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#32
19/07/2007, 19h26
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All Flash #1
 Justice, Like Lightning Writer : Mark Waid Penciller : Karl Keschl, Ian Churchill, Manuel Garcia, Joe Bennett & Daniel Acuna Inker : Karl Keschl, Norm Rapmund, Manuel Garcia, Ruy Jose & Daniel Acuna Colorist : Stephan Peru, Tanya & Richard Horie, Daniel Acuna Tiens, un épisode dédié à Flash alors qu’il est sensé avoir rendu son extrait de naissance : qu’est-ce que cela peut-il être alors ?  Oh, il paraît que c’est le prologue rdu etour au V2 abandonnant ce fameux V3 qui m’avait arraché des larmes de sang au début pour finir par trouver un semblant de voie vers la fin. Seulement les impondérables commerciaux et le plan de secours made in Mark Waid me permettent de retrouver mon Scarlet Speedster préféré qui doit jouer un rôle primordial dans Final Crisis en espérant qu’il ne va pas y passer…  Surtout, ce numéro doit faire la jonction entre la fin du cross-over Justice League Of America / Justice society Of America et Flash (V2) 231 du mois prochain tout en rendant hommage d’une certaine façon au trépassé qui a déjà bénéficié d’un enterrement en grandes pompes.  Somptueux, splendide, magnifique : tous les qualificatifs seront bons si vous êtes fan du personnage qui fête son retour. Ca tombe bien, c’est mon cas. Cela s’adresse principalement aux fans de la lignée des speedsters avec clins d’œil, etc… Cet épisode est la 6ème partie officieuse du cross-over Justice League Of America / Justice society Of America pour la bonne et simple raison qu’il commence à la fin de Justice League Of America 10 mais surtout la conclusion de Full Throttle dans Flash (V3) qui apparemment était en simultané au cross-over.  Je vais dire que le hasard du calendrier tombe bien car les 2 séries étaient de la même semaine. Seulement avec cela, Paul Dini et consorts sur Countdown ont réalisé une faute de goût (volontaire ?) en ne montrant pas le revenant à l’enterrement de Countdown 43 car il était bien de retour avant les funérailles….  Ceci dit, qu’en est-il de l’histoire ? C’est un aftermath suivi d’un début de « vendetta » mais aussi l’occasion de poser les jalons de la série que Mark Waid récupère le mois prochain. Il faut espérer qu’il va rester plus que 4 mois si la rumeur l’envoyant en éditeur en chef DC du côté de Dan « Je sors trop de séries » Didio car il va en avoir des choses à faire.  En plus, il prend un risque certain d’être à la fois comparé au run de Geoff Johns mais principalement au sien qu’il a mené de main de maître de Juin 1991 à Avril 2000 (entrecoupé de Millar et Morrison entre autres) qui avait propulsé Wally dans le cerce très respecté des grands héros DC notamment avec la trouvaille géniale de la Speed Force.  Pour cela, il faut des choses suffisamment différentes et, visiblement, cela devrait aller notamment du côté de la famille qui s’est agrandie et du côté plus adulte (pas mature car cela a été développé sur plus de 20 ans le rapprochant d’un Dick Grayson) : c’est peut-être une orientation à la Barry Allen que Mark Waid (ou un autre…) va installer. En plus du destin de Flash, les sollicitations d’Octobre ont montré qu’il prenait en charge, en back-up avec Doug Braithwaite, la fameuse histoire que Bilson et Medeo (les auteurs du massacre initial…  ) devaient fournir pour expliquer ce qu’étaient devenus certains personnages suite à Infinite Crisis 4.Pour le reste de l’histoire, Mark Waid se permet une incursion dans Countdown pour les Rogues et une autre future mini-série. En tout cas, pour une réintroduction, c’est réussi !  Ce qui interpelle plus est le nombre de dessinateurs qui se partagent l’affiche : 5 !!! Ok, ils dessinent chacun un passage dans la timeline du jour mais il faut jongler avec des styles assez différents. Si Ian Churchill peut se rapprocher un tant soit peu d’Ed Benes, je conçois qu’il se charge de la partie directement liée au cross-over Justice League Of America / Justice Society Of America. Comme j’apprécie son trait et ses mâchoires caractéristiques, je prends.  Manuel Garcia est dans la lignée de son Countdown donc c’est moche, il est cohérent dans son actualité : ses visages tendant vers la momie desséchée.  Joe Bennett est mis à toutes les sauces chez DC en ce moment et il ne peut donner le meilleur de lui à chaque fois : heureusement, c’est le cas ici même si l’encrage de Ruy Jose (superbe avec Dale Eaglesham sur Justice Society Of America) affine un tantinet les visages. Jack Jadson lui aurait mieux convenu ici. Daniel Acuna qui va être l’artiste régulier (?) s’occupe des dernières pages pour montrer le style de la future série : son Flash est splendide, j’ai un peu plus de mal avec certains protagonistes qui seront forcément récurrents. Reste le cas de Karl Kerschl qui réalise la majeure partie : alors qu’il a un style cartoon superbe, il arrive à restituer les émotions des personnages de façon assez bluffante.  Son dernier travail en date est justement un fill-in sur Flash (V3) : s’il avait été aux commandes dès le début, qui sait si ce All Flash aurait vu le jour. Ce dessinateur est excellent et DC aurait pu lui laisser dessiner l’intégralité du numéro afin de garder une cohérence visuelle.  Enfin, ils dessinent All Flash… Un petit mot sur la couverture de Midleton : fabuleuse !!!!!!!!!!!!!!!  J’ai adoré ce one-shot qui, s’il ne rivalise pas en termes d’intérêt avec Green Lantern – Sinestro Corps Special, replace le héros Flash au devant de la scène que le début du relaunch mal fagoté avait fait disparaître de la colonne « Must Have ».  Au-delà des questions pour savoir si DC avait prévu cela de longue date ou juste un plan de rechange en cas de plantage, cela me permet de retrouver un personnage qui n’avait pas tout livré et dont le départ m’avait frustré car programmé de façon éditoriale. J’attends de voir si le retour va porter ses fruits même s’il est amené à jouer un rôle prépondérant (mais ce sont des promesses comme souvent) dans Final Crisis.  Comme dirait Starman : « Flash Is Back. Worlds Will Die Again! » Bilan : 
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#33
19/07/2007, 20h22
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Le coup du c'est prévu depuis un an, ça fait partie du plan j'y crois pas une seconde quand tu vois comment ils gèrent certaines choses...
J'ai rien contre ce revirement de situation, mais ça fait pas très sérieux  C'est impressionant en tout cas.
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#35
20/07/2007, 11h26
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Je vais militer pour sauver les jeunes créés dans les 90's!! 
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#36
20/07/2007, 11h58
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Sacré résumé, mais décidément Acuña, je peux pas.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent.
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#37
22/07/2007, 14h10
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Justice League Of America 11
 Walls Writer : Brad Meltzer Penciller : Gena Ha Inker : Gene Ha Colorist : Art Lyon A l’instar de Justice Society Of America qui a repris les affaires courantes par l’intermédiaire d’un stand-alone suite au cross-over Lightning Saga avec le retour de « vous-savez-qui », Justice League Of America reprend la ligne directrice de Brad Meltzer elle aussi par un stand-alone sauf que ce qui va faire toute la différence est qu’elle est entre les mains expertes de Gene Ha et non de Ed Benes qui s’en va recharger les accumulateurs.  Aussi, Brad Meltzer va aller dans le sens de Geoff Johns pour la caractérisation des personnages car il va se pencher sur ses 2 personnages fétiches depuis le début du relaunch : Vixen et Red Arrow ! Indispensable pour plusieurs raisons! Comme chez son compère Geoff Johns, le stand-alone est trompeur : si la lecture peut effectivement s’adresser au lecteur lambda qui ne lit pas la série, elle recèle une information que Brad Meltzer développait au fur et à mesure de son run concernant Vixen : c’est bien amené et ajoute une touche dramatique à l’épisode. Etant avec Red Arrow le personnage le plus développé depuis le début dans une équipe comportant quelques gros bras, Vixen apparaît d’une fragilité à fleur de peau durant l’épisode. Il est d’ailleurs amusant de constater que ces 2 personnages font partie des moins puissants comme si Brad Meltzer voulait compenser cela par une plus grande exposition et une meilleure caractérisation.  Pourtant, ces 2 personnages ont déjà un large vécu des Teen Titans à Checkmate en passant par les Outsiders pour Red Arrow et de le Justice League version Détroit au Suicide Squad en passant par les Ultramarines pour Vixen. D’ailleurs, ces 2 personnages sont un passé commun lors de leur passage dans les agences gouvernementales lors du cross-over (à lire !) The Janus Directive. Là, il n’est pas question de leur passé en collants : Brad Meltzer s’attaque à leur côté humain en explorant leurs peurs soulevées par ce qu’il leur tombe dessus et ce qu’ils ont pour garder leurs pieds sur terre (enfin là…). Evidemment, Brad Meltzer gère le côté Lian pour Roy ce qui lui donne les meilleures raisons du monde pour ne pas abandonner. Du côté Vixen, elle en sort "grandie" de par ses interrogations quant à sa place parmi les Big Guns : le cheminement de l’épisode est un grand moment où la plus adulte des 2 est prise en main par un personnage qui en a vu des vertes et des pas mûres tout au long de sa jeunesse. Ce passage montre à quel point, il est devenu mature avec toutes ces expériences. C’est là un des grands intérêts du numéro. Pas besoin de mise en situation aux proportions dantesques (alors que la série est prévue pour) pour restituer une bonne histoire, c’est l’impact de Brad Meltzer qui, sur ses épisodes, aura largement plus fait causer ses personnages que taper sur le vilain de base.  Il a pu s’en donner à cœur joie ici avec l’immobilisme ambiant où tout passe par les émotions et les bulles de pensée. L’autre grand intérêt est la prestation de Gene Ha en rupture de planche à dessin sur Authority, relaunch lamentablement raté. Il faut se demander pourquoi DC ne l’a pas recasé plus tôt sur un autre projet car le voir débarquer, même en stand-alone, sur un titre comme Justice League Of America est assez déroutant.  Si Shane Davis a remplacé Ed Benes sur un chapitre de Lightning Chain, c’était parce que son trait pouvait se substituer à celui de Ed Benes. Or il n’échappera à personne que Gene Ha et Ed Benes ont des styles différents. Par contre, son trait colle à l’ambiance toute poussiéreuse de l’histoire et il retranscrit les émotions des protagonistes avec une précision impressionnante. Il n’y a pas à dire, c’est un grand, un très grand qui complète à merveille l’histoire de Brad Meltzer. Il alterne les pages à plusieurs cases pour montrer l’évolution des sentiments des personnages pour finir par claquer une page entière montrant alors l’avancement de la situation inextricable. Du grand art ! Il arrive à raconter une histoire en vase clos dans une atmosphère sombre, la seule case lumineuse étant une des dernières. Vivement le festival de Lille. Pour la couverture habituelle de Michael Turner, son avantage est d’être minimaliste pour coller à la situation : il a déjà fait pire mais sincèrement voir la couverture puis l’intérieur, la claque est méchante. Avant-dernier épisode du run de Brad Meltzer avant un épisode sensé se terminer sur un clifhanger (sympathique pour McDuffie ?), la série aura bien vécu entre une histoire présentant la draft et le nouveau QG, un cross-over prenant à contre-pied et voilà qu’arrive cet ovni se penchant sur les chouchous de l’auteur : du beau boulot ! Gene Ha risque d’être la raison de la venue de bien des gens : si cela incite à rester sur le titre, tant mieux. Sinon, il faut prendre cet épisode comme ce qu’il est : du plaisir en barre. Bilan :
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#40
23/07/2007, 17h14
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Moi j'ai bien aimé ce spécial. J'avais pas lu de Flash depuis la fin de Rogue War. J'ai fais vite fait le #13, j'ai fais Lightning Saga en travers (parce que les références sur la Légion, c'est balèze), et là j'ai tout compris. Comme quoi, 12 numéros et un mort pour rien. C'est le One Year Later pour de vrai cette série .
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It's no small thing to bring Darth Vader to his knee. On some worlds, it might be the stuff of legend... But it's not enough ! Adventures beyond the greatest space-fantasy film of all !
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#42
23/07/2007, 17h25
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d'ailleurs j'attends le tpb après m'être maudit de ne pas avoir fait cette maxi
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#43
25/07/2007, 19h42
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Countdown 40
 Small Wonders Writer : Paul Dini & Tony Bedard [B]Breakdowns[/U] : Keith Giffen Penciller : Manuel Garcia Inker : Mark McKenna Colorist : Thomas Chu Dernier numéro du mois de Juillet pour une série qui commence enfin à faire parler d’elle en bien après m’avoir fait tirer la gueule pour un flou qui n’avait rien d’artistique. Heureusement, DC a décidé de reprendre le gouvernail parce que les ventes n’étaient pas géniales en comparaison de 52 (ou bien parce qu’il ne savait pas quoi raconter sur les premiers numéros) parce qu’il y a Final Crisis l’an prochain ; il faut surtout « justifier » le besoin de la kyrielle de spin-offs déboulant dès le mois prochain. Pour cela, Dini et Compagnie ont commencé par donner cette cohérence qui manquait à la majorité des histoire et, depuis le début du mois, ce sont plusieurs intrigues qui se passent le relais pour en offrir 6 quotidiennement. L’avantage ou le désavantage de la chose est que le lecteur peut avoir sa favorite mais aussi se farcir 2-3 qu’il n’affectionne pas plus que cela. Néanmoins, la série est rentrée dans sa 2ème phase et ça devient intéressant si ce n’est palpitant au détour d’une page depuis quelque temps. En plus, grande nouvelle : Keith Giffen est de retour et les premiers effets sont déjà là !!! Du côté des intrigues, les auteurs suivent les mêmes que la dernière fois à part Karate Kid, qui en lâchait pourtant enfin, qui cède sa place à un absent de 1er ordre depuis Countdown 51 : Darkseid himself !! Il reste History Of The Multiverse qui, contrairement à ce que je pensais, a encore des choses à raconter et à révéler… La semaine dernière, je réclamais à corps et à cri Darkseid et Giffen. Résultat ? Les 2 d’un coup : je dois crier assez fort pour traverser l’Atlantique. Blague à part, ce ne sont pas les 2 seules choses à relever car cet épisode est dans la lignée du mois : bon voire plus. Il était temps car le mois se terminant, un bilan au ¼ de la série peut être effectué : sur 12 numéros, la moitié (au moins ?) est navrante (pour être poli).  Heureusement (ou malheureusement pour ceux qui ont voulu donner une chance au début et qui se sont barrés), ce sont les 1ers épisodes. L’image désastreuse donnée à la série est en train de remonter la pente petit à petit car chaque numéro de Juillet a ce petit truc désormais pour le regain d’intérêt. J’espère maintenant que ce quelque chose va aller en grandissant pour faire de Countdown cet incontournable que fut 52 (malgré quelques soubresauts disséminés le long de l’année). Pour les intrigues, 5 revenant à la charge de suite, il fallait prouver que cela progressait. Effectivement mais le désavantage d’avoir justement autant d’intrigues est que le développement ne peut être flagrant partout. Par contre, je sens que maintenant que Dini va pouvoir gérer cela de façon plus homogène : telle la théorie des dominos, chaque semaine va en entraîner un autre et un autre et un autre pour faire avancer l’histoire. La partie baston de la semaine est confiée aux Challengers Of The Beyond qui commencent à peine leur quête longue de plusieurs mois : bien foutu ! L’action dans la série est la bienvenue car c’est assez rare surtout quand Forerunner (où est-elle ?) n’est pas là pour distribuer les gnons. Jimmy Olsen qui squatte les pages des séries du Big Blue continue à explorer la face moule-burnes de l’autre côté de la caméra. Dommage justement que Superman et Action Comics en dévoilent plus : Countdown ne sert que de repère en ce moment pour lui. Il a pourtant une enquête à mener. Holly et ses copines dévoilent une partie de l’iceberg (et non de leur robe) et cela risque de trouver écho dans Wonder Woman incessamment sous peu : j’ai hâte ! Mary Marvel fait un break mais je m’en fous : Zatanna et ses bas résilles sont dans le coin, j’ai l’esprit ailleurs. Néanmoins, Eclipso est demandée à l’accueil où sa maman l’attend pour déchaîner le foudre.  Les Rogues en cavale continuent leur petit bonhomme de chemin et finir le numéro par eux surtout avec le clifhanger (encore 1 qui leur est dédié !) me rabiboche complètement avec Dini qui m’avait détester le début de l’intrigue : il y a un côté Villains United pas dégueulasse qui se dégage. Pourtant, il faut bien dire que l’invité principal n’est rien de moins que le sombre monarque d’Apokolips qui fait seulement sa 2ème apparition dans la série : alors Darkseid Rules ? Je ne sais pas quoi dire : il a dû se passer des choses depuis sa partie d’échecs car il est différent… Du très sympathique en somme cette semaine qu’offrent Dini et Bedard et la ouverture du 1er Countdown d’Août risque de faire avancer l’autre Karate Kid : que demande le peuple ? Des bons dessins !!!!! Eh bien Giffen est arrivé et tel le chevalier blanc, il pourfend Manuel Garcia qui est à flinguer depuis le début : l’effet visuel est immédiat car cela passe déjà mieux. Ca se lit sans trop de soucis. Mary Marvel commence à avoir figure humaine. Bon, Garcia gonfle les femmes à l’hélium et a un peu de mal avec Jimmy « Mister Action » Olsen mais il a enfin une base solide avec les breakdowns de Giffen qui se sera fait attendre. Le Lying In The Gutters de la semaine annonce des dessinateurs plus bankables pour certains numéros : c’est appréciable mais des gars comme Saiz ou Calafiore n’ont pas démérité depuis le début. C’est plus le scénario qui est responsable des mauvaises ventes. Vouloir appâter le lecteur avec des dessinateurs côtés (qui devront lâcher leur série pour 1 mois…) se justifie certainement commercialement mais il faudra espérer que le scénario continuera de suivre. Enfin, cela certainement annoncé cette semaine à San Diego. Tiens au fait, la convention de San Diego sera-t-elle l’occasion de dévoiler l’auteur de ce vers quoi avance Countdown c’est-à-dire Final Crisis ? Kurt Busiek comme attendu ? Et son dessinateur ? McKone ? Bénéficier de plus de lisibilité pour l’objectif final peut peut-être fédérer encore quelques lecteurs sur Countdown qui progresse dans tous les compartiments. Tous ? Oui car History Of The Multiverse m’a surpris ! Les Monitors dévoilent certaines choses très intéressantes sur le pourquoi de leur retour. Bon, ils ne comprennent pas que cela certainement ramené le distillateur de peur ultime du même coup…  Ils expliquent aussi comment des personnes peuvent passer d’un monde à un autre : en contrôlant l’équation d’anti-vie, la Speed Force ou un contrôle de forces quantiques !!! Alors Mister Miracle doit pouvoir s’amuser à partir en vadrouille, Flash va évidemment découvrir Earth-2 et Jurgens explique comment Starman a pu débarquer sur Earth-22 dédiée à Kingdom Come. Cela justifie pourquoi les Challengers Of the Beyond vont se payer un voyage à travers ce multiverse pour retrouver Ray Palmer… Certains Monitors commencent à expliquer les spécificités de certaines terres qui renvoient à des Elseworlds. Par contre, ils expliquent le cas Duela Dent qui en viendrait évidemment. Il faudra une pirouette pour expliquer comment ce personnage qui existe depuis des décennies peut avoir glissé d’un univers créé il y a quelques mois à un autre existant depuis longtemps. Peut-on envoyer un être des 51 mondes dans le passé de New Earth ? Si oui, il faut rajouter que Duela Dent existait sur Earth-1 version pré-Crisis on Infinite Earths qui n’est évidemment pas New Earth (le flacon de Doliprane est vide dommage pour vous) : je comprends pourquoi elle y est passée maintenant… Sinon, Bob lâche le terme Crisis avec une flopée de Superman pour expliquer son point de vue… Un des thèmes de Final Crisis : la révolte des Superman ? Comme quoi, Jurgens en avait encore sous la semelle et certains passages risquent de passer sous le feu des projecteurs assez vite. Une semaine comme il faut ! Bilan :
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#44
26/07/2007, 09h57
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j'ai hate dis donc!!!!!
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