Lebeau tas de comics - Critique d'un Cajun

[doop]

Ah vache, y'a pas les deux meilleurs épisodes de la série dedans alors !

Sinon Capullo a été débauché de QUASAR puis surtout X-FOrce où il avait commencé à développer un style sympa qu'il a malheureusement abandonné pour Spawn, se rapprochant de Mc Farlane.
Y'a pas non plus la mini VIOLATOR, assez fendard ?

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par doop
	Ah vache, y'a pas les deux meilleurs épisodes de la série dedans alors ! Sinon Capullo a été débauché de QUASAR puis surtout X-FOrce où il avait commencé à développer un style sympa qu'il a malheureusement abandonné pour Spawn, se rapprochant de Mc Farlane. Y'a pas non plus la mini VIOLATOR, assez fendard ?

Non dans ces intégrales Delcourt il n’y a pas la mini Violator de Moore avec Sears au dessin. C'est bien dommage. Elle a été publiée plus tard dans un album spécial avec l'épisode de Dave Sim et Cerebus en bonus.

Capullo garde son style de X-force (dernière série avec spawn) sur la mini Angela mais surtout sur les premiers épisodes qu'il dessine avec Houdini. Cela ne m'étonne pas qu'il est évolué vers un rapprochement dans le style McFarlane tant ces deux épisodes avec le maginicen tranche (scénaristiquement et graphiquement) avec le reste de la production. Personnellement ils font partie de mes épisodes préférés avec un côté presque hors continuité et j'aime le style de Capullo là dessus (comme ces X Force).

Comme Remy au final. C'est une tranche d'histoire mais c'est bien faible et naif scénaristiquement. Quelque bonne idée mais très mal exploitées et sans tension dans le récit. Et c'est effectivement trop verbeux. Là ou spawn devient intéressant c'est les épisodes où le scénario se penche sur la société (les enfants battsu, la drogue, les laissés pour compte, l'écologie, la pédophilie...). Toute l'intrigue avec Jason Wynn par contre n'est guère intéressante voire médiocre de bout en bout. Mais cela s'améliore quand même au fur et à mesure. Du #50 au #100 il y a de bons moments en faisant un titre horrifique de bonnes factures.

Et puis sans Spawn par de Sam et Twitch, formidable duo doté d'excellentes histoires.

[doop]

C'est surtout qu'à partir du 50, Mc Farlane ne fait plus de scénario je crois

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par doop
	C'est surtout qu'à partir du 50, Mc Farlane ne fait plus de scénario je crois

effectivement, c'est Brian Holguin qui devient co scénariste mais un plus tard que le #50 de souvenir

[Remy Lebeau]

Oui, c'est à partir du 71 que Brian Holguin est crédité comme co-scénariste de la série. Mais il ne sera jamais le scénariste principal.
Le seul moment où la série n'a pas été dirigé par McFarlane c'est la période Hine/Tan qui a vite été renié par la suite...

[Remy Lebeau]

CRIMINAL T.1 a 4


Scénariste: Ed BRUBAKER
Dessinateur: Sean PHILIPPS

Synopsis: Différents suivant les tomes.

J'avais acheté le premier tome pas longtemps après sa sortie et bien apprécié le tome. Sauf que quand j'ai vu le tome 2, il n'y avait plus aucune trace des protagoniste du précédent tome. Déçu de ce procédé j'avais mis de côté la série. Mais le fait que ma médiathèque possède les 4 premiers tomes m'a permis de lire la suite. Alors je suis toujours aussi circonspect de cette série de one shot qui n'a aucun rapport en elle. Il y aurait un fil rouge entre les tomes, cela serait de mon point de vue bien plus intéressant. On se demande même pourquoi il y a une numérotation des tomes. Sinon mis à part cela, chaque histoire est prenante. Brubaker est un as du polar et il le montre bien à travers ces différents scénarios. On retrouve aussi un schéma récurrent: le rôle d'un ancien paumé qui décide de revenir sur le devant de la scène, la fille qui est là pour attirer le héros mais qui n'est pas la simple petite amie et le méchant pur et dur.
Côté dessin, on a du Sean Philipps très efficace. Il n'a pas son pareil pour inventer des salauds comme héros et des femmes plantureuses comme héroïne. En plus, son découpage nerveux est idéal pour du polar. Donc il forme une combinaison très bien pensé avec Ed Brubaker.
Côté édition française, Delcourt fait un bon boulot. Bonne traduction (en tout cas, rien qui ne saute aux yeux à la lecture), couvertures à la fin. Bref, rien à redire.
En gros, si vous aimez les récits polar. Foncez, c'est du très bon matos. Vous n'êtes même pas obligé de prendre les tomes dans l'ordre et/ou de les prendre tous. Par contre, si vous cherchez un récit avec un fil rouge entre les tomes à la 100 Bullets ou Scalped, passez votre chemin, ce n'est pas du tout ça. A l'occasion, prenez juste un tome pour voir l'efficacité du récit entre les mains du duo.

[Remy Lebeau]

HP LOVECRAFT L'INVISIBLE ET AUTRES CONTES FANTASTIQUES

Scénario et dessin: Erik KRIEK d'après H.P LOVECRAFT

Synopsis: Le receuil contient les adaptations des récits suivants: Je suis d'ailleurs, La couleur tombé du ciel, Dagon, l'invisible et le cauchemar d'Innsmouth du romancier H.P LOVECRAFT.

Je dois dire que ce n'est pas moi qui ai choisi la lecture de ce livre au départ. Mais le responsable Comics de ma médiathèque lors d'une visite en quête de nouveauté m'a demandé si j'avais lu le Neomicon d'Alan Moore. Si non, il me le réservait ce qu'il fera d'ailleurs. Il m'a dit aussi qu'Alan Moore s'inspirait beaucoup de Lovecraft donc il m'a conseillé la lecture de cette BD. Et alors j'ai subi une belle claque. Si les histoires sont inégales, le néerlandais Erik KRIEK n'a pas son pareil pour retranscrire ces récits angoissants, poisseux et sombre. Ces récits en N&B permettent de donner une ambiance et une certaine atmosphère qu'on ne retrouverait pas en couleur.
Moi qui ne connaissait pas l'auteur original (ne lisant pas de roman), j'ai été happé par la qualité des histoires. Et je dois dire que ma préférence sur les 5 histoires est le cauchemar d'Innsmuth. Ce récit qui voit un homme se rendre dans l’inquiétante petite ville d'Innsmuth va découvrir un village pas comme les autres qui va le conduire à découvrir la vérité sur ses origines. A elle seule, cette histoire représente la moitié de l'ouvrage. Le seul regret est que les autres histoires sont courtes et ne permettent pas de s'imprégner totalement même si la couleur tombé du ciel est un autre récit très bien construit et une autre réussite.
Amateur de fantastique, lisez cette bande dessinée. C'est du très bon.

[doop]

Neonomicon en revanche, tu peux faire l'impasse et tenter d'autres trucs genre Promethea si tu ne l'as jamais fait

[Remy Lebeau]

Ben Neomicon vu qu'on me l'a conseillé je vais quand même y jeter un coup d'oeil (surtout qu'il est déjà emprunté)
Par contre, Promethea j'ai déjà lu les tomes 2&3. J'ai bien aimé mais pas trouvé la suite...

[Remy Lebeau]

AVENGERS ENDLESS WARTIME


Scénario: Warren Ellis
Dessin: Mike McKone

Synopsis: Un être maléfique lié à la fois à Captain America et à Thor réapparaît, revêtu d'un drapeau américain. Pour l'affronter, il faut réunir les plus puissants des Avengers. Cap, Thor, Iron Man, Hawkeye, Captain Marvel et Wolverine sont de la partie!

Quand j'ai vu ce titre arrivé dans ma médiathèque, je me suis dit qu'il ne fallait pas rater l'occasion de voir la dernière prestation graphique de McKone sur un titre Marvel et tester cette histoire de Warren Ellis. D'ailleurs si j'ai été déçu de quelqu'un dans cet album, c'est bien de ce dernier. J'ai eu du mal à comprendre la composition de l'équipe. On est clairement dans une optique de faire venir les spectateurs du film lire ce récit. Donc logique 'y retrouver Thor, Captain America, Iron-Man,Black Widow et Hawkeye. Wolverine même s'il n'est pas dans le film paraît logique vu la popularité du griffu. Par contre, Captain Marvel je me suis demandé la raison. (A part un dialogue où elle dit à Cap qu'elle est plus gradé qu'elle militairement). Niveau personnage, j'ai du mal à situer. Captain America semble celui du ciné quand Hawkeye semble être celui du titre de Fraction. Ensuite , l'ennemi du groupe j'ai trouvé assez conventionnel pour du Ellis. Bref, la menace manque d'envergure.
Côté dessin, j'ai trouvé Mike McKone plutôt bon. Mais par contre, c'est le dessin qu'il arbore dans ces autres travaux. Donc on se dit qu'il a dessiné cela comme s'il aurait dessiné chaque page comme une mini rassemblé en un seul album à sa parution. ça me plait mais on pouvait s'attendre à autre chose vis à vis de ce type de format.
Pour moi ce récit est clairement une déception. On pouvait s'attendre à mieux d'un tel format et de tel artiste!

[Remy Lebeau]

DAYTRIPPER



Scénario & Dessin: Fabio Moon & Gabriel Ba

Synopsis:Les mille et une vies d’un aspirant écrivain… et ses mille et une morts. Brás de Oliva Domingos, fils du célèbre écrivain brésilien, passe ses journées à chroniquer les morts de ses contemporains pour le grand quotidien de Sao Paulo… et ses nuits à rêver que sa vie commence enfin. Mais remarque-t-on seulement le jour où notre vie commence vraiment ? Cela commence-t-il à 21 ans, lorsque l’on rencontre la fille de ses rêves ? Ou au crépuscule de sa vie…

Je dois dire que lorsque j'ai vu ce titre débarquer dans une des médiathèques que je fréquente, je n'ai pas hésité à l'emprunter car ce titre avait une bonne réputation. Et pour sa lecture, j'ai lu 2 chapitre par jour. L'un au matin, l'autre au soir, pour bien m’imprégner du bouquin. Une première à ce jour pour ce type d'ouvrage. Et je dois dire que la lecture de cet ouvrage a été une claque. Chaque chapitre contient la mort de son personnage, Bras, qui décède dans différentes circonstances (naturelles ou non) à différentes périodes de sa vie. Mais chaque chapitre est aussi un hymne à la vie dans le sens où le chapitre est joyeux et seul sa fin contient la mort du héros. Cela m'a rappelé d'ailleurs l’atmosphère de la série Six pieds sous terre (ou Six Feet Under en V.O) où là aussi malgré le fait que chaque épisode commençait pas un décès, cette série était elle aussi un hymne à la vie. D'ailleurs ces tranches de vies ne sont pas si différentes de la vie du mec lambda. Et suivant l'âge qu'on a, on ressentira certains chapitre plus intensément car faisant écho à sa propre vie. D'ailleurs on voit que les auteurs ont été en parfaitement harmonie pour ce titre. Un titre pas comme les autres, qui ne se lit pas comme les autres et qui au fond résume bien la vie dans sa globalité.

[Remy Lebeau]

NEONOMICON



Scénario: Alan Moore & Anthony Johnston
Dessin: Jacen Burrows

Synopsis: Des agents du FBI visitent l’un de leur ancien collègue interné dans un asile psychiatrique. Deux crimes lui ont été imputés. Depuis, ce dernier, Sax, ne parle plus, mais cela n’empeche pas Lamper et Brears d’enquêter sur cette sombre histoire. De l’univers des dealers de leur ville, aux cercles fermés d’initiés à des rituels sexuels pour le moins étranges, les deux agents sont bien loin d’imaginer ce qui s’est réellement passé…

Bon comme je l'avais annoncé plus tôt, ce n'est pas moi qui ai choisi le titre au départ mais le conseiller comics de ma médiathèque qui me l'a conseillé tout en lisant au préalable la BD sur Lovecraft. Et si on se retrouve au final avec une histoire policière, c'est en fait un véritable hommage au romancier H.P Lovecraft que Moore nous livre au final. Et quand on lit l'histoire on voit qu'il s'appuie sur le cauchemar d'Innsmuth, une des nouvelles que j'avais apprécier le plus. Par contre, on sent qu'on est chez Avatar qui autrefois était un éditeur érotique voir pornographique. Et cela se ressent dans les 2 chapitres avec l'orgie qui est décrite et même le viol orchestré sur une des protagonistes. Autant dire que si Lovecraft n'appuyait rien de sexuel dans ces récits, Moore par contre n'hésite pas à partir dans du sexe gratuit. Et tout cela est renforcé par le dessinateur Jacen Burrows qui n'est pas inconnu chez Avatar puisque c'est lui qui a créé l'identité graphique de Crossed, une autre série avatar qui n'hésite pas à montrer du sexe cru dans son histoire. Bref, si le scénario de Moore n'y va pas par quatre chemins, cela est d'autant plus renforcé par le dessin de Burrows qui n'a pas son pareil pour ressortir graphiquement le côté malsain d'une histoire.
En bref, ce n'est pas avec cette histoire que Moore convaincra ces sceptiques mis à part peut être les adorateurs des histoires de Lovecraft car quoi qu'on en dise, ce livre est la déclaration d'amour de Moore envers le romancier.

[Remy Lebeau]

SLEEPER VOL.1 à 4



Scénario: Ed Brubaker
Dessin: Sean Phillips

Synopsis: Holden Carver fait partie d'une organisation secrète internationale dirigée par Tao, un incroyable manipulateur doublé d'un redoutable esprit criminel. Mais c'est également un agent infiltré, forcé de vivre dans un monde de tromperie et de malice à cause du maître espion John Lynch.

Après Criminal, je me suis décidé à me lancer dans la première collaboration du duo, Sleeper. Je ne connaissais que le prélude édité chez Semic qui avait pour héros Grifter. Ici on retrouve un nouveau personnage Holden Carver mais on retrouve le lien avec les WildCats avec le personnage de Tao. Brubaker maitrise bien son sujet avec ce titre d'espionnage. On a une ambiance polar qu'il ne quittera plus par la suite associé à celui qu'il a trouvé graphiquement Sean Phillips. En plus, les personnages sont toujours aussi bien construit psychologiquement à l'image de Holden qui au contact de Tao et ces hommes explore son côté noir tout en essayant de garder en tête son côté agent qu'il a du mal à faire transparaître quand il doit rendre des comptes. Il arrive à créer des personnages très ambiguë tel que Miss Misery qui va s'adoucir au contact d'Holden alors que sa personnalité ne la pousse pas dans son sens et lui fait du mal. Dans ce genre de personnage tiraillé, on retrouve aussi Genocide Jones. La série en français compte quatre tomes composant deux saisons de deux tomes chacun. Chaque saison est une histoire complète mais mieux vaut avoir lu la première pour mieux enchainer sur la seconde. La fin est d'ailleurs surprenante et impossible à deviner.
Du très grand art. A ne pas rater pour les amoureux du duo.

[Remy Lebeau]

HAUNT 4&5



Scénario: Joe Casey
Dessin: Nathan Fox

Synopsis: Daniel et son frère décédé, Kurt, partagent un étrange lien. Lorsque le danger se fait sentir, ils deviennent Haunt, entité aux pouvoirs surnaturels. Tandis que le mystère de Still Harvey Tubman s'épaissit encore, les deux frères doivent faire face à leurs propres dysfonctionnements familiaux...

Alors que dire à propos de ces 2 tomes. J'ai longtemps hésité à lire la suite de la série. Car ce qui m'avait plu dans ce titre c'était la présence de Robert Kirkman mais surtout de Greg Capullo. Donc le fait que le duo disparaisse au tome 3 m'a fait arrêté la série avec leur départ. Et puis, j'ai trouvé la suite dans la médiathèque de ma ville, alors je me suis dit pourquoi ne pas tenter. Et ben le résultat est très mitigé. Déjà le tome 4 porte bien son nom :rupture. Rupture à la fois de style tant par le scénario de Joe Casey tant par le dessin de Nathan Fox.
Niveau scénario, Casey décide de faire table rase sur tout ce qui s'est passé avant. On oublie le rôle d'agent de Haunt. Il décide aussi de se débarasser d'Autumn, la "petite amie" de Daniel dans des circonstances assez tragique. Au lieu donc de faire une transition en douceur afin de ramener petit à petit dans sa direction l'ancien public, Casey opte pour une rupture franche. Pourquoi pas. On retrouve d'ailleurs un thème qu'il avait déjà développé dans ces Uncanny X-Men chez Marvel avec une secte appartenant à l'église qui a sa propre bible et sa propre doctrine. Difficile d'adhèrer à cela, surtout quand Casey rajoute un personnage assez particulier qui peut voir Daniel. Bref, la direction pris par Casey avait de quoi en désorienter plus d'un et je dois dire que j'en ai fait partie.
Côté dessin, Nathan Fox tranche aussi par son dessin avec son prédécesseur Greg Capullo. Mais là encore on a pas grand chose à reprocher du fait que le style de dessin correspond bien à cette ambiance post Apocalyptique qu’insuffle Casey dans son histoire. Mais la différence est trop grande pour que ceux qui suivaient la série pour le dessin de Capullo puisse adhérer à ce style graphique.
Bilan, la série s'est conclu sans apporter une vrai conclusion. Peut être aurait il fallu opter pour une transition plus douce.

[Remy Lebeau]

CONSTANTINE TPB 1

Scénario:Jeff Lemire et Ray Fawkes
Dessin: Renato Guedes

Synopsis: Constantine part à la recherche d'un mystérieux objet mystique et va devoir se confronter à la secte de la flamme froide. Dans sa quête, il va aussi retrouver sur sa route Zatanna et Shazam.

Après avoir découvert le personnage dans la série Hellblazer, et redécouvert son interprétation dans les New52 d'abord par Milligan mais surtout ensuite par Lemire, j'ai voulu jeter un œil aux aventures solo de Constantine. J'ai attendu un moment de voir Urban sortir ce premier tome, mais désespérant de voir cela arrivé dans la langue de molière j'ai opté pour celui dans la langue de Shakespeare.
Et je dois dire que j'ai apprécié ce premier volume. Alors ceux qui aimait l'ambiance de la série Hellblazer chez Vertigo seront déçu car on est pas dans le même registre même si on va quand même assez loin dans la noirceur, le gore et le sang. Mais c'est surtout le caractère de John qui n'est plus le même. C'est toujours le même arrogant, fumier et manipulateur mais on a cette facette développé dans Justice League Dark à travers cette relation avec Zatanna. Moi j'ai été embarqué car on découvre un personnage plus humain.
Côté dessin, Renato Guedes est inspiré et livre une prestation très bonne. C'est dommage qu'il n'est pas continué au delà des 6 premiers épisodes.
Un premier album sympathique qui continue d'inscrire le personnage dans l'univers DC.