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Supreme Power : Hyperion #1
(Marvel Max, 2.99$) Par J. Michael Straczynski, Dan Jurgens & Klaus Janson. Supreme Power : Nighthawk #1 (Marvel Max, 2.99$) Par Daniel Way & Steve Dillon. Après la conclusion du premier volume de Supreme Power, et en attendant son relaunch dans la ligne Marvel Knights (ce qui signifie : adieu les madames toutes nues à forte poitrine. Snif), Marvel lance ces deux mini-séries. Le précédent spin-off de Supreme Power (Doctor Spectrum) n’ayant franchement pas été une réussite, peut-on espérer mieux de ces deux là ? C’est J. Michael Straczynski lui-même qui prend en charge la suite des aventures d’Hyperion. Après la conclusion de Supreme Power, celui-ci apparaît plus que jamais comme l’ennemi public numéro un pour le gouvernement américain. Pour tenter de se débarrasser de cette menace une bonne fois pour toute, le général Alexander réunit une équipe de choc. Ce premier épisode consiste en un passage en revue des troupes. Emil Burbank est censé être l’homme le plus intelligent de la planète. Si ses talents ne font guère de doute, le scénariste dresse avant tout le portrait d’un monstre, sans une once de morale. Raleigh Lund est tout l’inverse : le Q.I. d’une huître mais une résistance physique exceptionnelle (ses pouvoirs, tout comme son apparence, sont calqués sur ceux du Blob, le vieil ennemi des X-Men dans le Marvel Universe). A ce duo improbable s’ajoutent une femme, Arcanna Jones, dont les pouvoirs sont liés à la physique quantique, et Al Gaines, véritable centrale nucléaire ambulante. Le procédé scénaristique est classique, tout comme les pouvoirs et les personnalités de ces quatre protagonistes. On retrouve ici la même ambiance que dans Supreme Power, les manipulations en coulisse, les luttes de pouvoir, les secrets inavouables. Tout cela est des plus classiques, mais ça fonctionnait dans l’ensemble plutôt bien dans la série d’origine, ça devrait marcher ici aussi. Supreme Power : Nighthawk fonctionne à peu près sur le même principe : introduction d’un personnage que Nighthawk devrait bientôt retrouver face à lui. Il s’agit cette fois d’un tueur en série que des années de prison (et les supplice afférents) ont rendu encore plus psychopathe. Un ancien pharmacien condamné pour le meurtre d’une famille noire, plongé en catatonie depuis des années, mais visiblement plus pour longtemps. Aux commandes de cette mini, on retrouve le duo gagnant de Bullseye : Greatest Hits (la seule véritable réussite à ce jour de Way, Dillon ayant de son côté un palmarès impressionnant). Le ton est assez comparable. Nighthawk n’est évidemment pas le dingue meurtrier qu’est Bullseye, mais il s’agit d’un vigilante urbain aux méthodes peu délicates, oeuvrant dans un contexte dont les crimes sordides et le racisme (rappelons que le personnage est noir) constituent le quotidien. Et si Nighthawk ne tue pas de sang froid comme le premier Punisher venu, ses adversaires n’en sortent pas indemnes pour autant (voir ici dans les premières pages le néo-nazi qu’il abandonne à la vindicte d’une foule noire en colère). Le reste du récit fonctionne parfaitement bien, pas inattendu dans son déroulement – la menace est identifiée, puis libérée du carcan qui l’empêchait jusqu’alors d’agir - mais efficace. Dillon fait du Dillon, et comme le cadre s’y prête parfaitement, c’est un régal. Décidément, Daniel Way devrait être obligé par contrat à ne travailler qu’avec lui. |
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Effectivement, les 2 minis marchent plutôt bien, pour des raisons légèrement différentes (meilleur art sur Nighthawk car même si l'on aime pas Dillon, on est obligé d'admettre qu'il a du talent d'expressivité), et Stracz est plus à l'aise pour faire du vrai Supreme Power que Way, forcément.)
A noter tout de même, je peux pas m'empêcher , que dans la séquence des voyages quantiques avec la pseudo-Zatanna, notre Stracz montre qu'il ne comprend pas plus la mécanique quantique que n'importe lequel d'entre-nous, ce qui est au fond rassurant. (et cette vieille lune stupide du chat de Schroedinger, ahlàlà.. )
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Une vraie réussite, que l'on lit d'un trait et hop c'est déjà fini et on en a néanmoins pour son argent. ^^
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J'ai adore. C'est une excellente variation sur le western militaire a la "Fort Apache", ce qui est parfaitement approprie dans ce cas.
Et puis bon, un grand moment d'anthologie digne des Justice League International de Giffen/De Matteis au passage
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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Ah, comment l'oublier?
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je vois qu'on a tous apprécié GL recharge et Patrick Gleason (ce que je préfère de lui c'est cet épisode de la JSA sur powergirl, il la dessine mieux que personne je trouve).
par contre j'avoue ne plus avoir trop d'intérêt pour supreme power et son scénariste que j'aimais tant à l'époque de babylon 5. du coup je n'ai pris que nighthawk car j'avais aimé leur bullseye, et là pas déçu non plus. par contre je crois que je passerais pour la future ongoing squadron supreme chez MK. Straczynski m'a un peu perdu sur ses 18 numéros très verbeux, heureusemnt qu'il y avait Gary Frank j'aurais pas tenu aussi longtemps sinon.
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Par contre, l'Abomination c'est Emil Blonsky.
Way vient aussi de reprendre Wolverine, avec Saltares & Texeira. Et je me trompe ou il reprend aussi Incredible Hulk après David ? |
#24
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merde, oublié de gauler Sentry^^
Merci^^ |
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Oui,c'est bien Niglo,tes critiques,c'est plutot bien ecrit et tout et tout,mais soyons francs,la sortie de ce mois de Septembre,celle qui fait se lever les foules,celle qui fait hurler les groupies,c'est celle la:
Necromancer 1 oui,je l'avoue,je l'ai acheté (merci Gilles),en grande partie pour sa "ressemblance" avec Buffy.Bah,ca a pas raté,c'est plutot le cas.Une jeune fille qui decouvre la magie,ca fait tres "Whedonien",hein.Je ne m'attendais pas a un truc de genie,mais ca reste quand meme assez lisible.Les dessins de Manapul collent assez bien a l'ambiance generale du comics,meme si ce n'est malheureusement pas le top.Le scenario n'est pas super extraordinaire non plus,en tout cas pour l'instant,mais bon,les aventures de la jeune magicienne en devenir sont tout de meme agreables a suivre. Ce n'est donc pas un chef d'oeuvre,clairement,autant par le dessin que par l'histoire,mais ca reste pour moi tres plaisant,et surtout pas trop dur a comprendre pour un "novice" comme moi,qui decouvre la VO avec ce titre.
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je fais mon gougoune et je reviens uneviedestar.free.fr |
#26
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pour le squadron supreme
Arcanna jones ..est Arcanna . la magicienne dans l ancienne versio n Al Gaines est Nuke . Le membre qui meurs dnas la maxi de Gruenwald et va lancer la recherche de l utopie . Raleigh Lund est Shape - perso multi / poly morph de la maxi de Gruenwald Emil Burbank est Master Menace dans l ancienne version. arriere plan eavec queue de cheval = nuke ( al gaines) la verte en tenue zatanna verte derrier hyperion est arcanna |
#27
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En 1er numéro de septembre il y a aussi:
WildCats -Nemesis- ou encore WraithBorn chez Wildstorm. J'ai pas encore lu WildCATS mais pour ce qui est de WraithBorn... Disons le clairement c'est d'un fade... Les situations, les caractères des personnages etc sont d'un stéréotypé, c'est du déjà vu revu et rerevu.... Là où un Campbell utilise les stéréotypes de manière fun (on aime ou on aime pas...) là Benitez et Chen nous les balance comme une série B... Reste les dessins de Benitez et là encore ,on aime ou on n'aime pas, mais j'aime beaucoup!!!!!! Bon pour sa défense ce n'est que le premier numéro et qu'il faut bien introduire les résidus de personnalité des personnages... |
#28
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Par contre vous ai-je déjà dit que les clones de Turner finissaient par..... Ah ben oui. 8)
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#30
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j'ai été fort je n'ai pas pris ce wildcats nemesis, j'ai même résisté quand on m'a dis que ça parlait de planetary reader dedans, je me demande bien ce qui m'arrive en ce moment.
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