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Beautiful Killer
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[B]Beautiful Killer – L’Exécutrice magnifique[/B] (Angle Comics, Bamboo Editions, janvier 2007, 76 pages, 10.90€) [B]Scénario [/B]: Jimmy Palmiotti. [B]Dessin & couleurs [/B]: Phil Noto. Après [B]New West[/B], les éditions Bamboo proposent la précédente collaboration entre Jimmy Palmiotti et Phil Noto : [B]Beautiful Killer[/B], à l’origine également parue chez le petit éditeur US Black Bull. La trame de ce récit est on ne peut plus classique : [B]Beautiful Killer [/B]est une histoire de vengeance, sur fond d’espionnage et de manipulations génétiques. Son héroïne, Brigit, y poursuit soixante-douze pages durant les meurtriers de ses parents, qu’elle va faire payer l’un après l’autre. Le récit alterne entre la traque présente et en flashbacks l’histoire de la famille de Brigit ces vingt dernières années. Bref, mis à part quelques améliorations physiques dues aux tripatouillages génétiques de sa maman, on pourra sans mal ranger l’héroïne de [B]Beautiful Killer [/B]quelque part entre Nikita et Sidney Bristow. A aucun moment Jimmy Palmiotti ne sort son scénario des sentiers battus et rebattus du genre. Pourtant, on ne s’ennuie pas à la lecture de [B]Beautiful Killer[/B]. Le récit est court et les scènes s’enchaînent à grande vitesse. Quant aux protagonistes, aussi caricaturaux soient-ils, ils sont plutôt bien campés et jouent leur rôle dans l’intrigue (c’est à dire, pour la plupart, jouer au mec/à la fille cool jusqu’à ce que mort violente s’ensuive). Tout juste pourra-t-on reprocher au récit, dans son deuxième tiers, de trop s’appesantir sur le passé de Brigit, cassant du coup quelque peu le rythme du récit. Si Palmiotti assure le minimum syndical niveau scénario, il n’en va pas de même pour Phil Noto. Le dessinateur est plutôt rare (on peut l’apprécier actuellement de temps à autres sur l’excellente série [B]Jonah Hex [/B]chez DC) mais il est bigrement doué. On s’émerveillera en fait moins sur son trait que sur son travail sur les couleurs (sans passer par la case encrage, Noto travaille directement à partir de ses crayonnés). A partir de tons pastel pour la plupart, sans noir ou presque, y compris dans les scènes nocturnes, Phil Noto donne à chacune de ses scènes une ambiance très particulière. En outre, l’usage qu’il fait de ses couleurs pallie étonnamment bien la quasi absence de décors (tout au plus sommairement esquissés). Tout cela donne aux planches de Phil Noto une style assez unique et novateur. Ne serait-ce que pour son travail, [B]Beautiful Killer [/B]mérite votre attention. |
#2
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Effectivement, ce récit, sympathique sans plus (une très bonne lecture pour le train), nous présente des planches superbes!
Les visages principalement sont d'une très grande beauté! |
#3
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[QUOTE=NRV](une très bonne lecture pour le train)[/QUOTE]
Faut pas faire un long trajet non plus :D |
#4
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Ah ben j'ai tenu un seul numéro je crois.
Et les dessins de Noto sont super faibles, même si il fait des visages féminins de face réussi (oui, ça fait peu). [IMG]http://image.milehighcomics.com/istore/images/fullsize/pages/09580395498.1.P3.GIF[/IMG] eeeek
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mes ventes comics et TPBs |
#5
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[I]Eeeek[/I], mais [I]Smack [/I]aussi! :huhu:
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#6
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[QUOTE=Niglo]Faut pas faire un long trajet non plus :D[/QUOTE]
25 minutes de trajet pour alller bosser... (heureusement, j'avais mon baladeur MP3 pour occuper le dernier quart d'heure...) |
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