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Bon, les amis vous allez pas me gonfler pour un espace oublié et un manquement sur les techniques de combat d'un perso imaginaire qui transforme son poing en marteau pilon incandescent, si?
Je vous sors mon cv de pratiquant judo/aïkido ou on se salue et on quitte le dojo en bons termes? |
#17
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Prenons nous la main et respirons fort. C'est pas grave! |
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Oui, j'ai manqué de zenitude sur ce coup là. Sorry. Une journée sans. C'est juste que je vois passer tellement de fautes d'orthographes par ici. Alors le reproche mawashi geri au lieu de mawashigeri, ça fait un peu genre je me la pète i'm the king of the tatami...
Dernière modification par HiPs! ; 12/06/2008 à 16h13. |
#19
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Ta manière abrupte et hautaine de formuler des remarques montre clairement que nous n'avons pas le même sens de l'humour. On en restera donc là.
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En effet Soremade, c'est beaucoup mieux ainsi.
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allez, tout le monde est cool. moi je dis tu l'écris comme tu veux. d'ailleurs, en lisant le TPB de Iron Fist, je me suis rendu compte d'un truc dans le meme genre. les scénaristes se fichent aussi un peu de toute distinction entre Chine et Japon pour leur projet. la preuve, dans le sketchbook de fin, Aja raconte que Brub voulait absolument que Iron Fist ait des "ninja boots" et pour, une version antérieure, un "chapeau de samouraï"... donc deux attributs jap... pour un héros qui est censé etre imprégné de culture noich'. rigolo.
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"Ces trois films sont des merdes même s'il y en a deux que je n'ai pas vu..." Dernière modification par Deroxat (Expert en Potins) ; 12/06/2008 à 17h02. |
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Iron Fist, c'est
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Mes critiques à moi Mon blog où je partage mes coups de cœur divers et variés https://cultureetgeekitude.wordpress.com/ |
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#8 : 15 pages Aja, 7 pages Martinez : OK #9 : 16 pages Aja, 6 pages Koblish & Martinez : OK #10 : 16 pages Aja, 6 pages Kano : OK #11 : 16 pages Aja, 6 pages Kano : OK #12 : 8.5 pages Aja, 6 pages Kano, 6.5 pages Pulido : #13 : 3 pages Aja, 6 pages Kano, 13 pages Zonjic #14 : 0 page Aja 26 pages Zonjic, 5 pages Kano, 5 pages Mann 11.5 pages de Aja seulement sur les 82 dernières, moi ça m'a dérangé ! J'aurais préféré qu'il y ait eu un délai et que Aja ait fait la majorité des trois derniers numéros.
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu. |
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Depuis que DUANE SWIERCZYNSKI a repris la série c'est comment ?
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Swierczynski n'arrive qu'au #17 et je n'ai pas encore reçu le #15
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The Unauthorized X-Men supervisé par Len Wein
The Unauthorized X-Men – SF And Comic Writers on Mutants, Prejudice, And Adamantium : voilà un titre à rallonge pour un essai consacré aux X-Men, ces célèbres mutants qui font la pluie et le beau temps dans le monde des comics et ont conquis Hollywood. Supervisé par Len Wein, artisan du retour en grâce des X-Men, ce bouquin s’avère très agréable à lire, même si pas toujours réussi dans ses articles. En effet, il se compose de 18 textes d’une dizaine de pages environ : selon l’auteur, les réflexions sont plus ou moins intéressantes et n’est pas René Girard qui veut. Parmi les intervenants, on notera la présence de scénaristes de comics (Len Wein, Joe Casey et Christy Marx) mais aussi d’universitaire, d’auteur de romans ou encore de conférencier. D’une façon générale chaque intervenant a un style agréable à suivre et bien que le livre soit en Anglais, il est très facile de suivre le texte. La première partie, Writing the X-Men se révèle la plus faible même si elle contient quelques bons moments. Ainsi apprend-t-on que Joe Casey s’est mis à écrire les X-Men sans avoir d’idées en tête bien claires sur la direction du comics. Néanmoins, son intervention est éclairante à la différence de celle de Robert Weinberg qui développe ses réflexions scientifiques sur Cable : soporifique et inutile. Heroes and Villains propose des analyses intéressantes mais manquant de fond, il faut bien le reconnaître, sur Kitty Pride, Wolverine ou Magneto. On sent que les auteurs des textes ont un réel amour de ces personnages mais leurs réflexions souffrent d'un manque de travail. Ainsi, évaluer Wolverine comme un personnage tiraillé entre l’animalité et la grandeur me semble certes vrai mais finalement évident ; suggérer que Wolverine et un personnage mythologique un bon point, mais une interprétation plus poussée et audacieuse de ce qu’il nous dit de nous aurait été souhaitable. Idem en ce qui concerne l’analyse sur Magneto et les Juifs dont le parallèle avec Israël paraît un peu tiré par les cheveux. The X-Men and our world se révèle bien plus intéressant : From X to Ex propose une très intéressante présentation du transhumanisme et réfléchit à ce que l’Homme sera dans le future et en quoi les pouvoirs de mutants seront à notre portée. Lee, Kirby and Ovid’s X-Metamorphoses s’intéresse pour sa part aux X-Men comme nouveau récit mythologique prenant la suite du classique d’Ovide. Enfin, Dear Magneto livre une ironique attaque contre Magneto lui démontrant, preuve à l’appui, que diriger un monde dans lequel les mutants auraient pris le pouvoir serait une catastrophe qui ne réglerait aucun des maux de l’humanité mais placerait les menaces que connaîtront les gens à un niveau simplement plus important. Au final, malgré mes critiques, je persiste à conseiller cet ouvrage. Si vous êtes un néophyte sur les X-Men et les super-héros, il vous offrira une excellente introduction à la richesse de ce médium. Si vous êtes un fan invétéré des mutants, vous aurez sans doute déjà réfléchit à tous les sujets évoqués dans ces pages, mais le livre vous proposera une synthèse intéressante et vous permettra de réviser vos classiques tout en ouvrant des perspectives philosophiques originales. Dernière modification par conspiration ; 18/06/2008 à 10h40. |
#29
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Spider-Man essential tome 5 permet de retrouver le tisseur en grande forme : Stan Lee s’occupe toujours du scénario et nous gratifie d’un épisode 100 dans lequel Peter Parker se retrouve affublé de deux nouveaux bras, devenant réellement un spider-man ! On découvre aussi le terrible vampire Morbius dans un comics qui vire de plus en plus au soap-opera. Les épisodes se succèdent, remplis de rebondissements (Peter ne peut même pas prendre l’avion sans que des terroristes débarquent), d’histoires d’amours improbables avec Gwen (à base de : « Je t’aime », « moi non plus ») et de rencontres avec une Mary Jane qui donnait l’impression à l’époque d’être une garce sous amphétamine… Au crayon, John Romita se fait régulièrement aider par Gil Kane, voire remplacé par lui, ce qui occasionne alors de sérieux troubles du dessin tant le trait de Kane est désagréable au possible… Néanmoins, ces épisodes restent très agréables à lire et on passe un excellent moment avec notre ami le tisseur. Dans l’Intégrale des X-Men de 1980, Chris Claremont continue les merveilleuses aventures de nos mutants préférés dont l’existence se trouve bouleversée. Il s’agit en effet des épisodes historiques que sont la rencontre avec le Club des damnés et la transformation de Jean Grey en Phénix… Panini a amélioré la colorisation de l’album, même si ce n’est pas encore cela (incroyable de constater à quel point des bandes datées de trente ans sont si abîmées alors que des épisodes des années 60 sont parfaitement restaurés !). John Byrne livre un graphisme superbe qui culmine dans l’épisode confrontant Wolverine au Wendigo. Très agréable à lire même si tout cela a vieilli. J’ai récemment reçu le Big Book de Ion : n’ayant jamais lu les aventures du Green Lantern Kyle Raner, je n’ai pas forcément pu apprécier les 12 épisodes de cette maxi-série à leurs juste valeur. Néanmoins, j’ai passé un bon moment même si… même si Ron Marz écrit vraiment très mal les dialogues de ses héros et met en scène des réactions hyper standardisées : pas de doute, il écrit comme au siècle dernier ; on croirait voir Terry Kavanagh sur les X-Men, ce qui n’est pas un compliment. De plus, le dessinateur régulier de Ion, Tocchini, a un style assez infect alors que l’artiste invité des derniers épisodes s’en sort nettement mieux ! Le monde à l’envers… Enfin, Kyle a beau être sympathique et doté d’un pouvoir immense, il reste un sacré looser. Marz lui fait jurer grands dieux que, ça y est il maîtrise son pouvoir, mais Kyle continue de se planter et de se planter. A la fin, ça en devient touchant, mais quand même… Malgré tout, je conseille cet album, ne serait-ce que pour son aspect « grand spectacle ». Voilà pour aujourd’hui. Je vous parlerais prochainement de pleins de belles choses dont la série régulière de Ghost Rider, une tuerie, ou encore des Marvel Horrors. |
#30
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J’ai bien aimé la première saison de Heroes mais par contre, le comics, quelle horreur ! Constitué de récits inspirés par la série télé, le recueil publié par Soleil propose des histoires en seulement quatre pages avec de plus longs développements pour certains personnages. D’une façon générale, c’est affreusement mal écrit, terriblement ennuyeux et médiocrement dessiné par des tacherons dégottés on ne sait où (à l’exception de l’excellent Tim Sale qui dessine de fausses couvertures de comics géniales – dans la série, il est l’auteur des fameuses peintures sur lesquels se lit l’avenir). A éviter de toute urgence. Publié dans l’affreuse ligne Max pour adultes, Wisdom met en scène un héros créé par Warren Ellis pour Excalibur. Pete Wisdom, agent secret anglais, à la vie dissolue, dirige des métahumains pour protéger l’Angleterre de son passé magique. Le concept, bien pensé, aurait du ménager un comics cynique et gore mêlant fées tueuses et esprit de la Terre face à des super héros mais le récit se perd à cause de dialogues bien souvent incompréhensibles (la faute à la traduction ?) ou nébuleux. L’histoire fait du surplace et ressemble à du Warren Ellis dans ce qu’il y a de plus agaçant (héros à la morale à la géométrie variable, du cul sans intérêt, des morts…). A éviter. |
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