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  #121  
Vieux 26/04/2018, 15h11
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
DC Mister Miracle #8

Mister Miracle #8 (Tom King / Mitch Gerald)

Le pitch : Scott Free élève son gamin le jour et fait la guerre la nuit, seul .....Pas facile la vie d'un dieu.

Je vous laisse avec la critique de Wildcard car je ne sais toujours pas si cette série est brillante ou bien fumeuse. Les auteurs ont indéniablement du talent et j'avoue passer des bons moments devant certaines planches ou situations mais il me manque cruellement un réel fil conducteur. J'ai trop souvent l'impression que King en fait trop, qu'il aurait pu se passer de certains artifices. Pourtant il reste toujours après avoir refermer la lecture quelques choses qui flotte encore dans mon esprit, des flashs ...
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Vieux 26/04/2018, 15h22
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GenSen
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Ah, je viens de lire Black Hammer (un peu déçu au vu de la hype par le résultat, je dois avouer) et j'aime bien la première série Rough Riders, les suites m'intriguent
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  #123  
Vieux 26/04/2018, 16h24
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Hawkguy
 
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Autant le dire d'entrée, ce troisième épisode de The Terrifics laisse un goût amer, un sentiment de bâclage, qui risque bien de poser des problèmes pour l'avenir de la série -et de ligne "The New Age of Heroes", dont le principe repose quand même sur la mise en avant de ses dessinateurs. Un principe attractif quand on observe les prestigieux noms qui y sont attachés pour les premiers numéros de chaque titre mais qui, très vite, en vérité, sente l'arnaque... Mais tous les torts ne sont pas que de ce côté.


Parlons d'abord du contenu de cet épisode, qui clôt (déjà !) le premier arc narratif, avant de pointer ce qui ne va, plus globalement avec la série et le concept de la collection à laquelle elle appartient.

Jeff Lemire ne force pas son talent, c'est le moins qu'on puisse dire avec ces vingt pages qui sentent le remplissage tant elles ne font pas progresser le schmilblick. Tout juste appréciera-t-on le dialogue entre Metamorpho et Sapphire Stagg qui montre que leur relation n'est pas si paisible que cela : elle y défend son père, malgré ses actes répréhensibles, et refuse de choisir entre lui et Rex Mason quand celui-ci exprime son envie qu'ils aillent vivre ailleurs. C'est, réellement, le seul point intéressant de ce chapitre.

(On pourrait aussi évoquer le teaser en plein milieu de l'épisode où on voit Metamorpho visiblement frappé de folie et s'attaquer à des civils, tandis que le narrateur nous prévient que ceci sera expliqué plus tard. C'est inattendu et accrocheur, mais tout de même curieux : un peu comme une page de pub au milieu d'un film pour nous prévenir de ce qui se passera dans la suite du long métrage...)

Pour le reste, et c'est vraiment le plus surprenant après deux premiers numéros trépidants, de la part d'un des scénaristes les plus épatants actuellement, on se demande bien ce qui justifie ce qu'on nous donne à lire. Tout tombe comme un cheveu dans la soupe, depuis la fameuse roue infernale sortie de nulle part (mais qui a droit à la couverture), prétexte incongru pour vérifier la complémentarité des membres de l'équipe (toujours pas officiellement baptisée), jusqu'à la caractérisation de certains protagonistes (les facéties hystériques de Plastic Man qui paraissent trop forcées, la rigidité austère au possible de Mr. Terrific certes préoccupé par la situation mais qui paraît elle aussi trop appuyée). Le subplot en relation avec Tom Strong et son message est relégué à la dernière page, sans là non plus avoir eu droit à la moindre progression (alors que le héros a prévenu d'un danger mortel pour l'univers...).

Ce n'est donc pas fameux.

Mais il y a pire, et c'est ce qui finit de gâcher le plaisir.

The Terrifics appartient à une collection appelée "The New Age of Heroes" par laquelle DC Comics, à la suite de la saga Metal (de Scott Snyder et Greg Capullo), a voulu miser sur des séries originales ou reprenant des héros négligés/oubliés. Pour attirer le lecteur, l'éditeur a mis en avant des artistes vendeurs comme Jim Lee (infoutu de réaliser un épisode entier de Immortal Men...), Ryan Sook (qui ne fera que le premier n° de The Unexpected), Philip Tan (un tâcheron), Kenneth Rocafort (une nullité), John Romita Jr. (qui a expédié ses trois épisodes de The Silencer avant de partir rejoindre Millar pour Kick-Ass) et donc Ivan Reis.

Le contrat indiquait que ces stars du dessin devaient signer les trois premiers épisodes avant d'être remplacés par des noms moins ronflants mais prometteurs. Reis devait ainsi passer le flambeau à Evan Shaner (impliqué dans The Terrifics dès le début puisqu'il a redesigné les personnages, même si on n'a pas encore vu leurs nouveaux costumes - en fait il semble que Shaner ne fera que les #4 et 5, Dale Eaglesham le #7, et après... Surprise !).

Je me garde du mieux que je peux dans mes critiques d'accabler les artistes quand ils sont fâchés avec le rythme mensuel des comics tant qu'ils livrent des planches de qualité. Par ailleurs, le lecteur est aussi responsable car on n'exige pas aujourd'hui d'une BD les mêmes qualités que dans les années 60-70 : avec les progrès techniques à la disposition des graphistes, il est devenu plus simple de travailler, mais ça ne garantit pas que tout le monde ait l'énergie et l'inspiration pour abattre vingt pages par mois (a fortiori quand on se passe d'encreur). Il faut toujours garder à l'esprit le côté usinier des comics et rester indulgent.

Mais être indulgent ne signifie pas tout laisser passer et quand on se lance dans la carrière de dessinateur de comics, on sait aussi la charge de travail que cela implique, on ne peut pas faire comme si on la découvrait et penser qu'on va s'établir en ne tenant pas les délais ou en bâclant son ouvrage. A moins de travailler dans des conditions spéciales où son editor vous couvre, que votre série ne dépend d'un calendrier strict, et de livrer un travail exceptionnel finalement, peu d'artistes peuvent réclamer de leur patron et du public cette indulgence.

Ivan Reis est un professionnel, au talent et aux capacités reconnus. Mais il faut reconnaître qu'il n'est plus depuis Blackest Night cet artiste capable de produire huit épisodes de trente pages d'une qualité égale. Pour Aquaman, il a fait encore le boulot (n'étant supplée que pour un épisode sur les douze de son run) pour un résultat irréprochable. Mais sa prestation sur Justice League (version "New 52") ou récemment sur Justice League of America (version "Rebirth") a montré un dessinateur à bout de souffle après deux épisodes d'affilée, car DC lui a commandé en parallèle des couvertures pour d'autres titres (Nightwing et des variants).

Un des maux des comics actuels est la pénurie d'artistes capables d'enchaîner les épisodes mensuels, ce qui demande rigueur et tonus. Quand un artiste officie sur un titre avec un casting fourni, la donne se complique car l'effort est plus grand. La solution est de les affecter sur une série avec peu de personnages, voire avec un héros seul.

Mais, même ça, apparemment, Reis (comme d'autres) n'y arrivent plus. Après avoir difficilement produit une quinzaine de pages du #2 de The Terrifics, il n'en assure aucune pour ce #3, ses fans doivent se contenter de la couverture (par ailleurs quelconque). Il a donc été complètement remplacé par Joe Bennett, un de ces seconds couteaux qui grossissent les effectifs des gros éditeurs, des dessinateurs moyens ou franchement mauvais mais capables d'être présents au pied levé. La comparaison est quand même cruelle car Bennett n'a pas le trait expressif et souple, cette maîtrise technique, si séduisante de Reis (même quand ce dernier est fatigué). Du coup, on lit vingt pages passables, parfois médiocres, ou laides, en tout cas sans rien qui charme.

Et par conséquent on a cette impression d'avoir été abusé, trompé sur la marchandise : DC nous promettait trois épisodes de Reis (on n'en aura eu qu'un et demi), trois de Shaner (on n'en aura que deux). Ajoutez-y tous les manquements précités sur les autres titres de "The New Age of Heroes" et vous comprendrez que c'est bien beau de vouloir vendre des séries en les faisant démarrer par des stars... Mais si ces stars sont incapables d'assurer le job, la promesse vire à l'arnaque.

Le scénario n'étant pas non plus, pour l'occasion, à la hauteur, la déception le dispute à la colère. C'est dommage pour cette série sympathique et prometteuse, que je ne condamne pas (même si la suite a intérêt à relever le niveau pour qu'on n'ait plus à subir pareille déconvenue), mais c'est aussi limite de la part de DC, qui a sûrement péché par orgueil dans cette entreprise.
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  #124  
Vieux 26/04/2018, 16h32
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cela confirme ce que je pense depuis un moment des big two quand on les compare : ils se valent bien dans les communications excessives et surtout l'irrespect envers le lecteur. Je les mets dans le même panier. Il faut simplement redescendre sur terre et prendre ce qui nous plait.
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  #125  
Vieux 26/04/2018, 16h37
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Là, c'est tout simplement trop, c'est tout.
Bon, j'ai quand même hâte de lire les épisodes par Shaner, dont je suis fan, mais les sollicits pour les prochains n° font peur, j'ai l'impression qu'on va passer d'un dessinateur à un autre. Lemire et la série ne méritent pas ça. Et je pense, à court terme, moi non plus.
Un vrai gâchis.
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  #126  
Vieux 27/04/2018, 01h11
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Infinity Countdown #2 (Gerry Duggan / Aaron Kuder, Mikd Hawthorne et Mike Deodato)

Duggan fait un excellent travail sur ce pan du cosmique Marvel. Il semble être le chainon manquant à toutes les intrigues cosmiques ayant lieu depuis de nombreuses années. Il évoque bien sûr les gemmes, pardon, les pierres d'infinités mais également le destin de Groot, le retour au premier plan de Richard Rider, des raptors, le cancerverse (avec un retour que je n'avais pas vu venir) ... Adam Warlock est de la partie tout comme Ultron-Pym ...Bref on ne s'ennuie pas car le rythme est endiablé avec de l'humour pas trop lourd mais surtout bien placé. On peut y voir un travail de commande vis à vis du film sorti hier sur nos écrans mais louons surtout le travail réalisé avec les contraintes.

Quelle dommage par contre que l'on sente autant que ce pseudo event soit ni plus ni moins qu'un arc de GoG car cela manque de protagonistes (comme Carol Danver ou Wolverine que l'on n'a pas encore revu) à priori essentiel. Cela se voit à la lecture.

Cela fait longtemps que ne n'avait pas lu une histoire cosmique de cette qualité chez Marvel, et qu'importe si ce n'est pas si original que cela.
C'est que une mise en bouche Infinity prime étant pour Juillet.
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  #127  
Vieux 27/04/2018, 01h21
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Posté par wildcard
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Autant le dire d'entrée, ce troisième épisode de The Terrifics laisse un goût amer, un sentiment de bâclage, qui risque bien de poser des problèmes pour l'avenir de la série -et de ligne "The New Age of Heroes", dont le principe repose quand même sur la mise en avant de ses dessinateurs. Un principe attractif quand on observe les prestigieux noms qui y sont attachés pour les premiers numéros de chaque titre mais qui, très vite, en vérité, sente l'arnaque... Mais tous les torts ne sont pas que de ce côté.


Parlons d'abord du contenu de cet épisode, qui clôt (déjà !) le premier arc narratif, avant de pointer ce qui ne va, plus globalement avec la série et le concept de la collection à laquelle elle appartient.

Jeff Lemire ne force pas son talent, c'est le moins qu'on puisse dire avec ces vingt pages qui sentent le remplissage tant elles ne font pas progresser le schmilblick. Tout juste appréciera-t-on le dialogue entre Metamorpho et Sapphire Stagg qui montre que leur relation n'est pas si paisible que cela : elle y défend son père, malgré ses actes répréhensibles, et refuse de choisir entre lui et Rex Mason quand celui-ci exprime son envie qu'ils aillent vivre ailleurs. C'est, réellement, le seul point intéressant de ce chapitre.

(On pourrait aussi évoquer le teaser en plein milieu de l'épisode où on voit Metamorpho visiblement frappé de folie et s'attaquer à des civils, tandis que le narrateur nous prévient que ceci sera expliqué plus tard. C'est inattendu et accrocheur, mais tout de même curieux : un peu comme une page de pub au milieu d'un film pour nous prévenir de ce qui se passera dans la suite du long métrage...)

Pour le reste, et c'est vraiment le plus surprenant après deux premiers numéros trépidants, de la part d'un des scénaristes les plus épatants actuellement, on se demande bien ce qui justifie ce qu'on nous donne à lire. Tout tombe comme un cheveu dans la soupe, depuis la fameuse roue infernale sortie de nulle part (mais qui a droit à la couverture), prétexte incongru pour vérifier la complémentarité des membres de l'équipe (toujours pas officiellement baptisée), jusqu'à la caractérisation de certains protagonistes (les facéties hystériques de Plastic Man qui paraissent trop forcées, la rigidité austère au possible de Mr. Terrific certes préoccupé par la situation mais qui paraît elle aussi trop appuyée). Le subplot en relation avec Tom Strong et son message est relégué à la dernière page, sans là non plus avoir eu droit à la moindre progression (alors que le héros a prévenu d'un danger mortel pour l'univers...).

Ce n'est donc pas fameux.

Mais il y a pire, et c'est ce qui finit de gâcher le plaisir.

The Terrifics appartient à une collection appelée "The New Age of Heroes" par laquelle DC Comics, à la suite de la saga Metal (de Scott Snyder et Greg Capullo), a voulu miser sur des séries originales ou reprenant des héros négligés/oubliés. Pour attirer le lecteur, l'éditeur a mis en avant des artistes vendeurs comme Jim Lee (infoutu de réaliser un épisode entier de Immortal Men...), Ryan Sook (qui ne fera que le premier n° de The Unexpected), Philip Tan (un tâcheron), Kenneth Rocafort (une nullité), John Romita Jr. (qui a expédié ses trois épisodes de The Silencer avant de partir rejoindre Millar pour Kick-Ass) et donc Ivan Reis.

Le contrat indiquait que ces stars du dessin devaient signer les trois premiers épisodes avant d'être remplacés par des noms moins ronflants mais prometteurs. Reis devait ainsi passer le flambeau à Evan Shaner (impliqué dans The Terrifics dès le début puisqu'il a redesigné les personnages, même si on n'a pas encore vu leurs nouveaux costumes - en fait il semble que Shaner ne fera que les #4 et 5, Dale Eaglesham le #7, et après... Surprise !).

Je me garde du mieux que je peux dans mes critiques d'accabler les artistes quand ils sont fâchés avec le rythme mensuel des comics tant qu'ils livrent des planches de qualité. Par ailleurs, le lecteur est aussi responsable car on n'exige pas aujourd'hui d'une BD les mêmes qualités que dans les années 60-70 : avec les progrès techniques à la disposition des graphistes, il est devenu plus simple de travailler, mais ça ne garantit pas que tout le monde ait l'énergie et l'inspiration pour abattre vingt pages par mois (a fortiori quand on se passe d'encreur). Il faut toujours garder à l'esprit le côté usinier des comics et rester indulgent.

Mais être indulgent ne signifie pas tout laisser passer et quand on se lance dans la carrière de dessinateur de comics, on sait aussi la charge de travail que cela implique, on ne peut pas faire comme si on la découvrait et penser qu'on va s'établir en ne tenant pas les délais ou en bâclant son ouvrage. A moins de travailler dans des conditions spéciales où son editor vous couvre, que votre série ne dépend d'un calendrier strict, et de livrer un travail exceptionnel finalement, peu d'artistes peuvent réclamer de leur patron et du public cette indulgence.

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Mais, même ça, apparemment, Reis (comme d'autres) n'y arrivent plus. Après avoir difficilement produit une quinzaine de pages du #2 de The Terrifics, il n'en assure aucune pour ce #3, ses fans doivent se contenter de la couverture (par ailleurs quelconque). Il a donc été complètement remplacé par Joe Bennett, un de ces seconds couteaux qui grossissent les effectifs des gros éditeurs, des dessinateurs moyens ou franchement mauvais mais capables d'être présents au pied levé. La comparaison est quand même cruelle car Bennett n'a pas le trait expressif et souple, cette maîtrise technique, si séduisante de Reis (même quand ce dernier est fatigué). Du coup, on lit vingt pages passables, parfois médiocres, ou laides, en tout cas sans rien qui charme.

Et par conséquent on a cette impression d'avoir été abusé, trompé sur la marchandise : DC nous promettait trois épisodes de Reis (on n'en aura eu qu'un et demi), trois de Shaner (on n'en aura que deux). Ajoutez-y tous les manquements précités sur les autres titres de "The New Age of Heroes" et vous comprendrez que c'est bien beau de vouloir vendre des séries en les faisant démarrer par des stars... Mais si ces stars sont incapables d'assurer le job, la promesse vire à l'arnaque.

Le scénario n'étant pas non plus, pour l'occasion, à la hauteur, la déception le dispute à la colère. C'est dommage pour cette série sympathique et prometteuse, que je ne condamne pas (même si la suite a intérêt à relever le niveau pour qu'on n'ait plus à subir pareille déconvenue), mais c'est aussi limite de la part de DC, qui a sûrement péché par orgueil dans cette entreprise.
Même si je partage une partie de l'ennuie et de la déception. Je met ma note plus haut. Et je te trouve très dure avec le dessins que personnellement j'ai beaucoup aimer. On en reparlera après mes avis demain soir ^^
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  #128  
Vieux 27/04/2018, 16h05
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Arrivée à son premier tiers, la mini-série écrite par Ethan Sacks, révèle sa vraie nature et se pose, à sa manière, comme une concurrente au Mister Miracle de Tom King et Mitch Gerads chez DC, avec lequel elle partage le même nombre d'épisodes (douze). Mais là où les aventures de Scott Free se jouent sur un niveau mental, l'épopée de Clint Barton se distingue par son aspect physique et terminal, à l'image du dessin de Marco Checchetto. Old Man Hawkeye est bien, à mon sens, ce que Marvel produit actuellement de mieux, de plus puissant, et de plus poignant.


Comme je le disais en ouverture, à ce point du récit, le véritable thème de Old Man Hawkeye se révèle et nuance notre sentiment. Il ne s'agit effectivement pas tant d'une histoire de vengeance, comme pouvait le faire croire le plan suivi par Clint Barton contre les Thunderbolts : il est surtout question de confiance et de trahison, donc de ce qui provoque cette vengeance.

Ethan Sacks n'est pas du genre à souligner son propos par de longs flash-backs (même si dans un des prochains épisodes, on aura droit à un retour en arrière éclairant comment la guerre entre super-vilains et héros a décimé ces derniers). En jouant sur les mots, il ne nous a offerts que quelques flashes, des visions de ce passé terrible, mais à peine de quoi, en vérité, savoir ce qui s'est produit. Tout ce qu'on sait, c'est que Clint Barton va perdre la vue, qu'il mène son expédition punitive en urgence avant d'être aveugle, et qu'il a dressé une kill list.

Dans ce quatrième chapitre, encore une fois, le scénariste ne nous en dit guère plus mais en lisant bien chaque mot, en interprétant bien chaque image de l'unique flash-back, il y est question de confiance. Et en recoupant cela à la situation présente, on déduit facilement que cette confiance a été trahie, et que cette trahison est à la source de la mission que s'est fixé Hawkeye.

Barton ne part pas en guerre contre l'autorité qui régit ce monde futuriste, une sorte d'opération commando suicide, qui viserait Crâne Rouge, le leader. Non, il cible quelques personnes en particulier qu'il juge responsable des gens qu'il aimait, et principalement de Black Widow. Sacks fait le choix du couple originel formé par Hawkeye et Black Widow à celui, plus récemment établi, entre Black Widow et Bucky Barnes/Winter Soldier - ce faisant, il revient aux bases des comics puisque, quand ces personnages sont apparus dans les pages des revues Marvel, il s'agissait de deux criminels (une espionne russe et son homme de main-amant) contre Iron Man. On pourra discuter du rétablissement de l'union amoureuse entre Barton et Natasha Romanov (alors qu'elle a été plus longtemps en couple avec Bucky), mais cette option reste valide.

Après avoir vaincu Atlas, Hawkeye défie Beetle/Mach-X. La série ne se limitera certainement pas, alors qu'il reste encore huit épisodes, à enchaîner les combats entre l'archer et les anciens Thunderbolts, mais grâce à Marco Checchetto, ces empoignades, entre adversaires qui doivent bien avoir entre soixante et soixante-dix ans, restent palpitantes, formidablement chorégraphiées.

Le dessinateur traduit parfaitement le fait que les cibles de Barton ne sont pas résignées à l'idée de se faire liquider rapidement, et de façon très nuancée, on observe que l'archer a des difficultés déjà croissantes à éliminer ses ennemis (ici, il manque un tir à l'arc a priori anodin). L'issue de la bagarre a quelque chose de brouillon, sale, aigre. Elle se joue au corps-à-corps, et révèle chez Hawkeye un manque total de pitié, une volonté d'en finir peu importe la manière. L'inspiration d'Impitoyable de Clint Eastwood (déjà cité par Millar dans Old Man Logan) est manifeste : comme William Munny, tuer n'a rien de noble, c'est une tâche pénible, cruelle, déshumanisante.

Mais, ce qui diffère avec le "match" contre Atlas dans l'épisode précédent, c'est aussi la raison pour laquelle donc Abe Jenkins a trahit Barton il y a 45 ans. Et là, ce post-western super-héroïque se nuance d'une teinte sentimentale étonnante, qui suscite presque notre indulgence. En même temps qu'elle révèle une des prochaines éventuelles cibles de Hawkeye en la personne de Melissa Gold/Songbird (pourtant certainement une des Thunderbolts dont la conversion positive a été la plus sincère - même dans le run de Warrens Ellis, elle était le membre le plus réticent à réintégrer l'équipe alors aux ordres de Norman Osborn pour traquer les super-héros refusant d'être recensés durant Civil War).

Enfin, Sacks et Checchetto glissent une séquence effrayante avec les Venom, toujours sur la piste de l'archer, comme le marshall Bullseye (qui, pour ne plus prendre les appels de Crâne Rouge, a désormais sa tête mise à prix). De manière sarcastique et sinistre, l'intrigue est donc celle d'un justicier pistant des traîtres sans se douter qu'il est lui-même traqué par des monstres et un tueur. Tout cela donne au récit des allures de poudrière et promet à un moment ou un autre (dans le cas des Venom, le #5 pourrait être décisif, si on en croit la couverture du prochain épisode) des explications musclées...

Old Man Hawkeye est un coup de maître : une ambiance intense, un récit oppressant et poignant, des personnages forts, une montée en puissance maîtrisée, un graphisme puissant. En dehors des relaunchs et des changements de statu quo actuels chez Marvel, cette production tire tous les avantages de son autonomie.
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Vieux 27/04/2018, 19h59
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All new Wolverine 34
Marvel ; Scénariste TimTaylor ; Artist Ramon Rosanas.

Pitch :
Wolverine, Gabby et Maria Hill se trouve à la frontière de la Latverie alors que quelque chose leur fonce dessus. Une chose qui est là grâce à Gabby, et qui va surprendre un peu Laura. Après il faudra passer sous le champs de force (Qui va couper tout les appareil technologique qui parsème le corps de Hill ou inhibe la sensation de douleur chez Gabby). Mais passer dans le domaine de Doom et ne pas se faire repérer et moins évidant que Laura le penser et nos héroïnes vont vite faire face à ses doom boot.
Vous verrez :
- Ce que peut-être l'effet surprise d'une balle spécial du Shield.
- Une mort dramatique.
- De très beau moment, une très belle héroïne et une Latverie encore plus dictatorial qu'on en avait l'habitude.
Avis :
Couverture - Bon je suis pas fan de la couverture de Lopez pourtant. Elle est de plus pas tout à fait lier à l'intérieur. 1/2
Scénario - Par contre un très bon scénario de Tyler qui va diablement me manquer(Parce que oui je vais tenter X-23, présence de Gabby oblige ^^ ). Lorsqu'on pense qu'il ne peut faire plus fort et plus surprenant voilà qu'il nous sort ce numéro magistral. Ca va être dure de passer après. Je me demande bien comment ça va finir (Ca risque d'être bien dramatique). Il réussit à me faire m'inquiéter sur Gabby qui va donc connaitre la douleur. Et je me demande qui est Doom ... Car pas certain que ce soit Victor de retour sous l'armure, ça me semble trop simple et déconnecter du Victor tentant de jouer au héros en ce moment. 3/3
Dessins - J'aime beaucoup les dessins et héroïnes de Rosanas (Avec de bon costume pour les personnages surprises). J'adore les mèches grisonnante longe sur les tempes de Laura et le reste noir. Et puis j'aime aussi là coupe de Gabby. 3/3
Sentiments - Cette série fut un plaisir. Dire que je l'ai essayer sans être convaincu à cause de la variant cover. Et elle ne m'a jamais déçu (Bon ok un tout petit peu pendant Orphan of X mais la fin de l'arc avait tout rattraper). Si vous avez l'occasion sauter sur cette série n'hésitez pas une seconde. 2/2
9/10
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  #130  
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Avengers No surrender 690
Marvel ; Scénarist Mark Waid, Al Ewing et Jim Zub ; Artist Pepe Larraz.

Pitch :
Les vengeurs rentre au bercail c'est le temps de la séparation et pour les auteurs de ranger les jouets.
Vous verrez :
- Que Voyager est désormais la bienvenue
- Que Banner est toujours là
Vous ne verrez pas :
- De baiser entre Johnny & Rogue
Avis :
Couverture - Elle est belle mais ne me plait pas. Et puis elle veut pas dire grand chose et ne représente pas le comics. 1/2
Scénario - Numéro de fin qui aurait pu ne pas exister. A part les doutes de Jarvis et encore ce numéro n'apporte pas grand choses. Un échange entre Clint et Banner qui pose plus de question que n'est sympathique. Les départ égrainer des héros. Encore que les US se sépare semble logique mais pour les autres ^^'''.
J'ai aussi trouvé dommage que L'AIM redeviennent méchante pour l'occasion et j'aime pas le nouveau nom de l'organisation de Tony Ho (Piper devrait la poursuivre ^^ ). J'ai aussi été très déçu par comment on laisse Roberto. Cannonball et sa femme sont étrangement complètement absent. Alors que retenir ? Que Thor et Hercule n'invite que Simon à leur buverie ? Que Voyager est plus que bienvenue ^^'' . Que ni le challenger, ni le black order, ni la Lethal Legion ne sont mort ? Bref que tout le monde même le grand maitre n'en sortent comme il y sont entrer. Un peu comme le montre Lightning de retour au Texas et désormais heureux d'en fait pas faire partie de l'équipe principal ! 1/3
Dessins - Heureusement y'a Pepe Larraz, et comme depuis le début c'est les dessins qui sauvent le comics. Même si je suis vraiment pas fan de la nouvelle statue. 3/3
Sentiment - Passer votre chemin ! 0/2
5/10
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  #131  
Vieux 27/04/2018, 20h21
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Deep Roots 1
Vault ; Scénariste Dan Watter ; Artiste Val Rodrigues.

Pitch :
Le gardiens est rester endormis trop longtemps selon lui. La légende dit qu'il s'éveille lorsque les terres sont en danger. En parallèle ont va être mit face à un braquage par des aliennes légumes arrêter par un vétéran. Et une organisation couvre l'affaire et l'emmène avec eux. Enfin on va suivre un homme perdu cherchant sa route. Qu'on-t-il en commun. Le danger vient-ils des terres ?
Vous verrez :
- Que même le gouvernement ne sait pas tout.
- Une femme enfermer dans son rêve.
- Qu'avoir un acte héroïque a beaucoup de conséquence.
Avis :
Couverture - Très jolie variant que je préfère à la régulière. Même si ça ne donne pas trop ce qu'on va y lire. Mais en fait un peu tout de même. 1/2
Scénario - Un peu trop compliqué et sombre pour moi, je pense qu'il faudrait une autre lecture, car il y a une vraie volonté de construction. Mais j'ai pas chercher à vraiment m'accrocher. Même si j'ai été au bout. 2/3
Dessins - Des dessins assez particulier mais qui vont bien avec l'ambiance du comics 2/2
Sentiment - J'ai pas aimé, mais j'ai l'impression de passer à coté d'un truc. J'aurais préféré un comics sur la sentinel et le fait qu'elle ne reconnait pas le monde d'aujourd'hui ou il se réveille. Possible que ça arrive, mais pas pour l'instant. 1/2
6/10
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  #132  
Vieux 27/04/2018, 20h35
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Detective Comics 979
DC ; Scénariste James Tynion IV ; Artiste Philippe Biones.

Pitch :
Alors que Tim est en plein trip dû à la nanotechnologie de Brother Eyes et Ulysse Armstrong, Batman, Batwoman et le père de cette dernière font face au Omac (Qu'il faut désormais battre de manière différente à chaque fois ... Ca me rappel quelque chose ^^ ).
Cassandra elle tente de parler à Tim, alors qu'Azrael et Batwing vont rejoindre le trio et tenter de convaincre Batman que l'ennemi est Tim.
Vous verrez :
- Timothée devenir bat-Omac
- Quel est la solution de Batman
- Que Batwoman était prête à se débarrasser de Tim !
Avis :
Couverture - Très belle couverture et bien en rapport avec l'intérieur. Bien plus que la régulière. 2/2
Scénario - Tynion IV continue de faire des merveilles et de bien utiliser les personnages. Il va me manquer lui aussi. J'aime sa cassandra qui m'a beaucoup inquiété entre son futur et son face à face avec Tim/Omac. J'ai trouvé un peu rapide l'arriver de Azrael et Batwing mais ça amène de bon moment. 3/3
Dessins - Moins fan des dessins, c'est la première fois qu'il me déçoivent sur ce titre. Je trouve les personnages construit de manière trop brute (Surtout les visages). Son Ulysse Armstrong m'a fait penser à Quentin Quire tout du long. Et c'est moi où il suggère que

Même la page cliffanger ne m'emballe pas des tonnes ! 2/3
Sentiment - La fin du run de Tynion IV risque d'être dramatique. Mais j'ai hate de voir la suite. 2/2
9/10
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  #133  
Vieux 27/04/2018, 20h44
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Doctor Strange 389
Marvel ; Scénariste Donny Cates ; Artiste Niko Henrichon.

Pitch :
Doctor strange et toujours perdu dans l'univers chaotique mais s'est trouvé un possible allier en la personne de Dormamuu. Si un accord s'engage entre les deux sorciers, les vengeurs veulent discuter avec Stephan et c'est Bats qui va garder Dormamuu le temps que les héros discute.
Vous verrez :
- Que Dormamuu fait sentir à Strange qu'il n'est plus ce qu'il a été mais est prêt à une alliance.
- Un diné a deux d'après match.
- Que Bats à vraiment du chien
Avis :
Couverture - J'aime beaucoup cette belle couv, même si elle n'a pas trop de lien avec l'intérieur. 1/2
Scénario - Cates fait encore merveille me surprenant sur qui fait face à Stephan pour son diné. Et puis Bats
m'a beaucoup fait rire. Bien sur à lire après Damnation 4 même si du coup on est pas trop surpris par le moment surprenant du comics. 3/3
Dessins - J'aime beaucoup ce que nous propose Henrichon 3/3
Sentiments - Je continue à penser que Marvel à peu être déconner à passer Strange à Waid alors que Cates a relever un défis diabolique de passé après Aaron. 2/2
9/10

Je revient je vais manger la suite après !
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  #134  
Vieux 27/04/2018, 21h03
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Man-Thing Man-Thing est déconnecté
Gardien du nexus
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J'ai hâte d'avoir le Doctor Strange. La semaine prochaine surement. Faut que je mette les dernières retouches aux critiques des comics des deux semaines passées déjà.
Merci pour tes critiques Slobo.
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  #135  
Vieux 27/04/2018, 21h20
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Doctor Strange : Damnation 4
Marvel ; Scénaristes Donny Cates & Nick Spencer ; Artiste Rod Reis ; Epilogue Szymon Kudranski & Dan Brown.

Pitch :
Mephisto fait face à Wong. Il est sur de lui et de sa victoire pourtant Wong gère son échiquier de main de maitre. Doctor Strange est enfin de retour et booster au âmes d'Avengers.
Vous verrez :
- Mephisto fuir le fourbe !
- Mephisto être livrer comme un colis ^^
- un Dr Strange plus puissant que jamais.
Avis :
Couverture - Une jolie cover mais pas trop en lien, même si un peu. 1/2
Scénario - J'ai beaucoup aimé cette fin. C'était très bien mener et fait le lien au numéro sur Ghost Rider (Mais moi qui l'ai pas lu ça m'a pas géné. Même si ca doit avoir une autre saveur). Un seul regret, l'absence de Scarlet Spider qui aurait mériter un peu plus de présence et de reconnaissance sur la fin. L'épilogue promet, s'il y a une série j'en serais. 3/3
Dessin - J'ai aimé les dessins qui rendent un Strange bien puissant avec une splash page dans l'autre sens. Mais je trouve Mephisto étrangement jeune/ridicule, il m'a fait penser à Clarion. 3/3
Sentiment - Je regrette pas d'avoir suivit ce super scénario. 2/2
9/10
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