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Il y a 20 ans : Février 1984
Février 1984 fut un mois faste pour les éditions Lug. Pas moins de deux classiques parmi les publications du mois. Le premier, c’est la mini-série Serval, qui inaugure la collection Un Récit Complet Marvel. Faut-il rappeler l’intrigue ? Sans nouvelle de Mariko Yashida, qu’il a rencontré dans Uncanny X-Men #118 (in Spécial Strange n°22) et dont il est tombé amoureux, Serval se rend au Japon, où il découvre que la jeune femme a été contrainte par son père, Lord Shingen, d’en épouser un autre. Shingen, qui avait disparu depuis des années, est en réalité l’un des principaux parrains de la pègre japonaise, et avec l’aide de l’organisation criminelle baptisée la Main, il va tenter par tous les moyens d’éliminer Serval. Ce dernier croisera sur sa route Yukio, une aventurière dont il ne saura pas si il doit la traiter en amie ou en ennemie. Serval avait acquis une notoriété certaine à partir de l’arrivée de John Byrne sur les X-Men, c’est avec cette mini-série qu’il va devenir l’un des personnages les plus populaires de la franchise Marvel. Claremont fournit un scénario classique mais d’une efficacité imparable, et Frank Miller, passionné par le Japon, s’en donne à cœur-joie. Seul le choix de Joe Rubinstein à l’encrage paraît discutable. Il est à noter toutefois que cette première édition a été amputée de près d’une dizaine de pages. Une censure regrettable que Sémic corrigera en 1990 en rééditant l’intégralité de la série dans sa collection Privilège (repris en 1998 par les éditions Béthy dans leur collection Comics Culture). (Wolverine #1-4, par Claremont, Miller & Rubinstein). L’autre événement du mois, c’est la traduction du graphic novel ‘Dieu crée, l’homme détruit', troisième album des X-Men à paraître (réédité récemment en librairie par Marvel France). Claremont y reprend un thème qui constitue le fond de commerce de la série quasiment depuis ses origines : l’opposition humains/mutants. L’adversaire des X-Men se nomme William Stryker, prédicateur qui, en plus de prêcher la parole divine, accuse les mutants de représenter une menace mortelle pour le reste de l’humanité. Il a également formé une milice, les Purificateurs, chargée d’éliminer les mutants. Face à cette menace, les X-Men devront s’allier à leur ennemi juré, Magneto. Dieu crée, l’Homme détruit est un incontournable de la mythologie mutante. C’est également un récit de qualité, quoiqu’un peu verbeux, qui a été imité à maintes reprises depuis. Stryker est un personnage intéressant, car intègre malgré sa folie mystique. Le public américain aura sans doute été davantage sensible à ce personnage que les lecteurs français, les télévangélistes tels que Stryker étant légion sur les chaînes U.S. L’album aura également permis de faire éclater au grand jour le talent de Brent Anderson, dont le style tranche avec celui des dessinateurs qui l’ont précédé sur les X-Men – celui dont il se rapproche le plus étant probablement Neal Adams. Vingt ans après, ce graphic novel mérite que l’on s’y replonge. (X-Men : God loves, man kills, par Claremont & Anderson). Dans Nova n°73, John Buscema fait son retour sur les Quatre Fantastiques, dans un récit à la mesure de son talent, opposant Galactus au Maître de l’Evolution. Pour assister au duel à mort entre les deux géants, il faudra patienter jusqu’au mois prochain, mais en attendant l’action ne manque pas. A la recherche d’une planète pouvant assouvir la faim cosmique de Galactus, Red et Ben atterrissent sur un monde dont le leader est Torgo, autrefois rencontré lorsque la Chose et lui furent transformés en gladiateurs du futur par les Skrulls (Fantastic Four #91-93, in album Les Quatre Fantastiques n°12 et 13, L’Homme-Taupe et Les Jeux du cirque). De son côté, Johnny Storm débarque sur une planète médiévale où les choses ne sont pas forcément ce qu’elles semblent être. Et l’Invisible est dans une position encore plus périlleuse, coincée sur un astéroïde sans vie. Tout cela pour sauver les quatre milliards d’habitants de la Contre-Terre. Stan Lee peut être fier de Roy Thomas. (Fantastic Four #173-174, par Thomas, John Buscema & Joe Sinnott). Dans ce numéro se conclut l’affrontement opposant Spider-Woman à Vipère. Malgré un virage vers le surnaturel moyennement convainquant, Chris Claremont n’élude pas les réponses aux questions qu’il a soulevées dans les épisodes précédents concernant les relations entre les deux femmes. (Spider-Woman #44, par Claremont & Leialoha). Episode spécial pour Peter Parker… alias l’Araignée, puisqu’il s’agit du soixante-quinzième de la série US. Demi-épisode spécial devrais-je plutôt dire, ce numéro de Nova ne comprenant que les dix-neuf premières pages de cet épisode double. Les débuts de la guerre des gangs entre le Hibou et le Docteur Octopus n’étaient que modérément intéressants, mais le récit gagne ici en intensité. D’abord grâce au retour de la Chatte Noire, que l’on croyait morte (ou plus exactement : que les lecteurs américains croyaient morte. L’épisode de sa disparition, paru dans Amazing Spider-Man #227, n’étant à l’époque pas encore paru en France – il paraîtra seulement un an plus tard, dans Strange n°184. C’est malin.) Réussi également grâce à un combat assez spectaculaire entre Spider-Man, la Chatte Noire et le Docteur Octopus. Un Octopus plus cinglé que jamais, une folie que rend étonnamment bien Al Milgrom. (Spectacular Spider-Man #75, par Mantlo, Milgrom & Mooney). Ce demi-épisode est suivi d’une courte histoire dans laquelle un chanteur folk sur le retour monte une arnaque foireuse pour s’attirer les bonnes grâces du public. Hélas pour lui, il tombe sur l’Araignée. (Amazing Spider-Man Annual #11, par Edelman, Romita Jr. & Milgrom). Encore un demi-épisode pour l’Araignée (décidément…), cette fois dans Strange n°170. Où il se confirme qu’après l’évasion de l’Homme-Sable et du Piégeur, les Terrifics sont officiellement reformés, avec dans le rôle du quatrième membre, le personnage mystérieux que l’on retrouvait aux côtés du Sorcier dans l’épisode précédent : Llyra. Si ce nom n’est pas familier aux fans de Spider-Man, il l’est sans doute davantage à ceux de Namor, puisque Llyra est la meurtrière de Lady Dorma (in Sub-Mariner #37, mai 1971 ; en France in Submariner n°8, avril 1978). C’est donc sans surprise que l’on voit débarquer à son tour dans ce récit le Prince des Mers, à la recherche de son ennemie. (Amazing Spider-Man #214, par O’Neil, Romita Jr. & Mooney). Encore O’Neil au scénario, mais cette fois bien moins inspiré, pour la suite de la partie d’échecs grandeur nature que joue Iron Man. Après le Fou et le Cavalier, ce mois-ci : la Tour ! En l’occurrence un nabot affublé d’un costume grotesque, tout fier des pièges qu’il a tendu à Iron Man – du genre un poids de trois tonnes qu’il lui fait tomber sur le crâne… je me demande jusqu’à quel point O’Neil est sérieux, et s’il ne s’agirait pas plutôt d’un hommage déguisé aux Monty Pythons. Donc le vengeur doré, serviable, enchaîne les pièges, tout en recherchant Rhodey, ligoté quelque part sous terre en compagnie d’araignées au venin mortel. Soupirs… (Iron Man #165, par O’Neil, McDonnell & Mitchell). A l’inverse, Daredevil se porte toujours aussi bien. L’épisode du mois conte en une succession de scènes toutes aussi réussies les unes que les autres le retour du Caïd aux affaires. Ses anciens lieutenants qui ont tenté de l’éliminer sont définitivement mis hors-circuit, le meurtrier de sa femme est châtié, et Daredevil se révèle impuissant à enrayer ses plans de conquête de la pègre. Son prix de consolation sera le Tireur. A noter que deux pages ont disparu de cet épisode. L’une où le Caïd reçoit une balle à bout portant avant de massacrer à mains nues Lynch, le responsable du sort de Vanessa, l’autre où le Tireur refait le portrait de DD à coups de brique. C’est moche, mais on aura bien pire par la suite. (Daredevil #172, par Miller & Janson). Enfin Rom poursuit sa plongée au cœur des ténèbres et du surnaturel, et se trouve cette fois au British Museum où il doit empêcher le retour à la vie d’une sorcière égyptienne (en réalité un Spectre Noir dont le vaisseau s’est abattu à proximité des pyramides quelques millénaires plus tôt). A ses côtés on retrouve Tchang Shi (déjà aperçu le mois dernier) et toute sa bande. Le scénario est classique, mais visuellement le travail d’Akin et Garvey sur les crayonnés de Sal Buscema fonctionne toujours aussi bien. (Rom #39, par Mantlo, Sal Buscema, Akin & Garvey). Ce mois-ci encore, Titans est la revue la moins intéressante publiée par Lug. Ce soixante-et-unième numéro s’ouvre sur un épisode de La Guerre des Etoiles banal bien que correctement réalisé. Dans un premier temps, les rebelles utilisent les chasseurs taï récupérés dans l’épisode précédent pour lancer un raid sur un avant-poste de l’Empire. Puis Luke accompagne la jeune et jolie Shira sur la planète natale de celle-ci, où ils sont attaqués par une tribu nomade alliée à l’Empire. Beaucoup d’action, peu d’imagination. (Star Wars #60, par Michelinie, Simonson & Palmer). Il en est de même pour Mikros, où les péripéties s’accumulent sans que l’histoire ne s’avère intéressante pour autant. Mikros et Crabby réapparaissent, Saltarella et le Comte de Montségur disparaissent. Le côté rocambolesque du récit plaira à certains, les autres sont priés de prendre leur mal en patience. Encore un cran en-dessous, Dazzler, cette fois confiée à une équipe intérimaire composée de Steve Grant et Marc Bright. Qui s’avèrent incapables de relever le niveau et nous offrent une histoire banale à pleurer de fan psychopathe. Triste à lire. (Dazzler #25, par Grant, Bright & Bulanadi). C’est donc vers les Nouveaux Mutants qu’il faut se tourner pour trouver de quoi satisfaire nos appétits de lecteur. Encore que cet épisode ne soit pas inoubliable. Danielle Moonstar est agressée dans sa chambre, en pleine nuit. Mais personne, y compris le professeur Xavier, ne la prend au sérieux, et elle même se met à douter. Jusqu’à ce que l’on découvre le responsable : un Brood. L’intrigue est passablement confuse – en particulier sa conclusion – d’autant plus que trois pages ont été supprimées par Lug. Cette version française ne nomme jamais l’extraterrestre (les épisodes d’Uncanny X-Men où débutent les Broods sont alors encore inédits), et le passage où il explique qu’il compte féconder les mutants afin de créer une armée capable de conquérir la Terre a disparu. Et surtout, la conclusion de cette histoire, parue en VO dans Uncanny X-Men #167, où l’on découvre que le Brood est en fait le Professeur X infecté, ne paraîtra en France que deux ans plus tard (in album Les Etranges X-Men n°8, Vivre libre ou mourir). (New Mutants #3, par Claremont, McLeod & Gustovich). Spidey n°49 s’ouvre sur la conclusion de l’affrontement entre les X-Men et le Fléau. Privés des conseils du Professeur X, toujours dans le coma, les X-Men reçoivent l’aide du Docteur Strange, qui envoie Cyclope et Strange Girl dans le cosmos écarlate chercher le rubis sacré de Cyttorak, seul moyen de défaire le fléau. Cette période des X-Men est certainement la plus médiocre qu’ait connu la série originale, cet épisode ne fait pas exception à la règle. (X-Men #33, par Thomas, Roth & Tartaglione). Faute de troisième série régulière (ce sera pour avril), Lug bouche les trous du sommaire avec ce qu’il peut, en l’occurrence un annual de Marvel Two-In-One. La Chose s’y associe à Flèche Noire (après deux ou trois échanges de baffes malencontreuses) pour affronter Graviton. C’est la deuxième apparition seulement du personnage, créé par Jim Shooter & Sal Buscema dans Avengers #158-159. On retrouve ici également le personnage de Judy, la jeune femme que Graviton poursuivait de ses assiduités lors de son affrontement contre les Vengeurs, et qu’il kidnappe une nouvelle fois. Mais suite à sa première défaite, Graviton souffre d’amnésie partielle, et surtout contrôle de moins en moins ses pouvoirs, à tel point qu’il se transforme en une créature dont la densité est telle qu’elle fait de lui une sorte de trou noir humain. L’épisode est interrompu alors que le Chose se trouve en fâcheuse posture. (Marvel Team-Up Annual #4, par Brodsky, Michelinie, Craig, Budiansky & Patterson). Et si ?.. revisite l’un des plus dramatiques évènements de la vie du Tisseur de Toile : la mort de Gwen Stacy. Et si l’Araignée était parvenu à la sauver ? Cet épisode est très lent à se mettre en place. La première partie rappelle les circonstances du drame, puis on découvre enfin comment Gwen aurait pu être sauvée. 16 pages plus loin, le récit n’est guère allé plus loin. Mais comme Gil Kane est au crayon, on prend son mal en patience. (What If ? #24, par Isabella, Kane & Giacoia). |
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Pourquoi tu trouves ke c un mois faste?
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Du côté de chez Arédit, après la déferlante de janvier, février est un mois nettement plus calme. Quelques titres d’intérêt tout de même. Captain America n°25 conclut l’affrontement du héros étoilé contre la Force Nationale, dirigée par le Dr. Faustus. Pas les meilleurs épisodes signés Roger McKenzie, qui y met en scène un gaz capable de transformer n’importe qui, y compris Cap, en nazi. Hum. Mouais. Le récit n’est pas pour autant sans qualités, la présence de Daredevil est plutôt sympathique, la révélation de l’identité du Grand Directeur rappellera de bons souvenirs aux fans du run de Steve Englehart. Et puis il y a le sort de Sharon Carter. Le dernier épisode de ce numéro voit Captain America se demander si son combat a encore un sens, prendre une nouvelle direction dans sa vie privée, et revivre un événement traumatisant de la seconde guerre mondiale. (Captain America #234-237, par McKenzie, Sal Buscema, Perlin, Abel). En guise de bouche-trou dans ce numéro, une curiosité, un court récit extrait de Hulk Annual #11, qui voit Doc Samson affronter Unus l’Intouchable, dont la particularité est d’être illustré par Frank Miller. Je ne sais pas si il s’agit d’un travail de jeunesse ressorti des cartons par Marvel, ou si la responsabilité en incombe à l’encrage de Steve Mitchell, mais le résultat est assez médiocre. (Hulk Annual #11, par Duffy, Miller & Mitchell). Au sommaire du douzième album Les Vengeurs, on trouve le 200ème épisode de la série. Un récit tout à fait étonnant, dans lequel Ms. Marvel, enceinte depuis trois jours seulement, met au monde un enfant qui va grandir à une vitesse spectaculaire. Dans le même temps, les incidents se multiplient autour du manoir des Vengeurs, et dinosaures, chevaliers ou hommes du futur s’affrontent dans les rues. David Michelinie offre ici une excellente histoire de paradoxes temporels, et dresse en prime un portrait très touchant de Ms. Marvel. Les deux autres épisodes de ce numéro sont nettement plus anecdotiques. Le premier oppose les Vengeurs au Red Ronin, robot nippon apparu à l’origine dans le comic-book Godzilla, le second voit nos héros souffler après la mésaventure de Ms. Marvel, tandis qu’une nouvelle menace se dessine. (Avengers #199-201, par Michelinie, Perez & Green). Du côté de chez Thor, dont paraît le numéro 4, le dieu du tonnerre, Hercule, Firelord et Galactus s’attaquent à Ego, la planète vivante, devenue fou. Gerry Conway et Rich Buckler ont beau s’évertuer à imiter le plus fidèlement possible le duo Lee/Kirby, le récit ne fonctionne pas. En particulier les planches de Buckler, malgré tout le mal que s’est donné le dessinateur, sont particulièrement peu spectaculaires. Un comble ! (The Mighty Thor #227, par Conway, Buckler & Sinnott). Pas de Machine Man ce mois mais un extrait de Tales to Astonish, l’épisode qui voit pour la première fois Ant-Man se transformer en Giant-Man. Une amusante histoire d’extraterrestres venus de la Dimension Z kidnapper quelques scientifiques pour les aider à mettre au point des armes atomiques. Pas de bol pour eux, l’un des scientifiques en question est Hank Pym, et il emporte la Guêpe dans ses bagages… (Tales to Astonish #49, par Lee, Kirby & Heck). Dans Le Maître du Kung-Fu, tandis que Yang-Shi et ses amis apprennent que Kou Namfu est probablement vivant et qu’il s’est constitué une nouvelle armée privée quelque part dans les Andes, Sir Denis Smith est kidnappé par les Si-Fans. Au dessin, Mike Zeck continue de faire des merveilles. (Master of Kung-Fu #82, par Moench, Zeck & Day). Enfin Steve Englehart poursuit son étrange épopée des Vengeurs qui voit le retour du Fantôme de l’Espace, et parallèlement propose une suite inédite aux aventures de Captain America signées Jim Steranko. Le Faucheur est également de la partie, et tente de convaincre son ‘frère’ Vision d’abandonner les Vengeurs pour le rejoindre. (Avengers #107, par Englehart, Starlin, Tuska & Cockrum). Terminons avec Hulk n°3, et un sommaire pas des plus passionnants. L’épisode du Titan Vert fait suite au crossover avec Captain America (in Captain America n°23 : Les Prisonniers d’Alcatraz, voir le résumé de Michel dans la rubrique du mois dernier). Hulk se lance à la poursuite de Curtiss Jackson, le leader de la Corporation. Sans succès. Il repart en compagnie de Fred Sloane à bord de son van. C’est dire si ce mois-ci encore, il ne se passe rien de palpitant dans cette série. (Incredible Hulk #233, par Stern, Sal Buscema & Stone). Conclusion dans Luke Cage, Power Man ! du complot contre Noah Burstein. Cage règle ses comptes contre Spear et le Lutteur. Au dessin, Marie Severin succède à Frank Robbins, sans qu’on puisse vraiment parler d’amélioration. La dame a fait plus joli par ailleurs, et la narration est véritablement calamiteuse (Power Man #35, par McGregor, Severin, Giella & Giacoia). Pour changer, un annual de Captain America, dans lequel il se trouve confronté à une guerre des gangs. Derrière ces meurtres à répétition se dissimule un milliardaire excentrique fasciné par la mort et qui prend son pied en faisant filmer des assassinats de truands. Une histoire de snuff movies en quelque sorte, pas vraiment réussie. Même Gene Colan n’est pas au mieux de sa forme. (Captain America Annual #5, par Michelinie, Colan & Simons). |
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Ah les décalages entre séries VO... c'était vraiment chiant quand même. Je peux comprendre qu'ils aient lancé New Mutants sans le synchroniser avec Uncanny X-Men pour relancer Titans qui en avait besoin, mais pourquoi avoir maintenu un tel décalage entre Amazing et Spectacular Spider-Man ? Il suffisait pourtant de passer un peu d'Amazing dans Nova, c'était pas trop compliqué...
Encore du beau boulot sinon Niglo Pour Hulk tu n'as pas de veine tu es tombé sur deux épisodes de transition, l'action étant plutôt dans le cross Hulk / Captain America puis dans les épisodes suivants avec Machine Man.
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encore bravo niglo
sinon, c'est vrai qu'à l'epoque, les decalages entre vo/vf etaient impressionants et qu'il etait parfois difficile de tout comprendre bien des efforts ont été faits depuis |
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le thor, le avengers et le cap sont des classiques pour moi
ah c etait le bon temps si on rajoute dieu cree et serval et le nova j avais du feter dignement mes 10 ans un robot geant rouge? |
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bah oui, Red Ronin !
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lol Mallrat ne me dis pas que tu connaissais la réplique par coeur ?! là franchement tu m'épates, respect man
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bien sur que je la connaissais
c un classique pour moi a l epoque ca me faisait bcp rire j adorais le fauve chez les avengers, depuis il a ete contamine par la nevrose ambiante des xmen depuis qu ila rejoint xfactor(et puis la nevrose version starclub/jeune et jolie) |
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..c'est vrai qu'on s'était ruiné ce mois-là... j'avais du revendre encore plus de vieux franco-belge pour payer tout ça..
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#14
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Môa j'adorais la série Mikros...
Heu, c'est grave docteur ?
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
#15
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C'est grave de la préférer à Photonik!
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