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#408
08/12/2013, 09h35
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J'étais pour Miss Mayotte mais elle s'est faite dégagée trop rapidement pour lutter à armes égales.
Miss Orleanais était notre second choix. Nous sommes content du résultat. La soirée se termine bien. La vodka était bonne. Le thème disney était ridicule 
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#409
08/12/2013, 10h54
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#412
11/12/2013, 23h50
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Normalement Michel et Ransom doivent comprendre celui-ci... ^^
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#420
14/12/2013, 18h04
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Dimanche :
 Dimanche, sur Arte : La vie privée de Sherlock Holmes, de Billy Wilder. Voilà un de ces films dont on ne verra jamais la véritable version, celle qu'aurait souhaitée son réalisateur, le génial Billy Wilder : le long métrage, un de ses plus ambitieux, appartenant à la dernière période de sa carrière (et pas la moins brillante !), a été remontée et mutilée, amputée de nombreuses séquences perdues à jamais. Wilder a raconté qu'il avait construit son film comme une sorte de feuilleton en voulant raconter plusieurs épisodes de la vie du détective, aussi bien à travers des enquêtes qu'à travers des moments plus intimes. Mais les producteurs ont été déroutés par le résultat et ont cherché à remodeler tout cela pour lui donner une facture plus classique. Cette manoeuvre sera sanctionnée par un échec public. Pourtant, malgré les mauvais traitements subis, certains films conservent assez de force et d'inventivité pour demeurer des chefs d'oeuvre et The private life of Sherlock Holmes est de ce point de vue un miracle, car même en l'état, il est déjà fabuleux, plein d'humour, de mystère, de majesté. On n'ose alors imaginer à quel sommet il aurait prétendu si Wilder avait pu le proposer tel qu'il le désirait... Lundi :  Lundi, sur France 2 : l'épisode 17 de la saison 5 de Castle. Castle et Beckett enquêtent sur une affaire étrange mais qui rappelle à tous l'intrigue d'un film d'épouvante : la mort d'une jeune femme trois jours après avoir visionné un film angoissant sur un dvd... Les scénaristes de la série pastichent le film The Ring en lui empruntant son point de départ. A partir de là, les caractères superstitieux de Castle et rationnliste de Beckett trouvent un terrain fertile pour alimenter leurs approches de l'affaire et fournir des situations amusantes. Tout ça ne fait pas un grand épisode et la série retombe même dans sa petite routine distrayante et inoffensive, mais comme d'habitude, la complicité entre Stana Katic et Nathan Fillion (qui téléphone en pleine nuit à Wes Craven - le vrai ! - pour essayer de conjurer le sort) est jubilatoire. Mardi :  Mardi, sur France Ô, quatre nouveaux épisodes de la saison 5 de Lost. Tandis qu'on en apprend plus sur le passé de Benjamin Linus et les origines de son contentieux avec Charles Widmore, mais aussi sur l'arrestation de Sayid avant son retour sur l'île ou l'étrange don de Miles ; en 1977, Sawyer et Juliet s'emploient pour que Jack, Kate, Hurley ne soient pas démasqués par les membres du projet Dharma. En 2007, Locke accompagne, avec Sun, Linus jusqu'au monstre de l'île pour qu'il le juge. France Ô, qui veut absolument boucler la diffusion de cette saison avant les fêtes de fin d'année, a choisi de diffuser pendant deux semaines 4 épisodes à la suite. Il faut donc être en condition pour absorber ce copieux programme. Mais en procédant de la sorte, la chaîne ne rend pas service à la série, dont les faiblesses principales (et de plus en plus manifestes durant cette avant-dernière saison) sautent au visage. D'une part, il faut à nouveau supporter des flash-backs à l'intérêt très inégal (si en savoir plus sur Linus est bien, les retours en arrière concernant Sayid ou Miles sont franchement dispensables). D'autre part, l'accumulation de situations épineuses que doit gérer Sawyer pour protéger Jack et compagnie donnent l'impression désagréable de voir beaucoup de coups de théâtre artificiels et de personnages courir en tout sens pour raccrocher des faits qui, sinon, altéreraient trop la chronologie des évènements. A côté de ça, subsistent quelques moments forts, mais qui se déroulent dans la partie avec Locke, comme le jugement de Linus par le monstre de fumée noire (dont le mystère intact prouve que la série gagne à ne pas tout expliquer). Mais il est indéniable que la série a perdu de sa superbe et avance davantage pour recoller ses pièces que pour proposer des surprises vraiment exaltantes. Jeudi :  Jeudi, sur M6, début des "live" de Nouvelle Star édition 2014. J'avoue avoir regardé la soirée (jusqu'à minuit trente, soit plus de 3h40 d'émission !) par curiosité : parmi les candidats de cette année, allait-il y avoir une nouvelle Sophie-Tith, cette ado à la voix et à la présence incroyables capable de vous captiver pendant plusieurs semaines ? La réponse est : non. Ce qui frappe, c'est la faiblesse du casting, et le peu d'enthousiasme communiqué par le jury qui les a pourtant sélectionné. Pour départager cette quinzaine d'apprentis, des groupes de quatre défilent, chacun devant convaincre avec un titre imposé et très souvent en anglais. Sinclair, Maurane, Olivier Bas et André Manoukian procèdent à un premier écrémage. Une certaine Chehinaze, avec un style calqué sur l'insupportable Zaz, est éjectée, tout comme Marc, Laura, Ezra, tous transparents. Parmi les 12 autres, le public va en éliminer un cinquième : c'est Julie qui dégage, après une version pathétique de "Love song" de Vanessa Paradis. Cyril Hanouna, lunettes sur le nez (pourquoi cet accessoire d'ailleurs ?) fait durer le suspense mollement en appelant Sirine, Kim, Pauline, Hugo, Alvaro, Leopoldine (une des rares personnalités du lot), Mathieu, Dana (la favorite visible du jury), Claudia, Mehdi, Yseult. Pas sûr que je continue l'aventure moi non plus...
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| séries tv |
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Si ça continue faudra que ça cesse!
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