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Leo Dorfman et George Papp Superman's Pal, Jimmy Olsen #79 1964
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
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Pour ma part, j'ai toujours rangé "Let it be" (et "Let it be... Naked") en dernier dans le coffret où se trouve ma collection de cd des Beatles : ça ne correspond peut-être pas à une chronologie stricte mais davantage à l'ordre dans lequel j'ai toujours considéré leur discographie. |
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@Pirate:
Ta vignette vient à point pour rappeler que, au début du groupe, Starr était le plus populaire du quator C. |
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Bref, Abbey est bien le dernier. La preuve: le dernier morceau s'appelle The end.
(non, n'en parlons pas. ^^) Bon, humm, ruhmm; gluh. J'ai réussi à choper le dernier exemplaire ici de la réed vinyle du plus grand disque de rock français de tous les temps (ouiii, avec le meilleur Bashung, si vous y tenez.) Rhhhhhhhhhhhhhhhhhhhah! |
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Rien ne vaut un classique
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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Ma playlist de ces derniers jours :
ASA : BED OF STONE. Très bel album de Asa, qui ne déçoit jamais. Les mélodies sont divines et habillent élégamment des textes souvent sombres. La voix de la demoiselle est superbement mise en valeur. THE BEATLES : REVOLVER. Les Fab Four ont vraiment marqué les esprits à l'époque avec cet album qu'ils mirent huit mois à finaliser. Les idées avancées dans "Rubber Soul" trouvent là leur aboutissement et inspirèrent ensuite Brian Wilson pour le "Pet Sounds" des Beach Boys (qui motiva le "Sgt Pepper" des Beatles : tous ces groupes se challengeaient et enchaînaient des disques historiques). Des guitares somptueuses, des ballades sublimes, et un morceau extraordinaire ("Tomorrow never knows"). NOEL GALLAGHER : HIGH FLYIN' BIRDS. L'aîné des terribles frangins Gallagher, véritable tête pensante et à claques de la brit-pop des 90's, livrait là son premier effort en solo. Un album sans surprises mais où on retrouve son talent de hit-maker intact, avec un goût prononcé pour une certaine grandiloquence psyché. De quoi compenser un niveau vocal plus moyen. Je continue de me replonger dans la disco de TEXAS. RED BOOK est un album un peu méconnu, le dernier produit par le groupe avant une éclipse de huit ans et la parenthèse solo de Sharleen Spiteri. Le résultat n'est pas déshonorant, mais manque un peu de relief, d'une grande chanson. En revanche, THE HUSH reste un petit classique de la formation écossaise, qui s'aventurait dans l'électro. Des tubes ? Y en a ("Summer son", "Once in a lifetime"). Et une pure pépite ("Saint", d'une sensualité folle). Un des lp les plus aventureux de ce groupe attachant. |
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Je profite d'un jour de congé pour faire un peu d'archéologie et retendre l'oreille sur un chef d'œuvre absolu (oui oui) que je n'avais plus écouté depuis des années.
Eh bien, cet album est toujours aussi profondément émouvant, aussi complètement halluciné. Extraordinaire. Je me souviens avoir découvert le groupe lors de l'édition 1996 du Pukkelpop. Ils étaient complètement inconnus (de moi, en tout cas), jouaient dans l'après-midi sous le chapiteau mais des potes et moi on avait entendu un buzz dans les allées du festival qui disait qu'il ne fallait pas les rater. Donc, on se pointe. Et là, une des plus grosses claques scéniques de ma vie. Complètement inattendue. Un groupe en état de grâce, un chanteur complètement possédé avec son accordéon et son allure de prêcheur redneck du plus profond du sud des Etats-Unis. True detective puissance 10, sorti d'un bouquin de Faulkner par une faille temporelle ou d'un roman déjanté de Harry Crews. David Eugene Edwards. Une attitude à faire peur même à Johnny Cash ou à Jeffrey Lee Pierce. Putain, quel gars. Et dans la foulée, la découverte de ce premier album du groupe, où je retrouvais tous les frissons de ce concert hanté. Magique. J'aurais dû mettre cet album dans ma sélection de disques d'île déserte. Sixteen Horsepower : Sackcloth n' ashes
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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The Twilight Sad avec l'album Nobody Wants to Be Here and Nobody Wants to Leave
en boucle en boucle en boucle |
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Découverte de l'album Good as I Been to You de Bob Dylan dans mon coffret que je m'écoute tout les soirs en lisant mes comics. Une merveille.
Je commence à apprécier le dernier Archive, Restriction, qui ne renouvelle pas le genre. Sinon c'est des oldies pur 90', pas toujours bon mais que voulez vous : les 4 premiers albums des Cranberries (si si je vous jure) et les deux coffrets 3 CD des deux premiers albums remastérisés d'Oasis (Definitely Maybe et (What's the Story) Morning Glory?). Au taf : les Fleet Foxes |
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J aime bien le 1er cranberries, moins le second et pas les autres...
J ai toujours ce vague souvenir que Ellis en parlait dans le courrier des lecteurs d Hellstorm ou Druid... |
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Le seul intérêt des Cranberries, c'est d'avoir été repris en chinois par Faye Wong et utilisé dans Chungking Express de Wong Kar-Wai.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Maille gode, Sixteen Horsepower, des siècles que je n'avais entendu ce nom!
Pour ma part, mon alboum préféré (certainement parce que c'est avec lui que j'ai découvert le groupe et je l'ai furieusement écouté) est leur deuxième Low Estate, mais le premier défonce tout autant. Après leurs deux premiers LP, ça vaudra beaucoup moins le coup, 11 931.1979 watts (c'est rigolo, c'est la traduction qu'en donne Google quand on les cherche...) En groupe actuel qui fait du bruit, j'écoute le troisième de Peter Kernel, Thrill Addict un groupe découvert ici même d'ailleurs sous les bons auspices de Mr Gumby. Et ça se confirme: s'il fallait absolument trouver (après tout, ça n'a rien de nécessaire), des successeurs aux Pixies et à Sonic Youth, ce duo helvétocanadien ferait parfaitement le job. Des compos malicieuses, un entrelacs de voix féminines et masculines, une basse qui claque,une gratte qui rigole. Du talent sans se la péter. |
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
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et Jessica 93 Dernière modification par Fred le mallrat ; 06/03/2015 à 19h31. |
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