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#1
30/11/2008, 19h51
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The UK Comic Books
Bonjour à tous les Buzzukis Warriors !!!!
 Si cela intéresse du monde (il y a intérêt ou je me fâche ! Un A59 en pleine nuit, c'est pas une partie de plaisir, Citoyens !), je souhaite apporter une critique sur un univers du comic book rarement ou mal exploité. C'est celui sur les histoires de guerre. Qu'elles soient anciennes ou modernes, réalistes/semi-réalistes/irréalistes, elles ont toujours existé et sont encore publiées sous différents formats en comic book, de part le monde. Ici, je parlerai du titre "Commando", une institution au pays de Sa Très Gracieuse Majesté. (En Angleterre pour les ignares...) Actuellement, après de très bons et loyaux services, le titre en est à son #4154 ! Plus grand, il y a pas ! C'est un comic book octo-mensuel (8 issues par mois quand même !), en N&B, format digest, de 64 pages au prix imbattable de £1,30 pièce. Sur les 8 issues, 4 sont des reprints, 4 sont des nouveautés. La présentation est des plus typique : deux à 4 panels maxi par pages. Les histoires sont complètes et sont dans une approche réaliste (bases historiques existantes, histoires inventées, matériels, uniformes, armes et "langage" d'époque). La qualité du comic book est du style "économique" : couverture normale de comic book (en couleurs à l'extérieur), papier de qualité newspaper recyclé pour le comic book. L'impression en N&B est excellente, il n'y a pas de "pâtés" noirs qui parsèment parfois certains titres. Donc, je vous donne rendez-vous prochainement pour la critique des N° 4151 à 4154 !  PS: pour les Buzzukis intéressés pour un abonnement, me contacter en MP pour plus d'infos ! Dernière modification par fredmanson ; 06/02/2009 à 12h42. 
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#2
01/12/2008, 08h54
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Merci pour nous parler des comics anglais comme 200 AD et le trop rare COMMANDO. Je sais que DC Thomson propose des formules d'abonnement, mais je suis plutôt intéressé par l'essai d'un ou deux numéros. Est-ce que par hasard tu ne vendras pas des numéros de COMMANDO ? Ou peut-être connais-tu des libraires qui en vendent ?
J'ai hâte de voir tes critiques.
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#3
01/12/2008, 10h45
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Tin l'air de rien j'applaudis Fredmanson qui en plus de nous faire partager des trucs pas/peu connu, est hyper au taquet sur le critique!!
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman
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#4
01/12/2008, 20h50
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@Fin Fang Foom : désolé, je n'ai pas réussi à trouver une seule librairie (FR/EU/Web) qui vend du "Commando".
Et nan ! Je n'ai pas d'exemplaires à vendre, j'y tiens trop (cela sera expliqué dans les critiques à venir !). 
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#5
04/12/2008, 18h43
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Commando 1451-1454
Commando 1451 - Stormtroopers
Ce Commando fait partie des 8 numéros de novembre spécialement édités pour la commémoration de l'Armistice de la première guerre mondiale, le 11 novembre 1918. Il en est le n°5 (je vais essayer d'avoir les N° précédents). C'est un reprint de 64 page en date de 1994, dessiné par Alan Burrows sur une histoire de Mike Knowles. Ce récit raconte la vie de Kurt Steyer, héros de la guerre et médaillé de la Iron Cross, et qui doit faire face à son passé dans une Allemagne des années 1920. Engagé volontaire en 14-18, il est vite repéré par et accepté au sein d'une nouvelle unité d'élite, commandée par le capitaine Erwin Wenz, les Stormtroopers. L'entrainement est des plus rigoureux, les pertes sont lourdes. Leurs missions en milieu hostile sont des réussites totales. À l'Armistice, Steyer retrouve Wenz qui souhaite monter une milice afin de maintenir l'ordre dans cette Allemagne blessée. Malheureusement pour notre héros, les missions de maintient de l'ordre ne sont qu'une couverture pour des forfaits criminels. Steyer souhaite mettre un terme à ces agissements, une fois pour toute... Très bien dessinée, cette histoire se lit sans anicroches et l'on prend plaisir à retrouver le héros en pleine action, face à ses doutes. On le soutien dans son choix moral. Les personnages principaux et secondaires apportent un background solide à ce récit. On comprend d'autant mieux par la suite, les bases sur lesquelles les nationalistes de l'époque vont arriver finalement au pouvoir quelques années plus tard et conduire l'Europe dans le Chaos... Commando 4152 - Fathers and Sons Sixième épisode consacré à l'Armistice du 11 novembre 1918. C'est un reprint de 64 pages de 1991 écrit par Alan Hemus et au dessin, Olivera. Largement basé sur le récit des "Canons de Navaronne" pour la première partie du récit se déroulant en 14-18, nous découvrons la vie des deux héros : le lieutenant Paul Ebers côté allemand et le capitaine Reeve pour le côté anglais. Conçue comme un roman d'espionnage et de sabotage, cette histoire ne laisse pas de temps mort au lecteur pour se reposer. Au cours d'une scène, les deux hommes se font face et s'observent avant de se séparer. Vient la seconde guerre mondiale. Cette fois, ce sont leur fils qui vont se battre l'un contre l'autre, sans le savoir. Leur destin sera lié lors de cette rencontre... Agréablement dessinée, cette histoire de guerre est prenante dès le début (espionnage, sabotage) puis montre l'absurdité de celle-ci et des suivantes. Les derniers panels de ce récit apportent une touche de réflexion qui ne laissera personne indifférent... Commando 1453 - Roar of the Guns Episode n°7 de la commémoration de l'Armistice de 14-18. Nouvelle histoire de 64 pages de Mike Knowles sur de superbes dessins de Keith Page (on sent une influence de Tardi dans certaines scènes). Elle se déroule en 1917, sur le front et dans les tranchées, en France. C'est l'affrontement d'un officier anglais, Harry Bowden, qui possède la faculté de connaitre avec précision le lieu de l'impact d'un projectile, face au capitaine Frantz Bodeker, un excellent mathématicien qui mets ses capacités intellectuelles au service de régiments d'artillerie provoquant de lourdes pertes. Chacun d'eux va tenter de remplir sa mission, à savoir : continuer à détruire les troupes, convois et stocks de munitions anglais avec l'utilisation de méthodes de sniper et de deviner, débusquer et arrêter les agissements destructeurs de cet expert en artillerie. Le scénario est haletant, personne ne peut deviner qui sera le vainqueur final de cette lutte meurtrière. Le tout est très agréablement renforcé par les dessins dynamiques de Page. Commando 4154 - Desert Dogfight Dernier épisode commémoratif de l'Armistice de 14-18. Nouvelle histoire de 64 pages par Fred Handley, J.M. Jorge au dessin. Mésopotamie, 1914. Le jeune Harry Powell est le nouveau venu dans le Royal Flying Corps. Ses missions : combattre l'armée turque aidée par les conseillers allemands. Bien que pilote confirmé, il manque de confiance en soi lorsqu'il est en l'air. Affecté au sein d'un poste avancé entouré par l'armée turque, il est profondément atteint lorsque son camarade d'école, également pilote, est abattu lors d'une mission d'attaque dirigée par un jeune officier aux dents longues. Celui-ci devient dès lors le pilote et le souffre-douleurs de cet officier, tout au long des nombreuses missions d'attaques air-sol. On profite d'ailleurs de ces missions et de l'avancée de l'armée turque autour du camp anglais pour découvrir les "armes" mises presque quotidiennement au point et immédiatement testées sur le terrain. La dernière mission et un élément imprévu seront la porte de sortie du jeune Harry Powell et sa revanche contre cet officier... Du début à la fin, on est pris par les tourments de ce jeune pilote et l'on souhaiterai être à sa place afin de "régler" définitivement le problème qu'il rencontre avec son supérieur. Preuve que cette histoire est prenante, admirablement servie par un graphisme à "l'anglaise".  Notation générale Histoires :  (surtout les deux derniers épisodes)Dessins : (surtout par Keith Page et J.M. Jorge)Intérêt : (surtout Fathers and Sons qui donne énormément à réfléchir...)Images courtesy and (c) D.C.Thomson&Co.,Ltd Dundee Scotland. Website: www.commandomag.com Dernière modification par fredmanson ; 23/02/2009 à 11h28.
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#6
14/12/2008, 15h32
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Commando 4155-4158
Commando 4155 - Aegean Ace
Seconde guerre mondiale. Mer Egée. D'un bleu brillant, cette vaste étendue d'eau avec de nombreuses îles et située entre la Grèce et la Turquie, a été pendant longtemps inaccessibles aux avions de la RAF, car trop éloignée des bases aériennes britanniques. Les forces de l'Axe n'avaient donc rien à redouter dans ce secteur et en étaient les maîtres. Jusqu'au jour où un pilote casse-cou eut l'idée d'ajouter à son Spitfire une paire de flotteurs, de s'installer secrètement sur une des nombreuses îles de la mer Egée et de combattre les pilotes de la Luftwaffe et italiens. S'ensuivent les péripéties de ce Spit modifié avec ses problèmes techniques, les raids sur les navires allemands et les Dogfights (combats aériens) avec les Me110s, Stukas et avions Fiat. Pour le jeune Johnny Cooper, une aventure excitante venait de commencer ! C'est une aventure (je me répète, ok !) pleine de rebondissements, de combats aériens, de doutes aussi, qui nous est proposée. Les dessins de J.M. Jorge apporte la touche finale au scénario de Ferg Handley. Palpitant de bout en bout ! (une petite pensée au fabuleux film de Myazaki, Porco Rosso, se déroulant dans le même secteur) Commando 4156 - The Fighting Sapper Afghanistan. Fin des années 1800. Au plus haut de la guerre anglo-afghane de cette période, le Capitaine James Wilkinson des British Royal Engineers (les Sappers) se voit confier une mission des plus dangereuses : construire un pont sur un endroit hautement stratégique. En plus de travailler dans une zone en plein combat, il n'a de cesse de se battre contre les décisions de deux de ses officiers subordonnés. Sans compter sur des tensions provoquées par les forces Russes qui enveniment la région. James Wilkinson s'attend à avoir du travail, des tiraillements et des combats. Il sera servi au de-là de ses espérances. Cette histoire, écrite (encore) par Ferg Handley est située dans une période fortement méconnue des guerres qui ont et qui continuent de secouer l'Afghanistan. C'est un morceau de page d'histoire qui nous est conté, superbement mis en image par Keith Page, qui, je le rappelle, a pour mentor Tardi et son oeuvre sur la Grande Guerre (certains dessins portent d'ailleurs son style). Excellent ! Commando 4157 - Run the Gauntlet (reprint de 1991) Située durant la Seconde Guerre Mondiale, en 1940, nous suivons les aventures du Capitaine de Corvette de U-Boat, Frantz Muller, dans l'Atlantique Nord. Les succès arrivent les uns après les autres. Sa renommée est faite. Durant ce temps, en Allemagne, son frère, Walther, médecin et handicapé, est arrêté par la Gestapo pour son indignation lors de l'attaque d'un navire transportant des enfants et coulé par un U-Boat. Aidé par Frantz, celui-ci sort de prison, mais il est placé sous surveillance de la Gestapo. Les années suivent, Frantz reprend son travail de chasseur de navire Alliés pendant que Walther fait évacuer d'Allemagne les individus et les familles recherchés par la police nazi. Les traques sont de plus en plus dangereuses pour les deux hommes. De chasseurs, ils deviennent des proies. En 1945, Frantz Muller reçoit le commandement d'un nouveau submersible, plus puissant, plus rapide, mieux armé. Entre-temps, son frère réussit à s'échapper des griffes de la Gestapo et se retrouve à bord grâce à l'aide de Frantz. Malheureusement pour les deux hommes, lorsque l'Allemagne capitule, Frantz se voit donner l'ordre par le Général SS Zutmann de mettre le cap sur le Brésil, avec ses hommes. Ne soupçonnant pas la présence de Walther à bord, Frantz s'exécute. Walther apprend à Frantz les horreurs commises par ce Général durant la guerre. Arrivé au Brésil, deux camps s'affrontent alors : les SS d'un côté et les hommes de la Kriegsmarine. La bataille fait rage mais les SS sont mis hors d'état de nuire. Le Général Zutmann est arrêté puis sera condamné à mort pour crimes de guerre lors du procès de Nuremberg. Les frères Muller ouvrirons une petite affaire dans une Allemagne exsangue et meurtrie mais débarrassée de la swastika. Nous avons ici à la fois une histoire de guerre maritime et une véritable aventure d'espionnage magistralement servies par un scénario de Ian Clark avec au dessin Denis McLoughlin. Dignes d'un film de guerre mais offertes dans un média très agréable à lire. Prenant de bout en bout ! Commando 4158 - For the regiment! (reprint de 1991) Afrique du nord, 1942. Le British Eighth Army doit faire face à la coalition placée sous les ordres du Field Marshal Rommel. L'un des bataillons d'infanterie britannique, les Redshires, se doit d'être le meilleur des meilleurs. Dans leur camp, à proximité d'Alexandrie, de nouvelles recrues fraîchement arrivées d'Angleterre vont être rapidement mises sous le feu ennemis. Simon Smythe est l'un d'eux. Placé sous les ordres de deux barroudeurs, Nobby Clark et Lanky Lymburn, il va prendre conscience de ce qu'est la guerre, de ses horreurs ainsi que de l'honneur et des traditions du bataillon. Malheureusement, lors d'une mission, cet honneur est mis à mal et le bataillon est obligé de se replier. Il devient la risée et la honte des forces du Commonwealth. De nombreuses désertions s'ensuivent. Juillet 1943, Sycile. Le peu d'homme composant les Redshires est considéré comme des moins que rien par les officiers. Les pertes sont lourdes, Lanky est tué. La rencontre, pour le moins la plus surprenante lors d'une nouvelle mission, avec le Major Warlock va redonner espoir aux survivants. Ceux-ci vont, au fur et à mesure, reprendre courage et surtout, laver leur honneur. Les Redshires ne sont pas morts ! Basé sur ce qui fait que les hommes d'un bataillon s'entraident les uns les autres, l'honneur est au centre de ce récit de Ian Clark (encore !) avec au dessin Salmeron. La trame de ce scénario ne laisse aucun moment de calme aux Redshires, les ennuis s'enchainant les uns après les autres après pourtant des débuts fort prometteurs. Et c'est un facteur externe, ici le fabuleux et surtout humain, le Major Warlock, qui offrira à ces hommes perdus de retrouver leur dignité, leur honneur. Une histoire classique certes, d'un honneur perdu et retrouvé, en revanche agréablement mise en images.  Notation générale Histoires : (tous les lecteurs trouvent leur compte, c'est rare et c'est à signaler !!)Dessins : (avec un petit faible pour Keith Page !)Intérêt : (idem que pour Histoires)Images courtesy and (c) D.C.Thomson&Co.,Ltd Dundee Scotland. Website: www.commandomag.com Dernière modification par fredmanson ; 23/02/2009 à 11h30.
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#8
17/12/2008, 16h56
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édités par Fleetway. Mais il y a eu quelques COMMANDO de publiés ainsi que d'autres pocket anglais (BATTLEGROUND, etc.) provenant de petits éditeurs anglais. Le matériel de DC Thomson a été, je crois, principalement traduit chez Aredit/Artima. Je profite de ce sujet pour te poser une question, Areditman, au cas où tu connaitrais peut-être la réponse. (désolé pour le HS, mais le sujet reste la BD anglaise). Comme Areditman est un spécialiste des PF français, je te pose la question suivante : Connais-tu bien Les PF publiés par EDI-EUROP tels que ALERTE, GUERILLA, TOBROUK, etc. ? Il me semble que leurs BD sont d'origine anglaise. Sais-tu d'où viennent ces BD ? Si tu ne connais pas la réponse, ce n'est pas grave.
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#9
17/12/2008, 17h27
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Dernière modification par Areditman ; 17/12/2008 à 18h09.
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#10
18/12/2008, 00h40
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Alors en cherchant un peu j'ai qques éléments de réponses. Je pense avoir trouver du Commando dans:
- Vautour 31 (SNEC anciennement Edi Europ): La patrouille perdue (Commando 176: Lost Patrol) des.Victor de la Fuente - Tobrouk 45 (SEPP anciennement Edi Europ): Duel dans la jungle (Commando 126: Duel in the Jungle) des.Victor de la Fuente - Casse Cou 14 (SEPP...): La Dernière Chance (Commando 558: Last Chance) Dans Vautour 31 il y a aussi une histoire "Le Prix de la Gloire" tirée (à priori) de Battle Picture Library 770: The Price of Glory.
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#11
18/12/2008, 08h44
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#12
18/12/2008, 09h22
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#13
20/12/2008, 16h17
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Commando 4159-4162
Commando 4159 - A score to settle (reprint de 1991)
Seconde guerre mondiale, Juin 1942. Une flotte militaire japonaise se dirige vers les îles Aleutian, archipel dépendant de l'Alaska. Ayant pris possession des lieux, les japonais veulent s'en servir comme avant poste pour plusieurs de leurs missions secrètes. C'est sans compter sur la volonté de deux hommes, Hugo et Eika Deckhand, l'un américain et l'autre esquimau. Au cours de leur chasse, ils tombent par hasard sur un avion japonais qui s'est écrasé. L'officier Kenjo Takagi est le seul survivant, sérieusement blessé. Ramené auprès des siens occupant le port de pèche, il promet à Hugo qu'il pourra enterrer son père, pêcheur, et l'un de ses hommes d'équipage abattus par les japonais lors d'une révolte. Profitant d'une erreur d'un des gardes, il parvient à s'enfuir avec l'aide d'Eika. Ensembles, ils sont récupérés par un sous-marin américain qui fait route vers un port sécurisé. Connaissant les lieux mieux que quiconque, ils repartiront dans l'île en tant qu'espions et découvriront pourquoi les japonais ont choisis ces îles : ils veulent employer des minis sous-marins kamikazes. Ils feront tout pour faire échouer le plan des japonais. Pleine de rebondissements, c'est une histoire fort peu banale qui nous est proposée. Elle est située dans un cadre peu connu et utilisé dans les films de guerre. Qui s'attendrait à voir des japonais en Alaska ? Ecrite par Alan Hemus et dessinée par Peter Foster. Commando 4160 - Back from the dead (reprint de 1991) Allemagne, en février 1970. Un éclair frappe un vieux char Panzer dans un musée situé prés d'une autoroute, et celui-ci se met en marche avec l'aide de quatre mannequins revenus "à la vie". Roland Klein, l'un des hommes les plus riches et des plus rudes est au volant de sa puissante limousine. La rencontre des deux véhicules est mortelle pour celui-ci, qui, avant de mourir, reconnait l'emblème du Panzer : les 4 as. L'inspecteur Frantz Bauer, détaché sur cette enquête, découvre que rien n'est normal. Le Panzer qui s'est remis en marche, la mort d'un homme puissant, l'accident qui s'est produit au même endroit que la découverte de ce même Panzer. En sortant du musée, il fait face à 4 spectres sans forme qui lui raconte l'aventure de ce Panzer, et surtout, de son équipage et de son commandant. On est plongé dans une histoire typique de fantômes : un début un peu tiré par les cheveux (mais bien réalisé), le passé de ce Panzer, de celui des quatre hommes d'équipages et des agissements troubles du commandant du Panzer. L'histoire et le final sont d'un classique mais le tout est plaisant à lire. Scénario d'Alan Hebden, dessin de Carlos Pino. Commando 4161 - Invisible aggressor Mai 1945, Allemagne. Un groupe de trois militaires britanniques est envoyé en reconnaissance sur une île en plein milieu d'une péninsule de la Mer Baltique. Ils ne s'en sortiront pas vivants. Dépêchés sur place, le groupe de secours avec à sa tête le sergent David Sandham ne peut que constaté les corps mutilés et carbonisés, gisant sur la berge. Le passé de ces hommes refait surface dans la mémoire du sergent. Les combats urbains dans les villes allemandes, les embuscades tendues par un ennemi composé d'enfants recrutés et enrôlés par des officier véreux de la Wermacht ayant un plan pour s'échapper de cet enfer, jusqu'à la première rencontre avec les soldats russes, également aux prises avec l'ennemi. Cette rencontre fortuite risque de se transformer en conflit lorsqu'un jeune officier britannique leur ordonne de considérer les troupes russes comme de possibles futures ennemis. Les deux armées ont le même objectif : prendre d'assaut un centre de recherche scientifique situé non loin de la ville. À l'arrivée des Anglais, le centre explose, ne laissant que des ruines. De retour au présent, le sergent va tout faire pour découvrir qui et quoi a tué ses hommes, tout en essayant de calmer le jeune et arrogant officier, et surtout, de ne pas déclencher des hostilités avec les troupes russes. Paris risqué que de partir sur une histoire qui pouvait tourner court ou lasser le lecteur mais le scénariste, Sean Blair, joue habilement des climax tant au niveau des missions en extérieur, des relations avec la hiérarchie, de la présence des troupes russes, de la "chose" qui tue sans pitié et surtout, quid des deux officiers de la Wermacht ? Un bon comic book agréablement dessiné par Benet. Commando 4162 - Fighting Eagle Durant la Première Guerre Mondiale, les allemands ont utilisé des Zeppelin pour bombarder Londres. Ce mode de transport s'est peu à peu développer jusqu'à l'accident tragique de l'Hindenburg. 1941, Afrique du Nord. Les quelques survivants d'un équipage d'un convoi de ravitaillement attaqué par U-boat ne doivent leur salut qu'à l'arrivée et à l'attaque d'un dirigeable anglais ! Celui-ci fait parti d'une mission spéciale, développée en Inde avec les fonds d'un Maharadja avec la nouvelle découverte de l'époque : l'hélium. Les attaques brutales de forces SS en plein désert sur des lieux de stockage de carburant ou de pipe-lines dans le désert du Sinaï, le long du Nil et autours du canal de Suez, rendent perplexes les autorités Alliées. Le dirigeable, le Striking Eagle, et son équipage, composé d'Indiens spécialement entrainés et d'Anglais, va alors devoir faire face à une menace qui se révèlera être double ! Basé sur ce qui aurait pu être fait avec les moyens disponibles à cette époque, cette histoire, écrite par Alan Hebden et dessinée par Carlos Pino, montre que les idées autant géniales au départ peuvent être malheureusement détournées à des fins destructives suivant qui les emploient. Une bonne histoire, certes quelque peu fantasque, mais qui se laisse lire avec plaisir  Notation générale Histoires : (ces 4 numéros sont vraiment "spéciaux". On accroche ou non à ce qu'aurait pu être certaines vérités historiques si les évènements avaient vraiment eu lieu)Dessins : Intérêt : (idem que pour Histoires)Images courtesy and (c) D.C.Thomson&Co.,Ltd Dundee Scotland. Website: www.commandomag.com Dernière modification par fredmanson ; 23/02/2009 à 11h30.
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#14
24/01/2009, 17h48
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Avant la prochaine fournée de critiques (8 d'un coup !), voici quelques pages issues d'un Commando déjà paru, "Buccaneer Bob R.N." :
Page 49  Page 50  Enjoy !!  Images courtesy and (c) D.C.Thomson&Co.,Ltd Dundee Scotland. Website: www.commandomag.com Dernière modification par fredmanson ; 23/02/2009 à 11h27.
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#15
26/01/2009, 13h04
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Merci !
 C'est qui le dessinateur ? Dernière modification par Fin Fang Foom ; 26/01/2009 à 13h17.
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Mode linéaire
