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Pareil sur le Wolverine... Déjà éditorialement tu dois le sortir avant le X-Men vu que dans les X-Men il est en activité... Bon Marvel s en fout de ça mais moi déjà ça m a énervé...
Puis c est vraiment l épisode le plus banal ever... Des loups, la forêt, Diablo, une vengeance de cyber.... C est chat gpt au scénar ? L épisode aurait dû s appeller " il y a plus rien de nouveau à écrire sur Logan"
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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A la limite, je préfère Saladin Ahmed quand il est en pilote automatique. Quand il veut innover, ça donne Matt Murdock prêtre et famille d'accueil d'enfants à problème, et le rendu est pire que ce que ces mots laissent imaginer.
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Fantastic Four #25
Très bon, très fort. Ryan North poursuit sa très belle dynamique, avec un épisode avec de la super-science mais aussi de la super-émotion. L'on voit ainsi les Fantastiques tenter d'ouvrir le dôme créé par Dr Doom autour de la Latvérie après avoir récupéré les pouvoirs de Sorcier Suprême, mais cela les envoie... ailleurs ; sur un autre monde, à la flore différente, et avec des êtres vivants différents, sans colonne, extraterrestres. Ils parviennent à communiquer, Reed travaille sur un vaisseau malgré le gap technologique, et Johnny discute avec la jeune personne chargée de le guider. Ils papotent, passent du temps ensemble... et le charme opère, des deux côtés. Ce monde n'a pas de Lune, alors Johnny en forme une avec ses pouvoirs, et elle leur permet de finir le vaisseau ("il m'a donné la Lune, je lui donne les Etoiles"). Ils sont ensemble, mais... Reed comprend que Très bon, très fort, oui. A nouveau, Ryan North utilise intelligemment un fait scientifique pour former une intrigue prenante, et ici touchante. L'ensemble est en soi assez classique, que ça soit la visite d'un autre monde et le twist dessus (oui, ce à quoi on pense est évoqué par Johnny en exemple), et la résolution est en elle-même "facile". Mais c'est bien par l'émotion que le scénariste assure, avec une romance "surprenante" entre Johnny au corps humain parfait, et sa compagne à l'allure si différente. Une belle ode à la différence, avec des échanges touchants et déchirants, eux aussi classiques mais fort bien menés et amenés. Avec en outre des dessins solides de Carlos E. Gomez, encore. Un numéro malin, fluide et touchant. Une nouvelle réussite. |
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Uncanny X-Men #2
Solide ; pas brillant-brillant, mais solide et intriguant. Gail Simone poursuit efficacement son lancement, avec trois axes. En premier, on voit dans le passé la rencontre d'un jeune Charles avec une jeune femme qui lui plaît, et à qui il semble plaire : Sara, britannique directe et sympathique. Ensuite, on voit Rogue, Gambit et Wolverine accueillir difficilement quatre jeunes en errance, avec une p'tite bagarre suite à incompréhension. Jubilee calme le jeu, Logan ne veut plus aider la jeunesse car il est marqué, mais Rogue lui demande de voir avec Gambit tandis qu'elle débriefe avec Jubes qui revient de Graymalkin, et que Cyclope lui impose de ne pas y aller. Enfin, à Graymalkin, dans l'ancien Institut, avec la Dr Ellis qui veut faire de Sirène une de ses sbires en la convaincant quand Charles Xavier est mort. Et l'entité qui poursuit les quatre jeunes lui répond, et s'appelle en vérité C'est bien, en soi. Gail Simone ne révolutionne rien mais gère bien ses personnages, avec un Charles jeune chou, une bagarre un peu basique mais fluide, un Logan marqué et une Rogue clairement centrale. L'ensemble n'apporte pas grand-chose, mais la lecture est agréable et David Marquez est inspiré, avec de superbes planches. Un bon moment, à défaut d'avancer clairement. |
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Encore beaucoup de plaisir avec Absolute Power et son #3.
J'aime beaucoup le côté chasse à l'homme même si le retour de bâton pour Waller se dessine trop vite.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Moins convaincu par Absolute Power #3 de mon côté.
Je trouve l'événement trop court et rapide dans ce qu'il essaye de raconter et paradoxalement, je suis bien content que ça se termine au prochain numéro. C'est un titre très guerrier, avec de la baston à tous les étages mais j'ai du mal à m'impliquer dans l'histoire (le contrôle de l'opinion avec les fake news, ça pouvait être intéressant, mais c'est vite mis de côté). Comme je n'arrive pas à m'impliquer, les quelques retournements de situation me font soupirer poliment. Et ce n'est pas la dernière page qui va relever mon niveau d'intérêt. Par contre, Dan Mora est incroyable, mais on le savait déjà, non ? |
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Lire Captain America #13 et se dire que Straz aura été jusqu'au bout un gâchis et aura gâché le titre.
C'était mon dernier numéro et je n'ai aucun regret. Si jamais il y a vf : de près ou de loin, fuyez, vous me remercierez.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Scarlet ce genre de critique limite ça me donne envie
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The Avengers #18
Très bon. Jed MacKay réalise un très bon numéro, dans une saga courte et intense. Ici, les Avengers doivent solutionner le problème posé par Hyperion de Heroes Reborn, qui se projette depuis Pluton comme une balle, pour anéantir la Terre car il n'y est plus un héros et ne le supporte plus. L'on voit ainsi les Avengers s'organiser, chercher comment repérer Hyperion qui est si petit, comment le stopper, comment aussi identifier une trajectoire tangente. L'idée est de faire une triple recherche : par les yeux de Sif, par l'âme via Dr Strange / Clea / Wanda, par l'esprit via Quentin Quire sollicité par Storm. Blade donne des informations sur cet Hyperion malgré les difficultés récentes (The Impossible City a peur de lui, Wanda choisit de lui faire confiance car elle a connu les possessions et lui seul se souvient du monde Heroes Reborn). Le plan est de piéger Hyperion dans un champ de shrapnel de Vibranium, pour le tuer ; Tony l'a fait à contrecoeur, et Vision ne valide pas. Finalement, Vision change d'idée et utilise The Impossible City pour amener Hyperion vers un autre Univers, où The Impossible City avait amené avant ses précédents maîtres qui avaient tué tous les héros. Hyperion y restera pour y être un héros, dans ce monde qui en a tant besoin. Les Avengers ont réussi sans tuer, et Thor "valide" Storm en révélant qu'il part du fait de ses soucis, mais satisfait qu'il reste un "God of Thunder" dans l'équipe. C'est très bien, oui. Jed MacKay gère bien son intrigue courte, avec des éléments très intelligents et pertinents pour identifier Hyperion (parmi tous ceux qui existent), le repérer et le stopper. J'apprécie que la solution ne tombe pas tout de suite, que ça ne soit pas "simple", et je trouve que, avec le run actuel de Fantastic Four, on a des séries qui prennent la science et la super-science sérieusement, et c'est cool. Les personnages sont en outre bien respectés et animés, avec de bons rappels de continuité (Blade et Heroes Reborn, avec les troubles liés à Blood Hunt). Valerio Schiti illustre l'ensemble efficacement, sans briller mais avec solidité. Un très bon numéro d'un run qui se bonifie clairement. |
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The Incredible Hulk #17
Toujours lent, assez prévisible mais intense. Phillip Kennedy Johnson poursuit ses récits d'ambiance, longs mais efficaces, avec ici la présentation de House of Lycana à Las Vegas, où des victimes ont leurs têtes dévorées par une entité lycanthrope qui semble pouvoir changer et donner des formes. Hulk arrive en ville pour redonner un corps à Charlie, il est guidé vers Eldest alors que, en interne, une illusion (ou non ?) de Betty confirme à Bruce que c'est un piège, Charlie sera ramenée en monstre. La seule solution est d'abandonner par contrat son corps à Eldest, ce que Bruce finit par faire durant un combat violent entre Hulk et Eldest, dont on voit la vraie forme (terrifiante). Hulk est désormais sous la coupe d'Eldest, qui va pouvoir libérer la Mother of Horrors... C'est bien. Toujours lent, prévisible car on voit bien les choses venir, mais ça fonctionne bien et ça me plaît bien. C'est fluide en soi, intense, bien prenant car très intriguant, et efficace. Surtout, Nic Klein livre des planches puissantes et nerveuses, et ce graphisme et cette atmosphère font beaucoup au plaisir global. La série est bien servie à ce titre. Toujours des défauts, mais une intrigue intense. |
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Spider-Boy Annual #1
Pas foufou, mais pas mauvais. Steve Foxe livre un Annual où l'on croise Spider-Boy, sans que ce dernier soit réellement présenté, ce qui est dommage car il peut y avoir des lecteurs qui, comme moi, n'ont pas voulu le lire mais le découvrent ici avec curiosité. Il semble lié à une "Madame Monstrosity" responsable de ses pouvoirs, et il pense qu'un enfant à la tête de chien est lié à cela, quand il le voit voler des passants lors d'une sortie à Coney Island. Bailey court après lui, se change, et découvre que l'enfant chien est un Inhumain qui suit ici un rite de passage pour intégrer le Cirque du Crime. Le Ringmaster s'énerve contre Spider-Boy après ses déboires récents face à Spider-Man, mais ils sont interrompus par Multitude et Apex, venus ici car ils "sentent" une autre Pierre d'Infini. Grosse bagarre, et finalement défaite du Cirque grâce notamment à Colleen Wing, qui contrôle la Mindstone et vérifiait que Multitude et Apex sont bons. Multitude valide Spider-Boy car il a "une bonne âme", et ils partent - et sont interpellés par Star, Quantum et Overtime ! C'est sympathique. Steve Foxe ne brille pas mais ne fait pas de faute, avec un récit qui ne présente pas Spider-Boy mais demeure bondissant et plaisant. C'est fluide, pas marquant mais ça se laisse lire, avec des dessins aussi corrects de Carlos Nieto. En back-up, Phil Coulson est marqué par sa résurrection et tente de se remettre en grignotant avec Fury Jr. Ils sont interpellés par Overtime, qui révèle que Thanos les poursuit et il demande à Coulson de faire gagner du temps au groupe qui se constitue pour le stopper. Un nouveau chapitre basique mais pas mauvais, par Derek Landy et une Sara Pichelli dont le niveau baisse encore. J'oublierais vite mais je n'ai pas passé un mauvais moment, malgré le regret d'un manque de présentation de Spider-Boy. |
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Ultimate X-Men #7
Oh, ça accélère - et ça accélère bien. Peach Momoko livre un épisode dense et riche, où l'on voit d'abord la secte des Children of the Atom avec leur mystérieux Maester qui garde sous sa coupe la foule. Il draine le sang de Shinobu, le Shadow King inconscient, et le distribue car cela peut activer des pouvoirs mutants latents. L'on voit Noriko qui répond à des questions mais est refoulée quand elle veut en savoir plus sur lui, alors que le Maester est interpellé sèchement par Viper, qui n'accepte pas le haut nombre de décès dans les expériences. Elle indique que l'Empereur Sunfire n'apprécie pas, et Shinobu s'éveille en lançant une attaque psy, que Viper stoppe. En parallèle, Hisako découvre que ses pouvoirs augmentent, alors qu'elle et Mei croisent Kanon, jeune fille douée au kendo, soeur d'un policier qui découvre une valise avec un corps. Viper lui interdit d'en parler en faisant signer un accord de confidentialité, alors que les filles voient ensuite que le ciel s'assombrit brutalement et le phénomène empire... C'est riche, oui. Peach Momoko révèle beaucoup de choses et avance son intrigue, avec enfin un lien avec les autres éléments de la relance Ultimate via la mention de l'Empereur Sunfire. C'est peu mais c'est bien, on comprend que le Maester agit pour découvrir et provoquer de nouveaux Mutants, et l'idée est bonne et donne du sens à beaucoup de choses. L'intégration de Kanon est encore à faire, mais la série prend vraiment son sens, et ça fait plaisir alors que le sentiment de lire 20th Century Boys mixé avec les Mutants perdure. Le dessin continue de bien fonctionner, et je suis curieux de la suite. Ca prend du sens, ça fonctionne et ça se lie enfin au reste. Cool ! |
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Jenny Sparks #2
Je ne suis pas emballé, je n'aime pas la vulgarité et la lourdeur de cette Jenny, mais j'admets qu'il y a des éléments intéressants. Tom King joue ici sur deux tableaux, deux temporalités. Au présent, Jenny parle sèchement avec Superman qui entend agir avec la Justice League le lendemain, dès le retour de Wally pour minimiser les pertes. Jenny se transporte dans le bar, où Captain Atom a tué un otage et provoque les autres. Le ton est rude, Captain Atom soigne le psychiatre cancéreux des otages et ramène le mort, puis évacue brutalement Jenny, en se considérant un dieu que les autres doivent servir. Dans le passé, on voit la tombe de Jenny dans un lieu saint, à côté de Charles Darwin, mais elle s'éveille Objectivement, il y a du moyen et du très bon. Le moyen, c'est tout le passage au présent, ultra lourdingue sur ce Captain Atom tellement "casual", attendu dans son rôle de surhumain ayant perdu l'esprit et se prenant pour un dieu. C'est lourd car déjà vu et déjà traité, et c'est long car Jenny est abusivement vulgaire alors que ça n'apporte rien. Mais c'est très bon dans l'explication supposée de la résurrection de Jenny ; je trouve ça fin et pertinent, un peu "facile" mais efficace et surtout malin. Tom King est bon sur cet aspect, pas sur la saga de base, et Jeff Spokes a des planches correctes bien qu'un peu froides. Le coeur du récit est raté mais les éléments sur le retour de Jenny sont très bons. Mais est-ce que ça valait le coup de vraiment la ramener ? J'en doute encore. |
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Wonder Woman #13
Un bon tie-in qui s'achève. Tom King finit les péripéties de Diana, sans pouvoir, et Damian avec une plongée dans Gamorra où, en suite d'Absolute Power #3, ils s'infiltrent dans la super-prison d'Amanda Waller et y retrouvent un Steve Trevor en fuite. Diana et lui s'embrassent (beaucoup) puis participent à la libération des super-héros et super-vilains, une Diana seule tenant la dragée haute à des gardes qui la blessent avant une émeute des prisonniers. Damian fait venir Zatanna pour fuir. C'est sympathique. Tom King gère bien l'ensemble, les interactions du trio sont bonnes et il gère bien Damian en contrepoids cynique de l'ensemble. C'est sympathique, ça fait souvent sourire, et sa Diana a toujours une noblesse intense et puissante. Tony S. Daniel assure aux dessins, avec des personnages un peu figés mais c'est efficace. La back-up montre à peu près la même chose sous la narration biaisée d'un Damian adulte, qui finit par évoquer un échange entre lui et Diana où il l'aurait "convaincue" d'être mère. Ni Trinity, qui demandait comment elle est venue au monde, ni Jon ne sont dupes, mais ça fait un moment cocasse sous les dessins corrects de Khary Randolph. Un bon tie-in. Vivement le retour aux affaires. |
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