Les avis de janvier vous souhaitent meilleurs voeux

[Slobo]

	Citation:			Posté par wildcard
	Trois numéros après sa reprise par Mark Waid et Chris Samnee, c'est déjà la fin du premier arc narratif, Home of the Brave que signe ce 697ème épisode. Au menu : un hommage aux Chasses du Comte Zaroff de Ernest B. Schoedsack et Irving Pichel (1932) et un dénouement renvoyant à un événement mythique concernant Captain America ! Si l'on est mal disposé ou blasé, la réussite encore une fois exemplaire de cet épisode fera lever les yeux au ciel, mais comment ne pas être conquis devant tant de brio ? C'est une nouvelle leçon de narration que nous livrent le duo Waid-Samnee dont la complicité semble sans limites. Depuis qu'ils ont repris les rênes de la série, en envoyant son héros sur les routes de l'Amérique profonde, en quête de réponses sur son image de représentant de la patrie, suite aux événements de la saga Secret Empire, on pouvait penser que ce road trip occuperait les lecteurs jusqu'au numéro 700, après quoi s'opérerait un tournant par le biais d'un rebondissement dramatique. Mais cette routine attendue ne colle pas avec l'énergie du scénariste et de son dessinateur. En vérité, cela n'est guère étonnant qu'ils aillent si vite en besogne tant le rythme a été soutenu depuis trois épisodes. Pourquoi freiner alors ? Et, plus encore, pourquoi changer ce qui a si bien réussi dans les précédents efforts communs de Waid et Samnee dans Daredevil et Black Widow ? Waid, en particulier, aime surprendre le public en donnant à ses héros des adversaires inattendus, de telle sorte qu'on ne sache pas qui va gagner (même si les conventions incitent évidemment à penser que la vedette du titre remportera la victoire). Plus familier de l'univers de Spider-Man, Kraven défie ici Captain America. L'histoire cache cependant bien son jeu, sur plusieurs plans : le mobile du méchant ne se résume pas à la chasse à l'homme à laquelle il contraint le vengeur étoilé, tout comme le rôle de l'otage sur lequel veille Captain America n'est pas si innocent, et le dénouement aboutit à un surprise vraiment étonnante. Voici Steve Rogers à nouveau prisonnier d'un énorme bloc de glace, comme celui dans lequel il passa plus de quinze ans entre la fin de le seconde guerre mondiale et son réveil en 1963 quand les Avengers le découvrirent. Samnee imprime un telle dynamisme au découpage que Waid réduit ses dialogues au minimum, moins par paresse que pour faire du silence un élément angoissant supplémentaire dans le domaine truffé de pièges et de menaces de Kraven. Le dessin clair, expressif, constamment lisible, nous immerge dans l'action, nous transporte dans ce paysage et participe à nous faire vibrer. Le génie de Samnee s'exprime parfaitement quand il s'agit d'alterner les distances dans des compositions très simples : ainsi Kraven est-il le plus souvent montrer de loin, silhouette minuscule mais bien présente et dangereuse, alors que Captain America et son compagnon d'infortune sont cadrés de plus près pour qu'on lise toutes leurs émotions sur leurs visages, dans leurs attitudes. Lorsqu'à la fin, le chasseur et sa proie sont réunis, la valeur des plans restaure leur égalité visuelle, la partie est finie, ne subsiste plus que le duel. Waid en profite alors, dans les ultimes pages, pour boucler la boucle en ramenant dans le champ l'organisation suprématiste du Rempart, apparue dans le #695. L'avenir, sans doute très proche, nous dira si ce groupuscule a le charisme nécessaire pour former une menace d'envergure suffisante, ou s'il ne s'agit que d'un ersatz d'une formation néo-nazie déjà existante : il semble néanmoins qu'en l'inventant, le scénariste a voulu éviter, avec bon sens, de mettre en scène l'Hydra, manière de rompre avec Secret Empire (tout comme, au début de son run sur Daredevil, il avait neutralisé plusieurs clans criminels convoitant un même bien détenu par le justicier aveugle). La suite s'annonce en tout cas très prometteuse, confirmant que la série s'est imposée comme la plus attractive de l'ère "Legacy" (au point d'ailleurs que Waid et Samnee devraient continuer à l'animer plus longtemps que prévu). * On trouvera, après le dénouement, un page supplémentaire, dessinée par Leinil Yu avec Wolverine. Marvel a décidé d'orchestrer le retour du mutant de manière très dosée, en le faisant apparaître dans diverses séries, à la manière des scènes post-générique de fin de ses films (sans doute en prévision d'une future nouvelle série Wolverine). Le procédé est curieux mais inoffensif. Ici, il s'intègre sans problème (quand bien même le style graphique tranche avec celui de Samnee) grâce à l'apparition de Wolverine qui cherche Rogers alors que celui-ci vient juste d'être piégé.

	Citation:			Posté par Fred le mallrat
	J ai trouvé qu il manquait quand meme de surprise... rien ne m a vraiment étonné. Rempart ressemble plus aux sons of serpents ou watchdogs qu à un groupuscule néonazis.. je trouve. Ce qui ne change pas le fait que ca pullule déjà dans la mythologie du Captain. Je suis moins enthousiaste que toi car si je reconnais le génie de Samnee (le 2me episode était moins bon graphiquement), je trouve que Waid est en dessous... pas forcément sur cette série.. en général .. et que dans le duo, on voit que BW et Cap sont des séries qu a voulue Samnee.. il est formidable dessus mais, le scenario est minimaliste (comme d autres séries où le graphisme a pris le pouvoir comme Nick Fury ou Doc Strange & Sorcerers)

Captain America 697

Marvel ; Scénariste Mark Waid ; Artiste Chris Samnee et Lenil Francis Yu les pages implicant

Wolverine

Pitch :
C'est l'histoire de captain america qui est dans un bar (Merde non c'est pas une histoire drôle en fait). Bref il se fait bêtement endormir et se réveille capturer par Kraven qui a décider d'en faire son gibier. Mais cap est près à l'affronter. Hors Kraven a aussi un civil sous la main pour forcer cap à jouer le jeu.
Avis :
Couverture - J'avais été attiré par la couv j'avoue mais ne l'avais pas pris avant cette semaine. Bien dans la thématique du numéro, même si elle ment quelque peu. 2/2
Scénario - Un scénario noir et bien mené, pas désagréable mais pas hyper passionnant non plus. Peu être parce que

J'avais deviner que le civil était un méchant aussi.
Par contre j'ai pas compris que Wolverine ne sente pas que Steve est été présent et ne soit pas surpris qu'il soit pas venu au rendez vous.

Mais bon le cliff de fin réchauffe le tout bizarrement 1/3
Arts : Vraiment sympa, c'est le bon coté. Y'a même des images avec du fun pour compenser le coté sombre. 3/3
Sentiments - Venu pour les bons écho lu ici même et me faire ma propre idée, j'ai pas adoré. Le destin de cap depuis Secret Empire ne m'intéresse plus. Je ne suivrais pas la série. D'accord avec Fred. 0/2
6/10

[Slobo]

Damage 1
DC ; Scénariste et dessinateur Tony S. Daniel ; Scénariste Robert Venditti ; Encreur Danny Miki.

Pitch :
Ethan est Damage. Ou Damage est Ethan. En tout les cas Damage prend sur Ethan pour se délivrer et quitter la soute d'un avion en plein vol. Du coups le colonel Liggett s'éjecte pour le poursuivre avant que l'avion ne s'écrase. S'ensuit un combat entre Damage et le colonel dans une amure.
Avis :
Couverture - Oui alors c'est sympa le truc des couverture dépliable en 3, mais avoir au dos un autre en lien avec Immortal Men me fait un peu peur. Faudra tout de même pas les accolé pour faire une seule couv ? Bon j'aime pas le perso mais le dessin n'est pas laid et ça cole au numéro 1. 1/2
Scénario - Complètement débile. J'avais envie de baffé Liggett encore plus con que Thunderbolt Ross. D'abord à énerver Damage en disant que ça aurait du être lui, avant de le supplier a le laisser en vie avant de se re-moquer de lui. La fin avec le suicide squad me donne pas plus envie. Un sous hulk like, et Tony Daniel a même perdu l'originalité qu'il pouvait avoir sur the Pitt. 0/3
Dessins - Oui bon il sait dessiner des monstres et de la destruction. Et des humains aussi. Je peux pas dire que ce soit mauvais. Mais sa m'a pas super emballer. 2/3
Sentiments - Pitié, j'arrête au 1. Le seul le vrais damage c'est Grant Emerson. C'est clairement pour foutre en rogne Marvel. Doomed était plus intéressant sur son 1. 0/2
3/10

[Fletcher Arrowsmith]

Je ferais cette serie en TP pour Venditti.

Je n'ai pris que Superman cette semaine.

[Slobo]

Doctor Strange 384
Marvel ; Scénariste Donny Cates ; Artiste Gabriel Hernandez Walta.

Pitch :
Stephen est revenu pour un second round face à Loki mais cette fois avec des pouvoirs magique

Merci Yggdrasil

Mais les deux hommes sont tellement macho qu'il en oublie Zelma qui ne va pas du tout apprécier. Mais elle oublie que l'un des deux est un dieu. Tant pis Stephan va ouvrir la porte qu'ils avait fermer.
Avis :
Couverture - Bien en lien avec la fin. J'avais cru à un symbiote à la venom (Encore), mais non c'est pire (Enfin pour les héros). 2/2
Scénario - Un scénario bien mené mais trop sombre à mon gout. Attention c'est un super scénario qu'on s'entend. C'est juste que j'aime bien Loki et là ça me met encore plus de son coté. Et que du coup j'ai des doutes à comment Marvel peut s'attendre à ce qu'on pardonne à Strange. Encore ce qu'il fait subir à Sentry ça a l'air d'aller pour se dernier (Pas sur qu'il apprécie la fin), mais son choix final juste pas jalousie, j'aurais les boule qu'il récupère son titre de sorcier supreme j'avoue. 2/3
Arts - Toujours pas ma came, mais parfait pour ce qui est raconté ici. J'aime particulièrement le look gandalf de Strange/Yggdrasil. 2/3
Sentiments - Je vais au bout de cet arc et m'arrête là. Surtout si Loki perd le titre. 1/2
7/10

[Slobo]

	Citation:			Posté par wildcard
	Marvel deviendrait-il plus prudent en lançant à nouveau des mini-séries qui, si elles rencontrent le succès, deviendront des mensuels réguliers (alors que, jusqu'à présent, des titres étaient produits et parfois vite annulés) ? Rogue & Gambit est un de ces projets testés dans ce sens et confié à une scénariste sur laquelle semble compter l'éditeur, la brillante Kelly Thompson, en misant sur deux X-Men qui formèrent pendant longtemps un des couples les plus populaires chez les mutants. Les aventures de Rogue & Gambit permettront-elles à Kelly Thompson de rebondir durablement après l'annulation annoncée (et fort regrettable) de sa série Hawkeye (à partir de Mars prochain) ? On veut l'espérer, même si la rumeur court qu'elle a été choisie par Brian Michael Bendis pour reprendre la série Jessica Jones (ce qui ne serait pas un mince honneur). Venant s'ajouter à une collection pourtant déjà abondante de titres mutants, mais qui va probablement être réformée dans les prochains mois, ce nouveau projet est pour l'instant prévu comme une publication à court terme. Marvel mise sur la popularité de Rogue (qui fut longtemps une de ses héroïnes les populaires, toutes franchises confondues) et la nostalgie que provoque chez les fans des années 90 son couple avec Gambit (même si le cajun a depuis perdu beaucoup de son lustre). Thompson s'empare du duo avec beaucoup d'aisance : on retrouve ce goût pour la comédie légère et l'action trépidante, qui rend immédiatement la lecture plaisante et dynamique. L'enjeu de la mission est vite posé, le mystère est accrocheur, la relation entre les deux héros rappelle le meilleur des romances contrariées avec une tension sentimentale bien exploitée. Les dialogues sont enlevés, on ne s'ennuie pas, et l'ambiance est prenante dès le prologue puis à l'arrivée du tandem sur l'île de Paraiso. La chute de ce premier épisode, après une ellipse audacieuse, est irrésistible : on a envie de lire la suite. Au dessin, on peut déplorer que Marvel n'ait pas confié la tâche à un artiste moins passe-partout que Pere Perez, qui a souvent servi de doublure à Clayton Henry (notamment depuis que celui-ci travaille chez Valiant). Néanmoins, le résultat est propre, les personnages expressifs, mais tout ça manque de relief, de personnalité : le découpage est très classique (malgré une scène, dans l'avion, bien mise en scène avec quatre cases occupant toute la largeur de la bande, dont la valeur de plan ne varie pas), l'encrage lisse. Même la colorisation, d'habitude sombre de Frank d'Armata, se fait plus nuancée. Sans prétention, mais excellemment écrit et inspiré, ce numéro inaugural de Rogue & Gambit est très agréable, malgré un graphisme trop sage : sa fraîcheur est son meilleur atout. Pas sûr que ça suffise pour en faire un hit, mais cette modestie sympathique est préférable à une ambition déplacée.

Rogue & Gambit 1
Marvel ; Scénario Kelly Thompson (J'aurais du me méfier) ; Artiste Pere Perez.

Pitch :
Sur une iles paradisiaque des mutants sont pourchasser avant de disparaitre. A l'institue Xavier Rogue en pleine entrainement contre des sentinelles classique doit souffrir la présence de Gambit qui s'invite. Puis elle a une réunion avec Kitty qui l'envoie enquêter sur la disparition soudaine de mutant sur la dite iles paradisiaque. Mais elle doit y aller avec Gambit, officiellement comme un couple ayant un soucis relationnel.
Avis :
Couverture - Très moche et ne donne rien du numéro à part le duo. 0/2
Scénario - Si j'aime le mystère sur la disparition des mutants. J'ai des boutons dès que Remy drague Rogue. J'ai envie d'appeler les ressources humaines de chez les X-men pour ballancer son port. C'est limite du harcèlement même si bizarrement Rogue ne veut pas tout en appréciant. Elle nous fait un syndrome de Stockholm c'est pas possible autrement. Surtout que Gambit est tout de même un maraudeur est avait trahit Rogue par le passé (C'est fou comme ils pardonnent vite à certain et pas à d'autre). 1/3
Dessins - C'est pas mal mais pas exceptionnel (Les deux première page avant les crédit ne servent à rien dans le récit j'ai trouvé), il est en mode pèpère le second Perez. 2/3
Sentiments - Non vraiment je vais pas me faire souffrir plus. Je suis choquer qu'on donne comme image qu'un gars peu insister autant lourdement parce que la fille dit non mais pense oui. 0/2
3/10

[Slobo]

Et ma meilleur lecture de la semaine :
Spirit of Vengeance 4/5
Marvel ; Scénario Victor Gischler ; Artiste David Baldeon.

Pitch :
Blade et Satanna vont en apprendre plus sur les pièces et surtout qui est capable de les forger. Du coup avec Hellstorm et Johnny ils rendent visite à celui qui a forger l'arme mais n'est pas assez fou pour tombé dans le piège grossier de Hellstrom. S'ensuit un combat. Pendant ce temps Necrodamus lui continue a avancer ses billes bien que son chef lui fait comprendre qu'en cas d'échec il ne lèvera pas le petit doigt pour l'aider.
Hellstorm est Satanna (J'ai faillit écrire Zatanna ^^) vont devoir rendre visite à leur papa pour en savoir plus sur la rencontre entre les anges et les démons.
Avis :
Couverture - Ok on en est pas là, mais c'est bien dans l'idée d'où veut aller l'auteur et puis c'est très beau. 1/2
Scénario - Et bien voilà un scénario bien mené, qui accélère quand il faut et met en valeur les membres de cette équipe que je vais regretter. 3/3
Artiste - De plus vu le thème ça aurait pu être sombre, mais non c'est fun surtout grâce au dessins de Baldeon. Qui sait donné de la puissance à ses perso. CF encore une fois Ghost rider ^^ 3/3
Sentiments - Franchement j'aurais pas dit nom à poursuivre plus loin l'aventure, et j'attends avec impatience le final. Dommage que cette mini n'aura pas attiré et plus fait parler. J'attends les conclusion de XXL pour savoir si en mini elle finira avec des chiffres honorable. 2/2
9/10

[Slobo]

PS : J'ai ouvert le Super-Sons avec l'épilogue a Super Sons of Tomorrow.
Et j'ai tellement grincer des dents devant ce pardon facile de Bart, Cassie et Konor du futur et leur disparition toute aussi rapide ... En fait ça a servit à rien ce truc.
Du coup je l'ai pas acheté.

[wildcard]

	Citation:			Posté par mugiwaraya
	Je lis beaucoup de bien sur cette série Hawkeye... Est-ce qu'il y a eu un grand changement en cours de route? Parce que le premier arc ne m'a pas du tout convaincu. Rien de spécialement mauvais, mais rien de bien excitant non plus, à part les dessins. J'ai lâché à l'histoire avec Jessica Jones, parce que Kate qui la traitait comme si elle était le Sherlock Holmes de l'univers Marvel et non pas une obscure détective, c'était lourdingue.

Le premier arc était, c'est vrai, léger. Mais la série prend du relief progressivement et le deuxième arc pose des enjeux plus intéressants, creusant le passé familial de Kate Bishop, ses relations compliquées avec son père, la disparition de sa mère, l'implication de Mme Masque : c'est habilement construit, prenant.
Là où Kelly Thompson est forte, c'est qu'elle sait faire preuve d'humour dans la caractérisation des persos, mais elle ne prend pas son histoire à la légère, elle la développe patiemment, minutieusement, on assiste à une montée en régime constante.
On sent qu'elle aime son héroïne, lui offre des seconds rôles (une bande de sidekicks qui fait penser au Scooby-gang), lui donne une adversaire récurrente (Mme Masque).

Par ailleurs, la série dispose d'un remarquable dessinateur avec Leonardo Romero, un trait élégant, un découpage très vif et inventif. Michael Walsh joue les fill-in dans un style moins raffiné mais qui conserve l'unité graphique du titre.

Maintenant, on est dans le 3ème et donc dernier acte (puisque le titre va être annulé), Clint Barton débarque (et de nouveaux ennuis avec), Kate doit faire face à un vrai dilemme, la partie adverse est coriace. Bref, c'est de mieux en mieux.
Donc, oui, ça vaut le coup de persévérer. Et puis Marvel semble miser beaucoup sur Kelly Thompson : elle est désormais exclusive chez l'éditeur, aux commandes de "Rogue & Gambit", et je parie que c'est elle que Bendis a choisie pour reprendre "Jessica Jones".

[Slobo]

Perso Thompson j'aime pas.

[Fletcher Arrowsmith]

SUPERMAN #39

W : Peter J. Tomasi et Patrick Gleason
P : Batty Kitson
I : Batty Kitson et Scott Hanna



Superman après s'être occupé de la terrible Demolition team doit faire face à un de ses plus grands défi : s'occuper de centre d'enfants cancéreux. Sup convie en plus ses amis de la Justice League avec qui ils concoctent un bat-défi impossible.

Mon dieu que cet épisode est beau et bien écrit. Que d'émotion. Surement un des épisodes de l'année. je ne serais pas étonné qu'il soit nominé aux Eisner Award.

[scarletneedle]

Pour 2018 alors?
D'ailleurs, c'est sur quelle période les titres retenus pour les Eisner? Sur l'année civile?
Il me tarde de le recevoir.

[ArnaudXIII]

	Citation:			Posté par Slobo
	Damage 1 DC ; Scénariste et dessinateur Tony S. Daniel ; Scénariste Robert Venditti ; Encreur Danny Miki. Pitch : Ethan est Damage. Ou Damage est Ethan. En tout les cas Damage prend sur Ethan pour se délivrer et quitter la soute d'un avion en plein vol. Du coups le colonel Liggett s'éjecte pour le poursuivre avant que l'avion ne s'écrase. S'ensuit un combat entre Damage et le colonel dans une amure. Avis : Couverture - Oui alors c'est sympa le truc des couverture dépliable en 3, mais avoir au dos un autre en lien avec Immortal Men me fait un peu peur. Faudra tout de même pas les accolé pour faire une seule couv ? Bon j'aime pas le perso mais le dessin n'est pas laid et ça cole au numéro 1. 1/2 Scénario - Complètement débile. J'avais envie de baffé Liggett encore plus con que Thunderbolt Ross. D'abord à énerver Damage en disant que ça aurait du être lui, avant de le supplier a le laisser en vie avant de se re-moquer de lui. La fin avec le suicide squad me donne pas plus envie. Un sous hulk like, et Tony Daniel a même perdu l'originalité qu'il pouvait avoir sur the Pitt. 0/3 Dessins - Oui bon il sait dessiner des monstres et de la destruction. Et des humains aussi. Je peux pas dire que ce soit mauvais. Mais sa m'a pas super emballer. 2/3 Sentiments - Pitié, j'arrête au 1. Le seul le vrais damage c'est Grant Emerson. C'est clairement pour foutre en rogne Marvel. Doomed était plus intéressant sur son 1. 0/2 3/10

En fait, The Pitt, c'était pas plutôt Dale Keown?

[Slobo]

Ah c'est vrais qu'a l'époque Tony Daniel dessiné et scénarisé pas encore ^^

[Man-Thing]

Spirits of vengeance, tu le vends bien!

[ArnaudXIII]

	Citation:			Posté par Slobo
	Ah c'est vrais qu'a l'époque Tony Daniel dessiné et scénarisé pas encore ^^

Tu confondrais pas avec The Tenth? Daniel n'a jamais bossé sur Pitt.