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Hop, après l'excellent Flight, où l'on voit pour la première fois Swoon & his sister Snuff (approoooved by Gaiman ) :
...attaquons à nouveau l'hilarant Guys, starrrrring plein d'auteurs de comics indés ( Eddie Campbell et Rick Veitch entre autres ), mais aussi les 3-4 des Beatles et des Stones, et puis surtout... Marty!
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Avec la bosse, c'est plutôt Igor (prononcez "Eye-gore")
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Absolument; mais c'est aussi Marty... tout dépend du sens du verbe être.
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Les Iron Man de Heroes return.
Retour du Mandarin qui a une base volante. Son c est un dragon robot géant. C est fou ce que ça prend un coup de vieux en 20 ans
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Je dois avouer que même à l'époque, je n'avais pas trouvé ce retour du Mandarin terrible. Même le crossover hideux (Heart of Darkness ?) entre Iron Man, War Machine et Force Works était plus intéressant.
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Oui ce retour était assez mauvais. C était mon premier Iron Man vs le Mandarin et résultats j ai jamais compris la hype sur le perso.
Comme quoi la première impression compte beaucoup
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Retour sur la plus belle boucherie du comicdom avec Deathmatch par Paul Jenkins et Carlos Magno.
Dur d'en parler sans spoiler, à partir d'un certain point tout du moins. Et ça serait dommage de vous priver de certains rebondissement de l'intrigue, car elle est bien ficelée et mérite d'être découverte au fur et à mesure de la lecture. Restons alors sur le pitch, adapté pour que vous compreniez le contexte avec d'autres référents. Un exercice assez facile quand on y pense car Jenkins offre ici un récit pour les amoureux du genre super-héros, désireux de lire une histoire que les big two ne pourraient jamais leur offrir. Et donc, imaginez que lors de Secret Wars, les héros et vilains kidnappés doivent s'affronter par paire dans des combats à mort. On retrouve des ersatz de Superman, Spider-Man par lequel on suit l'intrigue, Metron, Batman et Robin au féminin, leur Joker en est aussi, Rorschach et bien d'autres, 32 en tout. Ils ignorent pourquoi ils sont obligés de combattre, quelques pistes de solutions arrivent rapidement, tout aurait un rapport avec les événements survenus lors de Crisis on Infinite Earths. Et, il ne faut pas oublier dans ce contexte le fait que Jenkins a créé chez Marvel une sorte de Superman, car lui ça ne lui est pas sorti de la tête et l'intègre au tout. Un Jenkins donc très inspiré, qui rend une copie impeccable jusque la dernière page de cette maxi en 12. Une histoire à tiroirs en dépit de son pitch basique, le tout sublimé par Carlos Magno qui a tellement cru au potentiel de ce titre qu'il a donné le meilleur de lui-même. C'était déjà un coup de cœur à sa sortie en 2012/2013, et c'est encore meilleur en relecture d'un bloc quelques années plus tard. Dernière modification par EsseJi ; 27/04/2020 à 23h10. |
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Faudrait que je me relise le run de Knauf/De la Torre.
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Bon faut que je commande deathmatch.
Peux pas te mettre de point vert essej mais le coeur y est
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Je relis tous les numéro de la revue Batman de Panini ( année 2005 - 2006 ) et je retombe sur l'arc City of crime sur Detective Comics par David Lapham, Ramon Bachs et Nathan Massengill. Cet arc m'avait marqué à l'époque mais son existence m'était complétement sorti de la tête. C'est une histoire de Batman comme on les aime : une Gotham décadente, des notables pourris, un Batman sombre et inquiétant.
Etonnant que cet arc n'est jamais été réédité par Urban. |
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par sienkiewicz
https://myemail.constantcontact.com/...id=tEn3bAMq1nU |
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J'ai relu "Rick & Morty VS Donjons & Dragons" et je me bidonne toujours autant
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Mes ventes Buzzcomics |
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Gatecrasher #1-4 : si vous pensez que les prods actuelles Palmiotti-Conner manquent de consistance, dites-vous que c'était déjà le cas il y a 20 ans. Nous étions au début des années 2000 et le magazine Wizard a voulu jouer à l'éditeur avec Black Bull, en dépit de quelques auteurs déjà stars qui ont vécu l'aventure, la qualité n'était pas vraiment au rendez-vous.
Ce titre illustre bien cette tendance, avec une histoire dans laquelle les plot-holes sont balayés de la main par les auteurs, préférant la légèreté au respect d'une historie bien écrite. Il faut s'accrocher quand des incohérences vous sautent au visage et poursuivre tout de même la lecture. Même Mark Waid qui vient épauler Jimmy Palmiotti au scénario n'arrive pas à rattraper le massacre. De son côté Amanda Conner fait ce qu'elle sait faire de mieux, c'est à dire dessiner des personnages, et c'est tout. Car une curiosité : on trouve dans les crédits des noms d'artistes dont le travail était de faire les décors. Une déception il y a 20 ans, qui n'a pas gagné en qualité avec les années... |
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33 ans. Il m'aura fallu 33 ans pour me rendre compte que le petit chef-d'oeuvre de DeMatteis et Kent Williams, Blood, est construit exactement comme A day in the Life. Pour ceux qui n'ont jamais eu la chance de le lire (ou la malchance, s'ils détestent les Paraboles! ), il s'agit de 4 comics épais - des prestiges formats, ce qui à l'époque était assez épais - qui racontent certes une histoire, mais cette histoire principale, qui court sur les N°s 1, 2 et 4, est assez... plus que métaphorique, disons. , et situe dans un Monde clairement imaginaire. Et à la toute fin du N°2, et jusqu'à la fin du N°3, le personnage principal quitte ce monde parallèle pour se retrouver dans Notre monde. Et il y vit une vie parfaitement normale - sûrement trop aux yeux de certains lecteurs , avant de ***** puis de retourner dans son monde Original, à la grande surprise de sa compagne. Ce qui est exactement la structure d' A day in the life, où le segment McCartney est clairement un "passage" bref dans le monde réel, trivial, avant le retour au morceau-Monde étrangeo-lennonien. Pour illustrer, la partie majoritaire, "lennonienne" de Blood : Puis le passage au segment "McCartney" à la fin du #2 : Si vous vous dites que c'est assez tiré par les cheveux, je vous laisser chercher sur Inneuterneteuh les nombreuses listes des titres beatlessiens préférés de DeMatteis, ainsi que le classement de A day in the life au sein de ceux-ci. . |
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