#346
|
||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||
- l'excellent The Essex County Boxing Club (16 pages); - le non moins formidable The Sad and Lonely life of Eddie Elephant ears (11 pages); et dans une partie fourre-tout : - les poupées à équiper de Lester et Jimmy; - le mini comic Recon + Girl dont que tu causes; - des sketchs, des cartes postales, des marques pages - la rencontre entre Anne et Eddie elephant ears en scène coupée; Il y en a qui hésite encore ?
__________________
L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
|
#347
|
||||
|
||||
Bon il manque juste la scène coupée avec Anne et Eddie elephant ears. Tout le reste est aussi dans la vf sauf les sketchs. Je ne savais pas que The Essex County Boxing Club et The Sad and Lonely life of Eddie Elephant ears étaient des bonus.
Combien de pages cette scène coupée ?
__________________
Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
#348
|
||||
|
||||
Ouf, tu m'as fait peur sur le boulot de l'éditeur.
La scène coupée fait 4 pages.
__________________
L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
|
#349
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Oups, en feuilletant l'édition française, je n'ai pas vu trace des deux histoires courtes (Boxing club et Elephant ears). Mea culpa.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#350
|
||||
|
||||
Je mets ma petite brochette de graphic Novel provisoirement de côté pour vous entretenir enfin de la monstrueuse pile qui trône crânement, depuis déjà une bonne semaine, au pied de la literie Gumby. Pile tellement fastueuse d'ailleurs, que me voici contraint de la scinder en deux parties pour éviter l’encombrement et l'hypoglicémie.
En toute logique, j'entame les hostilités avec le gouleyant reliquat d'avril. Green Lantern #53 Après chaque gros event, j'ai toujours un petit coup de syndrome de la boîte de tirlibibi. Vous savez, ce sont ces grosses boites de bonbons Haribo où, quand on arrive au bout, on est franchement écœuré et en même temps étrangement satisfait. Ha, il y a aussi qu'il ne reste plus que les trucs les moins bons et que l'on se force un peu à finir mais c'est un autre problème. Donc Blackest Night m'a un peu fait cette effet là et ce numéro 53 n'arrange pas vraiment les choses. Johns semble avoir un peu de mal à relancer son truc et surtout, le final transforme le comics en une maxi pub pour les nouvelles séries issues du bazar. Bon, Mankhe continue d'être un vrai plaisir mais ce numéro m'a fait douter du plaisir que je vais pouvoir avoir à lire cette série indépendamment d'autres bidules. Detective Comics #864 C'est le comics commandé par erreur de la pile (je pensais que c'était un one-shot !) et le hasard ne s'est pas trop cassé le cul sur ce coup là. Les dessins de Jeremy Haun me laissent totalement froid et les vertiges du Docteur Arkham m'ont paru franchement manqués de hauteur. Je ne lirai donc probablement jamais la suite et ... ben en fait ce n'est pas très grave. R.E.B.E.L.S. #15 et 16 Les amateurs de permanente et de gros lolos oranges seront ravis puisque la plantureuse Starfire débarque dans le joyeux cirque spatial de Tony Bedard. Contrairement à la Lanterne Verte ci-dessus, pas de coup de mou post-bouclage de gros arc, ça repart comme en quarante avec des bagarres et des dialogues acerbes à foison. Heu, par contre, contrairement à la Lanterne Verte ci-dessus, c'est quand même de plus en plus vilain à regarder. Chez DC, ils ne pourraient trouver quelqu'un pour faire souffler un peu Saint Aubin et Hanna ? Voire les remplacer définitivement ? First Wave #2 Ce second numéro du nouveau jouet d'Azzarello est largement dans la continuité du précédent. C'est donc toujours : beau (merci M. Morales), un peu lent mais intriguant et spectaculaire et surtout c'est toujours aussi chiche en Batman (une case quand même pour ce numéro). Pas mal donc, mais il faut que je me refasse les deux à la suite parce que là c'est un peu flou quand même. Spirit #1 Si vous êtes capable de faire abstraction pendant trente pages de tout le boulot du père Eisner sur ce personnage, vous serez capable de prendre plaisir à ce bidule. Parce qu'en soi même, c'est plutôt sympathique. Les dessins de Moritat sont très chouettes, la trame classique «*une nouvelle menace débarque pour le Spirit*» tient la route et nous vend bien la suite à venir, et surtout la back-up en noir et blanc d'O Neil et Sienkiewicz vaut à elle seule le détour. Après, si vous boudez le bouzin, je ne peux pas foncièrement vous en vouloir. American Vampire #2 La bonne nouvelle, c'est que ce second épisode du double feature vampirique de Snyder et King a bien meilleur mine que son entame. C'est (un peu) plus inventif et les parties horrifiques sont assez réjouissantes. La mauvaise nouvelle, c'est que j'ai le tenace pressentiment que le truc a déjà atteint son plafond et qu'au final, cela risque de ne pas voler très haut. Comme Albuquerque assure le show visuel, c'est tout de même assez plaisant, mais bon, une idée par récit, cela fait un peu pauvre pour 40 pages. Joe The Barbarian #4 Là encore, cette série demande un certain travail de deuil pour pouvoir l'apprécier. Donc une fois mis sous le bras, les espérances de grande œuvre, on expire profondément et on apprécie le voyage visuellement exceptionnel offert par Sean Murphy. La sauce bidimensionnelle de l'histoire peine donc encore à prendre forme et autant dire qu'au bout de quatre numéros, c'est mal engagé. Si ce n'est pas brillant de ce côté là, j'apprécie quand même l'aspect rigolard et bon enfant de la quête de notre brave Joe. Je suis peut être bon public mais le nain géant et les zozos qui ont fait vœu de lâcheté, ça m'amuse. Allez, j'arrête finalement de faire ma ralouze avec ma petit triplette Vertigo fétiche (et deux boni tout aussi savoureux). Hellblazer #266 Il fallait bien le retour des tories pour que notre bon John ré-enfile illico presto les oripeaux de sa folle jeunesse punk. Constantine ressort donc les épingles à nourrice pour botter les culs démoniaques d'une bande de lords zombifiés. Je commence à craindre de finir par être à court de superlatifs pour décrire la joie que j'ai à lire le bidule. Le run de Milligan continue d'être du bonheur en barre, avec tous les ingrédients que l'on a aimé sur la série et en plus une petite touche sur le vieillissement du personnage tout à fait parfaite. Alors quand, en plus, c'est dessiné par un Bisley que j'ai rarement vu aussi bon, je frise l'extase. Scalped #37 Là aussi, le sans faute se prolonge. La conclusion de ce mini arc avec Shunka en mission solo s'avère aussi retorse qu'explosive. J'avoue sans honte aucune, m'être bien fait balader par Aaron et j'ai adoré ça. Unknown Soldier #19 Alors que j'apprends dans ces colonnes que DC a annoncé l'arrêt de la série au n°25, Dysart et Ponticelli livrent un de leur meilleur numéro à ce jour. Je pensais sottement que la conclusion du numéro précédent (Moses roulant vers un massacre insensé avec un camion bourré d'armes) nous vaudrait une ellipse glaçante, voilà que les gars attaquent le truc frontalement et nous assènent un déchainement de violence, dont l'horreur est encore renforcée par un effet de voix off dont je vous laisse découvrir la teneur. Un numéro éprouvant donc, mais le lecteur fidèle sait depuis longtemps dans quoi il a mis les pieds. Dommage que l'on n'est pas été plus nombreux à franchir le pas. Pour son ambition et sa minutie, cette série aurait mérité un peu plus de temps pour prendre toute son ampleur. Maintenant, on n'a plus qu'à espérer que Dysart parvienne à boucler tout ça dignement. Echo #21 La tension ne faiblit pas sur l'épatante nouvelle série de Terry Moore. Pendant que Dillon rend visite à son taciturne de père, la paranoïa fait son petit chemin chez les gens du projet Phi, l'affrontement entre un affreux de service dans un piteux état et la teigneuse Ivy Raven s'avère plutôt intense. La facilité avec Moore mène ça, et son sens du cliffhanger sont toujours aussi sidérants. Tout ça avec une constance graphique remarquable, il faut tout de même souligner l'exploit. The Weird World of Jack Staff #2 Je termine cette première partie avec un comics oublié qui ressurgit sur cette pile. Le relaunch des aventures du super héros briton de Paul Grist est pour l'instant une vraie réussite. La malice et l'inventivité du bonhomme sont au top et si la multitude de personnages sortant de chaque recoin narratif est un peu déconcertante, le plaisir est clairement à nouveau au rendez-vous. Détail amusant, alors que la couverture livrée pour ce numéro par Ian Churchill me semble personnellement la plus laide que j'ai pu apercevoir sur la série, Grist se fend d'un petit édito où il ronchonne sur la piètre qualité de la majorité des couvertures de comics mainstreams actuels ?! Allez promis, je ne traine pas trop pour causer de la partie mai de la pile (avec un Hellboy bourré en sombrero, un Spiderman à la chasse aux mouches, un Bullseye déchainé et une demoiselle qui mange des cerveaux...). Cela devrait pouvoir le faire pour mercredi, je pense.
__________________
L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
|
#351
|
||||
|
||||
Ah oui, le Joe, là, vraiment, la sauce ne prends pas du tout, c'en est presque dommage pour le pauvre Murphy qui lui assure très fort sur la partie graphique du truc.
Et le hellblazer, nuff said.
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#352
|
||||
|
||||
Vous êtes amoureux de Bisley ou quoi?
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#353
|
||||
|
||||
Non mais presque.
Perso, je suis fan du travail du monsieur, et là, sur Hellblazer, il livre son meilleur taf depuis un moment. Du coup, oui, ça fait ultra plaisir. Et puis là, cette histoire, elle était juste faite pour être dessinée par lui en plus. D'ailleurs, toi, là, au lieu de te gausser, est-ce-que tu lis ce merveilleux titre au moins???
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#354
|
||||
|
||||
J'ai attaqué le run de Milligan avec Camuncoli prêté par SJ et, après 2 numéros, cela me laisse de marbre (beaucoup de mal à m'immerger dans le truc).
Je vais lire les 2 arcs et je verrai bien au final.
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#355
|
||||
|
||||
SJ t'as passé les single ou c'est le tpb???
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#356
|
||||
|
||||
Les singles
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#357
|
||||
|
||||
Ok.
Perso, si j'ai bien aimé le premier arc (Scab) c'est le suivant qui m'a définitivement accroché pour ce run (Regeneration).
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#358
|
||||
|
||||
En-Fin!
|
#359
|
||||
|
||||
Ah bin oui mais tu sais bien que notre Scarlet national, tant qu'il n'y a pas d'hommes en slip, il a du mal.
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#360
|
||||
|
||||
Oui mais je l'ai déjà dit, dans le traitement et le fait que ça soit une ongoing où les auteurs s'enchaînent, Hellblazer reste la série la plus slip de Vertigo. Et là comme pour toute série de slip y'a de ces arcs qui se dégagent et qu'on retient, le Hellblazer de Milligan est et sera de ceux-là.
|
|
|