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Venom War: Fantastic Four #1
Je ne fais pas Venom War, car je n'ai pas été emballé par le début de run d'Al Ewing sur Venom et je n'ai pas d'affinité avec les symbiotes. Je n'ai pas non plus lu le run de Walt Simonson sur les Fantastic Four, ce que je sens gênant pour profiter de cet épisode qui s'amuse d'une boucle temporelle créée par Kang pour utiliser des 4 Fantastiques au coeur de sa guerre elle-même temporelle avec Dr Doom. L'on voit ainsi de régulières reprises des mêmes scènes où Normie Osborn symbiotisé affronte Flexo, vieille création robotique qui semble avoir ici son importance. Mais Reed et les siens trouvent un moyen de mettre du sable dans les rouages, de s'en sortir et de repartir à l'aventure. Bon, clairement, je n'ai pas les clés pour tout comprendre et surtout profiter de tout. Je suis donc resté sur le côté de ce numéro dynamique mais dense du trop rare Adam Warren, illustré avec un style forcément nostalgique et maîtrisé de Joey Vasquez. C'est sympathique, prenant, mais... je suis quand même passé à côté, bien que ça soit ma "faute" unique. A moi de faire mes devoirs, au moins sur le run de Simonson ! Un bon numéro, mais pas pour novices. |
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Defenders of the Earth #3
Très bon, encore. Dan DiDio enchaîne efficacement et intelligemment, en faisant avancer l'intrigue et en amenant de bonnes révélations... tout en se concentrant sur le Phantom, ce qui me plaît énormément. Ici, on voit en effet Lothar qui interpelle à distance Phantom et Mandrake pour exiger qu'ils quittent la maison Xanadu et viennent en Afrique pour stopper les massacres orchestrés par Kurt Walker et Jedda, sa nièce qu'il tient sous son influence. Phantom veut y aller, mais Mandrake joue la montre... et pour cause ! Un flashback nous révèle que, à la fin de la guerre, la blessure de Phantom était mortelle, et Mandrake a réalisé un tour magique dans la maison Xanadu pour lui créer une existence liée à la demeure. Si Phantom part de celle-ci, il perd sa solidité et devient un spectre ! Phantom s'emporte devant ceci et sa frustration, Mandrake l'amène dans une aile nouvelle de la demeure vivante et magique, et tous deux débouchent sur... un conseil de tous les Phantoms passés, tous réunis autour de l'original et du père de l'actuel ! L'original indique que Kurt est sur le point de réussir à supprimer la Confrérie Singh, ce qu'eux n'ont jamais obtenu, et l'actuel Phantom hausse le ton quand son ancêtre rejette l'idée que Jedda soit digne de devenir une Phantom. Le père de l'actuel calme le jeu, Mandrake récupère son ami et comprend, en creux, que Jedda doit être formée et bien formée (ce qu'il rejettait dans la série animée). Ils sont cependant appelés à l'aide par Flash Gordon car Rick semble avoir eu des soucis... et pour cause, encore. L'on voit que la Princesse Castra, fille de Ming et soeur de Kro-Tan, pousse Flash à s'immerger dans le travail et à repousser ses appels à Rick, avec l'aide de Kro-Tan. Rick fulmine chez lui, derrière son PC, puis discute avec Dynac X, l'ordinateur qu'il a créé en se basant sur sa mère décédée. Il est cependant attaqué par des Ice Soldiers menés par Octon, et Rick finit à leur merci... C'est très bien, oui. Dan DiDio continue bien son récit, avec d'évidentes manipulations des héritiers de Ming pour s'accaparer Flash Gordon et, sûrement, s'emparer de la Terre en "tenant" toutes les nouvelles énergies. C'est très clair mais bien mené, avec de bons moments, et un Rick qui, finalement, ressemble de plus en plus à son père jeune. L'essentiel de mon plaisir de lecture vient cependant bien sûr des passages sur le Phantom, sur les Phantoms même. La double-page montrant le conseil des Phantoms est top, et la confrontation est bonne même si mon coeur de fan "regrette" que les anciens soient si rétrogrades (mais Mandrake rappelle bien leur contexte). C'est pertinent pour montrer que Phantom change d'avis sur la formation de Jedda, c'est fluide et prenant, avec des dessins très solides et réussis d'un Jim Calafiore au style personnel mais que j'ai toujours aimé. Quel bon plaisir de retrouver cette saga ! Même si, encore une fois, Mad Cave pourrait "aider" le lecteur qui n'a pas vu toute la série animée, car il n'y a hélas aucun résumé ou aucun apport explicatif. |
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J ai lu ce 3 et pour le vieux lecteur que je suis ça c est un X-Men hors série numéro 15 à 5.90 euros en kiosque... Et là on va avoir je sais pas combien d édition a 20 ou 30 balles
J ai mal à mon comics
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Marvel aura "gâché" John Romita Jr et Greg Capullo sur leurs derniers travaux chez eux...
Pas un mince exploit.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#1010
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Aliens vs. Avengers #2
Peu d'action en soi mais des avancées, et de bonnes idées surtout. Jonathan Hickman poursuit son étonnant et bon travail après un #1 réussi, montrant l'univers Marvel ravagé par les Aliens et une Terre du futur exsangue, où seuls quelques survivants demeurent dans une ville presque perdue. Valeria Richards adulte tentait de trouver un remède mais périt après avoir été infectée, et Miles Morales est attaqué - mais sauvé par Venom, qu'il porte. Ici, on en apprend plus sur les coulisses. L'on revoit les passages de Prometheus et Convenant où l'androïde David-8 (ici avec plusieurs autres robots similaires) anéantit la race des Ingénieurs avec le Liquide Noir. Cent ans plus tard, toute Vie disparaît dans son Univers. Mille ans plus tard, les Davids découvrent le Multivers et décident d'y anéantir la Vie. Sur cette autre Terre Marvel, dans le futur mais vingt ans plus tôt, les Davids acquièrent Stark Industries via Weyland, mais le Tony âgé (le vieil homme handicapé vu dans le #1) a identifié leur venue depuis le Multivers, les force à parler et les détruit puis prépare l'anéantissement. Au présent de ce futur, Tony et Carol comprennent que l'Humanité est perdue sur Terre, et lancent la fuite de leur ville / vaisseau de sauvetage pour aller s'installer ailleurs, et y recréer un monde avec les habitants. Miles gère l'évacuation, mais ils voient qu'un vieux Steve Rogers mène des survivants depuis un abri que l'on croyait perdu. Tony ne peut décaler le départ, les Aliens attaquent, et le Bruce Banner âgé va aider Cap' dans un dernier baroud perdu d'avance en Hulk. Tony et les autres partent, l'âme en peine, alors que, ailleurs, des Ingénieurs suivent tout ceci de loin... C'est bien, oui. Jonathan Hickman pose bien les bases et les explications, reprenant des éléments pertinents de Prometheus et Covenant pour jouer sur la corde facile mais efficace du Multivers. Sa caractérisation des Davids déçus de la faiblesse des êtres organiques est réussie, tout comme son portrait de Stark. Les autres personnages sont bien écrits, par des tournures de dialogue efficaces, et l'ensemble est prenant bien que prévisible. Esad Ribic assure aux dessins, notamment dans ce dessin de discussion qui fait la part belle à ses postures figées mais réussies. Un bon point d'explication, pour une mini-série toujours surprenante et réussie. |
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Avengers #20
Un bon épisode. Jed MacKay poursuit son travail très correct depuis quelques numéros, avec ici la suite du précédent, où l'on voyait T'Challa plonger dans la dimension de poche de Meridiam Diadem, l'une des membres du super-groupe maléfique du début, où elle emprisonne des gens qu'elle attaque. T'Challa découvre une situation tendue, dans une dimension où le Temps passe plus vite : jadis, Meridiam Diadem avait des sbires parmi les prisonniers, les Trustees qui organisaient l'ensemble. Mais sa disparition face aux Avengers a créé un manque, et il y a désormais les Loyalistes (anciens Trustees) qui conservent la nourriture, et les Gangs qui ravagent le reste. Les prisonniers sont marqués par Meridiam Diadem et ne peuvent pas sortir sans mourir, alors T'Challa décide d'appliquer ici les mesures apprises depuis sa jeunesse pour organiser et reprendre en main un territoire tribal. Il attaque ainsi des Gangs pour vaincre leurs chefs, et former le Panther Gang sous son égide, pour que les prisonniers réussissent avec eux, par eux, et forment ainsi une société ensuite. Mais T'Challa s'interroge aussi car, finalement, le Wakanda le rejette, et il trouve ici un pays qui peut lui convenir... C'est bien, oui. Jed MacKay livre un bon épisode sur Black Panther, bien écrit ici. Bon, ça reste orienté sur l'action, mais les réflexions en voix-off de T'Challa sont bonnes et justes. J'apprécie sa stratégie, j'apprécie le recul sur lui-même, et Jed MacKay maîtrise bien l'ensemble dans un numéro fluide et prenant, en outre bien illustré par un Farid Karami inspiré et dynamique, qui livre de belles images d'un monde qu'il créé par lui-même. Un bon épisode sur Black Panther, mais aussi dans la continuité du titre. |
#1012
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Birds of Prey #15
Efficace et agréable. Kelly Thompson continue sa saga très classique des BoP, avec une membre en immersion (Cassandra) chez les méchants (The Ninth Day, mystérieuse structure qui a enlevé des Amazones pour de sombres projets) pour qui ça se passe mal (elle craque, ils l'emprisonnent, elle se libère mais affronte une Amazone transformée), d'autres qui suivent de loin (Dinah et Barbara), alors que certaines se crispent de l'attente (Barda, très proche de Cassandra et qui s'emporte de la voir ainsi ; Onyx et Grace qui vivotent à côté ; Dinah qui échange à coeur ouvert avec Sin). Et c'est bien. Rien de surprenant, rien de révolutionnaire, mais une immersion efficace et agréable, avec des personnages bien écrits et de bons dialogues. Kelly Thompson demeure très bonne dans sa caractérisation des personnages, et j'apprécie son échange entre Dinah et Sin, mais aussi Dinah qui apaise Barda, et Barda liée à Cassandra. C'est mignon, pertinent, et Sami Basri livre de belles planches, très fluides et agréables à l'oeil. Un bon moment, classique et prenant. |
#1013
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JSA #1
Classique mais efficace. Jeff Lemire débute son run par une saga avec des mystères, qui ne surprennent pas pleinement (le procédé est déjà vu), mais ça fonctionne bien. Ici, après un rappel de ce qu'est la JSA, une alerte en voix-off sur une menace qui va tout changer (et liée à C'est bien, oui. Classique, car les procédés de disparition, le nom de la saga, le cliffhanger sont des éléments et événements qui ont été déjà vus, mais ça fonctionne bien. J'apprécie la mise en avant des anciens d'Infinity Inc., j'apprécie les dynamiques difficiles, même si mon petit coeur regrette la bisbille entre Jesse et Rex. L'ensemble est fluide, plutôt prenant, et Diego Orlotegui livre des planches assez dynamiques, fluides, qui me rappellent Scott Kolins (que j'aime bien). Du classique réussi. |
#1014
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Green Arrow #16
Un bel et bon au revoir d'un Joshua Williamson clairement attaché à Green Arrow et sa famille. Cet Annual est un bel hommage au personnage et aux siens, avec un Oliver âgé qui "garde" des enfants de super-héros sur la fameuse île dans le futur. Ceux-ci refusent de le laisser faire la sieste et exigent "une histoire", qui débute par un jeune Oliver qui manque un tir pour stopper un incendiaire à ses débuts... et il poursuit, en évoquant une lutte tout au long de sa carrière contre ce mystérieux Firestarter. L'on voit finalement l'apparent échec de Green Arrow, puis au présent (de ce qu'on connaît) Oliver et sa famille qui identifient trois suspects possibles, mais ils ne parviennent pas à prouver la responsabilité de l'un d'entre eux. Plus rien ensuite, mais des échanges avec les enfants lui font comprendre que Firestarter n'était pas l'un d'entre eux - mais eux tous, à tour de rôle ! Oliver et les enfants, en costumes de Speedy, les arrêtent, et Oliver évoque sa "belle vie", avec des flashs de sagas possibles à venir, avant un au revoir final chaleureux envers Queen et les siens. C'est beau, oui. Un bel hommage, simple et classique, mais bien rédigé par un auteur clairement passionné par son personnage. Il est agréable de revoir les grandes périodes et grands costumes de Green Arrow, et cette saga au long cours de Firestarter fonctionne bien pour ça. La relation d'Oliver avec les enfants est mignonne, et confirme que Williamson voit bien Queen en papa gâteau ; ce qui surprend mais fonctionne sous sa plume. Sean Izaakse et Amancay Nahuelpan illustrent bien l'ensemble, dans leurs styles proches, assez ronds et élégants. Un bel et beau hommage, un bon au revoir. Je regretterais ce run qui a su remettre sur pied et donner cohérence et famille à un personnage ravagé depuis si longtemps. Bravo et merci pour ça, Joshua Williamson ! |
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Bon numéro #1 où LEMIRE met en place l'intrigue avec des tensions à la fois collégiales et sentimentales entre les différents personnages. Les dessins, l'encrage et la colo sont superbes. Et très bon cliffhanger (... Because we're just getting started.) |
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Vous me donnez (encore plus) envie.
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Absolute Superman #1
Début correct mais timide voire basique. Guère de grosse surprise, quelques bons éléments mais de l'attendu et beaucoup de name-dropping. Dommage. La narration ici se fait en deux temps. Dans le passé, il y a longtemps, l'on découvre une Krypton différente, organisée en castes où chacun arbore non pas l'emblème de sa famille mais celui de son statut social. Le logo en S est celui des gens du commun, des travailleurs basiques, ceux "en acier" vu les tâches effectuées. Lara-El en est car, malgré un haut potentiel, une dissertation à neuf ans critiquant l'absence d'avancée dans la conquête spatiale de Krypton a mené à son déclassement social. Jor-El aussi car son discours sur les abus environnementaux lors de sa cérémonie de diplôme a aussi mené à sa chute sociale. Elle vivote en bricolant pour les gens, lui est ingénieur minier et voit des troubles dans la structure de Krypton, qui mène à des fuites d'un produit vert mortel. Il retrouve Lara et est traumatisé par ce qu'il pressent, et ils voient C'est pas mauvais mais c'est peu emballant. Jason Aaron livre deux récits parallèles sans surprise, où l'intérêt penche plus vers le passé de Krypton, qui n'est pas extraordinaire mais fonctionne par la curiosité de voir les changements apportés. L'aspect social est pertinent, le statut de Jor-El va justifier encore plus que personne ne l'écoute, et c'est plutôt bien fait et prenant. Mais le présent et ce Kal-El souffrent de la comparaison avec l'origine New52 de Grant Morrison, sur une ligne similaire et plus intense. Dommage, c'est sympathique mais peu inspirant, et le name-dropping (Lane, Omega Men, etc.) est un peu facile. Rafa Sandoval livre de belles planches, équilibrées, c'est fort joli et agréable mais ça emballe peu. Correct mais sage, timide et finalement peu emballant. |
#1018
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Action Comics #1074
Sympathique. Mark Waid poursuit sa saga, sans surprendre mais en étant cohérent et attentionné envers ses personnages, ce qui est agréable. Ainsi, alors que Conner et Kenan veulent sortir du musée spatial mais voient une attaque massive de Khunds enragés du vol d'une relique sacrée, Clark est bien arrivé sur Krypton et va voir Jor-El pour recharger son bracelet solaire. Il rencontre Lara et lui bébé, puis voit son père furieux contre le Conseil Scientifique. Clark est ému de voir ce père idéalisé avec des émotions humaines, découvre son laboratoire chaotique (il le compare à Willy Wonka), comprend que la Zone Fantôme semblait être d'abord une voie pour les Kryptoniens d'échapper à leur monde mais cela s'arrête quand un membre du Conseil vient voler des inventions de Jor-El. Clark s'interpose pour son bracelet, mais il est frappé et emprisonné... alors que Aethyr explique à Mon-El être venu ici pour aider mais avoir été déçu de la violence des Kryptoniens. C'est sympathique. Mark Waid y va doucement, prend son temps mais livre de bons moments de caractérisations, notamment dans la voix-off d'un Clark ému de voir son père "réellement". C'est touchant, mignon, et ça fait bien passer un récit basique mais sympathique, bien illustré par Clayton Henry et Michael Shelfer appliqués. En back-up, Mariko Tamaki montre Kara emprisonnée et mise à prix, puis libérée par le robot et ils retrouvent la prisonnière. Ça n'avance pas ou mal, heureusement que Skylar Patridge assure aux dessins. Un bon moment, qui capte bien Clark. |
#1019
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Batgirl #1
Un bon début. Tate Brombal livre un lancement sobre et réussi, où Lady Shiva convoque sa fille Cassandra pour exiger qu'elles partent ensemble, car un ordre ancien veut désormais leurs peaux. L'ambiance est tendue, Cassandra ne croit pas Shiva, mais des sbires ennemis attaquent et font même exploser un de ses temples. Shiva est émue, attaquée encore mais Cassandra vient l'aider, comprenant la sincérité de sa mère et la reconnaissant comme telle au moins pour cette crise. C'est sympathique. Tate Brombal gère bien un lancement correct, où l'ambiance est tendue mais avec des justifications dans la relation entre Shiva et Cassandra. C'est bien fait, fluide, agréable à suivre et ça donne envie de lire la suite, même si ça se lit un peu vite. Takeshi Miyazawa propose de belles planches, travaillées et dynamiques. Un bon début, oui ! |
#1020
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Perso j ai lu les Batman 153 et 154 et je dois avouer que je suis assez conquis ... Après il faudra assumer. En gros quelques mois se sont passés depuis les évènements du dernier arc. Bruce utilise sa fortune pour les quartiers pauvres de Gotham et la ville semble calme.
Et la l auteur nous lance 3 intrigues assez dingue. L auteur frappe fort en un épisode et frappe les bases de Batman .. il manquerait plus qu il apprenne que Alfred était un dealer.. vraiment hâte de lire le suivant mais faudra un peu assumer et pas tout annuler.
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