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Non celle de Guiffen et Lightle
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Après, on peut ne pas aimer la Legion de Bendis parce qu'on pense sincèrement que c'est très moyen, sans forcément se référer systématiquement à tout ce qui s'est fait auparavant…
Perso, c'est ni "j'ai aimé", ni "je n'ai pas aimé", je suis assez mitigé, à la fois à cause du rythme et de l'intrigue qui avance lentement, qui m’apparaissait d'un fouillis pas possible, mais en contre partie j'aimais bien ce coup de djeuns qui permettait de repartir sur des bases plus nettes, moins engluées dans des références, des codes prédéterminés. Donc j'ai suivi, je n'ai pas forcément passé un mauvais moment, loin de là, mais là tout de suite, je suis incapable de dire précisément quel était le fond des intrigues. Je n'ai même pas encore attaqué le cross over avec la Justice League, c'est dire ! |
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La version de Bendis n'est qu'une énième relance ... Le 5YL est un "reboot" soft pour enfin assumer CoIE , et tirer la Legion vers autres chose (plus mature) La version Post Zero Hour (Archie Legion) est solide (et donnera la legion de D'n'A avec Coipel) La Threeboot de Waid et Kitson est trop Dystopique (loin des canons de la Legion - Waid joue sur les mêmes canons que le 5YL mais avec les persos encore ados) et Bendis refait ce qui a déjà été fait par le run original, puis refait par la Archie Legion (et parfois par le Threeboot) mais en étant très très très loin de la qualité des autres runs . (et puis avant de parler de Shooter ou Grell ... ou Levitz.. sans Hamilton et Forte la Legion ne serait pas ce qu'elle est)
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Shoot Shoot don't talk |
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Je suis entré dans la Legion grâce à DnA et Coipel, pour le trait de ce jeune dessinateur qui débutait, et qui s'appelait Oliver dans les crédits à l'époque. J'ai d'ailleurs eu l'occasion de dire à l'intéressé qu'il avait été décisif pour mon introduction à l'équipe.
C'était la période Legion Lost et ce qui a suivi, et ça m'a bien suffit pour la découverte. |
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Ah mais je ne dis pas que c'est mieux que ce qui a été fait (après j'avoue que j'ai toujours du mal avec ce type d'argument de toute façon, mais bon…), juste que c'était clairement son postulat de départ.
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Spawn/Batman - Batman/Spawn : Image 1 - DC 0
Actualité oblige, allons nous replonger dans les deux crossovers d'origine. Deux lectures qui se démarquent avec une qui est bien représentative de ce qu'était l'ambiance de Spawn, et l'autre qui est un ajout artificiel. D'un côté Spawn / Batman, où Frank Miller rend un bon épisode de Spawn, en incluant son environnement du début de la série avec le supporting cast de sdf. Son Batman par contre c'est un prototype du goddamn qu'on retrouvera des années plus tard. Batou traite Spawn de Punk à tout va, lui reproche ne ne pas être structuré, alors que le lecteur sait que c'est un ancien militaire, peut-être que Miller avait oublié ce détail. Sinon on voit bien que certaines splash-pages devaient être des études que les auteurs ont exploité en les incluant dans l'histoire avec du texte. Une note avec la moyenne, un comics so 90's qui rappelle ces années à ceux qui les ont vécu. Par contre Batman/Spawn c'est la cata. Il a fallut trois scénaristes pour écrire ce truc sans saveur, et pas des moindres: Chuck Dixon, Alan Grant, et Doug Moench. Trois cadors de l'homme chauve-souris qui n'ont rien trouvé de mieux comme intrigue qu'une énième malédiction qui daterait des origines de la fondation de Gotham. Une histoire lourde, aux conséquences dans le présent qui ne passionnent pas, et on se demande même que ce Spawn vient faire dans ce bourbier. Le tout est dessiné par un Klaus Janson qui cherche à donner du volume, en vain. On sent bien que la dynamique est portée par le crossover Image, et que DC a dû suivre sans savoir comment s'y prendre. |
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En plein dans le tp Batman Black Casebook. Une collection d'histoires de Batou des 50's et 60's qui auraient inspiré Grant Morrison pour son run.
Pour la première fois je prends la peine de lire l'introduction par Morrison, et ça m'a donné envie de relire son run. Car il y explique considérer Batman sans les reboots des Crisis, et que tout ce qu'il a vécu est en continuité. Pour lui une question est apparue: comment un homme qui a décidé de rendre la justice à Gotham peut encaisser psychologiquement tout ce qu'il a vécu, et pas que des histoires urbaines. Sous cet angle je comprends mieux sa démarche, et dès que je refermerai le tp, je reprendrai ses épisodes. |
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Et pour ce soir histoire de rentrer encore plus dans l'esprit de noël, le Marvel Holiday Special de 1994.
Avec entre autres John Ostrander & Tom Mandrake, JM DeMatteis & Rick Leonardi, et du Sal Buscema, le tout sous une cover de George Perez. Miam! |
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et l'histoire d'intro .. Busiek / Fry avec Beast et Iceman dans le passé et le présent ..
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I die at midnight - Kyle Baker
Réveillon du Nouvel An 1999. Larry a décidé de mettre fin à ses jours, son amour l'a quitté. Sauf qu'elle est revenue, juste après qu'il ait avalé un flacon de pilules. Commence alors une course pour sauver sa vie dans une Big Apple pleine de monde célébrant l'arrivée de l'an 2000. Une histoire au rythme effréné avec le style cartoony de Kyle Baker, pleine de stress et d'espoir. |
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Avengers #298
Inferno est à mon sens l'event qui a produit les meilleurs tie-in, de Excalibur à Daredevil la qualité d'ensemble se reflétait dans les séries adjacentes, et cet épisode de Avengers illustre ce constat. Nous suivons Jarvis, qui vit chez sa mère après que les Avengers ont été disassembled suite à la gestion catastrophique de Dr Druid possédé par Nebula/Kang. Et voilà que Inferno frappe New York. On suit le majordome dans sa balade dans la ville, où son sang froid et son flegme sauront faire la différence. Son caractère fait mouche auprès d'une demoiselle qu'il sauve, et qui sait reconnaître son courage, même en comparaison avec Cap dans son costume de The Captain à l'époque. Un fan-favorite que cet épisode qui met en lumière le butler des Avengers, peut-être une des meilleures histoires qui lui a été consacrée. Walter Simonson au scénario a une très bonne idée en envoyant Jarvis au cinéma pour voir Roger Rabbit, cela donne au personnage le recul nécessaire pour combattre les objets animés par Inferno, l'angle cartoony est hyper bien exploité. Au dessin, le combo John Buscema/Tom Palmer fait des merveilles, une de leur meilleure collaboration. Un épisode qui n'a pas pris une ride, et qui se déguste comme à la première lecture. Un bémol, je me demande si on a revu ensuite la mère de Jarvis ainsi que son amourette, je n'en ai pas souvenir, dommage que ce supporting cast n'ait pas été plus exploité. Dans son périple, Jarvis décide d'aller voir le Temple de Dendur, exposé au Metropolitan Museum of Art, et si je ne me trompe pas c'est Walter Simonson qu'il croise sur les marches du batiment. |
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il faudrait vérifier.. mais je me demande si Jarvis et son amourette ne réapparaissent pas dans un power pack qui suit peu de temps après.
Très court run, pourtant excellent (ou walter qui avait pleins d'idées pour la suite a dut laisser sa place ..et finir le gros Arc Kang dans FF )
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D'après le MCP, Glory ne réapparait que 2 fois, dans Avengers #325 (à une party de Sersi) et dans un FB de l'Annual '99 (quand Jarvis apprend Heroes Return)
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu. |
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Inferno n'est pas pour rien mon crossover préféré !
Les auteurs se sont vraiment tous éclatés pendant quelques mois et cet état d'esprit se sentait à la lecture. Cet épisode en est un parfait exemple ! Tu as relu cet épisode pour comparer avec Dark Web ? |
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J'ai relu cet épisode car je me suis refais tout le run de Simonson, me reste le #300 et j'enchaine sur ses FF.
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