#1
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ROBIN ANNÉE UN (Urban Comics)
ROBIN ANNÉE UN Scénario: Dixon Chuck – Dessin: Pulido Javier - Lee Weeks Jeune acrobate de cirque, Dick Grayson a vu ses parents abattus lors d’une représentation à Gotham City. Recueilli par le milliardaire Bruce Wayne, Dick perce le secret de sa double identité et devient Robin, le jeune prodige. Mais ses premiers pas en tant qu’assistant de Batman ne seront pas de tout repos. (contient : Batman Chronicles: The Gauntlet, Robin Year One #1-4) Collection: DC Deluxe Date de sortie: 5 septembre 2014 Pagination: 256 pages ISBN: 9782365774130 Prix: 22.50 € Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 03/09/2014 à 22h01. |
#2
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Arf, the gauntlet est correct sans plus, mais YEAR ONE est excellente !
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#3
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Lee Weeks
Cela fait longtemps que je l'attends celui là. |
#4
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Je l'ai feuilleté et en effet, Weeks , mais trop de trucs à acheter ce mois-ci.
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#5
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Ils ont augmenté leur prix dernièrement chez Urban, non ?
A moins que The Gauntlet ait plus de 22 pages, on a quand même 5 épisodes pour plus de 20€. Bon, celui là je me le prendrai quand même, depuis le temps que je veux lire cette série.
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
#6
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256 pages pour 22,50 Euros, c'est le prix habituel chez Urban.
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#7
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J'avais un bon souvenir de The Gauntlet et j'ai profité de cette annonce pour le relire.
Ben, c'est quand même largement mieux que "correct sans plus", hein. C'est un chouette one-shot sur les débuts de Robin avec un Lee Weeks impeccable. Bon, au tour de Robin - Year One maintenant. Autre chouette relecture en perspective.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#8
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Oui Semic l'avait déjà publié en France et The Gauntlet est une bonne histoire.
Par contre je suis un peu déçu par le présent volume trouvant que l'édition n'est pas du meilleur rendu (plus sombre, couleurs atténuées, cela donne un effet légèrement flou, baveux). Mais j'enjolive peut être par rapport à mes souvenirs. |
#9
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Je l'ai lu et c'était vraiment un très bon moment de lecture:
The Gauntlet n'est pas mal du tout. L'épreuve imposée par Bruce à Dick se transforme en jeu dangereux quand le jeune Robin se retrouve au milieu d'un règlement de compte sanglant... Idée de départ très sympa et plutôt bien exécutée! Lee Weeks est parfait, dommage qu'il soit si rare... La mini principale est encore meilleure Les premiers pas de Dick sous le masque de Robin sont difficiles et particulièrement périlleux. Quant à Bruce, il se retrouve face à lui-même pour trancher ce dilemme: est-il juste de faire prendre de tels risques et de telles responsabilités à celui qui n'est encore qu'un enfant? La relation Bruce/Dick est au cœur d'un récit parfois dark, mais toujours optimiste. Les dessins de Pulido soulignent d'autant plus le contraste entre la candeur du jeune Dick avec la violence à laquelle il est confronté la nuit. A noter une belle galerie de vilains, bien utilisés, et qui permettent de souligner encore une fois le talent d'illustrateur de Pulido. Son Robin voltige comme jamais, j'ai adoré les scènes d'action :wink: Vous aurez compris que je recommande vivement la lecture de ROBIN: ANNEE UN |
#10
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Cerise sur le gâteau, ils auraient pu rajouter l'origin story de Robin par Dennis O'Neil et Dave Taylor dans Legends of the Dark Knight #100.
Rien de révolutionnaire, mais ça aurait pu faire un chouette petit bonus.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Le mieux aurait été de faire comme dans le TP US et de mettre également Batgirl Year One à la suite qui est dans la continuité de Robin Year One. D'ailleurs Barbara pointe sa jolie frimousse à la fin du #4.
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Urban sortira peut-être le Batgirl - Year One plus tard séparément.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Si c'est aussi bon que le Robin, ce serait chouette!
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C'est pas aussi bon, c'est carrément meilleur (et encore mieux dessiné)
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#15
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Robin annee un
ROBIN ANNEE UN C'est vrai que c'est très beau de bout en bout avec la brochette d'artistes présents dans ce numéro : Lee WEEKS, Javier PULIDO et Marco MARTINS. Néanmoins, surtout pour Weeks, j'ai quand même une préférence pour le papier glacé car le mat ne rend pas forcément honneur au travail des dessinateurs et coloristes sur cette éditions. shtmup a bien résumé le bouquin sur ce que on peut ressentir ou y voir. Pour ma part j'ai trouvé intéressant de comparer ces deux récits avec leur géniteur, le Batman Year One de Frank Miller et David Mazzucchelli. The Gauntlet de Bruce Canwell ne suis pas du tout la même structure narrative mais s'en approche de par l'interprétation graphique de Lee Weeks, artiste qui sait être un caméléon. Le fait qu'il a été longtemps associé à Daredevil, fleuron des auteurs de BYO, ne fait que renforcer cette impression. qui n'a pas pensé à Flass à la vu de Delcaine ? Et Gordon est très Millerien dans son attitude (au cigare près). Même les pavé de texte rappelle l'oeuvre de Miller et Mazzucchelli. Le récit en lui même est moins classique que l'on ne pourrait le croire avec cette ultime épreuve (et un excellent jeu de piste ponctué d'énigmes pour le plus grand des détectives) imposée par Batman himself à un Dick tout feu follet mais déjà si impressionnant. Au contraire de Robin Year One la similitude scénaristique avec Year One se trouve dans l'utilisation de la Mafia locale comme source d'ennuie avec en toile de fond une ville de Gotham qui impose sa présence en permanence. On est quelque part dans la suite directe sans pour que le personnage de Robin/Dick Grayson soit plus développé que cela (et d'ailleurs ce n'est pas but premier). C'est en ce sens que (le titre ne le mentionnant pas d'ailleurs) ce n'est pas une relecture des origines de Robin en tant que Year One. A contrario, vu que graphiquement Pulido et Martin (au passage Urban aurait pu le créditer en couverture), parfaitement complémentaires (dur de voir la transition dans le #4), ne marchent pas dans les traces du dessinateur de City of Glass, c'est Chuck Dixon, monsieur Nightwing (tiens tiens) qui s'essaye à écrire un récit à la Frank Miller (dans le titre uniquement). Et tout autant que cette histoire est très bien écrite, intéressante, trépidante ou autre adjectif en ante elle m'a confirmé ce que je savais déjà en enfonçant un peu plus le clou : Frank Miller a écrit le récit ultime d'un Year One. De par sa structure, en autant de page, le papa de Sin City arrive à donner beaucoup au lecteur en déconstruisant un mythe pour mieux le bâtir à nouveau et le tout en respectant l'unité de temps, élément primordiale du cahier des charges, c'est à dire un récit balayant une année entière. Une des similitudes, qui renforce encore plus la force de la narration de Miller, c'est que les deux scénariste insèrent à chaque fois une story line qui court sur deux numéros, un long récit dans la tapisserie d'ensemble. Tout cela pour dire que Chuck Dixon (comme tant d'autre) n'écrit pas un Year One mais la pierre angulaire de celui allait devenir le Boy Wonder. Et là, contrairement à Bruce Canwell sur The Gauntlet, et comme dans BYO on a le droit à l'alter égo de Robin c'est à dire Dick Grayson. On le suit à l'école, sur les toits, en pleine conversation avec son majordome préféré et cerise sur le gâteau Chuck Dixon installe le trio Gordon-Batman-Robin en enfonçant le clou avec l'arrivée de Barbara à la fin, alors que c'est James junior qui était le fil rouge chez Miller. Chose étonnante ce qui marche très bien, et on arrêtera là les comparaisons, c'est que sur Robin Year One, la différence de ton, va définitivement venir du folklore des vilains employés. Ici la mafia est mis à l'écart au profit d'un Double Face terrifiant ou d'un Mister Freeze se rapprochant du flacon friandise. Des vilains batmanien et c'est tant mieux car c'est aussi un ce que l'on avait envie de lire. Voilà ce que j'y ai vu et lu. J'aime me torturer l'esprit. Néanmoins des "tromperies" comme celle ci je souhaite en lire tout les jours. C'est un excellent bouquin que je recommande chaudement. Rien à jeter et un plaisir énorme à la lecture. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 17/09/2014 à 11h50. |
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