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Second Sight #5 (Aftershock)
Pas grand chose à dire sur Second Sight #5. L'histoire de Ray Pilgrim, continue de nous entrainer dans les bas fonds de l'humanité. Près de la conclusion, David Hine nous dévoile enfin le passé de son protagoniste principal et comment il en est arrivé à une telle déchéance vis à vis de son ex femme et sa fille. Cela reste bien mystérieux jusqu'au bout avec un cliffhanger qui promet pour la suite (et fin ?). Graphiquement j'apprécie de voir Alberto Ponticelli est son style peu clair, limite crade sur un tel récit.
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Hélas, je reste bloqué sur cette décision trop rapide et expédiée de remettre ainsi le costume. Je comprends le fond de l'idée, mais ça fait revanchard, violent et un peu bas. J'aurais préféré que Luthor aille plus loin dans son discours, traîne Superman New52 dans la boue devant ses citoyens, ce qui aurait provoqué Clark. |
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Pas faux. Mais comme j'étais venu pour lire un changement de ton et de statut quo cette entrée en matière assez brutale m'a parfaitement convenue. Cela faisais très année 80 j'ai trouvé.
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C'est vrai.
En soi, ce n'est pas un drame, mais Jurgens avait établi et souligné dans Superman : Loïs & Clark (ou Loïs & Clark : Superman, je ne sais jamais) que ce Clark ne voulait pas redevenir Superman, qu'il avait trouvé une autre vie et appréciait, en un sens, cette voie. Du coup, je pensais que le moment charnière du choix ne serait pas aussi vite expédié. Après, à voir maintenant comment la suite sera gérée, mais je suis relativement confiant. J'attends de voir Tomasi sur le titre principal. |
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En tout cas ça pose d'autant plus la question des ses actions pendant Forever Evil. Puisque pas seulement Superman mais toute la ligue (A part Batou) avait disparu. Je désespère d'avoir un flashback là dessus.
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Wonder Woman Rebirth #1 et Flash Rebirth #1
Avis légèrement différents pour deux Rebirths
Seul bémol, cela se lit un peu vite. Mais Joshua Williamson (Ghosted, Birthright, Nailbiter) n'est pas connu pour faire des scénarios ultra poussés. Je vois très bien le Flash de Williamson comme une série Image chez DC. Le scénariste vise l’efficacité et il y arrive très bien. Et après tout pourquoi pas cela permettra de redonner du fun et du rythme à speedy. Cela fait longtemps que j'avais pas été aussi excité de lire du Flash. Pari réussi pour moi. Je serais de la on going. |
#37
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Je vais pouvoir lire les one-shots Rebirth!
J'attaque par le Flash évidemment! ^^
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The Flash: Rebirth #1
Véritable prolongement de DC Univers: Rebirth, ça en devient même suspect tant certaines pages auraient eu leur place dans le one-shot initial.
Au moins, elles prolongent à la fois le mystère mais annoncent bien une suite aux révélations. A voir quand DC voudra s'y coller. En attendant, Josh Williamson doit se coltiner le passage obligé des origines du héros, le tout avec avec des cases historiques revisitées (tout comme DC Univers: Rebirth l'avait si bien fait avec Crisis On Infinite Earths) : pile-poil pour les 60 ans de Barry, comme quoi, il y a des choses qui tombient bien. Pour le reste, ça tease un minimum le futur arc où l'auteur devra apposer sa patte. La remarque vaut aussi pour Carmine Di Giandomenico qui n'ose pas trop, j'ai eu l'impression : c'est efficace (magnifique double page de speedsters) mais il y a moyen de plus s'éclater. Vivement la suite.
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Wonder Woman: Rebirth #1
Greg Rucka revient et il a décidé de balayer le run d'Azzarello qu'il ne s'y prendrait pas autrement.
Mieux, il veut raccrocher les wagons de l'ère pré-Flashpoint, celle où il avait déjà fait un passage remarqué avant Infinite Crisis et la passation de pouvoirs avec le médiocre Allan Heinberg (allons, tu ne peux avoir avoir publié cet arc nullissime où la remplaçante Donna Troy sert de pendentif à Giganta en guise de caractérisation?). Non pas qu'il veuille jeter le bébé avec l'eau du bain vu qu'il essaie de ménager certaines susceptibilités (qui ment à qui?) mais, à l'instar d'un Wally West qui connaissait la vérité, Diana se la joue "sérum de vérité" auto-infligé afin de pouvoir garder ce qu'il veut. Afin d'illustrer ce changement de régime, DC a fait appel à Paulo Siqueira (ah on me glisse dans l'oreille qu'il ne sait pas tenir un délai de 14 pages en 3 mois donc il a encore posé un lapin), pardon Matthew Clark déjà passé dessiner l'héroïne le temps d'une dizaine d'épisodes époque Eric Luke où il officiait avec Yanick Paquette. C'est très joli avec un petit côté Nicola Scott sur les nez (ça tombe bien la jolie australienne revient aussi sur le titre). Arrive la transition où Liam Sharp éclate de mille feux pour le futur carnage artistique qui s'annonce : c'est superbe! En 5 pages, il risque de mettre tout le monde d'accord, mon dernier souvenir (guère fameux) de lui datant de Countdown To Final Crisis: Lord Havok & The Extremists (non, ça aussi tu ne peux avoir oublié tant c'était naze...). DC a décidé de mettre les petits plats dans les grands : très conseillé. Une série qui va marcher à la Wonder.
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on a quand même des avis qui se rejoignent (Ben, Slobo, toi et moi) mais j'ai l'impression que l'on pas vécu de la même façon ces numéros (je parle de Flash et Wonder Woman). Mais je te rejoins complètement sur Liam Sharp qui met tout le monde d'accord. J'ai énormément apprécié Di Giandomenico moins maniéré que sur X-Factor (la colorisation y est pour quelque chose).
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Batman: Rebirth #1
Quand ce n'est pas cassé, pas besoin de le réparer (la réciproque est vraie).
C'est mon sentiment à la fin de cette lecture. S'il y a bien 1 titre qui n'a pas subi trop de modifications sur le fond avec le New 52, c'est bien Batman et comme l'équipe aux commandes a assuré tout du long (avec quelques numéros avec d'autres artistes pour laisser la machine Greg Capullo se reposer), il fallait juste assurer le passage de témoins entre Scott Snyder et Tom King. Aussi, Scott Snyder finit de ranger ses jouets ou de les fignoler (Waynes Enterprise, Duke Thomas) au travers d'une histoire classique (j'ai du mal à voir en quoi le Calender Man peut préparer quelque chose pour la suite) qui a le mérite de se lire simplement. J'ai plus savouré la prestation de Mikel Janin, artiste qui progresse d'année en année depuis Justice League Dark déjà appréciable.
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Marrant pour WW j'aurais dit (Ben, Scarlet et moi), j'ai eut l'impression d'une perturbation dans la force de ton coté |
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Superman Rebirth #1 : c'est là que l'on voit que le Rebirth est une transition qui se fait en douceur. En fait de relaunch cet épisode fait office de conclusion à la saga du précédent Superman et effleure tout juste le destin de l'ancien qui revient. Ce qui est appréciable c'est ces références à l'ancienne continuité comme Doomsday et Funeral for a Friend. Pas entièrement une table rase mais une charnière, moins choquant que le passage au New 52, DC revient aux fondamentaux tout en gardant la ligne éditoriale des dernières années. C'est vraiment Superman #1 qui lancera la nouvelle époque et on l'attend donc encore plus de pied ferme.
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#44
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Renato Jones the One % #2
Renato Jones the One % #2
On le savait, et ce deuxième numéro le confirme : oui Kaare Andrews est loin d'être un grand scénariste. Il a quand même du prendre des cours avec Frank Miller pour nous offrir ce Bruce Wayne qui dézingue du gros bourgeois capitaliste. Le scénario n'est pas loin de tenir sur un timbre poste (mais il faut quand même plus d'un). C'est verbeux, cliché, violent mais pas (plus ?) choquant. Il y a quand même des côtés positifs, comme un récit qui tient sur un seul numéro (pas de décompression) et encore une fois une grosse claque graphique (d'autant que l'on apprécie le sieur Andrews). J'ai quand même eu du mal à aller au bout car l'accumulation de textes, souvent inutiles et pompeux, ralentit la lecture. La cover promet un shoke on this ce fut limite sleep with this |
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Invisible Republic #10
Invisible Republic #10 (Corinna Bechko / Gabriel Hardman)
26 pages de BD. C'est pour faire passer la pilule du retard chronique que prend désormais la publication de chaque numéro ? Non pas que le scénario ne soit pas intéressant, l'histoire avance avec encore une fois un dosage intelligent entre les deux récits (passé et présent). Babb en mauvaise posture va devoir faire des choix radicaux pour l'avenir d'Avalon tandis que Maia assure la protection de son cousin Arthur, futur dictateur de la même Avalon. Il y a bien sur une troisième force en présence, l'énigmatique et fourbe Nica comme dans tout bon thriller politique. Non ce qui est rageant c'est que l'histoire des époux Bechko-Hardman s'apprécie d'autant mieux qu'elle est taillée pour un format feuilletonesque. Là on a déjà presque tout oublié, on met du temps à se rappeler qui est qui et les enjeux et on passe à côté d'une histoire passionnante. Oui c'est un coup de gueule. |
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