Dark Nights: Death Metal #5

[scarletneedle]

Source DC Comics



The Darkest Knight has won. With absolute power at the villain’s fingertips, Wonder Woman and the rest of the DC heroes are nothing to him. As the Darkest Knight turns his sights to his true goal, remaking the Multiverse in his image, can Earth’s heroes rally together to make a last stand?

Written by: Scott Snyder
Art by: Greg Capullo, Jonathan Glapion, FCO Plascencia

U.S. Price:
4.99
On Sale Date:
Nov 17 2020
Page Count:
32

[scarletneedle]

Et ça reprend pile poil où Robin King s'arrête. ^^

[Ben Wawe]

J'en peux plus, en fait.

J'avais beaucoup aimé Dark Nights : Metal et j'avais été emballé par la deuxième partie de Justice League, avec un sprint final énorme.
Mais là...

Là, je n'en peux plus.

Trop de one-shots. Trop de directions. Trop de super-arme-secrète qui remplace la précédente. Trop de secrets dans les secrets. Trop de cosmique qui menace la réalité. Trop de bataille de mots-concepts (JUSTICE vs DOOM avant, TRUTH maintenant).
Trop de Batmen aussi, putain, hein.

Scott Snyder m'a perdu et, je le pense, s'est perdu.

J'aime bien son idée de relier les Crises entre elles, mais là... là, je n'ai plus rien à quoi m'accrocher.
Les tunnels de dialogue succèdent aux affrontements cosmiques sans décor. Les punchlines tentent de faire mouche, mais tombent à plat pour moi.

Je voulais vraiment aimer Death Metal.
Mais, bordel, je déteste, en fait.

[Yaneck]

Ce que tu ressens là, Ben, moi je l'ai ressenti dès Metal.
J'en ai marre de cet espèce de Batman invincible qui est la menace ultime ou presque de tous les super-vilains. Il y a un culte de Batman qui tourne au grandguignolesque. Avec en effet des menaces cosmiques toujours plus intensément cosmiques. Avec des apocalypses sur Terre tous les deux jours.
Il y a une surenchère qui me désintéresse au plus haut point et me fait me retirer sur les titres DC qui se tiennent à l'écart de ces crises de boulimie scénaristiques.

[watchblue]

J acheté car à chaque fois comme un con je me dis c est la dernière partie .........

[cyclopebox]

C'est le puceau de Terre-Prime que l'on voit en couverture ?
Il a fini par faire son grand retour ?

[scarletneedle]

Yep.
Et il semble être sur le chemin de la rédemption.
A voir comment depuis son retour dans Shazam il a pu changer de comportement car Trinity Crisis avait déjà entamé le processus.

[Baboussa]

	Citation:			Posté par cyclopebox
	c'est le puceau de terre-prime que l'on voit en couverture ? Il a fini par faire son grand retour ?

:d

[Ben Wawe]

	Citation:			Posté par Yaneck
	Ce que tu ressens là, Ben, moi je l'ai ressenti dès Metal. J'en ai marre de cet espèce de Batman invincible qui est la menace ultime ou presque de tous les super-vilains. Il y a un culte de Batman qui tourne au grandguignolesque. Avec en effet des menaces cosmiques toujours plus intensément cosmiques. Avec des apocalypses sur Terre tous les deux jours. Il y a une surenchère qui me désintéresse au plus haut point et me fait me retirer sur les titres DC qui se tiennent à l'écart de ces crises de boulimie scénaristiques.

Je comprends.
Metal m'a plu, parce que c'était un immense délire brutal, intense, mais délirant "dans le bon sens". Moi, ça m'éclatait, et je trouvais ça "fun" de voir plusieurs éléments reliés ensemble.

Mais Death Metal est un marasme lourd qui me lasse et me dégoûte.

Maintenant, oui, il y a une fixation sur Batman... qui était un peu "lourde" sur Metal, mais est repoussante sur Death Metal.
Je n'en peux plus, des Evil Batmen !
Et si le Batman Who Laughs pouvait avoir de bons moments, sa version Darkest Knight me paraît dénuée du moindre intérêt.

	Citation:			Posté par cyclopebox
	C'est le puceau de Terre-Prime que l'on voit en couverture ? Il a fini par faire son grand retour ?

	Citation:			Posté par scarletneedle
	Yep. Et il semble être sur le chemin de la rédemption. A voir comment depuis son retour dans Shazam il a pu changer de comportement car Trinity Crisis avait déjà entamé le processus.

Il est bien écrit, ici.
Bon, il est écrit comme un Superman qui a fauté et se remet. Ca lui fait perdre son originalité.