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  #196  
Vieux 30/12/2012, 20h41
hannah hannah est déconnecté
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hannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'ar
Je commence déjà à regretter de ne pas être aller voir les Hong Sang-soo...
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  #197  
Vieux 30/12/2012, 23h19
Avatar de Crisax
Crisax Crisax est déconnecté
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Crisax change la caisse du Fauve
J'ai pas été voir assez de film pour faire un top 10, une quinzaine je pense dont beaucoup de "déception" (je met les guillemets parce que sans les critiques élogieuses que j'ai pu lire je n'attendais pas grand chose d'un Skyfall, Avengers ou TDKR), les plus grande furent sûrement Amazing Spider-Man et Argo.

Bref un petit Top 3 :

1- Looper. Tout de suite après la sortie de la projo je n'aurais pas pensé le mettre premier, même si j'avais été agréablement surpris. Mais au final c'est le film de l'année auquel je repense le plus souvent, qui m'a le plus marqué (en bien).

2- Moonrise Kingdom. Du formalisme comme il faut, des enfants, du romantisme, de l'humour et des actrices et acteurs superbes. Je comprends les critiques de certains pour qui le coté formel des films de Wes Anderson constitue une barrière à l'émotion, mais à chaque fois sur moi ça fonctionne plutôt bien !

3- Chronicle. Je reconnais tous les défauts de ce film, son coté très classique dans la réalisation, mais malgré tout j'ai pris un sacré pied lors de la séance et c'est de loin le film de "super-héros" (ou plutôt de super pouvoir) de l'année que j'ai le plus envie de revoir.

J'ai peut être et sûrement pas forcément fait les bons choix de séance, mais dans ce que j'ai vu je trouve que c'est une année assez décevante.
Pas de vrai gros coup de coeur comme Le Stratère (Moneyball) ou Shame avait pu l'être l'an dernier
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  #198  
Vieux 31/12/2012, 01h51
Avatar de John Keats
John Keats John Keats est déconnecté
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John Keats change la caisse du Fauve
bon je me lance, je me suis fixé comme règle de ne pas classer, je trouve ça ridicule et vain, de ne prendre en compte que les films sortis en 2012 en France, et évidemment uniquement ceux vus par moi même en salle, pas sur un écran de télé ou d'ordinateur.
je vais faire ça chronologiquement, j'en ai retenu une petite vingtaine, sur le seul motif de l'émotion. une trentaine avaient passé le cut, il n'en reste que vingt ici.

tout d'abord Une Nuit de Philippe Lefebvre, un des premiers films de cette année 2012, avec l'excellent Roschdy Zem. c'était il y a presque un an mais je me rappelle toujours vivement de l'effet énorme que m'avait fait ce très beau film qui déroule tous les millieux de la nuit parisienne, du club classique, au très chicos en passant par les boites à partouzes, les cabaret à la Michou et autres étrangetés pigalliennes. on traverse avec Zem, flic à la mondaine, la ville, unité de temps contenue dans le titre, et beaucoup d'intensité.

The Girl with the Dragon Tatoo de David Fincher, version étasunienne du premier tome de la saga millienium, mettant en lumière le talent de Rooney Mara, elle qui déjà éclatait de sa classe dans la première scène matrice du film précédent de Fincher, Social Network. je n'avais jamais rien lu ni vu de cette saga célébrée par tous, et je me suis passionné pour ce film si bien mis en scène, et si impeccablement interprété par des acteurs très concernés semble t il.

Bullhead de Michael Roskam, révélant pour nous autres non flamands la gueule de 2012, Matthias Schoenaerts, suintant de virilité dans cette histoire de trafic de viandes dopée aux hormones, tout comme le personnage principal et sa trouble histoire d'enfance. la présence folle de ce grand bonhomme, sa carcasse impressionnante, tout est déjà là dans Bullhead.

Oslo, 31 août, de Joachim Trier, histoire d'un camé loin du cliché attendu, un fils de famille qui avait tout pour réussir et qui a tout raté. récit de sa journée en quête de sa vie, des bribes qu'il peut en rester. tonalité très noire et assez désespéré, sur fond d'une très jolie capitale inondée de soleil. un contraste assez étonnant pour un très beau film là encore dans une langue magnifique.

Les Adieux à la Reine de Benoît Jacquot avec la très active Léa Seydoux. j'avais beaucoup aimé le parti pris de filmer non pas l’événement à petite échelle, celui de l'éclatement de la Révolution française, mais un moment bien précis par les yeux d'une serviteur dévouée à la reine de France. son personnage est d'origine modeste, loin de la noblesse qu'elle sert, une de ces petites fourmis qui composait le tableau versaillais. plastiquement très appliqué, avec une très bonne Léa Seydoux.

Tyrannosaur, de Paddy Considine, avec Peter Mullan. film très noir où les violences se rencontrent pour s'atténuer et se comprendre un peu. Mullan est terriblement bon dans son rôle de vieux colérique, veuf, qui a un parcours assez surprenant. très dur mais avec des moments lumineux assez incroyables.

Margin Call de JC Chandor, avec un casting pléthorique composé de Kevin Spacey, Zachary Quinto ou encore Jeremy Irons. si je retiens ce film c'est par le cynisme qu'il révèle de notre époque. j'ai encore en mémoire cette scène ou Irons, énumère toutes les dates marquant des crises du capitalisme depuis le XIXème siècle, explicitant bien que c'est systémique et concomittant à cette idéologie, qui survit envers et malgré tout. rarement un film, selon moi, a montré de façon aussi claire et juste la folie de ce système économique qui n'en finit pas de se sauver envers et contre tout bon sens.

Barbara, de Christian Petzold, mettant en scène une femme médecin en allemagne de l'est avant la chute du mur de Berlin et la réunification du pays. tant le thème que le jeu des acteurs sont au diapason pour livrer une histoire passionnante et assez atypique.

De Rouille et d'Os de Jacques Audiard, avec le tandem Matthias Schoenaerts Marion Cotillard. quelque part on sent le personnage d'Ali comme sorti tout droit de Bullhead. il crève l'écran ici, et si on a beaucoup parlé de la partition de Cotillard, personnellement je n'ai vu que lui, se brisant les poings sur ce lac gelé, sa candeur quand il discute de sujets si grave avec Cotillard, parfait. et cette route entre Cannes et Golfe Juan qui m'a fait versé ma larme au début du film aux premiers rangs d'une salle parisienne.

Saya Zamurai de Hitoshi Matsumoto, histoire d'un samurai qui a perdu son sabre, et semble t il toute dignité. défroqué et bien mal en point il a un mois pour faire sourire le fils inconsolable du daimio local. beaucoup d'humour et d'émotion dans ce petit film en plein japon médiéval et assez éloigné des chambarras habituels. beaucoup de charme.

on atteint l'été avec Starbuck, la belle surprise en provenance du Québec, ce quadra un peu paumé qui apprend qu'il est le père de plusieurs centaines d'enfants, dont une partie veut connaitre son identité. récit intelligent, touchant et qui fonctionne exceptionnellement bien.

The We and the I de Michel Gondry. je me dis que j'ai beaucoup apprécié les unités de lieux et de temps cette année, et ce film est de cet ordre, tout se déroulant en temps réel dans un seul et unique bus, ramenant des lycéens chez eux après leur dernier jour d'école.
comme quoi on peut faire des merveilles avec des acteurs presque tous non professionnels. ils sont tous merveilleux et chapeau à Gondry et son équipe pour avoir réussir à diriger l'ensemble, pour la vision, la toile de fond et le fil rouge qui apparait à la fin et illumine le boulot. grand metteur en scène.

attention polémique, Looper de Rian Johnson. polémique parce que le film a beaucoup de détracteurs qui y voit une dégénérence du genre science fiction. personnellement c'est le cadet de mes soucis, car comme le dit un des personnages on s'en fout un peu des détails du genre, ce qui importe c'est le propos,et là encore, l'émotion provoquée par l'ensemble. si je dois bien admettre l'erreur anthologique d'avoir grimé ainsi ce grand acteur qu'est Gordon Levitt (comme si le spectateur ne pouvait pas accepter deux acteurs différents pour un même rôle), j'ai beaucoup aimé la mise en abyme du personnage, et le propos sur le fait que nos choix font ce que nous sommes.

Augustine d'Alice Winocour avec Vincent Lindon et Soko. encore un sujet atypique, autour de la maladie mentale et du professeur Charcot, c'est l'éveil sexuel et émotionnel d'une jeune fille qui est développé ici. tout comme nous spectateur, Lindon tombe sous le charme de la jeune Soko, musicienne mais aussi actrice, que je découvrais ici, et son charme tout simple, la sensibilité à fleur de peau.

Les Bêtes du Sud Sauvage, qui n'est pas exempt de défauts, surtout dans son dernier tiers, mais qui est plein de promesses,surtout quand on sait que c'est un premier long pour le réalisateur Benh Zeitlin, qu'il a tourné en super 16 avec très peu de moyens. on dit merci au festival de cannes et à Un certain Regard qui a permis une bonne distribution pour un petit film plein de peps et très singulier.

Thérèse Desqueyroux de Claude Miller, film testament, avec Audrey Tautou et Gilles Lelouche.
comme me l'a dis quelqu'un tout est beau dans ce film, le travail sur les décors, sur les lieux de tournage, les costumes, tout est parfait. et l'émotion est au rendez vous, je me rappelle avoir pas mal pleuré pendant la séance, la sensation d'être pris au piège comme Thérèse est très forte, la délivrance tout autant. je fus surpris que ça fonctionne aussi bien sur moi, c'est pour cela que je distingue ce film qui le mérite.

Tabou de Miguel Gomes, ses critiques élogieuses, presque même démesurées. je fus content ces derniers temps de lire quelques critiques, très bien faites, à charge contre le film tellement il faisait l'unanimité de façon exagérée, surtout dans la critique parisienne.
et pourtant j'ai aimé ce film, son très beau noir et blanc, ses deux actes féminins et masculins, son parti pris d'utiliser le son comme décor et non pour les dialogues dans la deuxième partie, et ça ne m'a pas dérangé outre mesure que l'angle coloniale du Mozambique ne soit au final que le théâtre de l'amour des deux personnage principaux. sans doute pas le chef d'oeuvre énoncé ici et là mais un très beau film néanmoins.

un de mes gros coups de coeur est venu tard, Wuthering Heights, adapté du classique d'Emily Brontë par Andrea Arnold, connue notamment pour son Fish Tank. je l'ai vu deux fois tellement j'ai adhéré à l'aridité de la mise en scène, la rareté des dialogues, à la puissance de l'image, aux scènes qui se font échos dans la deuxième partie, à ce plan final tellement beau. car Arnold a un amour du plan qui ne pouvait me laisser indifférent.

Sugar man de Malik Bendjelloune, documentaire suédois sur Rodriguez, folk singer inconnu de tous sauf de l'Afrique du Sud, histoire incroyable d'un guitar working class hero qui a raté sa célébrité et qui fut l'égal d'Elvis dans un pays qui avait besoin d'un chantre de la révolte car oppressé pendant des décennies par un pouvoir raciste. belle surprise vue dans cette salle exceptionnelle qu'est l'étoile Saint Germain des Près.

et enfin Life of Pi d'Ang Lee, récit enchanteur d'une jeune Indien seul rescapé du naufrage d'un navire l'amenant lui et sa famille vers le Canada. visuellement époustouflant, d'une poésie rare avec une conclusion non moins juste. une digne conclusion à cette année de cinéma qui aurait pu être plus riche, mais qui fut surprenante sur sa fin, le sprint final ayant accouché de films d'une grande qualité, mais malheureusement très mal distribués.
notons que Sugar man a eu trois copies, Wuthering Heights seulement six, et Tabou une quarantaine.
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Dernière modification par John Keats ; 31/12/2012 à 10h39.
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  #199  
Vieux 31/12/2012, 10h44
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zarma change la caisse du Fauve
On va la faire courte, j'ai pas trop l'envie de m'étendre pour le moment.
10)En fait, je crois que j'ai même pas vu 10 films sortis cette année, donc fuck.
9) Haywire, parceque Carano. Mais sinon bon...
8) Dark Knight Rises parceque Batman évite des missiles en batnavion.
7) The Woman, parceque "ohputainmaisqu'est-cequeolalala".
6) Skyfall, parceque say JOULI.
5) Ted, parceque golri.
4) Expendables 2, parceque explosions, punchlines minables, toute mon enfance et Vandamme.
3) The Raid, parceque ça se tape très brutalement avec du Pencak Silat dans un immeuble.
2) Avengers, parceque faut pas déconner non plus.
1) Bangkok Knockout (Knockout Ultimate Experience chez nous je crois) parceque ça se tape avec du Muay et du Kung-Fu de top qualitay. Oh et des motos. Et des voitures. Et que Rittikrai, je t'aime.
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Dernière modification par zarma ; 31/12/2012 à 10h53.
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  #200  
Vieux 31/12/2012, 12h16
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  #201  
Vieux 31/12/2012, 12h18
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John Keats change la caisse du Fauve
ah la la tu entretiens mon aigreur de ne pas encore avoir pu le voir.
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  #202  
Vieux 31/12/2012, 12h21
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gillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le Tireur
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Posté par hannah
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et 3 ou 4 films français de la 11ème à la 20ème place.
Ah ben j'aimerais bien les connaitre.
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  #203  
Vieux 31/12/2012, 13h13
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mellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantasticmellencamp est intelligent comme Mister Fantastic
42 sorties 2012 vues au cinéma. Une vingtaine de moins que l'an dernier, c'est dire comme cette année fut assez anecdotique.

Quelques films que j'ai loupé et je le regrette: Une Nuit, Kill List, Le Territoire des Loups...

J'aurais vraiment pas dû y aller: Prometheus, Twixt, Une Nouvelle Chance, Piégée.

Mon Top 10:

1 - Les Enfants Loups, Ame et Yuki: encore une réussite après La Traversée du Temps et Summer Wars, c'est beau comme tout, rien d'autre à dire.
2 - Bullhead: révélation d'un acteur, des scènes dures et fortes, quelques passages à l'humour tarantinesque et vraiment chapeau, ça s'insère bien malgré la gravité du ton. Le tout sur fond de trafic d'hormones pour l'élevage bovin, un contexte original pour ensuite développer le trauma du personnage principal.
3 - Killer Joe: question de sensibilité, je n'avais pas aimé Bug, autre adaptation du dramaturge à l'origine de cette histoire. Matthew McConaughey trouve pour le moment le rôle de sa carrière, et le film de Friedkin m'a fait l'effet d'un pain dans la figure, des acteurs au top, et un final que j'ai trouvé excellent, de quoi rester dans les mémoires.
4 - La Taupe: c'est bavard, c'est lent, mais que c'est captivant.
5 - Looper: Malgré quelques petits défauts, j'ai été emballé, et j'ai hâte de le revoir.
6 - Les Nouveaux Chiens de Garde: documentaire sur tous ces escrocs qui passent pour des journalistes ou consultants, surtout en matière d'économie à la télévision, donnant des leçons sur des sujets importants et qui en réalité se gavent depuis 20 ans tout en alimentant une consanguinité qui les arrange tous.
7 - Moonrise Kingdom: ce ne sera pas mon préféré de Wes Anderson, mais il continue à faire des films dont je ne me lasse pas.
8 - Argo: rien de bien original au final, mais c'est très bien mené malgré tout, j'espère qu'Affleck va continuer à faire des films aussi soignés.
9 - Cloclo: bravo, une bio qui m'a captivé malgré sa longueur et le fait que je n'ai rien à foutre de Cloclo. Jérémy Rénier est vraiment impressionnant.
10 - The Dark Knight Rises: j'ai moins bien aimé que le Dark Knight, mais une conclusion réussie pour moi sur la vision du personnage par Nolan.

Dernière modification par mellencamp ; 31/12/2012 à 13h20.
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  #204  
Vieux 31/12/2012, 13h13
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Ivan Rebroff Ivan Rebroff est déconnecté
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Ivan Rebroff change la caisse du Fauve
Dernier jour de 2012, je vais me départir un instant de cette fainéantise implacable pour vous donner les dix films qui m'ont fait le plus vibrer, ouvrir les yeux d'excitation difficilement contenue, sourire bêtement, fait voyager, m'ont tordu les tripes d'émotion... Sans ordre précis, je n'ai pas vu assez de films cette année pour pondre un classement hiérarchique qui serait pertinent à mes yeux.

Les Enfants Loups, Ame & Yuki, de Mamoru Hosoda. Ce n'est pas un secret, j'aime beaucoup les thèmes tracés par Hosoda dans ces deux premiers longs, La Traversée du Temps et Summer Wars. Ici, il brasse encore à foison : l'apprentissage de la différence, la maternité, l'opposition civilisation/nature, le déterminisme, la difficulté du choix, la nostalgie d'un Japon lié à la terre, paysan & traditionnel... La mise en scène est splendide, les graphismes sont à tomber de beauté, les larmes affleurent souvent, de joie ou de tristesse. Un petit bémol sur la fin, cependant, un peu forcée dans le tire-larmes.

Starbuck, de Ken Scott. Un pied fabuleux, cette comédie. Tout passe, y compris la fin un peu trop gentille, parce que les acteurs sont bons, les blagues sont vraiment drôles, l'accent et la bonhommie québécois sont fantastiques. Un film qui donne une pêche monstre, une fois de temps en temps, ça fait un bien fou.

The Avengers, de Joss Whedon. Un blockbuster comme une montagne russe gigantesque, avec un début un peu longuet, puis pleine de loopings, de têtes en bas, d'éclats de rire et un final dantesque. L'histoire est improbable et les méchants n'ont aucun charisme, mais on s'en fout, Hulk est enfin réussi !

Argo, de Ben Affleck. Celui-ci continue à être plus intéressant derrière la caméra que devant, et je le remercie de perpétuer cette tradition d'acteurs-réalisateurs capables de diriger honorablement un film. L'histoire est intrigante, les acteurs sont tous excellents, le rythme est soutenu sans être hystérique, le regard sur la crise de Téhéran est moins manichéen qu'on aurait pu le craindre, les 2 h passent comme un charme. Un léger bémol sur la fin (décidemment !), à l'émotion poussée un peu trop artificiellement, n'entache en rien le plaisir de voir ce film.

Looper, de Rian Johnson. Beaucoup a déjà été dit sur ce film, en bien comme en mal. Les bons films de SF sont devenus si rares ces derniers temps qu'une horde de mécontents s'empare pour le disséquer sans ménagement le bougre de film qui a eu l'outrecuidance d'avoir le feu vert d'un studio hollywoodien. Nombreux sont ceux à avoir hurlé aux incohérences dans le scénario. J'ai trouvé que les ellipses apportaient au contraire un plus bienvenu à l'ambiance déjà bien portée à l'écran de cette année 2044. Là où le film fonctionne vraiment bien, c'est qu'on a envie de butter le gamin dès qu'il apparaît. Un peu de Terminator, un peu d'Akira (maladroit), un refuge dans les blés, mais avant tout une belle réflexion sur les choix qui façonnent un être humain.

Des Hommes sans Loi, de John Hillcoat. Une belle surprise, ce film de gangsters/western dans les États-Unis des années 30, servi par des comédiens inspirés, une jolie mise en scène qui évite l'esbroufe et les effets de caméra, un souci du détail bluffant. Et surtout, Jessica Chastain et Mia Wasikowska, qui illuminent l'écran de leur beauté.

Margin Call, de J.C. Chandor. La preuve qu'un film sur l'origine du krach boursier de 2008 peut être passionnant, porté par une écriture parfaite, un casting qui en a sous les bretelles et une tension palpable. Cependant, vu le sujet, la violence inhumaine de la réalité du monde, qui voit des milliers de gens comme eux fourrer leur poing jusqu'au coude dans le cul de la planète tous les jours du matin au soir, affamer la moitié de l'humanité et racketter l'autre, on peut trouver que ce film ne fait qu'effleurer la réalité.

De rouille et d'os, de Jacques Audiard. Pour la douceur et la Croisette au petit matin. Et la route de Cannes à Golfe Juan, comme Keats.

Moonrise Kingdom, de Wes Anderson. Une histoire d'amour entre enfants charmante et sucrée comme une glace à l'eau en plein été, servie par une bande-son parfaite, et de très bons acteurs - Edward Norton n'est pas mort ! L'épopée est très agréable quoiqu'un peu vaine, et on y arrive à bon port sans s'être occupé des adultes, ce qui enchante mon enfant intérieur.

Last but not least, La Chasse, de Thomas Vinterberg. Combien sont-ils, les sycophantes à avoir hurlé que le spectateur est pris en otage par le réalisateur ! Que celui-ci fait preuve de complaisance envers un sujet plus que délicat - la pédophilie - en faisant du protagoniste un être sympathique ! Il faut dire que Mads Mikkelsen, son physique de brute engoncé dans ses pulls jacquards et ses pantalons en velours, est parfait en père divorcé cabossé travaillant dans un jardin d'enfants, encaissant avec retenue et sobriété la haine, tel le bouc émissaire ultime. Est-ce l'empathie obligatoire du spectateur avec le protagoniste qui a gêné ? Est-ce au moment où le moment où la honte change (magistralement) de camp que le spectateur se sent coupable d'aimer l'odeur du sang ? Je ne sais trop. Je n'ai vu aucun didactisme dans ce film, seulement l'incertitude, la tension et une très bonne appréhension de la rumeur. Et cette fin, mes aïeux, d'une violence incroyable et pleine de subtilité.

Il faudrait que je revois La Taupe : je me suis endormi devant, et je ne cesse de lire combien ce film est une pépite.

Dernière modification par Ivan Rebroff ; 31/12/2012 à 13h20.
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  #205  
Vieux 31/12/2012, 14h17
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John Keats change la caisse du Fauve
Killer Joe aurait fait un bon outsider en effet. border line en diable, mais tellement fou et jouissif..
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  #206  
Vieux 31/12/2012, 19h14
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Aguéev change la caisse du Fauve
Take Shelter : premier film vu cette année. Première claque. Michael Shannon, extra de bout en bout.
Go Go Tales : vu sur mon pc et j'y retourne au cinéma et je vais inviter un ou des potes à me joindre car c'est vraiment quasiment la perfection. Après 4h44 j'avais un a priori concernant ce film me disant que Ferrara ne pouvait sortir la même année deux excellents films et en fait la barre a été placé très haut dans cet ensemble d'histoires de ce strip club de New York avec un Willem Dafoe exemplaire dans son rôle de maitre des lieux peignant habilement sa chute, son ridicule, son addiction (tiens comme par hasard) au jeu, son affection pour l'établissement et ses employé malgré son côté PR et faux culisme par moments. Le reste du cast est lui aussi parfait. Encore un beau film sur le féminisme mais pas que.
Cosmopolis : parce que c'est ce genre de film ultra linéaire dans sa forme que j'adore.
Into The Abyss : parce qu'on a un exemple parfaitement documenté de la misère mentale de certaines personnes au Texas et de la peine capitale.
4h44, Dernier Jour Sur Terre : l'autre Ferrara. Celui plus dur, moins léger. Willem Dafoe et Shanyn Leigh (again! mais on ne va pas se plaindre). L'attente de la fin du monde sans pouvoir profiter du dernier jour comme si c'était le dernier.
Twixt : Une expérimentation curieuse de Coppola qui nous fait pratiquement un téléfilm comme ceux reprenant les oeuvres de Stephen King. Le plus curieux est néanmoins plus le manque de pudeur par rapport à sa vie privée étalée dans le film que l'ambiance étrange dans laquelle Edgar Poe guide un Val Kilmer sans inspi.
Chronicle : le meilleur film de super héros après Incassable.
Tabou : parce que j'ai trouvé que c'était un très beau film tout simplement
Ame et Yuki les enfants loups : parce qu'une fois passé le pathos de certaines scènes on se retrouve fâce à un superbe conte pour enfants et plus grands.
Killer Joe : dur, brutal. Juno Temple encore à poil. Le père complétement abruti. Le Texas pas comme en vrai mais presque.

ensuite :

Holy Motors
La Folie Almayer
In Another Country
Faust
War Horse



films ratés de l'année :

Prometheus : le pire film de l'univers
Dark Knight Rises : le second pire film de l'univers

et puis le film que tout le monde a aimé mais qui m'a laissé un peu indifférent :

Moonrise Kingdom
__________________


"Pour moi le scénario repose entièrement sur le fait que Magneto est con"





Dernière modification par Aguéev ; 31/12/2012 à 19h21.
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  #207  
Vieux 01/01/2013, 00h00
hannah hannah est déconnecté
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hannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'ar
Citation:
A peu près dans l' ordre...
1 _ Moonrise Kingdom de Wes Anderson
2 _ Quelques heures de printemps de Stéphane Brizé
3 _ Skyfall de Sam Mendes
4 _ Les enfants loups (Okami kodomo no Ame to Yuki) de Mamoru Hosoda
5 _ Tyrannosaur de Paddy Considine
6 _ Jane Eyre de Cary Fukunaga
7 _ The deep blue sea de Terence Davies
8 _ Looper de Rian Johnson
9 _ Tabu de Miguel Gomes
10 _ Take shelter de Jeff Nichols

et 3 ou 4 films français de la 11ème à la 20ème place.
Citation:
Posté par gillesC
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Ah ben j'aimerais bien les connaitre.
Puisque demandé gentiment...

11 _ 2 Days in New York de Julie Delpy
12 _ Wutherings Heigts/Les Hauts de Hurlevent d' Andrea Arnold
13 _ I wish, nos voeux secrets/Kiseki d' Hirokazu Kore-Eda
14 _ Cherchez Hortense de Pascal Bonitzer
15 _ Beasts of the southern wild de Benh Zeitlin
16 _ The Bourne legacy de Tony Gilroy
17 _ Sport de filles de Patricia Mazuy
18 _ Prometheus de Ridley Scott
19 _ War horse de Steven Spielberg
20 _ For Ellen de So Yong Kim

et le pas loin film français en 21ème position serait
21 _ Camille redouble de Noémie Lvovsky
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  #208  
Vieux 01/01/2013, 16h07
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CRBR change la caisse du Fauve
Pas de classement mais en tout cas par catégorie voilà ce que j ai retenu de 2013

Fantasy
Bilbo car c'est quand mêem une superbe adaptation, hâte de voir la suite
Blanche neige et le chasseur putain que c'est magnifique!


SF
Looper le voyage dans le temps bien utilisé
Time out le temps c'est de l argent, pas super recherché mais bien rythmé dans un univers très bien caractérisé

super slip/pouvoir
Avengers pour avoir réussi a gérer une intrigue et une équipe assez hétéroclite, c'était pas gagné d'avance et pourtant.
Amazing spiderman enfin une version qui ne me parle pas comme si j avais 10 ans
Chronicles qui m a franchement fait pensé à "The prodigies" mais toutefois sympatoche

français j en vois pas beaucoup mais ces 2 là m'ont vraiment plu
1.Les infidèles ou comment traiter un même sujet sur toute une palette de ton
2.Du vent dans mes mollets des premiers rôles a croquer balayant un large spectre émotionnel.

Dernière modification par CRBR ; 01/01/2013 à 16h13.
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  #209  
Vieux 02/01/2013, 11h29
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gillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le Tireur
Citation:
Posté par hannah
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Puisque demandé gentiment...

11 _ 2 Days in New York de Julie Delpy
12 _ Wutherings Heigts/Les Hauts de Hurlevent d' Andrea Arnold
13 _ I wish, nos voeux secrets/Kiseki d' Hirokazu Kore-Eda
14 _ Cherchez Hortense de Pascal Bonitzer
15 _ Beasts of the southern wild de Benh Zeitlin
16 _ The Bourne legacy de Tony Gilroy
17 _ Sport de filles de Patricia Mazuy
18 _ Prometheus de Ridley Scott
19 _ War horse de Steven Spielberg
20 _ For Ellen de So Yong Kim

et le pas loin film français en 21ème position serait
21 _ Camille redouble de Noémie Lvovsky
Ah, bien y'en a la moitié que je regrette de ne pas avoir vus!

Donc, bon, bref, meeeeeeeeee :

Les 2 gros chocs: Another happy day (oui ben moi je l'ai vu mi-janvier, nah.) et Bullhead.

Très différents, mais gros coups de poing au ventre puis au menton. L'un, mi-Festen mi-Dallas mais avec plein d'humour forcément décalé, l'autre avec un Ribéry kryptonien en terrifiante multi-victime et bourreau.

Superhéroïne 50's de l'année: Rose Pamphyle.

La bonne SF intenable scientifiquement mais on est habitués depuis l'temps: Looper.

Feel-good Moovies: Starbuck et Ted.


Que V'la du bon superslip
: Batman 3 (plus ou moins) et Avengers I (sachant que, à de nombreux points de vue, le Batman est un meilleur film MAIS que l' Angoisse est infiniment plus facile à créer que le Rire, donc ça s'équilibre.)

Dessin animé de l'année: Les mondes de Ralphie.

Second dessin animé de l'année: Le magasin des suicides, qui en plus de ses qualités collégiales est un hymne à la Vraie Femme. C'est quand même rare...

Le Je peux pas m'en empêcher: Ze Hobbit Ouane.

Le film que je ne suis pas allé voir à cause de Hips mais sinon j'y serais : Beasts of the southern wild.

J'ai du en oublier au moins 3 ou 4 de très bons... :hum2:
__________________
Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas.
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  #210  
Vieux 02/01/2013, 16h08
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HiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule BoyHiPs! mange des frites avec Moule Boy
Allez, à moi. 2012 aura été une année très moyenne je trouve comparée à 2011. Aucun choc de l'ampleur de "la guerre est déclarée" ou de "Drive" l'an dernier. Pour dire, ma plus belle découverte fut celle des "Enfants du paradis".
Mais j'en ai mis douze quand même pour la blague.

1.Oslo 31 aout. Magnifique adaptation du "feu follet" de Drieu la Rochelle qui m'aura donné l'occasion de lire le livre.Très belle réalisation à tous points de vue.

2.Camille redouble. Pour la plus drole et la plus émouvante première heure de l'année (après ça s'étiole un peu, dommage)

3.De rouille et d'os. Ma révélation 2012: Marion Cotillard. J'ignorais totalement que cette personne pouvait livrer un jeu sobre et sensible. Et la meilleure OST de l'année, normal, c'est Audiard.

4.Avengers. Depuis le temps qu'on attendait un film de superslip vraiment rythmé, intelligent, bien écrit, sur la longueur et pas seulement quelques minutes par ci par là. Beau doublé pour Whedon avec le n°7.

5.Looper. Un film de SF indé, plus indé que SF, équilibriste qui joue intelligemment avec son principe de base.

6.Django unchained. Bien plus réussi que ses basterds. Un joli propos humaniste avec beaucoup d'hémoglobine et de tripes, je sais, dis comme ça, ça peut surprendre. 2è meilleure OST de l'année.

7.La cabane dans les bois. Fun fun fun et malin. Régalade.

8.Jusqu’à ce que la fin du monde nous sépare. Moi, j'aime les rom' com'. Celle ci est très bien écrite, la mise en situation fonctionne à la perfection. Steve Carell est parfait et Keira Knightley m'a mis les larmes aux yeux (lors de la scène du téléphone, pour ceusses qui verraient de quoi je cause) alors que ce n'est pas sur mes glandes lacrymales que son charme est le plus opérant d'habitude.

9.Moonrise kingdom. Difficile de ne pas mettre un Anderson dans un top de l'année quand celui-ci y a sorti un nouveau film. Un cadre, une atmosphère, une petite musique familières, presque l'impression de retrouver une famille. Même si la réunion de l'année était moins jouissive que d'hab à mon goût.

10.The raid. Je regarde peu de films de tatane. Avec celui-là, j'ai eu ma dose, j'en ai pris pour 5 ans facile. Très roboratif. Pfouu, trop mangé.

11.À perdre la raison. Le film belge triste (pléonasme) de l'année. Bullhead y concourait aussi mais la ridicule dernière demi-heure l'en a exclu.

12.Amour. Le film autrichien triste (pléonasme bis) de l'année.
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