#91
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Genre 500$ la page?
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Star spangled war stories : G.i. Zombie #2
STAR SPANGLED WAR STORIES : G.I. ZOMBIE #2 (Jimmy PALMIOTTI et Justin GRAY / Scott HAMPTON)
Bof. C'est très mou et pas excitant pour deux sous. Jimmy PALMIOTTI m'avait déjà décu sur Harley Quinn et bien là il récidive. Pas de problème de compréhension, loin de là même tant le récit est cousu de fil blanc. Le côté zombie de l'agent spécial Kabe est peu mis en valeur (exploitation minimum) et c'est surtout que le pitch ne m'a pas transporté. Pas de tension dans la narration et même les dessins de Scott HAMPTON me semblent du coup fade. Et ce n'est pas le clin d'oeil à Doctor Strangelove qui m'a tiré de ma léthargie. Ah si le seul point positif c'est que l'on a droit ici à une vrai fin avec un cliffhanger. Il y a beaucoup mieux à faire avec ces personnages. J'espère que les deux scénaristes redresseront la barre dans les numéros suivants. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 03/09/2014 à 18h32. |
#94
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Outcast #3
OUTCAST #3 (Robert KIKRMAN / Paul AZACETA)
J'adore l'ambiance de cette série. Il faut dire que j'ai lu les 3 premiers numéros (dont le premier double) à la suite. Robert KIRKMAN imprègne une atmosphère inquiétante, sombre dans cette série avec un rythme assez lent qui lui sied parfaitement. Ensuite j'adore la caractérisation des personnages avec leur secrets, leurs souffrances, failles et doutes. Pourtant le scénariste ne noircit pas complètement le tableau et laisse une lueur d'espoir. La scène entre Kyle et son voisin est très belle. Le traitement de la religion est également assez subtile avec le retour de la partie de poker (vu dans le #1). La dernière case fait directement écho à la première montrant que le récit est intelligemment construit. Chaque fois qu'une porte s'ouvre c'est des ennuies qui arrive mais également le moyen d'avancer dans la vie morne des protagonistes. Paul AZACETA est juste parfait. Il n'en fait pas trop et joue parfaitement avec les lignes dans ses compositions de pages. L'introduction des flashbacks est bien gérée, et perturbe le lecteur juste ce qu'il faut. Coup de coeur pour cette série pour l'instant. J'ai bien fait de suivre certains conseils. |
#95
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Black Science #8
Black Science #8 Un épisode de lien, qui nous permet de souffler un peu. Pour autant, c'est toujours un régal. Ici, l'épisode est plutôt statique, donc il n'y a pas grand chose à en retenir, si ce n'est le nouveau statu quo. Mais c'est l'occasion ou jamais de faire l'éloge de cette série. Elle ne fait que s’améliorer, les dessins sont somptueux, tout autant que le storytelling de Ricky. Une orgie cérébrale et visuelle, qui ne lasse jamais. Pour les lecteurs VF ça risque d'être long vu que c'est Urban qui a obtenu les droits et que leur planning ne fait pas mention de Black Science jusqu'à Janvier au moins. Foncez sur cette série. That's it. En attendant, je vais me ruer sur Low #2, parce que la SF & Remender c'est un alliage pas dégueulasse.
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"Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l’espace d’un matin." |
#96
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Batgirl #34
Pour son chant du cygne sur le titre (avant le Futures End) et Barbara, Gail Simone lui offre un dernier baround tout en se faisant énormément plaisir. Il y a comme un parfum de Birds Of Prey pré-New 52 que ce soit dans la casting ou la gestion de Babs (Oracle serait fière ). A l'instar de Green Arrow où Jeff Lemire referme un chapitre de l'archer, Gail Simone clôt celui de l'héroïne à tous les niveaux : plus sûre d'elle, soulagée, moins obsessionnelle, elle aura franchi un cap et la nouvelle orientation (plus enjouée logiquement) y prendra forcément racine vu que le casting transgenre présenté l'accompagne. De même, Fernando Pasarin livre une dernière prestation de haut vol : il y a tellement de (nouveaux) personnages à gérer qu'il a besoin d'un 2ème encreur sur quelques pages, Jonathan Glapion n'étant pas connu pour lambiner.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Black science #8
BLACK SCIENCE #8 (RICK REMENDER / Matteo SCLALERA)
Je réponds à mon collègue du dessus. Le problème avec Black Science c'est que c'est beau mais que pour l'instant le scénario tient sur un mouchoir de poche. Rick REMENDER tourne vite en rond et à oublier de donner de l'épaisseur à ses personnages (légèrement hystérique et caricaturaux d'ailleurs) et surtout de construire une mythologie à sa série. Ce numéro est d'ailleurs surement le plus intéressant depuis début de la série car il commence justement à combler les faiblesses décrites quelques lignes au dessus. L'autre problème de cette série, et là j'y vois également un problème de storytelling dans l'approche graphique de Matteo SCALERA c'est les enchainements entre les épisodes ou à l'intérieur de ces derniers. Ces personnages commencent en plus à se ressembler (il n'est pas à l'aise avec les combinaisons par forcément ad hoc pour modéliser la fine équipe), surtout morphologiquement (la séquence introductive est inutilement compliqué car on ne sait plus qui est la soeur de frère). Le flashback (fort intéressant d'ailleurs pour ce qu'il tant à démontrer et à apporter) ne se différencie pas assez par exemple. C'est inutilement brouillon et cela manque cruellement de fluidité. Alors oui Black Science est facile d'approche, est une lecture agréable mais je trouve que c'est loin d'être une grande série de SF, alors que les éléments sont réunis depuis le début. Je trouve cela pauvre au niveau de la narration. Et LOW #2 arrive |
#98
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Low #2
LOW #2 (Rick REMENDER / Greg TOCCHINI)
Bon c'est assez vite fait car ce numéro se borne à explorer, 10 ans après, les conséquences (c'est vite fait ne vous inquiétez pas) dramatiques de la fin du premier épisode. Et c'est aussi beau que c'est brouillon. On peut d'ailleurs tourné la dernière phrase dans le sens que l'on veut au vu des planches de Greg TOCCHINI. Bon j'ai quand même passer du temps à les admirer car l'artiste en a sous ses crayons. Ce n'est pas toujours compréhensible pour l'oeil au premier abord mais cela ne me dérange pas, au contraire il y a de la poésie et une certaine mélancolie dans ses planches qui échappent à toute logique et rationalité. Pour le récit de Rick REMENDER il faudra revenir le mois prochain car on se fait quand même un peu c$ù^ pour l'instant. Le côté anticipation de la SF n'est pas du tout abordé alors qu'il y a de quoi. Un banal récit de SF de plus. Je regrette d'autant plus que Remender avait à sa disposition un numéro double le mois dernier et que c'était l'occasion d'en lâcher beaucoup plus sur cet univers que l'on a soif de découvrir. J'ai perdu ma gourde. Et pour la fameuse scène de levrette... c'est cool Image ose. Génial... Si il faut cela pour caractériser le vide des personnages pourquoi pas. Personnellement je préfère mater celle de BKV dans SAGA (énorme numéro cette semaine, bijoux narratif au passage). Donc c'est beau, c'est déjà cela. Next.... |
#99
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Dark horse presents #1
DARK HORSE PRESENTS #1
Très belle maquette. La couverture est plastifiée et le choix de Big Guy est très bien. Le papier à l’intérieur est de qualité (glacé, épais). Il y a un édito sympathique de Mike Richardson et le sommaire est présent mais discret sur une bande rouge en page 2 de couv. Un bel objet au contenant plaisant. On y trouve de tout : The Big Guy and Rusty The Boy Robot : C’est toujours un plaisir d’admirer des planches de Geof Darrow. Le scénario est très sympa avec Rusty qui donne des conseils à des plagistes qui s’en foute complètement pendant que Gig Guy se fritte allégrement avec un monstre marin. Le genre de courte histoire que l’on aime lire dans ce type format anthologique. Des pin up (plus anecdotique mais superbes accompagne le tout). Kabuki : The Psy-chic est un nouveau récit de l’héroïne de David Mack sous forme de nouvelle. C’est joli si on adhère à l’art graphique de Mack (assez lumineux et plus épuré que d’habitude). Il faut se laisser porter par la prose et les dessins. J’ai fait un joli voyage. Resident Alien : The Sam Hain Mystery par Peter Hogan et Steve Parkhouse. Episode à suivre qui ne raconte pas grand-chose sauf à faire la connaissance de Icarus, ET en vadrouille à Las Vegas pour se renflouer afin d’honorer ces dettes. J’ai bien aimé les dessins de Steve Parkhouse. Pour l’histoire il faudra attendre la suite mais je suis intrigué. Dream Gang de Brendan McCarthy : Deux pages de McCarthy, c’est tout ce que j’ai failli retenir. Une démonstration de la morne journée d’un individu comme on en a lu de multiples fois. Je n’ai pas perçu l’originalité ou la force de ce récit (sans texte) jusqu’à l’explosion graphique à laquelle on est convié quand on rentre dans le rêve (ou cauchemars) de l’homme en question. Changement de ton radicale et récit psychédélique à suivre. Wrestling With Demons de Jimmy Palmiotti, Justin Gray et Andy Kuhn : Cela part bien. J’ai toujours apprécié les dessins de Andy Khun. Les deux scénaristes nous promettent l’enfer sur Terre, ou du moins dans un patelin ambiance far west à l’abandon ou un père et sa fille vont se retrouver coincés. Sabertooth Swordman : Colossal Casuals Crusade par Damon Gentry et Aaron Conley. Tout comme le récit de Geof Darrow ce numéro de DHP conclue avec une histoire insolite d’auteurs qui osent et qui est une très bonne bande annonce pour la future série. Ambiance mille et une nuit avec un Aladin à l’apparence d’un tigre. C’est complètement fou et très impressionnant graphiquement. Il y a des pyramides, des momies, des scarabées….Un titre à suivre. |
#100
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V-wars #5
V-WARS #5 (Jonathan MABERRY / Alan ROBINSON)
J’ai été soufflé par la narration de Jonathan MABERRY. Je pensais qu’au vu de la lecture des numéros précédents la série avait déjà atteint un excellent niveau. Mais non le scénariste prouve que l’on peut encore faire mieux. Pourtant on se dit que l’on va assister à une énième confrontation sans originalité entre la reine des Vampires et le porte parole des humains, Luther Swann le tout sur fond d’attentats. Mais non c’est beaucoup plus intelligent que cela et le récit de Maberry est tout simplement brillant. Loin d’être un réquisitoire sur l’intolérance, le terrorisme ou la manipulation des masses ce récit enfonce définitivement le clou sur la façon de raconter des histoires avec des buveurs de sang. Dans le Blood Typing on comprend même que les 6 premiers épisodes forment un premier arc largement introductif à la situation. La suite c’est d’abord un arc en 3 dès le moins prochain. Et dire que ce n’était que le début des hostilités. Vivement la suite et le meilleur reste donc à venir. |
#101
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Le plus beau gag est que j'ai eu ça dans la tête tout du long de la lecture. |
#102
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Oui moi aussi (j'ai du mal m'exprimer dans mon post). D'ailleurs c'est James ASMUS qui tient le scénario plus que Fred Van Lente.
bien vu comme musique d'ambiance |
#103
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#104
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Miss SJ a adoré et ça je n'en doutais pas, c'est le genre de lecture qui rapproche les deux sexes. Au final des points positifs mais c'est encore trop tôt pour juger de la solidité de ce titre. Et oui moi aussi j'ai pris cette cover. |
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