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Je vais essayer de me rappeler de mes danses d'ado et de mon laché de bassin! Cava claquer! Et si t'es sur paris, appelle moi, on se ridiculisera a deux!
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La super banane :
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Toujours sur les flims de danse, vu SALSA FURY (ou CUBAN FURY, c'est selon) avec Nick Frost, ultra moyen, mais çà donne carrément envie de s'inscrire aux cours et d'apprendre ... parce que putain, que c'est classe !
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Vu Elysium: vraiment très cool. ça fait plaisir de revoir Matt Damon! très joli. Une intrigue déjà vu mais on a vite de l'empathie pour le gars.
Oblivion moins chiant que ce que j'en ai entendu dire. Certes centrocentré sur le perso de Cruise pendant 3/4 heure facile mais j'avoue que je me suis laissé prendre par au moins un twist. La plus grand surprise de cette session SF de la semaine c'est sans nul contest Ender's game (stratégie Ender en VF). Hormis le fais que le monde est encore très joliement caractérisé visuellement, c'est surtout par le casting que j'ai été surpris. 90% de la distribution à moins de 15 ans et on ne sombre jamais dans le gnagnan, l'angélisme ou le faussement joué même un bisous prépubaire échangé. Là encore en tant que bon public je me suis fait avoir sur le twist de fin même si la toute fin est assez improbable J'imagine que le bouquin doit beaucoup plus développé les choses mais l'évolution du perso et son utilisation par le perso d'Harrison Ford est quand même bien menée. sinon dans un autre genre Kick Ass 2: une très bonne suuite encore plus fun que le 1 je dirais. |
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Les sorcieres de Zagaramurdi,
génial! La gouaille et la gueule des acteurs, le mélange de violence ( casse, tir en pleine foule ) et de comédie pur ( les persos sont super bien posé depuis le début et mitraillent régulierement les sequences de slapstick ou de bons mots). Des ingrédients classiques pour DeLa Iglesia, c'est un peut sa carte de visite, utiliser un genre et en faire une "presque" satire a coups de personnages forts en gueules et d'intrigues tout en accélération! Bien sur ce n'est pas le meilleur, une baisse de rythme en 3 eme partie, mais c'est tellement un bonheur de voir un film de genre avec un vrai caractere que ça reste au dessus du lot poir moi! 5/6 !
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Mon site (qui date ) |
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Deux films français. Un dont j'attendais quelque chose. L'autre, rien, je n'en avais même jamais entendu parler. Qui a gagné?
Dans la cour est le nouveau Pierre Salvadori, un auteur que j'aime beaucoup, plus pour ses premiers flims, Cible émouvante, Les Apprentis, que les suivants, certes. Mais quelques soient les faiblesses de ses derniers films, c'est toujours sensible et très bien écrit même si parfois un peu trop. Bon, Salvadori a égaré son mojo depuis Hors de Prix et peine à le retrouver depuis. Même dans la direction d'acteurs, ça patine. Gustave Kervern n'est pas tout le temps juste et Deneuve pareil. Dommage parce que leur duo atypique fonctionne pas mal mais c'est par éclipses. De bons moments mais qui ne suffisent pas à faire un film. Et la fin est vraiment nulle et indigne de la délicatesse dont cet auteur a su souvent faire preuve. Libre et assoupi. Divine surprise que ce film emmené par un comique de stand-up et une ex-miss météo C+. Ouch, ça a l'air nul dit comme ça. Hé bien, c'est formidable. Très bel éloge de la glande, plus fin qu'il n'y parait. Ca flotte un peu par moments comme si le réalisateur n'avait pas osé coupé la chique à des acteurs parfois en roue libre. Mais, dans l'ensemble, c'est une réussite. Drôle, enlevé et original dans le ton, j'ai passé un très bon moment. Et le film fait une magnifique utilisation d'une pépite des Feelies. Ne serait-ce que pour ça, je dis bravo. |
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I'am not Samual Krohm de Sebastien Chantal
Patrick Decuir, a wholesaler in agricultural products, finds himself in a strange village where everybody takes him for a man called Samuel Krohm. This new identity will get him into trouble with a multinational biotechnology corporation, which seems to be employing "Krohm" in occult activities... C'est un court-métrage très intéressant, français de plus. C'est une adaptation très libre des récits de Lovecraft. Ici en tout cas on découvre la France profonde et tout nous apparait assez vite très étrange, bon on évite pour autant le côté glauque à la Calvaire par exemple, ici tout nous apparait normal, ce n'est pas la France Profonde stéréotypée. En tout cas plus on avance dans le récit et plus on découvre que les gens sont vraiment étranges, notamment durant le passage avec le conseil. Les personnes de ce conseil en tout cas font froid dans le dos à leur manière d'agir, de regarder le personnage principal. Il y a vraiment quelque chose et meme si on se doute de ce que c'est vu que c'est une oeuvre inspirée de Lovecraft, on ne peut s'empêcher d'être mal à l'aise. Après plus on avance dans le récit et plus on voit bien qu'ils sont contaminés par le mal (ici l'Ancien Nyarlathotep) et plus on avance dans le récit plus on découvre que notre personnage principal n'est pas si neutre qu'on le pense. La découverte se fera via des écoutes de documents et seront ma foi assez glauque vu que les informations obtenues concernent un enfant. Après quand on voit les créatures du récit, on tombe un peu dans le cliché des créatures venant des oeuvres de Lovecraft, ce n'est pas dérangeant en soit, mais peut-être que ne pas les montrer serait une meilleure idée en soit, on pourrait juste entre les cris des créatures. Après ce n'est pas ce qui va nous empêcher de prendre plaisir à regarder le court. Le récit est très bien conté, les acteurs sont vraiment bons, on sent la détresse du personnage principal et la folie palpable des personnages, il y a un vrai malaise durant le récit. C'est glauque à souhait en tout cas et le final durantle générique est impressionnant et étrangement me fait penser à la fin du film Dagon, déjà adapté des récits de Lovecraft. Les maquillages sont très bons en tout cas, et ceux que l'on voit à la toute fin du récit me font penser à ceux que l'on voit dans l'un des récits du film à sketchs Creepshow, celui avec Stephen King. Enfin bref j'aime beaucoup, c'est une très bonne réalisation, la mise en scène est efficace de bout-en-bout et la bande son est efficace elle aussi. Bref c'est bien et vous devez le voir. Je lui donne la note de 8/10.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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The Last Horror Film de David Winters
Vinny Durand est un chauffeur de taxi new-yorkais qui voue une admiration sans borne à Jana Bates, une actrice connue comme étant la reine des films d'horreur. Justement, Vinny a le projet de se reconvertir en réalisateur de cinéma et rêverait d'avoir Bates comme star de son premier film. Sachant qu'elle sera à Cannes pour le Festival, il s'y rend pour essayer de la rencontrer et de la convaincre. Malheureusement pour lui, son manque de professionnalisme et d'expérience ainsi que son zèle le grille rapidement auprès de la star. C'est alors que des disparitions inquiétantes se produisent dans l'entourage de Bates… C'était un film intéressant, certes très classique, mais qui a ma sympathie. c'est une oeuvre que j'ai vue deux fois seulement et j'ai eu l'occasion de le redécouvrir. Caroline Munro et Joe Spinell sont les stars de ce film et on peut dire que cela fait plaisir de les voir. Caroline Munro reste pour moi une grande actrice et elle joue à merveille ce rôle de star pourchassée par une personne complètement folle. Après comme je l'écris avant, il n'y a pas de réelles surprises, à part peut-être le twist de fin sur l'identité d'un personnage. On pouvait avoir la puce à l'oreille au vu d'un des dialogues, mais en même temps au moment ou il parle du producteur, je pensais que le corps serait utilisé comme accessoire pour le film du personnage principal. En dehors de cela, j'aime beaucoup la vision du Festival de Cannes, bon après je connais le festival depuis quelques années seulement et c'était peut-être aussi extravagant dans les années 80, mais quand même. Entre les plages nues, les soirées ou n'importent qui peut entrer alors que maintenant dans les mêmes endroits c'est assez sélect, je trouvais cela marrant. Après c'est une bonne idée de tourner le film directement pendant le festival, ça donne un côté plus authentique au tout, la surprise ou la folie des spectateurs transpercent mieux la caméra. En ce qui concerne les meurtres du film, il n'y a rien de bien original même si c'est graphique, comme le premier meurtre par exemple. Sinon je ne sais pas si cela vient de mon dvd, mais il y a un passage ou les langues changent. Il y a un moment ou l'un des agents (d'origine russe dans le script) parle russe sans traduction ce qui est rare pour un film américain, s'il n'y avait que ça, ce ne serait pas dérangeant, le hic c'est que en continuant la scène, les deux personnages suivant (une actrice et son mari) qui parlaient anglais dans le film précédent, parle eux allemand et juste après tout redevient normal. Bref soit c'est une erreur sur le dvd soit j'ai loupée quelque chose à un moment ou à un autre. Enfin bref le film se regarde sans déplaisir, certains passages sont amusants, d'autres assez tristes, notamment en ce qui concerne le personnage de Spinell. Le final est par contre très décalé, c'est amusant vraiment, surtout les paroles de a mère du héros, c'est en totale décalage. On ne comprend pas vraiment le pourquoi d'un tel changement de ton, mais ça fonctionne assez bien. En tout cas c'est un produit typique de cette époque, il y a des meurtres (nombreux), des nues (très nombreux) et de l'humour par parcimonie. Je le recommande en tout cas même si ce n'est pas le film du siècle, ce n'est pas désagréable en tout cas. 7/10
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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La Balance de Bob Swaim
L’indicateur de la 13e Brigade Territoriale a été assassiné. L’inspecteur en chef Palouzi doit absolument savoir pour pouvoir recruter en sécurité une nouvelle "balance", et enquêter sur les agissements du caïd Massina. Dédé, un ancien lieutenant du truand vivant avec une prostituée, semble être le bon choix. Je comprend mieux pourquoi le film de Bob Swaim, datant de 1982, a reçu de nombreuses récompenses. Le film le mérite amplement en tout cas, notamment son César du meilleur film. Le casting du film est vraiment bon, notamment la zoulie Nathalie Baye, même si certains choix sont assez étranges comme par exemple Florent Pagny, d'ailleurs il se fait casser les dents par l'excellent (du moins quand il a vraiment envie de jouer,) Tcheky Karyo. Il y a également Maurice Ronet dans un rôle de caïd, c'est vraiment plaisant pour le coup. Le film de Bob Swaim donne une image assez différente de la police à l'époque, après je ne suis pas une spécialiste de cette période de l'année mais il y a vraiment une vision réaliste différente de la police, mais aussi de la ville et de la société française dans son ensemble. On nous montre à quoi ressemble la France de l'époque. Pour en revenir à la police, on se rapproche plus de ce qui fera le sel de nombreux films par la suite, ils ne sont pas tous gentils et servant la sécurité de la ville comme on l'entend. Ils ne sont pas implacables, ils ne sont pas parfaits, bien au contraire, ils ont parfois des décisions surprenantes pour des policiers. J'ai souvent eu en tête le film de Olivier Marchal, Gangsters, le couple formé par Nathalie Baye et Philippe Léotard est différente bien entendu de celui du film de Olivier Marchal, mais pourtant je l'ai souvent eu en tête. En tout cas les suspects de nos policiers sont bien plus agréables que les policiers, ils ne sont pas aussi trash que ceux de Olivier Marchal. L'une des forces du film vient du soin apporté aux personnages, mais aussi aux décors en lui même, il y a une symbiose entre les deux, ce qui affecte les uns, affecte les autres, le quartier de Belleville est complètement ruinée, il perd de sa superbe en quelque sorte, comme la police dans notre récit. je ne sais pas si la police est ainsi, je ne vais pas tomber dans le cliché des mauvais policiers, mais bon ici ils représentent tous ce qui ne va pas dans la police. Ici le commissaire est un homme vraiment porté sur la bouteille, il utilise la force pour obtenir ce qu'il veut, il fréquente des endroits qui ne sont pas recommandables, il utilise le chantage. Les policiers ont par moment une attitude raciste dans la façon de s'exprimer, ils sont racistes, sexistes, bref ils pensent être supérieurs à nous, aux gens du peuple et c'est parfaitement retranscrit par le scénario. J'aime beaucoup en tout cas la progression du scénario, il n'est jamais ennuyeux, bien au contraire, il y a des moments de pure tension et surtout une dynamique entre les personnages qui nous permet d'avoir quelques surprises. J'aime beaucoup notamment la relation entre le personnage incarné par Nathalie Baye et celui incarné par Philippe Léotard, c'est émouvant, tendue. Ils se complètent totalement. C'est vraiment particulier en tout cas. C'est vraiment un bon film, je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas vue avant, c'est vraiment un bon film et le final est vraiment top, en tout cas c'est un petit monument qui fonctionne très bien avec moi. La mise en scène du réalisateur est vraiment efficace en tout cas, de ce côté la il n'y a rien à redire et au final je peux dire que ce n'est pas décevant. Je le recommande à ceux qui n'ont jamais eu l'occasion de le voir. Moi je ne regrette pas en tout cas et je lui donne la note de 8/10 en tout cas.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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Bon c'est pas du DVD mais c'est tiit comme.
Je me suis maté sur Canal a la demande No Pain No Gain et Le Prestige. Je ne m'etendrais pas sur le premier, j'ai tenu 30 min avant de lacher l'affaire. Une daube monumentale! En revanche, gros coup de coeur pour le Prestige. On sent bien la pate de Nolan. Et quel finish qui le laisse sur le cul! Un peu a la Sixieme Sens ou Usual Suspect... Et de bonnes interpretations, Jackman, Bale ou Caine... A voir! |
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Le prestige est effectivement très très bon. Un des rares Nolan que j'apprécie (avec Memento). Le livre est encore mieux si tu as l'occasion de le lire (Christopher Priest).
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Mouais, bof.
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mes ventes comics et TPBs |
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Entre les deux.
Mais très joli casting. |
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cinéma |
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