Les avis de janvier vous souhaitent meilleurs voeux

[Slobo]

Quantum & Woody 2
Valiant ; Scénariste Daniel Kibblesmith ; Artiste Kano.

Pitch :
Dans un passé très lointain Quantum & Woody joue à donjon et dragon. Dans un passé moins plus récent ils se sont disputer après que Woody apprend pour son père. Dans le présent, Woody est engager pour voler l'entrepôt que garde Quantum.
Avis :
Couverture - J'ai d'abord trouvé une comme ça m'est à 10 euros pour un différence de couleur (Vert au lieu de Dorée). Couv réussit. 1/2
Scénario - Un très bon scénario et pourtant c'est pas simple d'utiliser trois temporalité et d'être compréhensible. J'ai vraiment bien rigolé et j'ai trouvé ça très bien mené. 3/3
Dessins - Fun et peu être pas toujours parfait. Mais que j'aime la splash page de baston dans l'entrepôt. 2/3
Sentiments - Et bien pour l'instant je préfère se volume à celui qui m'avait fait découvrir les deux "héros". Mon nouveau Archer & Armstrong pour le fun. 2/2
8/10

[bukowski]

Ca m'énerve ! A cause de Slobo, j'ai envie de tout lire !

[Slobo]

Realm 5
Image ; Scénariste Seth Peck ; Artiste Jeremy Haun

Pitch :
Le complexe ou se retrouve les héros est attaquer par les Orcs et un monstre que les humains n'avait jamais vu jusqu'ici. Il y a des pertes et on peut douter que les humains vont résister longtemps. Et pourtant il on un allier qui arrive et surtout un des leur déclenche son pouvoir se qui permet de mettre l'armée ennemis en déroute.
Avis :
Couverture - Bien lié à l'intérieur et assez belle 2/2
Scénario - Un scénario bien mené mais un peu lent. J'ai un peu de doute que juste la venu de barbue permettent au héros de tenir plus longtemps mais pourquoi pas. La solution ne venant pas de là. Et puis il y a deux grosses pertes. Par contre si j'aime pas que les humains est aussi des pouvoirs (Même si sans ça ils étaient foutu), ça fait deux ex-machina. J'ai rien capté à la fin avec la femme dans le bain de sang. 2/3
Dessins - J'aime toujours les dessins malgré des petits défaut mineur. J'aime beaucoup Rok. Et je veux plus souvent la voir en action. 3/3
Sentiments - Je suis mitigé comme toujours, mais je reviens comme depuis le début. Un numéros avec les différents personnage bien présenter serait bienvenu parce que je trouve ça moins clair que Walking Dead par exemple (Certain perso ce ressemblant j'ai cru que c'était le héros principal au début). 1/2

Pas vu dans le preview de Février à Avril, je me demande pour quand sera la suite.

[Ben Wawe]

	Citation:			Posté par Slobo
	Avengers No Surrender 678 Sentiment - Un coup oui, un coup non. Pour l'instant No surrender n'arrive pas à être de même qualité. J'aimerais bien sur que ça se stabilise mais dans le bon ^^ . 2/2 8/10

C'est ni bon, ni mauvais, en fait. Ça se lit, les pages se tournent, mais je n'ai ni plaisir, ni déplaisir - ni intérêt, ni ennui.
Ça se passe, en fait. Rien d'autre.
Cette période de la franchise méritait autre chose, quand même. Et l'annonce d'une mort, et le traitement dans l'épisode, sont risibles.

[Slobo]

	Citation:			Posté par bukowski
	Ca m'énerve ! A cause de Slobo, j'ai envie de tout lire !

Désolé ! ...

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	C'est ni bon, ni mauvais, en fait. Ça se lit, les pages se tournent, mais je n'ai ni plaisir, ni déplaisir - ni intérêt, ni ennui. Ça se passe, en fait. Rien d'autre.

Ah oui pour ce numéro tout à fait. Le précédent avait plus de gueule sur les possibles conséquences mais bizarrement ils sont pas aller au bout.

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Cette période de la franchise méritait autre chose, quand même.

Complètement d'accord. Je ressent pas du tout la tension de Dissassembled qui est peut être affreux mais termine parfaitement la période de l'époque.

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Et l'annonce d'une mort, et le traitement dans l'épisode, sont risibles.

J'y crois pas une seconde non plus ^^

[wildcard]

	Citation:			Posté par Slobo
	Mystic U 2/3 DC ; Scénariste Alisa Kwitney ; Artiste Mike Norton Pitch : Zatanna continue a suivre les cours sans toutefois réussir à utiliser sa magie au contraire des ses ami(e)s. Doctor Oculte tente de percer qui est Malevolence mais à cause de Zatanna cela échoue. Celle-ci va se rapprocher d'une sororité qui à une reine (Lier au abeille). Celle-ci veulent quelque chose de Zatanna qui les vois pas comme mauvaise surtout que grâce à elles, Zee peu enfin utiliser sa magie. Et elle va se fâcher avec ses ami(e)s un par un à cause de son comportement. Avis : Couverture - Superbe. Bien dans l'esprit du numéro 2/2 Scénario - Bien mené, moins ennuyeux/lourd que le premier épisode. Pourtant il ne se passe pas grand choses non plus. On n'est toujours pas très avancer sur qui est Malevolence (Car Plop semble une piste trop évidente). 2/3 Dessins - J'aime bien les dessins. C'est pas parfait mais c'est bon. 3/3 Sentiments - Par rapport au numéro précédent qui faisait plus Romans Graphic là on est retourné à un format comics. Ca risque d'être vite oubliable. 1/2 8/10

MON AVIS :

J'avais oublié en débutant la lecture de ce deuxième Livre que la série était publiée dans un format "Prestige", donc comptant plus du double de pages qu'un comic-book habituel. Mais il n'est pas question ici de pointer des longueurs dommageables : au contraire, la densité du récit et la fluidité de sa narration sont d'une efficacité jamais prise en défaut.

Alisa Kwitney fait une nouvelle fois référence à la "Malevolence" qui menace l'université Mystik mais de manière plus rapide que dans le précédent numéro. Il s'agit juste de rappeler le danger qui guette le décor de l'histoire et les tensions que cela provoque au sein du corps professoral dont la majorité des enseignants pensent que Zatanna est l'élève qui causera la perte de l'établissement alors que la directrice, Rose Psychic, est d'un autre avis - ou du moins, entend régler le problème de manière moins radicale que ses collègues.

La scénariste a d'autres éléments à développer et prouve qu'elle a un plan bien fourni pour alimenter en péripéties le séjour de Zatanna dans cette école. On s'amuse d'abord de (re)découvrir celle qui deviendra une des magiciennes les plus puissantes en train d'apprendre laborieusement ses gammes en compagnie d'enseignants peu tolérants (et même franchement inquiétants comme le montre une vision de Rose Psychic avec Mr. E). L'héroïne en convient elle-même : elle n'est pas douée et mesure ses lacunes, toute sa jeunesse passée aux côtés de son père, Giovanni, en qualité d'assistante, ne lui a pas permis de se perfectionner. Mais ses échecs lui pèsent et ce n'est pas du côté de Sebastian Faust, dont l'attitude faussement indifférente la séduise, qu'elle trouvera du réconfort.

Zatanna entrevoit dans la possibilité d'intégrer une sororité un moyen d'être consolée : cette tradition très anglo-saxonne et présente dans les facultés se base sur des rassemblements d'étudiantes dans un bâtiment où elles vivent en communauté. La solidarité qu'elles affichent entre elles repose sur des codes stricts à respecter, souvent discriminatoires (ces jeunes femmes sont issues de milieux favorisés). Ne pas y appartenir signifie donc d'être mis au ban d'une certaine élite.

Le lecteur devine rapidement, comme Pia, que la Maison de Thriae représente davantage un danger qu'une opportunité. Alisa Kwitney a des Lettres puisque Thriae (ou Thriai) renvoie au nom de nymphes, trois soeurs vierges appartenant à une des nombreuses triades dans la mythologie grecques. Elles sont effectivement représentées par trois jeunes femmes au charme envoûtant, vêtues comme des créatures d'un autre temps, menées par Melissa, dont les manières doucereuses trahissent son comportement trouble. La fête qu'elle organise et à laquelle Zatanna se rend sur leur invitation ressemble à une orgie où les esprits s'échauffent grâce à une mystérieuse liqueur, le Rakmelion.

Le récit engage alors Zatanna sur une pente glissante mais révèle in extremis le piège effectif qu'avait pressenti Pia, qui aboutira à une bataille express mais spectaculaire. En outre, cette menace a permis d'éprouver les sentiments des protagonistes, de l'attirance (réciproque) de Zatanna et Sebastian ou de Sargon pour June, en passant par le changement de look (à peine plus avenant) de Plop. La chute de l'épisode est un cliffhanger accrocheur et dramatique (même si son issue, dans le prochaine Livre, est prévisible).

Visuellement, Mike Norton poursuit sur la lancée de sa formidable prestation : son style est solide et complet et il a manifestement eu le temps de produire ses planches avec de l'avance car on note le soin apporté non seulement à la représentation des personnages, expressifs, vêtus de façon éloquente (leur look est naturel tout en possédant une légère excentricité propre à celles qu'on imagine chez des apprentis magiciens), mais aussi aux décors.

Les extérieurs permettent de concevoir l'université comme un site bien entretenu mais avec un passé ancien, une demeure fastueuse et spacieuse, avec ses bâtiments et ses parcs. La taille du domaine traduit parfaitement l'importance du lieu, qui n'est ni plus ni moins qu'une place forte du mysticisme mais aussi un centre de formation, un véritable campus. Les intérieurs sont encore plus impressionnants comme en témoigne la séquence de la réception donnée par la sororité : Norton dessine un grand salon avec un ameublement chic, très détaillé, et des décorations évoquant les habitats antiques avec des draperies, des boiseries, des bas reliefs. Il en profite pour composer des plans à la figuration importante mais où chaque personnage, majeur ou mineur, est admirablement situé, de façon à ce que la lecture soit agréable, jamais saturé par le foisonnement de l'image.

Tout cela est mis en valeur par la colorisation de Jordie Bellaire, qui sait donner à chaque scène une ambiance propre grâce à une palette subtile. Les manifestations magiques sont ainsi soulignées par des teintes plus vives et des couleurs marquantes (comme le vert) alors que les moments plus ordinaires sont traités sobrement de manière à ne pas distraire l'attention.

C'est vraiment une production impeccable. On peut, si on veut chipoter, lui reprocher un petit manque de folie, eut égard au contexte, mais l'histoire s'inscrit jusqu'à présent davantage dans le domaine du récit d'initiation que de l'aventure. L'ouvrage est en tout cas bien dirigé et devrait logiquement servir de tremplin à une série dédiée à Zatanna adulte dans un proche avenir vu le souci avec lequel le personnage est réintroduit ici ou là (la magicienne est aussi apparue dans un arc récent de Detective Comics).

[wildcard]

Comme l'épisode 7 avec Deadpool en guest-star, la couverture de ce numéro trompe le lecteur sur la présence effective de son casting de choc : toutes les super-nanas posant derrière Jessica Jones n'apparaissent qu'à la dernière page - une ruse qui amusera les fans de Brian Michael Bendis (car ils savent qu'avec lui, rien ne se joue comme prévu) et agacera ses détracteurs (qui lui reprocheront justement de promettre beaucoup par malice).

On ne va pas refaire le monde et on ne refera pas le scénariste : c'est ainsi, il clivera toujours - et ça ne changera pas avec son transfert chez DC Comics et l'annonce de ses premières séries, qui ont déclenché des réactions toujours aussi passionnées.

Je me contenterai de dire, comme je l'ai souvent fait avec lui, que pour apprécier Defenders (comme nombre de ses précédentes productions), il faut accepter que l'auteur ait établi ses propres règles, et plus largement qu'il n'existe pas une seule manière d'animer des personnages et de construire une histoire. On peut reprocher ceci ou cela à Bendis, mais pas d'avoir sa voix, un style identifiables. Libre à chacun ensuite de le lire, mais en se retenant ensuite d'être étonné ou outré.

Filant à une allure folle, comme la majorité des chapitres depuis le début de la série, cet épisode doit son rythme au choix fait de miser sur l'action : une nouvelle baston spectaculaire oppose les Defenders à Diamondback, et on comprend facilement comment Jessica Jones, Iron Fist, Daredevil et Luke Cage prennent le dessus sur des adversaires pourtant supérieurs en puissance comme Titania, Moonstone et le Fixer, compensant par la ruse et la complémentarité l'inégalité des pouvoirs en place.

David Marquez est, on le sait, très à l'aise dans ce registre et il le prouve une nouvelle fois en découpant ce combat central, sur plusieurs pages, de manière très dynamique et fluide à la fois. L'impact des coups, la diversité des angles de vue, l'énergie déployée, la tension palpable entre les deux parties sont parfaitement illustrés grâce à des astuces simples, importés ici du manga (avec l'usage de traits de vitesse), ici du comics pur (la succession d'attaques soulignée par un effet de travelling avant quand Cage s'acharne sur Diamondback), et même un clin d'oeil au western (avec l'apparition de Black Cat et son énorme mitraillette - digne de celles que Sienkiewicz mettait entre les mains d'Elektra).

Cependant, le dessinateur néglige un peu les décors, peut-être par choix (pour focaliser l'attention du lecteur sur la bataille plus que sur la zone de combat, quelconque en vérité - une rue comme les bas-fonds de New York en compte des centaines), peut-être pressé par le temps (car, avec une attention de plus en plus grande portée à son travail, Marquez signe désormais, en plus des pages intérieures du titre, de nombreuses couvertures et variant covers pour d'autres séries exposées - telles que celles de la franchise "Star Wars").

Cet avant-dernier volet de l'aventure manque sans doute du piquant des précédents, réglant un problème pour mieux préparer le terrain à la conclusion, mais Defenders demeure une lecture très plaisante et aura abouti à un ensemble cohérent, nerveux et accrocheur, chant du cygne remarquable de la part de Bendis à ses "street-level heroes" qu'il aime tant.

[wildcard]

La nouvelle série Legion fournit à Marvel l'occasion de surfer sur le succès critique et public de la série télé diffusée l'an dernier sur Netflix. Toutefois, il ne faudrait pas réduire le projet à son opportunisme car le pari est audacieux tant le personnage est complexe et le talent de l'équipe créative intéressant.

Ceux qui ne connaissent David Haller, le très perturbé rejeton du Pr. Charles Xavier, fondateur des X-Men, que par la série Legion de FX ne reconnaîtront pas le héros sur la couverture et dans les pages intérieures car son look dans les comics diffère totalement de son incarnation à l'écran par le comédien Dan Stevens (qui a un faux air des frères Gallagher).

Mis à part cette distinction physique, le héros est toujours aussi dérangé, puissant et ses mésaventures aussi déjantées. Il n'est guère étonnant que Marvel ait confié l'écriture de la série à Peter Milligan dont le C.V. regorge de personnages au mieux atypiques, au pire franchement borderline (il a scénarisé des titres comme X-Statix, Hellblazer ou Justice League Dark, entre beaucoup d'autres) : l'étrange est un domaine qu'il apprécie et dans lequel il excelle grâce à son sens des situations décalées.

Ici, donc, pas de protagonistes en costumes moulants et colorés mais un schizophrène sévère en pyjama d'hôpital avec une coiffure aussi remarquable qu'improbable, confronté à un ennemi aussi invisible que redoutable. Comme il l'avoue lui-même dès la première page, David Haller est fou et contrôle aussi mal sa névrose que ses ahurissants pouvoirs mentaux (c'est un mutant de niveau oméga, la classe la plus puissante), et cela suffit à instiller le doute chez le lecteur sur la véritable nature de la menace - délire ou réalité ?

Il s'avère que Milligan n'entretient guère ce mystère en exposant très vite Lord Trauma comme un danger réel et effrayant, tout en prenant soin de ne pas trop en révéler tout de même - est-une des innombrables personnalités de David ? Ou une entité qui a utilisé le cerveau du mutant comme refuge avant de pouvoir s'en retirer à nouveau ? Et, surtout, pourquoi à présent s'en prend-il si violemment à lui et celle qui peut l'aider ?

Le tourbillon brassé par le script est traduit visuellement par un graphisme rassurant, ce qui est malin. Wilfredo Torres s'est fait remarquer comme cover artist puis ses épisodes de Jupiter's Circle (le prequel de Jupiter's Legacy, également écrit par Mark Millar), mais sa carrière a été perturbé par un drame personnel (sa femme est morte) et il a dû passer la main à des collègues (David Gianfelice, Chris Sprouse) pendant un temps. Il est récemment revenu aux affaires en illustrant la mini-série Captain Kid (écrite par Mark Waid et Tom Peyer) et Legion lui offre un nouveau tremplin.

Son trait est élégant et sa narration fluide, sans excentricité dans le découpage. On pense en le lisant à Sprouse, à Leonardo Romero, une certaine "ligne claire" américanisée. Son encrage est peut-être trop uniforme pour valoriser les textures, d'autant plus que la colorisation de Dan Brown, dans des tons doux, n'offre pas de contrastes saisissants. Mais c'est tout de même très agréable au regard et astucieux pour animer un personnage et un récit s'appuyant sur la folie (l'autre style idéal pour cela étant de disposer d'un graphisme baroque comme celui de Bill Sienkiewicz).

L'épisode est suffisamment intriguant donc pour qu'on remarque son potentiel, même si une série pareille a intérêt à être éditée intelligemment : incluse dans la franchise mutante, il faut souhaiter que Marvel la vende en insistant sur son aspect marginal et non comme un blockbuster potentiel (un sleeper comme on nomme ce genre de titres). Croisons donc les doigts pour que Legion grandisse en acceptant qu'elle n'obtienne pas des scores hallucinants.

[Fletcher Arrowsmith]

C'était sur Netflix la serie Legion ? Je la regarde sur OCS en ce moment.

[JB]

Non, je ne pense pas qu'elle y ait jamais été (du moins en VF)

Après, Marvel avait déj eu la série X-Men Legacy consacré à Legion, qui a pu inspiré la série elle-même. Que le comic s'insspire du principe de la série elle-même inspirée d'un arc fameux, cela me donne quelques doutes, surtout que Milligan n'a pas un parcours parfait sur la franchise (Golgotha...)

[ArnaudXIII]

C'était pas sur Netflix mais sur FX.

[wildcard]

	Citation:			Posté par arrowsmith
	C'était sur Netflix la serie Legion ? Je la regarde sur OCS en ce moment.

	Citation:			Posté par ArnaudXIII
	C'était pas sur Netflix mais sur FX.

Voilà ce que ça fait de lire et critiquer une série avec un héros à personnalités multiples...

Cela dit, j'adore Mimi Mathy dans "Games of Thrones" qui passe sur Gulli. J'ai hâte d'en lire l'adaptation en BD.

[Slobo]

	Citation:			Posté par wildcard
	Cela dit, j'adore Mimi Mathy dans "Games of Thrones" qui passe sur Gulli. J'ai hâte d'en lire l'adaptation en BD.

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par Slobo
	Eternity 4 Valiant ; Scénariste Matt Kindt ; Dessin Trevor Hairsine ; Encrage Ryan Winn. Pitch : Fin de route pour les Divinity. Il leur faut accepter que leur enfant n'est pas le leur et ne leurs appartient pas. Il faut aussi accepter de le voir évoluer et se distancer d'eux. Mais qui a tirer la balle qui à tuer l'Observer et pourquoi. Et si ce n'était qu'une question d'espace et de temps avec un personnage vu en début d'histoire ? Avis : Couverture - Franchement j'ai adoré toute les couvertures, même si parfois comme celle-ci ce n'était pas en lien à l'intérieur. Rien que pour le qualité je leur donne le point de plus qui sinon leurs manque. 2/2. Scénario - Ok y'a des moments ou j'ai mit du temps à comprendre et des choses que j'ai pas compris. Comme le moment à la fin ou le personnage sort de la navette tombé me semble avant le démarrage de l'histoire. J'ai bien aimé l'explication pour la mort de l'observer. Dans le début, Divinity va voir un de ses fan qui veut venir avec lui dans l'autre univers, mais les divinity parte seul. Ce dernier à une vision permettant de dire à son tireur d'élite quand ouvrir une porte pour le faire passer. La balle tue l'observer mais la porte ne s'ouvre complètement que plus tard. Sinon j'ai moins apprécier parce que c'est plus basé sur les deux Destiny et leur fils. On voit encore moins les personnages de cet univers si beau que Kindt avait construit. C'est dommage. 2/3 Dessins - Un des plus beau dessins que j'ai pu suivre sur une série. C'est ce qui m'a fait venir. 3/3 Sentiments - Un peu déçu par la fin (Mais on m'avait prévenu, kindt est bon créateur mais ne sait pas comment conclure). 1/2 8/10

Une belle conclusion, avec de l'émotion qui clôt une nouvelle mini sur Divinity. Comme toi, je regrette que Matt Kindt n'aille pas au bout de ce nouvel univers crée donnant une impression de n'avoir que gratter la surface. Pour autant le scénariste canadien (qui vit aux USA) va ou bout de son concept en proposant un véritable récit de SF (l'explication de la mort de l'explorer). Oui vraiment dommage car ce titre avait énormément de potentiel et ainsi appâté les lecteurs étaient en droit d'en vouloir plus. Graphiquement Hairsine s'est bien éclaté à dessiner les délires de Kindt avec des mondes psychédéliques et sens dessus dessous.

14/20

[Fletcher Arrowsmith]

THE SILENCER #1

W : Dan Abnett
P : John Romita Jr
I : Sandra Hope

Honor Guest, mère de famille à la vie rangée, est agressé à la sortie de supermarché par un android. Puis elle à la visite d'une ancienne amie, bien connu de Bruce Wayne. Honor semble être une autre personne et cache un passé mystérieux en plus d'un pouvoir de créer une bulle de silence.

Je me suis lancé dans ce titre sans avoir lu Metal et parce que l'association Abnett/Romita Jr m'a intrigué. Pas déçu au premier abord. Abnett donne ce qu'il faut dans un premier numéro où passé l'introduction assez rendre dedans, l'arrivée d'un personnage important du folkore batmanien donne le ton et permet d'entrevoir le potentiel du personnage principal, Honor Guest. La description de la famille de Honor, mari et enfant, est assez simple mais ne fait pas dans le compliqué inutile. C'est assez classique mais efficace ce que je ne croyais plus possible avec un premier numéro de nos jours. On en sait encore peu sur les capacités de Honor, mise à part que c'est clairement le retour d'une badass woman comme personnage. On ne connait pas encore les enjeux, même si Abnett sait titiller le lecteur, mais les vilains de services sont suffisamment imposant pour permette des scènes d'affrontements que l'on attend en achetant ce titre.

Que vaut la prestation de Romita Jr ? Il est en forme sauf que White salope encore une fois les crayonnées de l'artiste avec une mise en couleurs sans relief et imagination (la lumière dans les intérieurs est identique que celle des extérieurs par exemple). Et puis Sandra Hope n'est pas Klaus Janson à l'encrage. Sur un tel récit, plein de fureur, le compagnon de longue date aurait été parfait. Sandra Hope c'est un peu comme Scott Hanna, mais en mieux, c'est rond et elle accentue les défauts de junior (planche 5, première case, effet raté de mouvement des bras).

14/20