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Magik #1
Scénario : Ashley Allen Dessin, encrage : Germán Peralta Couleurs : Arthur Hesli Lettrage : Ariana Maher C’est la première fois depuis une éternité que j’achète un single en format physique. Je m’attendais à une merde toute molle bourrée de pubs, mais la qualité a pas mal augmenté en même temps que le prix. Pour sa première série solo depuis une trentaine d’années, Illyana se retrouve dans une histoire on ne peut plus cliché. Des mutants sont kidnappés pour être sacrifiés afin de détruire des sceaux qui maintiennent un terrible démon emprisonné. Ce sera sans doute un prétexte pour que Magik cavale aux quatre coins du monde et elle échouera sans doute à protéger les sceaux (sinon c’est pas marrant). L’intérêt de la série réside plus dans l’exploration du personnage. On découvre les craintes d’Illyana, qui est retombée dans ses travers : dépréciation et peur de perdre le contrôle de sa partie sombre, la Darkchylde, qui ne cesse de la harceler. La scénariste raconte bien ce qu’elle traverse et donne une explication bienvenue à son comportement bourrin. Ici, on voit la vulnérabilité et les doutes derrière la Magik bravache.
D'ailleurs, malgré tout ce que j'ai à reprocher à Bendis, je lui suis reconnaissant d'avoir rapproché Illyana du Dr Strange, ce qui lui a permis de se faire une place de ce côté des comics Marvel, avec plus tard un rôle dans Strange Academy. Niveau action, c’est du tout bon. Des combats contre des démons et contre un nouvel ennemi au look très réussi. Les différents pouvoirs d’Illyana sont bien exploités dans des scènes dynamiques. ![]() Un truc qui m’embête : l’auteur aurait pu mieux justifier l’absence des X-Men pour aider Magik. Des mutant se font kidnapper, ça passe aux infos et Scott a l’air de s’en battre les couilles ou de penser qu’Illyana peut gérer ça toute seule. Spoiler : non. Autre chose : les X-Men fêtent l’anniversaire d’Illyana et Glob n’est même pas là avec un gâteau fait maison ? Sacrilège ! ![]() Les dessins de Peralta sont très bons et les couleurs de Hesli servent parfaitement l’ambiance sombre et horrifique de la série. Le character design du vilain signé Peach Momoko est plutôt réussi aussi, le rendant inquiétant et charismatique. Dernière modification par mugiwaraya ; 24/01/2025 à 23h42. |
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Super critique !
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Pourquoi elle et Juggernaut sont en costumes alors que les autres semblent faire relâche ?
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Je pense que Illyana ne vit qu'en costume et Caen le porte souvent pour garder ses pouvoirs.
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Merci! ![]() Ah, d'accord. Je me posais aussi la question pour Cain. |
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Resurgence of the Valiant Universe: Finale #1
Bon, comme souvent dans ces grands crossovers qui réunissent tous les personnages d'un éditeur, et encore plus quand ça incarne une sorte de transition d'une époque (la période 2012-2025 dite Dinesh, du nom du Big Boss qui a relancé l'univers à zéro avec talent) vers une autre (Valiant Beyond et sa ligne Absolute/Ultimate), le final n'est pas à la hauteur des attentes. C'est dommage, mais je m'y attendais, et j'ai quand même été pris et surpris à des moments. Fred Van Lente achève la saga en commençant par montrer Master Darque qui sacrifie plusieurs fois Punk Mambo pour récupérer sa puissance, elle qui est toujours ramenée par la machine de Dr Silk qui crée l'immortalité. Un portail apparaît, Master Darque pense que c'est le Loa principal qui vient le voit mais c'est sa sœur Sandria et Shadowman, alliés dans la mini-série connexe. Apeuré, Master Darque s'enfuie ailleurs et le trio improvisé court à sa poursuite dans le Deadside, le Monde des Morts. Master Darque veut rejoindre Silk et arrive dans la dimension Faraway, où Silk veut voler l'énergie pour alimenter sa machine et où les pros et antis Silk s'affrontent violemment. Roku perd ses cheveux mouvants face a une Psi-Lord, Darque corrompt l'armure de X-O Manowar qui fait du mal aux Psi-Lords, alors que Ivar Anni-Padda, le voyageur temporel, confronte Silk et ses clones avec Flamingo. Silk lui révèle être son fils (!) né d'une passade fin XIXe siècle, et Silk veut contrôler le pouvoir de Faraway car son père n'a pas réussi jadis. Silk enferme Flamingo (qu'il avait fait ressusciter) dans une machine pour qu'elle canalise l'énergie de Faraway et la transfère à ses machines d'immortalité sur Terre. Chris, le gamin sur lequel il fonde de grands espoirs sur Terre, hésite à tuer sa mère comme un clone de Silk le demande, alors que Ivar tente de raisonner Silk. Mais Ninjak arrive et tue tous les Silks, car Ivar est trop "gris" pour voir le danger de Silk. Tandis que Shadowman croise le Shadowman des jeux-vidéos dans le Deadside, car les troubles causés par Silk et Darque perturbent les dimensions, Ivar libère Savage enfermé par Silk, et Ninjak sauve Livewire que Faith portait mais qu'elle a dû lâcher après une attaque de Eidolon. La jeune Tama rejette Eternal Warrior et "retire" même son immortalité en lui enlevant son rôle de projecteur, tandis que Vexana Anni-Padda s'en prend à la fusion de Bloodshot et Rai, et pousse la créature à se détruire. Livewire communique avec le jeune Chris sur Terre et lui dit d'appuyer sur un bouton destructeur de son côté, mais Silk lui tire dessus. Sa mère empoisonne Silk, Chris appuie alors que Faith envoie violemment Eidolon sur la machine qui retient Flamingo, et la libère. Le vol d'énergie de Faraway cesse, alors qu'il était annoncé que la poursuite du projet de Silk allait provoquer une guerre cosmique (car sa science volait l'énergie d'autres mondes, comme vu par X-O Manowar), et Chris détruit la machine... mais meurt au passage. Un Psi-Lord libère Rai et Bloodshot qui s'allient contre Vexana et pour protéger la Terre, ils la bloquent dans Faraway qui se replie sur lui-même. Tama y reste car elle a vu qu'elle y vivra vieille, et Master Darque s'enfuie par un portail vers le Deadside. Les autres le suivent, Armstrong le bloque en voulant se sacrifier. Les au revoirs à Archer et sa femme sont rapides et touchants, Faith évacue les gens mais revient en arrière pour Armstrong car "plus personne ne doit mourir". Son passage lui montre des fractures entre dimensions (avec visions du Valiant des 90s et de Valiant Beyond), et elle semble revenir finalement seule... et zombie, qui mord Woody et paraît tuée par Quantum ! Les autres voient Sandria et Shadowman qui expliquent que Master Darque a une telle puissance qu'il a changé la Terre en "Undeadside" avec plein de héros morts zombifiés à affronter... alors que, ailleurs, Silk émerge du corps de son clone, salue la tombe de Chris et poursuit ses oeuvres ! Waouh, c'est dense, quand même. Fred Van Lente parvient à tout finaliser et à bien gérer l'ensemble, malgré quelques personnages laissés de côté (Quantum et Woody, Archer et Madame et Armstrong malgré le sacrifice final) et de l'absence (Divinity, vraiment dommage de le faire chercher pour ne jamais le voir). Tout n'est ainsi pas parfait, le cassage de machine et bouton qui règlent tout, c'est facile mais le dynamisme est présent et rend le tout prenant. La révélation sur Silk et Ivar est bien fichue, l'intervention de Ninjak est rude, le "level-up" de Faith est intense, et le final est surprenant pour ouvrir vers le FCBD puis l'événement Valiant Zombies : Resurrection qui m'intéresse. J'apprécie que le scénario s'occupe de tout Valiant, j'aime la gestion des dimensions et l'apparition du Shadowman des jeux vidéos, et je trouve l'ensemble ultra nerveux et prenant, avec cette émotion forte pour la mort de Chris. Dommage que les ressorts soient faciles, avec un Darque surpuissant sur Terre mais effrayé par sa sœur et Shadowman puis maltraité par Aric et un Psi-Lord avant de transformer la Terre. Ça manque aussi d'éléments sur le Multivers, même si ça reste lisible en soi. Graphiquement, Julio Azamor finalise le destin de Chris dans son style irréel et troublant, alors que Diego Gribaldi et Thomas Aira livrent des planches jolies, dynamiques avec des traits ronds et agréables pour l'élément principal. C'est réussi. Un final imparfait, ce qui est presque prévisible, mais qui finalise bien la saga en donnant une existence à Valiant Beyond sans détruire les versions créées en 2012, même si elles vont prendre cher. Le Crisis de Valiant était finalement plus un Civil War avec un soupçon du one-shot DC All In avec ouverture sur Absolute, ça me va, j'ai aimé lire et suivre tout ça, et je serais de la suite ! |
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Green Lantern #19
Un épisode solide, qui organise et fait avancer les choses. Jeremy Adams poursuit l'établissement du nouveau statu-quo, avec Carol membre de la JL Unlimited, un peu fébrile en intervention mais aidée par un Hal fort amoureux. Ils font le point, elle refuse d'aller enquêter avec lui sur les événements troubles du Spectre Emotionnel pour s'entraîner sur Terre. Kyle Rayner empêche la mystérieuse Odyssey The Time Bandit de récupérer un anneau de Légion qui lui appartiendrait mais gardé sur Oa, et il l'intègre dans la mission menée par Hal pour enquêter sur l'explosion du Mur de la Source. Ils recrutent un Conner Kent fort sexy après une baignade, et ils filent dans l'Espace avec un Hal taquin et presque responsable. Jordan sort du vaisseau pour enquêter sur une planète pleine de massacre, et croise un habitant enragé par un anneau Red Lantern... alors que, ailleurs, l'ex de Carol et Sorrow Lantern est soumis à Starbreaker, qui a lu le Book of Oa et veut en profiter. Il créé un portail pour faire venir... le Starbreaker Corps ! C'est solide, oui. Jeremy Adams gère bien les conséquences et pose les choses, sans briller mais avec efficacité. J'apprécie la relation Hal / Carol, j'apprécie l'écriture de Carol, et je suis content de revoir Conner et Kyle. J'attends d'en voir plus sur Starbreaker, car je ne suis pas passionné par un nouveau Corps, mais ça demeure prenant et intéressant, avec des dessins un peu figés mais fort agréables et réussis de Fernando Pasasin et Oclair Albert. Un bon épisode, d'une vraie bonne série. |
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J ai pris le X-Men 10 sur un coup de tête ...
Le retour du grand cyclope...un dialogue vraiment cool avec le représentant du One.. ou Cyclope explique a cet homme ce qu il en coûte de menacer les X-Men. Ma menace préférée : Si vous me tuez ma femme reviendra sur terre.. elle sera en deuil .. en colère.. je ne sais pas si la terre survivra au phoenix. Un cyclope ultra badass... Des persos que j avais pas vu depuis des années .... Des bonnes scènes ... Un bon épisode des X-Men quoi !!
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Top, je le lis aujourd'hui.
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#100
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Moon Knight: Fist of Khonshu #4
Une belle reprise du dialogue entre personnalités, et un retour au brutal avec des dessins fort intéressants. Jed MacKay surfe en effet sur les troubles qu'il donne à Moon Knight dans ce nouveau volume (nouvelle drogue terrible, le trafiquant Fairchild qui gère ça avec un réseau de corrompus, des sbires surhumains qui "tuent" la Midnight Mission, des flics ripoux qui poursuivent MK et ses proches), avec Marc réfugié dans une base de super-vilain sous terre et qui dialogue avec Jake et Steven. Ceux-ci tentent de le détourner de sa volonté de tout faire seul, pour que plus personne ne souffre, mais plusieurs Vermines attaquent. MK les tabasse, s'acharne seul malgré le danger, puis vient menacer un flic qui a mené l'action de police et a interrogé sèchement sa psy. Ce flic est drogué et à la solde de Fairchild, et MK appelle ce dernier pour le confronter et lui proposer... un duel juste entre eux deux, pour voir qui remportera quel territoire ! C'est bien. Jed MacKay retrouve avec brio les échanges Marc / Jake / Steven, et tient bien les différentes personnalités de MK. L'acharnement de Marc à tout gérer seul est cohérent et presque touchant, alors que sa solution face à Fairchild a du sens dans son approche. Surtout, Devmalya Pramanik prend les dessins et livre des planches superbes, avec une ambiance moins forte qu'avec Alessandro Cappuccio mais avec des découpages magnifiques et puissants. Top. Du bon, du beau et toujours beaucoup de plaisir à suivre. |
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Ultimate X-Men #11
Quelques avancées mais toujours une super ambiance. Nico et son amie Mori enquêtent pour retrouver Natsu, en fuite depuis qu'elle a tué sa mère par accident. Hisako et Mei font le point, Mei évoque des rencontres avec des jeunes de Children of the Atom, ce qui inquiète son amie. Plus tard, Armor est sollicitée par Kannon, qui l'interroge sèchement. Elles se battent, et Kannon perce l'armure d'Hisako, ce qui tend la situation. Mei rencontre les jeunes Mutants masquée, refuse d'être leur leader mais veut aider, alors qu'on entend une nouvelle sur un casse de Black Cat et surtout on voit Storm à la TV. Mei décide de s'inspirer d'elle pour son nom, mais Shadow King suit de loin et vient voir le groupe en passant par l'écran. L'échange entre Mei et lui est tendu et risque d'exploser, alors qu'une journaliste suit ça depuis l'extérieur... C'est bien, oui ; lent mais bien. Peach Momoko repose un peu son intrigue après plusieurs accélérations, et lie doucement ses personnages. Kannon et Armor ont une rencontre explosive mais qui aboutira sur un lien, Mei confronte Shadow King et choisit son pseudo au passage... ça avance donc, avec toujours cette ambiance étrange, troublante, angoissante qui fonctionne bien. Les dessins sont fort adaptés et poétiques. Si étrange, si prenant toujours. |
#102
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Superman: Lex Luthor Special #1
Un peu rapide, un peu dommage de rechanger Lex aussi vite, mais sympathique. Joshua Williamson utilise ce numéro spécial pour ramener "le vrai Lex", après la saga Brainiac de Phillip Kennedy Johnson où Luthor a perdu la mémoire et toute personnalité oppressante. On le retrouve à traîner dans le parc avec Mercy Graves, et donc à flirter, après un essai échoué avec Lena pour retrouver des souvenirs en essayant de jouer du piano. Des flashbacks montrent le jeune Lex formé et révélé être brillant par sa mère, avec la présence oppressante d'un Lionel violent, alcoolique et brutal, qui rejette les réussites de son fils. On le voit ainsi considérer Lex comme un "monstre" car il a créé un projecteur de musique vers l'Espace tout jeune, à Smallville, qu'il déclenche en secret et qui, inconsciemment, apaise les pleurs de Clark bébé. Au présent, Superman est interpellé par Mr Terrific qui a "besoin" du génie de Lex, prompt à plonger dans les idées obscures, afin d'étudier le nouveau monde créé par la mort de Darkseid. Superman vient demander au nouveau Lex de l'aide, apaise une foule qui le rejette dans le parc, mais ce Luthor refuse malgré les engagements de Clark, disant que "le vrai Lex" voulait changer (voir l'alliance depuis le début de la série actuelle) et que le monde pouvait bénéficier de son aide. Finalement, Lex réfléchit seul, replonge dans ses souvenirs et cède... en retrouvant son don au piano (et la musique que Clark & Lois entendent seuls), et transmet des idées à Mr Terrific. Les souvenirs sont revenus... et quoi d'autre ? C'est bien fait, mais... mais dommage. Dommage, oui, car j'aimais bien ce Lex "tout gentil", tout paumé, tout perdu qui flirtait avec Mercy. J'aimais aussi sa naïveté et sa douceur, et je crains (légitimement vu les previews) un retour du Evil Lex, loin finalement du Lex en rédemption de Williamson. C'est aussi dommage de passer par cet épisode, solide en soi mais pas brillant, qui passe par des moments bien réalisés mais sans brillance, sans grande inspiration. Je retiens le petit dialogue entre Lex et Superman, et le cliffhanger bien fait, mais ça reste peu. Heureusement, graphiquement, Eddy Barrows et Eber Ferreira livrent de très belles planches, très iconiques et agréables à l'oeil. Un numéro correct, qui achève rapidement un moment trop rapide, mais c'est vraiment bien dessiné. |
#103
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West Coast Avengers #3
Pas mal, mais pas emballant. Gerry Duggan révèle les dessous des deux Ultrons - le rouge qui est membre des WCA, le bleu qui se fait appeler The One et a des ailes, tout en transformant des humains malades en cyborgs. Ici, on apprend qu'après Rage of Ultron et la fusion Pym / Ultron, Ultron a découvert les sentiments humains et s'est divisé en plusieurs Ultrons, avec des "feux intérieurs" de couleurs différentes et des objectifs divers. Le rouge veut être héroïque, le bleu veut faire évoluer l'Humanité en fusion avec la robotique. Les WCA le confrontent au présent, ça se bagarre avec ses sbires transformés, et Blue Bolt tape fort, mais Firestar aussi, au point de brûler les agents ennemis. Ultron bleu / The One sonne la retraite dans leur tour technologique, punit l'un des siens qui a été trop violent en lui retirant ses ajouts cybernétiques, et file. Rhodey évacue la victime, Ultron rouge reste pour surveiller, Spider-Woman va en infiltration discrète, Blue Bolt est ramené en prison (sous la haine de ses camarades prisonniers) et Tony passe un savon à Firestar. Plus tard, Stark échange avec des Illuminati (Dr Strange, Blue Marvel, Mr Fantastic, Emma Frost) pour une solution globale, mais c'est un refus, et Tony va donc gérer physiquement la chose. Bon, ça se lit, mais sans passion. L'explication des divers Ultrons passe, je continue d'être perdu dans ce bordel des versions (Ultron / Victor Shade d'Avengers Inc., il vient où là-dedans ?), mais ça passe. J'aime bien finalement ce qu'on voit sur Blue Bolt, grande gueule insupportable mais qui "prend" en prison et tient bon pour la rédemption. Le travail sur Firestar passe aussi, je suis surpris des Illuminati et ça se lit sans difficulté, mais sans passion. Danny Kim s'améliore quelque peu, ça reste limité mais correct. Voilà, c'est bien ça : c'est correct, c'est lisible, il y a de bonnes choses, mais c'est sans passion et sans brillance. |
#104
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Sabretooth: The Dead Don't Talk #2
Bourrin, vaguement divertissant, mais un peu vain. Frank Tieri poursuit la plongée dans les souvenirs du vieux New York du début du XXe siècle. On découvre que, en parallèle des gangs classiques des Five Points, ce New York avait des gangs de "supers" : des masqués, le Frankengang, des magiciens, des super-scientifiques, etc. Tous sont cependant mis au pan par Mad Dog Murphy, alias Victor Creed, utilisé violemment mais efficacement par ce Fisk que tous surnomment le Jardinier, pour son goût pour les plantes. Ils sont attaqués par un homme reptilien, qu'ils battent, mais Fisk craint que les gangs s'allient... et c'est le cas, car ceux-ci engagent désormais Dragonfire, une guerrière de K'Un-Lun. Bon, c'est bourrin, hein. Frank Tieri étend clairement une intrigue qui n'a pas besoin d'autant de pages, et ça se sent. Ca reste néanmoins un peu divertissant, fort bourrin et réjouissant dans la violence, avec un Michael Sta. Maria correct sur les dessins et la brutalité. M'enfin. Sans grand intérêt, sans grand défaut, et bien bourrin. |
#105
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Il y avait tellement à explorer chez Luthor autour de la redomption, su remord , de l innée et de l acquis... Bref grosse déception dû à un tout ca pour ca |
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