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Justice League Odyssey #1
Un début pas très excitant, que ce lancement en retard du troisième titre Justice League. Certainement la série la plus "faible", par son équipe créative moins connue ou porteuse, par ses personnages moins forts que les autres, par son orientation plus floue, elle a souffert de ce décalage, et ce #1 n'est en outre pas une grande réussite. Ho, le script de Williamson se lit bien, et la réunion des quatre puis cinq membres du groupe se fait naturellement ; mais ce n'est absolument pas original. Passe encore l'assemblée composée par Starfire, Cyborg et Azrael qui se suivent car ils entendent "une voix", passe encore que la GL agoraphobe et remplie de psychoses soit seule pour surveiller et gérer un nouveau Secteur Spatial rempli de mystères et de monstres (non, en fait, c'est WTF), mais que Cyborg ne prenne pas la peine de contacter Jessica Cruz, ou que Darkseid débarque ainsi, c'est "trop facile". Williamson se perd donc dans ce manque d'originalité, cette facilité, et c'est bien dommage car les planches de Sejic sont magnifiques. Certaines sentent clairement le rush imposé pour tenir les nouveaux délais, mais je trouve ça très beau. A voir la suite, mais je doute que ce titre, si peu porteur, si peu inspiré aussi, et finalement si flou, dure longtemps. |
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Non mais.... 3 titres que je vais lire.. je vais arréter de te lire avant de commencer moi-même...
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- Skyward #6 : début du deuxième arc de la série.
Henderson explique dans la postface de ce n° pourquoi il a conclu son premier acte de cette manière, pour dynamiser son récit et responsabiliser son héroïne. Et il a eu raison : le lecteur aussi sort de sa zone de confort et continue de découvrir les surprises d'une Terre avec zéro gravité. Sans perdre de vue l'intrigue (Willa en cavale, Barrow à sa poursuite...). Garbett est toujours impeccable, et ce n'est pas un mince exploit puisqu'il a dessiné cet épisode en même temps que celui d'Immortal Hulk. A présent qu'il assume l'encrage, son style s'est vraiment libéré, et il peut s'appuyer au besoin sur l'excellent Antonio Fabela aux couleurs. Cette série est captivante, originale : une petite merveille. |
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Extermination #3
Ed Brisson livre un numéro qui correspond au milieu, au ventre mou de sa saga ; et ça se sent. Pas de grosse révélation, pas de grande avancée, pas de grand changement dans cet épisode. Juste une grande séance de combats, quelques confirmations (pourquoi Mimic a été enlevé, la résurrection de l'extrémisme de X-Force, le positionnement de Young Jean, la puissance de Ahab), des planches correctes et solides de Pepe Larraz, et un final qui mène à la réunion en deux endroits de la majorité des protagonistes. Qui, comble du "hasard", vont se concentrer sur les deux derniers All-New X-Men encore libres. Bref, rien d'original, mais rien de mauvais non plus. Ed Brisson utilise l'épisode pour solidifier la base de sa saga, et amener les personnages d'un point A au point B ; il le fait bien, sans brio, mais avec sérieux et application. Pepe Larraz s'en sortant très bien, Ed Brisson gérant très bien les dialogues et caractères de ses personnages (même s'il faudra expliquer la mainmise de Ahab sur certains), ça donne un numéro très correct - mais qui n'apporte pas grand-chose. On a avancé, d'accord, et ça a a tapé. Passons à la phase finale ! |
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Heroes in Crisis #1
Y'a pas à dire, c'est joli. Clay Mann a toujours un Mojo de ouf sur le dessin. La lecture est plaisante. par contre, vous qui souffrez du décompressé, passez votre chemin. On apprend peu de choses que le résumé ne nous a pas déjà appris. C'est vrai. Par contre, on peut dire que les personnages ont un "ton" propre à chacun. Pas forcément le ton "officiel" de ses persos, mais bon, c'était un peu le principe annoncé, j'ai envie de dire :on parle de traumas, tout ça, c'est censé vous changer des gens. Enfin, bon,savoir de quels traumas on parle ... C'est pas pour de suite. En fait, ce nouvel élément dans la continuité, ce Sanctuary ... n'est pas vraiment présenté. Alors, c'est sympa d'avoir quelques références à la continuité, mais c'est pas suffisant pour introduire le concept de base d'un si gros truc de base. A voir si les événements futurs vont y revenir, mais en l'état, l'éditeur peut aussi s'en ficher complétement au vu de comment l'ambiance n'est pas posé dessus. Pour l'instant, c'est plutôt "Qui a tué ? Pourquoi ? Comment ?", pas "mais où on est ?". Dommage d’amener un tel concept de cette façon. Pour le reste, je viens de lire le chapitre 1 d'un roman policier. On vient de nous présenter le meurtre de la chambre jaune. Et l'intérêt de ce genre d'histoire ne peut pas se connaître avec juste cela. Histoire à suivre, donc, de mon côté.
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Je parle comics en vidéo ! "La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. " - Terry Pratchett - |
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Fantastic Four #1 ET 2
Je rattrape un peu mon retard en ce moment, et oui, le fameux retour, scénarisé par un mr Slott qui vient de lâcher le tisseur, avec une Pichelli qui vient, elle aussi, de lâcher le tisseur, mais un autre en fait. (enfin, elle a fait un peu du premier aussi... C'est le souci : quand on rentre dans le détail, c'est vache) Bref, après une introduction aussi longue que peu utile, qu'est-ce que ça vaut, ces deux premiers numéros du retour de la First Familly ? (ouah, ça fait FF comme Fantastic Four, c'est comme si c'était fait exprès. ) Bah, franchement, ça marche pas mal. Le premier numéro, pris seul, je pense, peut-être frustrant (le numéro est construit un peu pour l'être aussi), mais je l'ai pas trop ressenti, vu que j'ai directement embrayé sur le 2éme. Et bon sang, ça marche super bien. Très manichéen (destruction versus construction), mais qui renoue avec de concepts. Chaque perso a droit à son petit moment (dans le 1 pour les terriens, dans le 2 pour les "disparus"), et ça marche super bien sur moi. Pour le moment, plutôt emballé et convaincu.
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Heros in crisis 1
Bon déjà le coté graphique: Mais c'est beau mais beau !! Une mise en page pleine d'imagination à coté des classiques gaufriers de King, j'adore Clark qui utilise sa super vision par exemple. Une Harley Quinn, jamais vu une aussi belle de mon point de vue. Donc rien que pour les dessins on peut acheter. Le scénario ensuite. Bon Bah c'est du King classique dans la forme, pour ça que je rachète en ce moment ces batman en TPB, je pense que ca se lit mieux d 'une traite. Je comprends aussi que son style soit clivant. Je n'aimais pas au début et la je suis un fan absolu. C'est la scène avant générique d'une série ou la scène d'intro d'un film. On voit le meurtre, on voit les persos qui sont mélés à l'histoire puis c'est un peu tout. On ne voit pas trop le concept du Sanctuary mais je pense que ce sera montré par la suite. Je ne suis pas inquiet. deux choses pour finir. La première c'est que King utilise des éléments de son run sur Batman et ca c'est toujours bien. Le second par contre c'est que une des victimes est utilisé par un autre scénariste dans un autre titre et son histoire est plutôt importante pour le titre voir pour l'univers DC en général. Donc je suis très surpris de le voir éliminé comme cela. En tout je suis du voyage pour le 2 !!
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#128
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Franchement le coup des morts je n'y crois pas une seconde.
Ils sont soit des persos de seconde zone, ou des pointures. Pour ces derniers, une mort aussi mal amenée ne leur rend pas justice. On a Booster Gold dans l'équation, un petit coup de voyage dans le temps et c'est réglé. En somme, ça se présente comme un pétard mouillé, aucune comparaison possible avec Identity Crisis. |
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Heroes in Crisis #1
Confirmation que je ne suis définitivement pas client de l'écriture de King. Une lecture ennuyante, pour ma part, que la révélation des persos morts, ou la découverte de Sanctuary, n'auront pas ravivée. C'est froid, trop pour moi car du coup je ne m'intéresse pas à ce qui m'est raconté, ce qui est quand même assez problématique. Reste oui les dessins de Mann, agréables sans être non plus exceptionnels. Je verrais si je lis le #2 ou non; ce sera sûrement fonction de mon humeur au moment de sa sortie. Quand à King, je pense me laisser tenter par son Mister Miracle qui semble, ici et ailleurs, attiré des critiques plus que positives. Si ça ne fonctionne pas, j'arrêterais le forcing avec cet auteur Dernière modification par Butters ; 27/09/2018 à 13h42. |
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Bonjour à tous,
Quelques critiques de cette dernière semaine de septembre Edge of spidergeddon 4. Là aussi sur le principe un one shot assez intriguant : norman osborn en spider-man. Seulement j’ai trouvé tout ceci très confus et vraiment sans grand intérêt. Sur les 4 épisodes on peut dire que c’est carton plein : aucun ne parvient à être ne serait-ce que plaisant. Venom first host 5 : fin de la mini qui n’avait au final pour objectif de se « débarrasser » de la progéniture du symbiote. Bien loin d’un éventuel retcon expliquant comment le symbiote était arrivé sur battleworld. Ce numéro est de plus bourré de facilité quant aux évasions. Deux choses que j’ai trouvées intéressantes c’est d’une part malgré leur bonne volonté Eddie et le symbiote n’arrivent pas à faire le bien, d’autre part la rencontre Harry/Eddie. Au final une mini très passable. Spidergeddon 0 : Partie PSA : bref numéro qui aurait pu s’appeler edge of # 5 tant il ne se passe rien de plus que la découverte d’un numéro spider et son recrutement. Un numéro d’exposition du spidey du jeu avec Spock. Alors j’ai un peu de retard sur les lectures d’ASM, mais d’où sort-il en plus il se présente comme de la terre 616 et avec le visage de Peter hum ? à suivre. Si vous aimez Crain en mode lisible car moins sombre ça va vous plait, mais l’histoire est anecdotique. Partie web warriors qui montre la surveillance des héritiers. J’ai bien aimé que la notion de temps qui passe soit liée au look de Patvir. Au moins ici on est vraiment dans le sujet. Au final un numéro sans plus j’espère que le premier sera plus dynamique. |
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Soit c est Moore et Gaiman soit Mister Miracle
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Mais oui, clairement, aucune comparaison possible avec Identity Crisis : Heroes in Crisis peut être bien ; Identity, une histoire bête et méchante au premier sens des termes, ne l'a pas été. |
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Ah oui, joli lapsus!
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- Captain America Annual #1 : ce qu'on appelle un pétard mouillé...
La scénariste Tini Howard a voulu, avec cette histoire située durant la seconde guerre mondiale, rendre hommage à sa famille et aux déportés. C'est louable, sauf que ça ne fonctionne jamais. En vérité, Cap et Bucky pourraient sauver n'importe qui d'autre qu'un homo persécuté et une femme victime d'expériences dans un camp que ça ne changerait rien. Tout ça manque cruellement d'émotion. Un comble. Chris Sprouse n'a visiblement pas été inspiré par ce script, encore une fois Marvel échoue à employer correctement cet excellent artiste. Il passe la main le temps d'une scène (et de quatre pages) à Ron Lim, médiocre (en tout cas comparé à Sprouse). Voilà qui faisait envie a priori, mais qui s'avère un échec complet au final. - Old Man Hawkeye #9 : on entre dans le dernier quart de la saga futuriste. Sacks dévoile un peu plus l'intrigue secondaire et pique notre curiosité en convoquant l'Arme X. Les retrouvailles entre Hawkeye et Songbird et l'irruption de Bullseye aboutissent à une issue un peu convenue, prévisible, mais ce bémol mis à part, ça reste très bon. Checchetto, lui, en revanche, livre toujours des planches extraordinaires de puissance. Tout y est : énergie, détail, expressivité, tension, ambiance, mystère... (J'espère qu'il y a eu erreur dans les solicits Marvel de Décembre où il est mentionné qu'il ne dessinera pas le dernier épisode.) Un numéro un peu en deçà mais qui ne saurait gâcher l'ensemble de haut niveau. |
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