarre super-fort, tant niveau scénar que dessins ! mais ce 2nd volume ne tient pas les promesses faîtes par le 1er, je trouve... Remarque, je dis pas que j'aurai fait mieux ! déjà, passer après le père kirby, fallait oser, et je salue l'audace ! alors si je devais noter, je dirai : B+, voire A-. |
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Je suis le seul a trouver que Gaiman chez Marvel c'est un peu a la limitee du totalement ininteressant?
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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(ça compte pour 3, non ?) comme Milligan à part ses 1er X-force. |
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au fond, je suis très classique : je connais bien bendis, millar, morrison, johns, toute cette génération-là, mais gaiman, je manque encore de repères. mon gos problème, c'est que j'ai arrêté les comics qd des claremont-byrne-miller régnaient, après je suis revenu avec moore, puis nouveau jump pour atterrir au milieu des meltzer et ceux que j'ai cités précédemment. j'essaie de rattraper mon retard mais c'est pas facile côté pesos et repères. En plus je suis aussi curieux que versatile, donc j'avance sans direction prècise, en sautant d'alan davis à brubaker... donc, bon, bref, gaiman, j'ai des cours du soir à prendre ! |
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Sans compter que je vis avec Red Sonja, ce qui risque de rendre la relation avec mister Doop difficile ^__^ |
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ça n'a rien à voir, mais à la même époque, j'ai lu "FF : la fin" par alan davis, et j'avais justement été bluffé par le souffle, la puissance, le dynamisme du scénar et des dessins : un vrai tour de force. bon en même tps, avec davis, j'ai jamais été déçu et je me faisais pas de bile en ouvrant le bouquin, et en le fermant, j'étais scotché par le résultat. tout ça pour dire qu'en comparant le plaisir pris sur le davis et celui sur le gaiman-romita, ce dernier fut une désillusion. à la rigueur, peu importe que le t.1 soit meilleur ou moins bon : avec l'affiche qu'il proposait, ce dyptique des Eternels était conçu pour tout exploser ! |
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C'est marrant, moi c'était tout le contraire.
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tout le contraire de quoi ? t'as préféré le t. 1 des Eternels au 2, ou les Eternels à FF : la fin de davis ?
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Les eternels loin loin devant le FF de DAVIS !
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non ?! sérieux ?
encore un coup du sorcier et des terrifics ! |
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La collection Fusion des éditions Soleil propose décidément de fort belles choses ! Issues de l’éditeur américano-indien Virgin comics, Voodoo Child et Snake Woman sont de belles réussites. Voodoo Child a été pitché par le célèbre acteur Nicolas Cage (Volte face) et son fils Weston. Il raconte comment un garçon métisse (fils d’un propriétaire terrien et d’une ancienne esclave noir), tué par un groupe d’esclavagistes racistes à la fin de la guerre civile américaine poursuit son meurtrier à travers les âges. Aujourd’hui, on le retrouve à la Nouvelle Orléans après le passage de Katrina alors que des jeunes filles noires disparaissent. Certes, le dessin de Dean Ruben Hyrapiet manque encore de consistance (on sent une belle influence de Brian Hitch mais des maladresses de débutant), certes le scénario de Mike Carey (X-Men) ne remporte pas la palme de l’originalité, mais le récit est très bien mené avec des situations intéressantes. Meilleur encore est Snake Woman. On retrouve un projet supervisé par le cinéaste Shekhar Kapur (Elizabeth) et scénarisé par Zeb Wells (Spider-Man) et dessiné par le décidément très bon Michael Gaydos (il a notamment peint une très belle histoire sur Morbius le vampire dont je parlais ici). Ici, on retrouve Jessica (amusant : elle a la même tête ou presque et le même prénom que l’héroïne du comics Alias que Gaydos dessina), une serveuse un peu coincée. Elle s’installe dans l’appartement d’une copine qui est du genre à foncer avec les hommes. Jessica rencontrant un séduisant homme d’affaire dans son restaurant, elle décide de sauter le pas, mais l’homme veut la tuer : c’est que Jessica serait la réincarnation de la déesse Serpent !... Cette histoire m’a passionné : le refus de proposer une vision manichéiste des choses, l’idée que les forces en place respectent toutes les règles des castes, le mystère concernant les buts des acteurs occultes… tout ça m’a donné envie de lire la suite. Pourtant, en elle-même, l’histoire n’avance pas vraiment. Il faut dire que malgré la rigidité du trait de Gaydos et le manque d’expressions faciales de ses personnages, ce dessinateur sait donner vie à des scènes très réalistes, ce qui accroit l’empathie ressenti pour les personnages. J’ai aussi terminé l’Intégrale de l’année 1981 des X-Men : les épisodes sont passionnants et parmi les meilleurs que j’ai lu jusque là. Kitty tient la vedette et je comprends mieux pourquoi elle reste aussi populaire aujourd’hui. Le récit avec Magnéto qui lance sa menace à la face des dirigeants du monde est génial et le terrible combat contre le Club des damnés, palpitant. Aux dessins, Dave Cockrum continue de faire des merveilles et quand Bret Anderson prend le crayon, le résultat est encore plus remarquable ! Indispensable. Enfin, j’ai apprécié la mini série Trail of tears : elle met en scène un Ghost Rider à la fin de la guerre civile américaine (décidemment…) poursuivant un groupe du KKK. Garth Ennis (The Pro) signe de nouveau un bon scénario ne reposant pas seulement sur des injures mais proposant une histoire d’amitié entre un soldat du sud et un ancien esclave. Il prend d’ailleurs son temps pour bien mettre en place leur relation, ce qui rend la course poursuite des numéros suivants d’autant plus intéressante. Car deux conceptions du monde s’affrontent pendant un temps (vengeance pour Ghost, justice pour le soldat) avant que la conclusion, cynique et violente, vienne mettre les compteurs à zéro… aux dessins, Clayton Crain (X-Force) livre des planches intéressantes avec son style si particulier travaillé sur ordinateur…. Par contre, la VO est dure à suivre à cause de l’argot utilisé. Pour ma part, on m’a prêté ces numéros et j’attends l’arrivée prochaine de l’album en Français chez Panini (en espérant qu’un traducteur compétent s’en occupe…). |
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