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#1
02/01/2009, 18h48
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Critique VO Janvier 2009
Un titre Marvel, un titre DC, deux bons titres !
Marvel: Wolverine #70 Old Man Logan Part.5/8 - Millar & McNiven  Avec ce numéro, comme vu en preview, c'est la grande boucherie ! Logan déballe tout à son pote Hawkeye : "tu voulais savoir qu'est-ce qui a fait de moi cette vieille loque et bien... " LE SECRET EST DEVOILE !!! Et ça tient plutôt bien la route, un classique du genre, pas la première fois que cette astuce est utilisée mais quand c'est fait à grande échelle, un peu comme les Skrulls qui se fondent dans la masse pour donner un Secret Invasion et pas une simple histoire des Fantastic Four, ça peut faire mal. Alors forcément, en résulte le choc de sa vie. McNiven assure, comme d'hab'. C'est peut-être facile mais c'est fun. J'en demande pas plus à Millar. En attendant de voir le Wolverine de Jason Aaron dans quelques temps. Après, le titre DC: Green Lantern # 36 - Geoff Johns et Yvan Reis, donc.  Au programme, du vert, du rouge, beaucoup de bleu et un secret... Je l'ai lu vite fait parce qu'il trainait et que je préfère me prendre les TPB, mais l'attente tout ça, c'est pénible. De ce que j'ai retenu, Geoff Johns va, peut être; puiser dans pas mal de religion et mythe pour constituer son Et le cliff' de ouf', la révélation qui déchire tout tout tout. Forcément puisqu'il suffit de lire dans les tripes d'une quelconque créature pour découvrir les secrets de son pire ennemi, pourquoi s'en priver ? Sinestro ressentira-t-il la peur ? Vivement l'intégrale de l'histoire en trade, va bien déchirer !
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2XX.X --- the countdown is stopped until... Unrivaled Under Heaven, un 24 planches chrono par moi-même, ici http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=30833 
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#2
03/01/2009, 16h00
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Tiens, entre autres choses, j'ai lu le Vigilante Issue 1 de Leonardi et Wolfman.
Bon, on est en terrain connu, hein, c'est du basique de chez basique (un héros est probablement devenu un badguy et le Vigilante va essayer de le serrer), mais c'est vraiment bien réalisé, et propre. En plus, c'est tout a fait mon type de comic, un mec qui se la joue justicier, casse la gueule à des petites frappes de la mafia, du sang, des flingues, des flics... Série à suivre, quoi, surtout que leonardi est en sacrée forme (genre parfois on jurerait du Romita Jr) et les couv' sont vraiment cool.
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#3
03/01/2009, 19h07
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In Doop we trust.
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#4
04/01/2009, 19h27
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wolverine 70:
donc voila le pourquoi du comment de la vie de fermier de logan , en gros c juste la preview +la revelation dommage que j'ai vu la preview car a la fin il reste pas grand chose ,les dessins de mcniven sont top doubles et pleines pages a gogo y'as pas grand chose mais j'ai bien aimer   sinon je suis pas du tout fan du responsable de ce qui arrive a logan  donc histoire :11/20 ,graphisme :13.5/20 superman 683 "new krypton 9" le premier episode nase de new krypton ,les 7 premiers episodes sont super ce qui est arriver dans le dernier supergirl m'as fais craindre ce qui arrive dans cette episode de superman sinon vraiment rien a retenir donc pour ceux vont pas lire voila le spoiler de cette episode au final histoire :8/10 ,dessins 10/20 c une bonne note pour du guedes jsa 22 : fin de la saga kingdom come  la derniere mauvaise chose que j'ai lu de johns est "infinite crisis " depuis que de truc bien ou tré bien ou sympa ,la c juste pas possible bon b'en il lui reste a boucler la boucle teth adam bon la partie d'alex ross car il a une partie  bon voila ross boucle sa boucle avc kingdom come et explose the kingdome tré jolie derniere page histoire :johns 6.5/10 car pour un final raté ross 12.5/10 dessins la c un festival  14/20bon la lecture la plus dense du mois car c tous ce que je lis de dc et marvel green lantern 36: pas mal de chose de protagonistes de situation et d'endroits tré bon superslip et dessin  de reis y'as une case magnifique avec 2 bleus et 1 vert sur fond de soleil bleu enorme scenar: 14/20 car c ce que j'attendais dessin :15/20 be well
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#6
07/01/2009, 12h37
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SORTIES DU 2 JANVIER 2009 DES COMICS QU’IL FAUT LIRE CETTE SEMAINE  Bon, pour être tout à fait honnête, je ne suis pas entièrement sûr que INCOGNITO #1 fasse partie des comics qu’il FAUT ou qu’on PEUT lire cette semaine. C’est sans doute celui dont j’attendais le plus, et du coup me voilà plutôt déçu. Pas la faute de Sean PHILLIPS et Val STAPLES, toujours impeccables dans leur rôle respectif. Mais l’histoire d’Ed BRUBAKER prend un départ moyennement palpitant. Il y est question d’un ex-super-vilain, Zack ‘Overkill’ Andersen, retombé dans l’anonymat après avoir témoigné contre ses employeurs, qui va soudain avoir l’opportunité de renouer avec son ancienne vie. Le récit navigue dans une ambiance proche de celle de CRIMINAL, donc franchement noire, tandis que l’univers décrit se rapproche plutôt de celui de SLEEPER. Entre ces deux références, INCOGNITO peine sur ce premier numéro à trouver sa propre personnalité. Surtout que Ed BRUBAKER a toujours recours aux mêmes procédés : narration à la première personne, récit alternant flashbacks et scènes actuelles. On n’évite pas une impression de déjà lu tout du long, et même si plusieurs éléments de l’histoire sont susceptibles d’aboutir à des développements intéressants, ce premier numéro ne m’enthousiasme pas autant que j’espérais. DES COMICS QU’ON PEUT LIRE CETTE SEMAINE  Malgré le plaisir de retrouver le duo Garth ENNIS/Steve DILLON sur PUNISHER WAR ZONE – et accessoirement Ma Gnucci, Elite ou Molly von Richtofen – il faut bien reconnaître que le scénariste n’assure guère plus que le minimum syndical sur ce récit, et cet épisode en particulier. L’intrigue progresse assez mollement, peu de moments vraiment drôles ou mémorables (dans ce #4 on n’a pas droit à mieux qu’une histoire de caca qui pue pour espérer faire sourire). On pouvait quand même rêver plus emballant en guise d’adieux.  Garth ENNIS apparaît sensiblement plus inspiré sur BACK TO BROOKLYN #3. On est certes dans le registre du polar noir ultra-classique, avec chasse à l’homme et bains de sang à répétition, mais le scénariste gère bien l’ambiance extrêmement tendue de son histoire et dévoile ici les raisons (très sordides) pour lesquelles son héros a trahi sa famille. Seul bémol : j’apprécie toujours aussi peu les dessins de Mihailo VUKELIC, et encore moins la mise en couleurs de ses planches. DES COMICS QU’IL VAUT MIEUX EVITER DE LIRE CETTE SEMAINE  Dans le genre comic-book inutile, ULTIMATE HULK ANNUAL #1 mérite le pompon. L’intrigue de Jeph LOEB suffirait à peine à remplir cinq pages, ça ne l’empêche pas de la dérouler sur plus de trente. Il fallait bien le talent d’un Marko DJURDJEVIC pour donner un semblant d’intérêt à cet échange de bourre-pifs entre Hulk et Zarda, mais encrées par Danny MIKI ses planches sont beaucoup moins jolies que celles réalisées du côté de chez THOR.  Un tout petit cran au-dessus, on trouve le FANTASTIC FOUR COSMIC-SIZE SPECIAL de Cary BATES et Bing CANSINO. Les FF ramènent d’un voyage extra-temporel un virus qui va les obliger à s’enfermer dans le Baxter Building pour éviter une pandémie et va progressivement modifier leur personnalité jusqu’à les amener à vouloir s’entretuer. Le récit traîne en longueur et se conclut paresseusement. Dans le genre ‘rappelons les valeurs familiales fondamentales de cette équipe’, on a déjà lu plus pertinent et surtout plus palpitant que cette histoire. Niveau dessin, CANSINO s’en sort pas mal, malgré un côté sous-HITCH très prononcé. En prime, réédition de FANTASTIC FOUR #237, épisode mineur mais sympathique de la période BYRNE.  Si la mini-série SUPERMAN AND BATMAN VS. VAMPIRES AND WEREWOLVES mérite de figurer dans les livres d’histoire, c’est pour l’invraisemblable débilité de son titre, et c’est à peu près tout. Le récit s’achève comme il a commencé, avec pléthore de vampires, de loup-garous, et une bébête lovecraftienne qui se font dézinguer à longueur de pages. Kevin VANHOOK boucle à peu près ce qui lui a servi d’intrigue jusque là en gardant suffisamment de portes ouvertes pour laisser planer la menace d’une suite. Le style de Tom MANDRAKE convient bien à ce genre de récit, mais dans le genre sous-Gene COLAN on l’a tout de même connu plus inspiré et moins bordélique qu’ici.  On pourra tout autant éviter BATMAN : CACOPHONY, dont le deuxième (et déjà avant-dernier) numéro confirme qu’il n’y a rien de bon à en attendre. Kevin SMITH en fait moins côté graveleux que dans le numéro précédent, mais ses tentatives d’humour, dont Maxie Zeus est cette fois la principale victime, tombent systématiquement à plat. De son côté le Joker est tristement pas drôle, et Onomatopoeia continue de n’être qu’un gimmick, pas un vrai personnage. Comme en plus les planches de Walt FLANAGAN sont toujours aussi quelconques, mieux vaut passer son chemin.
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#7
07/01/2009, 14h08
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C'est vrai que CACOPHONY, c'est assez nul. peut être pas autant que SPIDER MAN / BLACK CAT, mais quand même !!!!
NIGLO, pourquoi te faire du mal avec ULTIMATES HULK ???? Sinon c'est rigolo de voir que MARVEL va rechercher CARY BATES un vieux scénariste des années 80. ( il fait aussi une mini avec GULACY ) apparemment ils auraient pu s'abstenir
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#9
07/01/2009, 14h22
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Retards obligent, ils ont été remplacés au pied levé par le duo Bates-Cansino. Du reste, quand ce Special a été sollicité, il n'était accompagné d'aucune indication (ni credits, ni pitch, rien).
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#10
07/01/2009, 14h24
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#12
07/01/2009, 17h25
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True Believers n'est pas non plus horrible... Vu le concept ca aurait été surement meiux dabs un autre univers que celui de Marvel..
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#13
07/01/2009, 21h12
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Trinity 32
 Lady Of Bounty And Teacher To All / A Better World Writer : Kurt Busiek / Kurt Busiek & Fabian Nicieza Penciller : Mark Bagley / Mike Norton Inker : Art Thibert / Ande Parks Colorist : Pete Pantazis / Allen Passalaqua Hop, une nouvelle commence et celle-ci verra la fin de Trinity, enfin de la série car ses répercussions devront se faire sentir sur la durée !  Avant cela, il y a encore bien des choses à raconter et bien des personnages à retrouver, à commencer par la Trinité elle-même. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, Kurt Busiek a remis les 3 icônes au centre des débats dans leur nouvel univers : il a débuté par Batman et a montré que certaines coutumes ont la vie dure au sujet de Robin et consorts. Va-t-il continuer sur cette voie ou se pencher sur l’héritage de Wonder Woman et/ou de Superman ? Voire carrément tout cela à la fois ? En parallèle, Kurt Busiek (bien aidé par Fabian Nicieza) assène quelques coups de théâtre en faisant fructifier son travail sur Superman, JLA et JLA / Avengers donnant du sel à l’intrigue des vilains (qui en avait bien besoin tant que je m’ennuyais) en relation avec la Troïka : encore à l’ordre du jour ou le cosmique va faire son retour ? Comme d’habitude, il y a Mark Bagley qui officie et il est suivi de Mike Norton qui retrouve Ande Parks à l’encrage. Alors, est-ce que, pour cette nouvelle année, ce sera la même « sanction », le même plaisir pour Trinity ?  La nouvelle année commence avec le frein à main et c’était plutôt inattendu : voilà un épisode mou du genou où cela ne fait que parler sans que l’histoire ne progresse, elle stagne même… Par contre, les 2 parties connaissent des fortunes diverses. Comme prévu, la 1ère partie se penche sur ce que sont devenus les membres de la Trinité : Kurt Busiek revient sur le cas de Batman suite à la révélation de la semaine dernière et dépeint un héros axé sur la vengeance mais moins vertueux ce qui a débouché sur des conflits. Si les conflits ont occasionné des guerres sur ce nouveau monde, il semble que cela ait engendré une divergence d’opinions entre les 3 icônes : c’est vu et archi-vu.  De même, cela a visiblement débouché sur des combats certes involontaires pour certains d’après le cliffhanger mais la surprise n’est pas présente : les 3 héros sont des amis mais le nombre de fois où ils se sont mis dessus dans leur propres titres (où d’ailleurs ils triomphaient uniquement dans leurs titres comme s’il y avait une immunité…) ne m’incite pas y voir une franche originalité. J’espère que Kurt Busiek ne va pas aller jusqu’à montrer un conflit larvé comme Geoff Johns l’avait si bien fait avec Infinite Crisis : je préfère quand il s’attarde sur les héritages des héros.  Aussi, cette semaine fait la part belle à Wonder Woman et sa représentation est moins violente, plus guide que celle de Batman alors qu’elle est paradoxalement représentée en guerrière avec une épée et un bouclier (qu’elle a eus comment ?) : elle allie bien la sagesse et la guerre qui sont l’apanage d’Athéna dont elle est le héraut. De plus, le récit qui la concerne permet à Kurt Busiek d’ajouter une pierre à l’édifice des contrepouvoirs à la Trinité qui se créent sur ce monde et qui sont inspirés de ceux de New Earth : après, les pseudos Jokers, il y a un ersatz d’Ares qui doit traîner…  Il ne reste plus que Superman à mettre en lumière mais il est déjà mentionné : Kurt Busiek rappelle que le Kryptonien est sensible à la magie et accessoirement à la Kryptonite… Voilà, en gros, ce qu’offre Kurt Busiek : un passage en revue de tout ce qui a trait aux personnages. Seulement, cette semaine ne sort pas des sentiers battus et le lecteur aguerri à la Trinité risque de s’ennuyer comme je l’ai fait… Heureusement qu’il y a les phrases distillées par les Lost In Trinity pour meubler : ils se rappellent de plus en plus leur vie antérieure et cela permet quelques clins d’œil comme celui où Donna s’interroge sur un Jason Todd alors qu’elle a traversé le Multiverse à ses côtés dans Countdown To Final Crisis…  La 2ème partie est presque du même tonneau : cela cause mais, comme les personnages dont il est question offrent de bonnes scènes, cela équilibre !  Déjà, il y a Black Adam dont le comportement est bien dans le ton qui lui est connu depuis que Geoff Johns s’est penché dessus : c’est savoureux d’assister à cette scène alors que, justement, Geoff Johns va lui dédier son dernier arc de Justice Society Of America. En tout cas, il y a toujours une certaine friture sur la ligne avec les Societers… Sinon, ce que j’ai le plus apprécié cette semaine concerne la discussion entre Tomorrow Woman et Triumph : c’est saisissant quand on connaît ce qu’ils sont devenus sous la plume de Grant Morrison. Kurt Busiek et Fabian Nicieza jouent à fond dessus et j’avoue que cela a marché sur moi. Sinon, l’histoire a quand même légèrement progressé du fait du prolongement de l’affectation des avatars du Tarot sur fond de baston à certains héros : j’ai souri pour l’avatar de Booster Gold sinon bof… Ce n’est pas le cas de Mark Bagley si j’excepte sa splash page de Wonder Woman assez minimaliste et Donna qui retrouve un faciès assez quelconque, le reste est d’excellente facture même si j’aimerai un peu plus de variété.  Cela s’applique aussi à Mike Norton auquel l’encrage d’Ande Parks ne va pas du tout ici alors que les autres fois, cela collait plutôt bien : c’est plat alors que l’émotion devrait transpirer… Sinon, comme d’habitude, Jim Lee s’éclate à dessiner Batman en couverture !  Trinity commence assez moyennement 2009 : globalement, aux points, la 1ère partie l’emporte grâce au dessin tandis que la 2ème l’emporte grâce au scénario. Cela offre un match nul pour un épisode qui ne l’est heureusement pas complètement mais qui n’est pas génial non plus.  Parfois, Trinity devrait s’offrir des numéros coup de poing plutôt que de se contenter de ressasser ce que le lecteur sait : les clins d’œil sont sympathiques à décrypter quand il y a de la matière autour sinon cela fait (est) pauvre. La semaine prochaine a intérêt à être béton surtout si Final Crisis 6 a le bonheur de sortir… Bilan :  (mais je suis généreux pour la nouvelle année…)
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#14
08/01/2009, 08h19
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Je ne sais pas si c'est parce que j'ai d'abord lu l'excellent Secret Six#5 (punaise la dernière page....) mais le Faces Of Evil - Solomon Grundy m'a paru bien fade.
Je suis rarement voire jamais déçu par Geoff Johns mais je ne vois pas comment une mini-série en 7 numéros spin-off de ce one-shot (où ce sera Kolins le scénariste) va pouvoir tenir la route après le vide abyssal de l'histoire une fois le gimmick "Born a Monday, etc.." étiré tout du long de l'épisode. Vendu comme ayant un lien avec Blackest Night, il y a une phrase sibylline et pis c'est tout... Même le dessin m'a légèrement saoûlé à mi-parcours tant c'était une répétition. Et donc Secret Six : punaise mais achetez cette série!!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Mode linéaire
