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#1
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et encore, le premier travail d'Adams publié c'est dans Captain Carrot 12 à 19 ans en 1983 et en 1984, il fait une print qui montre déjà tout son talent
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#2
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Madureira est né en 1974, donc il devait avoir 19 ans quand il dessine la première mini Deadpool, et 20 quand il dessine ses premiers X-Men.
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#3
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Si on joue à ce jeu là, on peut évoquer Jim Shooter ou Cary Bates… Mais c'était juste un souvenir qui me revenait, pas forcément le début d'un concours )))
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#4
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n'oublie pas Steve Dillon ^^ (repart en fermant la porte)
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Shoot Shoot don't talk |
#5
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Il faut vraiment que je tente cette série un jour !
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#6
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Bon, une fois n'est pas coutume, je révise un peu mon premier jugement sur Decorum de Hickman et Huddleston !
La première fois que j'avais lu le premier volume, ça avait été très laborieux, une lecture entrecoupée, pénible (je lisais ça le soir, au pieu, j'en pouvais plus de ces schémas qui t'expliquent le pourquoi du comment, sans cesse, la touche insupportable de Hickman quoi !), du coup j'avais parcouru à l'arrache le second volume qui m'avait certes donné une impression plus agréable, mais les schémas… bla bla bla… j'avais cédé… Là, ce matin, je me suis dit, allez, plonge là-dedans d'un bloc, sans filet, vas-y et ne te prends pas la tête avec cette redondance de PAO (j'ai quand même lu les premiers, mais j'ai vite laissé tomber en me rendant compte que non, ça n'est pas toujours nécessaire, si ça te fait chier, tu passes…) Et, finalement non seulement le récit m'est apparu bien plus clair, plus prenant, mais surtout bien plus intéressant qu'au premier abord (même si la fin ne l'est pas forcément, mais ça c'est subjectif) ! Bon, j'avoue je suis surtout fan du taff d'Huddleston qui m'éblouit à chaque page, certainement le gros truc qui va me faire garder ces deux volumes. Toutefois, le scénario n'est pas trop mal, bien que je le trouve assez brouillon globalement ! Il y a quelques bonnes idées, comme les trois premières années de formation de Neha et sa façon de sans vouloir sortir du récit, de s'affranchir de cet univers complexe et froid. On a de la bonne Hard SF qui fait plaisir, c'est bien mené, c'est magnifique et on passe finalement un bon moment… Après, je sais que je n'en garderais que des cases sublimes, mais qu'importe, il fallait en effet redonner une seconde chance à ce diptyque ! |
#7
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Superman Space Age 1 (couv de Rude) par Russell et Allred.
Bon, je suis moins accro à Allred qu'il fut un temps. Je continue de le suivre de temps à autre, mais j'avoue que le charme fonctionne de moins en moins sur moi, même si j'aime bien son taff ! Pour autant je ne suis pas arrivé à cette mini-pour lui, mais bien plus sur la promesse du scénario. J'avais juste oublié en cours de route que forcément du Superman c'était lié à une écriture pleine de formulations moralisatrices sur la vie, sur le devoir du héros, la famille et la destinée héroïque "Tu seras un homme mon fils !", le personnage est un parangon de vertu, lisse et droit. Et c'est ça sur l'ensemble des pages, d'autant que ça colle à un récit assez convenu, même si j'aime assez l'idée d'intégrer le parcours de ces perso à la Grande Histoire américaine. Mais il n'en ressort rien de bien exceptionnel jusque là. Toutefois, présenter Pariah et l'Anti-Monitor dès ce premier volume c'est assez bien vu, à voir ou cela mènera ! Wait and see… |
#8
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Tout laisse à penser que cette mini va avoir tout les défauts que Russell a révélé sur FF Life Story, c'est à dire qu'il va se perdre en route et dériver de l'idée de base. En l'occurrence ici la fin et la cover du #2 nous vendent de la League et plus du Big Blue.
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#9
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Ca se devine vite avec le développement de Bruce Wayne et Hal Jordan au fil du numéro. Y a juste Diana qui arrive à l'arrache a la fin, mais en effet, je pense que le propos est davantage la figure héroïque au fil de l'Histoire Américaine que Superman lui même qui reste le symbole le plus archétypale de cette idée. Il suffit de voir les scènes de guerre avec les Allemand et les japonais et ce que ça sous-tend en terme de responsabilité. C'est pour ça que je trouve l'intrigue assez convenue en fin de compte, quand bien même j'aime bien cette réécriture des origines des uns et des autres et les contours qu'ils gagnent sous ce nouvel éclairage.
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#10
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Bon, je suis retombé sur Redemption, sorti en février, par Faust et Deodato jr. J'avais complètement zappé ce volume et fallait quand même qu'à un moment je m'en occupe !
Bref, une série Z quelconque (comme l'était déjà Bad Mother des mêmes, je ne m'attendais pas à une surprise, de toute façon), avec une intrigue tellement téléphonée que je me suis vraiment demandé deux ou trois fois pourquoi je continuais à lire ça ! Bon, c'est efficacement mené, le scénario fonctionne, même s'il peine à s'égarer hors des sentiers battus et le dessin… ben c'est du Deodato jr, donc on se balance sans cesse entre du très laid et du sympa… Il y a au moins l’énergie de son encrage. Pas grand chose qui reste en mémoire, au final ! Next ! |
#11
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Ca fait quelques temps que je l'ai récupéré, et du coup, je n'en commence la lecture que maintenant, tranquillement. L'omnibus de Générations par Byrne est vraiment une lecture très agréable. L'idée de suivre Batman et Superman à travers les décennies, avec leurs enfants etc, j'avoue que ça fonctionne très bien et Byrne glisse ici et là quelques très bonnes idées. En contre partie, il n'a pas forcément le temps de creuser les caractères de chacun, à part les deux perso principaux tout le reste de l'ordre du background, sans trop fouiller !
Concrètement ça n'est pas très grave, car l'idée est suffisamment forte pour mener tout le reste, mais bon… Je n'ai lu, jusque là que l'équivalent de la première mini-série, je me doute, en feuilletant vite fait le reste, que Byrne va davantage développer tout çae, j'ai donc hâte de continuer. Par contre, graphiquement, je crois que je préfère la dernière mini-série qui me semble bien plus solide, plus fignolée !!! |
#12
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Oh et une petite parenthèse tout de même entre les pages de Byrne, j'ai dévoré le très beau War Bears de Artwood et Stacy qui avait servi pour une case de Bukowski, je crois. Je ne connaissais auparavant pas ce comics, mais en grand fan de Ken Steacy je m'étais précipité pour récupérer le tpb !
On est dans les années 40, à Toronto. Alain Zurakowski est un jeune artiste idéaliste, il pousse la porte des éditions Canoodle Comics Inc. pour réaliser son rêve, dessiner des comics. Après une petite période à tracer le cadre des cases et des bulles de dialogue, il se retrouve à dessiner sa propre série: Oursonnette, les aventure d'une femme ours qui se bat contre les méchants nazis. L'histoire est très intéressante, sur le milieu des comics canadiens, sur les rêves d'un jeune artiste… C'est bien évidemment superbement dessiné, Steacy revenant sur des planches après pas mal de temps à enseigner, on sent qu'il s'éclate sur chaque planches (surtout sur les pages en noir et blanc d'Oursonette) Un très bel hommage à cette période, sans tomber dans l'amertume ou les règlements de compte. |
#13
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Human Target #1-6 (of 12)
Je ne connaissais pas Human Target/Christopher Chance, cette maxi par King et Smallwood était donc pour moi l'occasion de le découvrir. Je viens de lire les 6 premiers épisodes de la maxi, donc pile à mi-chemin juste avant le one-shot qui fait office de pause. Mon tort a été d'oublier que nous étions dans du Black Label, donc à supposer hors-continuité, et c'est ce qui me motive à écrire ces lignes. Il y a bien quelques détails qui auraient dû me mettre la puce à l'oreille, le statu quo de Ted Kord par exemple, qui ne collait pas avec ce que l'on a eu dernièrement dans la maxi Blue & Gold. Mais les ancrage dans la continuité comme les incessantes références à la League Bwa-Ha-Ha m'ont fait oublier le contexte de la publication. Ca allait même plutôt bien, même si j'ai tiqué sur l'apparition de "Hal Jordan", mais le #6 m'a définitivement choqué. Sous couvert de référence à une scène mythique de la Bwa-ha-ha, King commet l'irréparable envers un perso pour lequel j'ai toujours eu une profonde affection. Et paf, je me prends cette scène dans la tronche, et j'en suis encore retourné. Quelqu'un ici l'a lu? J'ai encore du mal à y croire, surtout quand on voit la réaction des acteurs de cette scène, presque désinvoltes. |
#14
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Pour l instant j aime bien: j attend de voir la suite
Mais en Human target, je prefere ce qu a fait milligan (surtout les 2 minis) J avoue ensuite que j ai toujours du mal a savoir ce qui est en continuité ou pas avec DC donc je prend sans y reflechir trop.. sur ce plan. Même les ongoings souvent me deconcerte (je crois que les 1ers nightwing de taylor, quelques points n etaient pas à ma connaissance). |
#15
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Mais en l'occurrence, sur LA scène du #6, elle ne t'a pas choquée?
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