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le film de Devil Dinosaur! |
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P'tain, ça a été repoussé quand ça ?
Meeeeeerde, j'suis dégouté. |
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Oui, sur le coup, je me suis dit que ce serait peut-être lié par le biais du dinosaure de Toy Story (genre: c'est un film où il apparaît et qui fait qu'il y a eu des jouets de lui ensuite, j'en sais rien), mais à première vue, pas l'ombre de ce perso dedans.
Après, comme tu dis, faut que le scénario suive... Rebelle, je pensais vraiment que ça me plairait, surtout avec cet univers. Et ça commençait bien. Mais ensuite, avec l'ours et tout, j'ai vraiment eu du mal à adhérer. Idem pour Up!, qui démarrait bien... ensuite, j'ai pas adhéré au délire des chiens qui parlent et compagnie :s
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Pizar ... Le gars qui avait les idées est maintenant chez disney.
Pour preuve l'année ou Pixar faisait du disney avec Rebelle, Disney faisait du Pixar sous son égide avec Wrek It Ralph (Y'en a encore qui me soutiennent que c'est du Pixar d'ailleurs ) Moi c'est la seule séquelle que j'attends pour l'instant |
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Dimanche :
Dimanche, sur D17, rediffusion de "Nouvelle Star" fête Noël. Précédemment programmé sur D8 Jeudi dernier, j'en profite pour faire une séance de rattrapage. L'émission est coupée en deux parties distinctes : dans la première, les lauréats et candidats des éditions précédentes viennent chanter des standards liés à Noël, quelques jurés participent (comme André Manoukian avec sa chorale des montagnes, Sinclair, Maurane). Il y a de bons moments (Sophie-Tith,, Ycare - qui revisite "Les rois mages" de Sheila, et surtout Julien Doré qui s'amuse sur "Blue Christmas" d'Elvis). Puis dans la seconde, Cyril Hanouna passe les commandes à Manoukian et c'est l'heure de la promo. Là encore Sophie-Tith tire son épingle du jeu (en reprenant un tube de Zazie) et Julien Doré nous entraîne sur son vol "Paris Seychelles" d'excellente facture. Mais, en dehors de ça, beaucoup de choses pénibles (Amandine Bourgeois, Luce, Amel Bent)... Lundi : Lundi, sur France 2, le 18ème épisode de la saison 5 de Castle (qui est également le 99ème épisode de la série !). La mort d'un homme dans une pâtisserie industrielle conduit nos fins limiers à enquêter sur la mafia irlandaise. Kevin Ryan, un des adjoints de Beckett, a déjà eu affaire à elle puisqu'il révèle avoir infiltré ce milieu dans le passé... Comme cela avait été le cas plus tôt dans la saison, la série se penche plus particulièrement sur un de ses seconds rôles, en l'occurrence le détective Kevin Ryan, sur lequel on savait peu de choses. Les scénaristes étoffent considérablement le personnage en lui donnant un passé d'agent infiltré. L'enquête démarre de manière plutôt absurde pour ensuite nettement s'améliorer : c'est un des meilleurs épisodes depuis un bon moment, après quelques passages à vide. Seamus Dever dans le rôle de Ryan prouve qu'il peut occuper le devant de la scène sans problème. Jeudi : Jeudi, sur France 2, diffusion du 52ème gala de l'Union ds artistes. Mis en scène par Isabelle Nanty, présidé par Nathalie Baye et Benoît Poelvoorde, sous le patronage de Jean-Paul Belmondo, une multitude de gens de cinéma, de la scène et de la chanson accomplissent des numéros de cirque ou interprètent des chansons pour une soirée en faveur des artistes dans le besoin. La soirée commence très fort avec un numéro d'acrobatie avec la ravissante Mélanie Bernier. Florent Peyre et Sabrina Ouazani font aussi très fort dans un numéro de voltige. Audrey Fleurot danse un tango sensuellissime. Jérôme Commandeur se met dans la peau d'un ancien équilibriste avec un humour impayable. Atmen Kélif fait le clown avec talent. Marina Hands dresse un cheval... Sur la fin, ça patine davantage, avec des intervenants moins inspirés, des prestations moins spectaculaires. Mais au milieu de tout ça, il y a deux moments superbes : le duo chanté par Arié Elmaleh et la splendide Elodie Frégé, et la chanson interprétée par Sophie-Tith. Vendredi : Vendredi, sur France 5, Antoine de Maximy propose un inédit de J'irai dormir... Chez l'homme qui brûle. Pour ce numéro spécial, plus long qu'à l'ordinaire (85'), le globe-trotteur ne s'invite pas chez des inconnus mais participe au rassemblement à Black Rock City dans le désert du Nevada pour les huit jours du "Burning Man". La manifestation réunit un nombre impressionnant d'américains qui lâchent la rampe et organisent différents évènements avant de brûler un temple et un géant en bois au coeur du désert. Antoine de Maximy les filme sans les juger, s'amusant parfois, souvent stupéfait, quelquefois frustré par des rencontres qui tournent court. Comme il l'avoue à la fin, il n'a pas montré tout ce qu'il a filmé et on devine pourquoi quand on découvre la faune insensée concentrée là-bas (des anciens soldats, des sado-masos, des hippies, des transsexuels...). En tout cas, on n'est jamais déçu par les voyages de l'homme à la chemise rouge : espérons qu'il continue encore, même s'il reconnaît lui-même que c'est désormais plus difficile (car il est allé un peu partout et qu'on l'identifie facilement). |
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Lundi :
Lundi, sur France 2, le 19ème épisode de la saison 5 de Castle. Après un accident de ski où il s'est cassé une jambe, Castle est obligé de rester au repos chez lui. Frustré de ne pouvoir enquêter avec Beckett, il se met à épier ses voisins avec une paire de jumelles jusqu'à ce qu'il croit surprendre un meurtre en face de son immeuble... Le résumé ci-dessus vous rappellera certainement l'illustre Fenêtre sur cour d'Hitchcock et cet épisode lui rend un hommage évident. Pourtant, les scénaristes ne se sont pas contentés de reproduire l'intrigue en empruntant l'argument de départ, ils ont développé une histoire très prenante et dont la chute est imprévisible et jubilatoire - une habile pirouette sur la manie de voir le mal partout en somme. Nathan Fillion est impeccable en limier cloué sur place. Et Stana Katic est encore une fois éblouissante d'élégance. Mais surtout toute la distribution a l'air de s'être bien amusé, et c'est communicatif. Mardi : Mardi, sur France Ô, les trois premiers épisodes de la saison 6 de Lost. Juliet a réussi à déclencher l'explosion de la bombe H. Pour quels résultats ? Il semble d'un côté que la situation des disparus n'ait pas changé, ils sont toujours sur l'île. A moins qu'ils ne s'en soient quand même sortis. Ou que rien ne soit arrivé, ni crash, ni voyage dans le temps, etc... De son côté, John Locke (ou celui qui prétend l'être) abat son bras vengeur contre ceux qui sont venus le supprimer. Pour sa dernière saison, la série entame un tour de piste déroutant. Que penser de la narration adoptée qui donne à voir à la voir les héros toujours coincés sur l'île mais aussi n'ayant jamais vécu le crash de leur avion et poursuivant leur existence ? Quand à celui qui a pris les traits de Locke, même si on apprend qui il est, le but de son aventure demeure énigmatique. En continuant à ajouter des mystères, on sent bien qu'il est temps d'en finir et que cela ne se fera pas sans causer des frustrations. Mais en même temps, il faut reconnaître à Lost une capacité à capter l'attention, à intriguer, intacte. Jeudi : Jeudi, sur France 3, In the air de Jason Reitman. Spécialisé dans le dégraissage des grandes compagnies, Ryan Bingham est détaché de tout. Il fait son boulot efficacement mais comme il détache les gens de leur boulot, il s'est détaché de sa vie de famille. Puis il fait deux rencontres décisives : une femme avec laquelle il démarre une liaison et dont il va s'éprendre et une jeune employée de sa boîte qui veut moderniser ses méthodes sans jamais être allée sur le terrain... Jason Reitman m'avait enthousiasmé avec Juno, et j'ai été presque aussi charmé par ce In the air. Presque, car si le film est très bien écrit, réalisé et surtout monté, il lui manque une vraie fin. Le cinéaste donne en vérité davantage le sentiment de ne pas savoir comment boucler son histoire (une vraie comédie sentimentale ou une comédie plus noire, désenchantée). C'est frustrant, même si tout ce qui précède est brillant. L'interprétation est aussi magistrale : George Clooney est fantastique, séduisant enfoiré qui prétend licencier humainement avant de subir à son tour de cuisants revers, Vera Farmiga superbe (sa première scène d'amour, où elle rejoint Clooney, nue, une cravate nouée autour de la taille, est d'une sensualité affolante), Anna Kendrick, épatante en employée effrayante mais qui va lentement se dégonfler. |
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Vera Farmiga est peut-être doublée, pour la scène où on la voit arriver de dos.
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In the air , j'ai trouvé ça terriblement anecdotique mais je crois que le cinéma de Reitman ne me touche pas particulièrement.
Seul Juno avait réussi à m'émouvoir mais la deuxième vision du film a été éprouvante et tout ce que je n'aime chez ce cinéaste m'a sauté aux yeux.
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Rah mais c'est meme sur!!!!
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Dimanche :
Dimanche, sur France 2, Hors de prix de Pierre Salvadori. A la faveur d'un malentendu, un garçon d'hôtel passe une nuit avec une call-girl dont il est secrètement épris. Un an après, il la retrouve dans le palace où il travaille et elle découvre sa méprise. Il entreprend alors de la séduire, mais pour assouvir les désirs exorbitants de la jeune femme, il s'improvise gigolo... Pierre Salvadori est sans doute l'auteur de comédies françaises dont l'esprit est le plus influencé par les grands maîtres américains du genre (Lubitsch, McCarey, Wilder). Il a écrit cette histoire, avec Benoît Graffin, spécialement pour ses deux acteurs et il est au sommet de son art, évitant toute vulgarité, toute facilité. Le film possède une grâce extraordinaire, dégageant à la fois une sensualité et une sensibilité irrésistibles, avec des situations parfaitement exploitées. Audrey Tautou n'a peut-être jamais été aussi bien dirigée : elle irradie, séduisante, élégante, transfigurée. Gad Elmaleh est également excellent en amoureux lunaire et prêt à tout. Les seconds rôles sont formidables (Jacques Spiesser, Marie-Christine Adam). Superbement écrit, mise en scène, photographié, joué : un sans-faute. Lundi : Lundi, sur Arte, Une Education de Lone Scherfig. Une lycéenne qui fait la fierté de ses parents, issus d'un milieu plutôt modeste, s'entiche d'un jeune homme plus âgé qu'elle, aux activités louches. Ils s'aiment d'un amour sincère jusqu'à ce qu'elle découvre le secret déchirant qu'il lui a caché... J'ai fait une infidélité à Castle ce lundi pour les beaux yeux tristes de Carey Mulligan. Lone Scherfig rend un hommage appuyé aux classiques de Billy Wilder avec Audrey Hepburn avec ce joli récit initiatique, où l'actrice est lumineuse et sobrement émouvante. Le film est très anglais, très pincé, et sans génie, mais il a pour lui de ne pas être long et évoque parfois l'univers de Patrick Modiano, avec cette jeune fille qui devient adulte en fréquentant un garçon mystérieux et ses amis équivoques. Et puis Peter Sarsgaard est aussi très bien, comme d'habitude, ainsi qu'Alfred Molina, Olivia Williams et la sublime Rosamund Pike. Mardi : Mardi, sur France Ô, trois nouveaux épisodes de la saison 6 de Lost. Les passagers du vol Oceanic continuent de vivre leur existence dans le futur où le crash de leur avion n'a jamais eu lieu : Jack essaie de communiquer avec son fils, Locke rencontre Hurley qui lui rend service... Dans l'autre réalité, sur l'île, la créature qui a pris l'apparence de Locke convainc Sayid de l'aider, avec Claire et Sawyer, à terrasser les Autres. Jack suit Hurley, guidé par le fantôme de Jacob, jusqu'à un phare où il découvre qu'il a été manipulé depuis des années... Difficile de dégager un sentiment clair de cette cascade de situations très inégales tant on peine à deviner où les scénaristes veulent nous mener. Dans le pire des cas, on assiste à des scènes qui ne font que souligner besogneusement ce qu'on sait déjà (Jacob a comploté depuis des décennies pour attirer les héros sur l'île afin de l'aider à vaincre la créature) ou alors on a droit à des parties entières d'épisodes peu passionnantes (les rapports entre Jack et son fils, le fait que les passagers se rencontrent quand même dans la réalité où le crash n'a pas eu lieu). En revanche, quand l'action se concentre sur l'île, ses mystères, ses révélations, et surtout la revanche de la créature, on obtient des séquences spectaculaires et bien plus divertissantes (même si on sait bien que l'histoire ne fait plus qu'avancer avec de vieux procédés à coup de passages secrets, d'apparitions de fantômes, etc). Terry O'Quinn alias Locke (ou ce qu'il en reste) porte désormais vraiment la série sur ses épaules et il s'en acquitte avec un vrai charisme. Mercredi : Mercredi, sur France 4, Le Cactus, de Gérard Bitton et Michel Munz. Un hypocondriaque convaincu de vivre ses derniers jours entraîne son meilleur ami persuadé d'être à l'origine de ses maux dans un périple en Inde. Mais le plus malade des deux n'est pas celui qu'on croit... J'ai commencé à regarder cette comédie sans conviction, et puis je me suis gentiment laissé entraîner par le duo très amusant que forment Clovis Cornillac et Pascal Elbé (très drôle en agonisant qui se sent revivre). C'est bien rythmé à défaut d'être très original (on pense beaucoup aux films de Francis Veber avec Pierre Richard et Gérard Depardieu), mais sympathique. Ajoutez la sublime Alice Taglioni à l'ensemble et l'affaire est dans le sac. |
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Sinon, je ne sais pas si cela a été mentionné, mais depuis septembre dernier il y a la chaîne Paramount Channel sur les box internet, entre autres.
Certes, la grille n'est pas excitante tous les jours, mais une chaîne 100% ciné, gratuite, avec choix des langues et en HD, ça fait plaisir. Bon, plus qu'à espérer des Columbia, Warner Bros, United Artists et tutti quanti channel |
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Bin sur la SFR on a aussi Cine + Premier, emotions et frissons qui sont maintenant gratuites. Pour les autres box je sais pas...
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Là tu m'apprend un truc, je suis aussi sur SFR et en effet elles sont en clair. Mais visiblement elles seront intégrées dans un des bouquets payants début février.
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J'aime bien le dimanche car on découvre ce que Wildcard a vu à la téloche et on peut rebondir dessus.
J'avais également vu Une Education d pour Carrey Mulligan (beaucoup), Emma Thompson et Alfred Mollina et j'étais resté sur ma faim sur un sujet un peu inabouti. Prometteur mais pas transcendant. Je suis surpris que tu as fait l'impasse sur A bout de Souffle et le bon documentaire sur Jean Seberg qui a suivi (c'étais sur ARTE) mais surtout sur l'excellent REVELATION de Michael MANN (jeudi soir sur France 3). Pour ma part je n'ai pas pu résister au deux mais c'est le film de Mann qui m'a le plus scotché devant le petit écran. Je ne l'avais pas vu depuis sa sortie au cinéma (1999) et je dois dire que j'ai encore une fois pris une leçon (de cinéma). Non seulement la direction d'acteur est très bonne avec Al Pacino qui retrouvait le réalisateur après Heat mais surtout un Russell Crowe qui à l'époque émergeait à peine (LA Confidential, Gladiator viendra juste après) et qui montrait de grands talents d'acteur. Dans ce film Mann arrive à synthétiser ce qui fait son cinéma. Le montage est nerveux (comme dans Heat), la photo est nébuleuse et tire vers le bleu ou le blanc avec des effets flous (comme dans le sixième sens ou encore Heat) mais sa caméra sait aussi être nerveuse quand il le faut (le dernier des Mohicans, Heat). Le sujet est également très intéressant et même si il y a forcément un parti pris cela ne tourne pas à la farce démonstrative. Des perdants, comme dans la vie, il y en a et malheureusement ce n'est pas forcément ceux que l'on croit. |
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A bout de souffle, je l'ai vu et revu, donc j'ai fait l'impasse cette fois-ci. Mais, évidemment, c'est formidable, d'une modernité incroyable (on voit à quel point Belmondo a révolutionné le cinoche par sa seule façon de jouer, et puis Godard était encore regardable).
Le doc sur Jean Seberg, je l'ai loupé. Je vais tenter le replay, mais je connais bien la bio de la comédienne, une figure très complexe et tragique (et son histoire avec Romain Gary mériterait un biopic à elle seule). Révélations : déjà vu aussi. Grand film. J'adore Michael Mann, immense cinéaste. Mais bon, il y avait "Nouvelle Star" et j'avais envie d'un programme plus light ce soir-là. |
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