#196
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perso, le plus gros défaut de l'histoire, c'est la manie qu'a Starlin de refaire un résumé assez long des épisodes précédents toutes les 20 pages (c'est super casse burettes à traduire, tous ces récitatifs répétitifs).
après, si cet album n'est pas ce qu'il a fait de mieux (la mort de Cap Marvel était quand même mieux écrite), ça reste du mainstream de son époque, qui sent un peu le travail de commande, mais reste distrayant. |
#197
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en saga marquante il y a tout de meme la madonne celeste(existe en tpb) bigrement marquante
surement la plus marquante meme a part graphiquement |
#198
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Je n'ai jamais lu cet épisod. Comment robin meurt-il ? Je ne sais pas du tout la crédibilité de cette info mais j'avais lu un article qui pouvait laisser entendre que le Joker aurait violenté Robin. Est-ce vrai ?
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#199
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#200
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Moi, j'avoue avoir horreur des TPB de vieux comics (les couleurs refaites, ça passe pas.. et garder les vieilles non plus), et donc, je viens de me payer le # 96 pour 6 euros!
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#201
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Rima the Jungle Girl
Rima the Jungle Girl
Amis amateurs de jeunes filles court vêtues gambadant dans la jungle, ces quelques lignes vous sont dédiées. Rima the Jungle Girl est une série dont le moins que l’on puisse dire est qu’elle n’aura pas marqué l’histoire des comics. Lancée en avril 1974 par DC, elle disparaîtra seulement un an et sept numéros plus tard. A l’origine de cette série, il y a un roman, Green Mansions, signé W.H. Hudson et paru en 1904 (il a été traduit en France sous le titre Vertes Demeures). Les quatre premiers numéros sont l’adaptation de ce roman. Mais, chose très curieuse, ceci n’est mentionné nulle part ! C’est seulement dans le courrier des lecteurs du #4 qu’est évoquée l’œuvre à l’origine de Rima. L’histoire est celle d’Abel, révolutionnaire luttant au Venezuela, contraint de fuir dans la jungle où il est recueilli par les membres d’une tribu pacifique. Il va bientôt partir explorer la jungle alentour, malgré les avertissements de ses nouveaux amis pour qui cette région est maléfique et hantée par une sorcière capable de prendre la forme de n’importe quel animal sauvage. Cette sorcière, c’est Rima, qu’Abel ne va pas tarder à rencontrer. Et dont il va évidemment tomber amoureux. Rima n’a pas le pouvoir de se transformer en quoi que ce soit. En revanche, elle peut communiquer avec les animaux. Et ne supporte pas que les humains s’attaquent à eux, même pour chasser. Les trois épisodes suivants racontent les origines de Rima, comment sa mère fut sauvée par Nuflo, comment celui-ci éleva la jeune fille après la mort de sa mère, l’étrange relation qu’elle va développer avec les animaux de la jungle, et bien sûr l’idylle naissante entre Abel et Rima. Les trois derniers épisodes de la série sont, pour autant que je sache, des histoires inédites. Le scénariste et le dessinateur y sont crédités (Robert Kanigher et Nestor Redondo), ce qui n’était pas le cas précédemment. Le dernier épisode de la série est assez amusant, puisqu’on y rencontre un gamin d’à peine dix ans qui s’amuse à torturer les animaux et qui sera au final bien puni puisqu’il finira dévoré par les crocodiles. Bien fait ! Ces épisodes se laissent lire sans déplaisir, ça n’a pas grand intérêt, parfois limite n’importe quoi (je suis nul en zoologie, mais des grizzlis et des sangliers en Amérique du Sud, j’ai quelques doutes), mais ça distrait. En fait, si Rima the Jungle Girl mérite de ne pas sombrer totalement dans l’oubli, c’est grâce à sa partie graphique. Il y a d’abord les couvertures de la série, toutes signées Joe Kubert. Et il y a surtout les planches intérieures, que l’on doit à Nestor Redondo. L’artiste travaillait au même moment sur le Swamp Thing de Len Wein, et son travail sur l’une comme sur l’autre série est tout à fait superbe. Les deux séries se situent dans un cadre proche (la jungle vénézuélienne, les marais de Louisiane), mais sa fille de la jungle est un tantinet plus sexy que sa créature du marais. Première rencontre entre Abel et la belle Rima (Rima #1) En outre, on trouve dans chaque numéro une back-up story. Dans les cinq premiers numéros, il s’agit d’une série intitulée Space Voyagers. Le scénario (signé Jack Oleck puis Bob Kanigher), dans lequel l’équipage d’un vaisseau type Enterprise explore une planète, n’a aucune espèce d’intérêt, mais les planches, que l’on doit à Alex Niño, sont très belles. Rima fut traduite en France par Arédit dans le petit format Kamandi, entre 1975 et 1977. Malgré le format réduit, le travail de Redondo reste éminemment appréciable. Rima en noir & blanc et en français dans le texte, toujours aussi belle (Rima #4, in Kamandi n°3) Quelques liens pour terminer : Une page en anglais consacrée à la série. L’œuvre originale de W.H. Hudson, pour les plus téméraires d’entre vous. Dernière modification par Niglo ; 16/01/2005 à 01h58. |
#202
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On les trouve pour pas cher? Ca fait envie!
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#203
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Ca m'a coûté entre 1.40 et 2.10$ sur MileHighComics, état Very Good à Fine (quoique le #2 état VG qu'ils m'ont vendu a pris la flotte et mérite à peine le classement Good à mon avis).
La vf est à mon avis beaucoup plus dure à trouver, et sans doute plus chère (je n'ai que 4 numéros de Kamandi et un mal de chien à mettre la main sur les autres). |
#204
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Ah.
Je crois que je vais mourrir de bonheur. DES CADEAUX POUR NIGLO!! DES CADEAUX POUR NIGLO!! DES CADEAUX POUR NIGLO!!
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#205
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Une bonne initiative de ressortir RIMA de l'oubli. Une occasion aussi d'admirer l'art de Nestor Redondo. Très bien, Niglo.
Pour info, Rima a été réédité par Aredit dans le pf TOR. Mais c'est vrai que c'est difficile de trouver des pf KAMANDI. |
#206
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The Action Heroes Archives vol.1 : Captain Atom
The Action Heroes Archives vol.1 : Captain Atom (DC Comics Archive Editions) Par Joe Gill, Steve Ditko et Rocke Mastroserio Fans de Steve Ditko, ce volume est pour vous. Plus de 200 planches réalisées par le maître (seuls trois courts récits sont signés d’un autre illustrateur, Rocke Mastroserio) durant sa période la plus faste. Cette archive est intéressante à plus d’un titre. C’est avec Captain Atom que Ditko s’attaque pour la première fois au genre super-héroïque, en 1960, chez Charlton. La première moitié du livre réédite les récits parus dans la revue Space Adventures. Il s’agit de courtes histoires, 5 ou 6 pages pour la plupart. Après l’épisode inaugural qui raconte la naissance de Captain Atom (aka le capitaine Adam, un officier de l’armée américaine qui a fait tomber un tournevis dans une fusée sur le point de décoller et qui n’a pas eu le temps d’en sortir à temps), les suivants peuvent pour la plupart être classés en deux catégories : l’invasion extraterrestre et la menace communiste. Dans cette dernière, en un nombre somme toute assez limité d’épisodes, Captain Atom évite in extremis une bonne dizaine de conflits nucléaires. Thank you Sir. Mention spéciale à cet épisode dans lequel un dissident soviétique est envoyé par les autorités en orbite autour de Saturne afin de l’empêcher de diffuser ses idées subversives… Par chance, quelques histoires d’inspiration plus variée viennent rompre la monotonie, comme celle dans laquelle un enfant voyage à travers la galaxie en rêve, où cette histoire de ravissantes Vénusiennes lançant aux Terriens un petit coucou depuis leur planète natale. Captain Atom ne luttera contre les rouges que dans 9 numéros de Space Adventures, de mars 1960 à octobre 1961. Puis Ditko ira chez Marvel créer Spider-Man. Mais fin 1965, il revient chez Charlton et reprend le personnage, dans un magazine qui porte désormais son nom. Le genre super-héroïque a changé en 4 ans, la révolution Marvel est passée par là, et cela se sent à la lecture de ces épisodes. Finis les courtes historiettes, désormais chaque numéro contient un épisode de 20 pages. Dans les cinq épisodes repris ici, la menace rouge se fait moins pesante, mais les extraterrestres belliqueux sont encore de la partie (2 récits leur sont consacrés). En revanche, les super-vilains font leur apparition. Dans Captain Atom #79, c’est le Doctor Spectro, maître des humeurs, un scientifique rejeté par ses pairs pour ses théories jugées farfelues sur le pouvoir des couleurs. Devenu amuseur public dans un cirque, il va choisir la voie du mal suite à un malheureux concours de circonstance. On le retrouve deux numéros plus tard, séparé en cinq entités distinctes, chacune dotée d’une partie de ses pouvoirs. Toutes ne sont pas maléfiques, et l’une d’entre elles va tenter de reprendre le contrôle des autres pour retrouver le droit chemin. Elle échouera à cause de l’intervention inopportune de Captain Atom, et le Doctor Spectro deviendra définitivement un être maléfique. Ce personnage du Doctor Spectro apparaît comme un être en lutte avec lui-même, ce qui lui donne tout son intérêt, davantage en tous cas que son costume bariolé ou ses pouvoirs. De même, l’introduction d’un autre vilain, le Ghost, mérite qu’on s’y arrête un instant. Dans un court flashback, on découvre le personnage encore lycéen, rejeté par ses camarades de classe parce qu’issu d’une famille pauvre et préférant passer son temps à travailler qu’à s’amuser. Cette introduction dans sa réalisation en rappelle une autre, celle du personnage de Peter Parker dans Amazing Fantasy #15. Sauf qu’ici, le jeune homme choisit d’utiliser la machine qu’il a inventé (un téléporteur) pour devenir un criminel. Le reste de l’intrigue est classique, essentiellement tournée vers l’action (le capitaine Adam n’a aucune vie en dehors de ses exploits costumés et de son travail pour l’armée), néanmoins en comparant ces épisodes à ceux parus quatre ans plus tôt, on sent que quelque chose s’est passé, que le genre a évolué. Instructif, et bien évidemment superbement mis en image. |
#207
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Comment tu as fait pour te payer des archives DC?!!! Tu as encore volé de spetites vieilles?!! C'est trop cher!....... J'en veux moi aussiiiii...
Je t'échange mon power pack/spiderman sur les attouchements sexuels contre ton archive! 8) Mon spiderman contre l'illettrisme alors?
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#208
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J'ai fait des trucs horribles et ignominieux pour me le payer celui-là.
Même pas honte. 8) |
#209
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Zut, j'ai oublié de parler d'un truc qui m'a fait éclater de rire en le découvrant : un encart au bas d'une couverture de Space Adventures pour un concours dont le premier prix est... un poney !
L'histoire ne dit pas ce que sont devenus plus de quarante après le vainqueur et l'animal. |
#210
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Je me demande si on ne devrait pas créer une rubrique dans laquelle on posterait toutes ces pubs stupides qu'on trouvait dans les vieux comics pré-80 sur les poupées qui font leur priére, les strucs de musculation, les armes à feu, les faux comics pour vendre des barres chocolatées.... Les petits jeunes n'ont jamais connu ça!
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