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#1
05/07/2007, 21h30
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Critiques DC VO Juillet 2007
Countdown 43
 The Funeral Writer : Paul Dini, Jimmy Palmiotti & Justin Gray Penciller : Manuel Garcia & David Lopez Inker : Jimmy Palmiotti & Don Hillsman Colorist : Pete Pantazis 3ème mois pour Countdown et peut-être dernière chance de prouver ce que la série a dans le ventre…  Après avoir plus déçu que convaincu, le compte à rebours (vers quoi a été une des seules interrogations qui fait revenir ?) doit faire face à un double défi :
Ironiquement diront certains mais plus pour coller à l’actualité, c’est à un enterrement de 1ère classe que Dini et Cie offrent. C’est plus une élégie qui permet par le rassemblement de têtes connues dans la série de faire le point sur quelques intrigues et de montrer que tout se passe dans un même univers alors que depuis le début, certaines intrigues semblaient dissociées.  En guise de dessert, c’est Monarch qui revient et surtout Holly Robinson qui répond à une interrogation de la semaine dernière qui n’en était pas 1… Pas de Mary Marvel donc I Am Happy ! History Of The Multiverse se dirige vers la fin…  DC s’est planté !!! Ce n’est pas Countdown 44 qui était le vrai départ si ce n’est 2 ou 3 choses à relever, c’est bien le numéro de cette semaine où les choses sérieuses commencent. Pourtant, il n’y a pas l’ombre d’un New God à l’horizon !!!! L’épisode profite du vibrant hommage au héros tombé au champ d’honneur (ou du déshonneur des ventes…) auquel il n’avait pas eu droit totalement dans sa série pour donner une homogénéité à la saga : réunir la quasi-totalité des protagonistes principaux permet de confronter leurs points de vue face à ‘événement en les liant à l’intrigue. Cela pourrait tendre dans le sens que cela était prévu de puis longtemps mais 1 certaine annonce du départ d’un scénariste (Mark Waid pour ne pas le nommer) sur 1 certaine série au bout de 4 numéros est là pour contrebalancer.  Cependant, au-delà de ces questions à qui pissera le plus loin pour déchiffrer les intentions de DC à court, moyen ou long terme, cet enterrement est une bonne occasion pour démarrer la série (cherchez l’erreur…) car toutes les intrigues sont entrées dans leur 2ème phase après celle trop longue d’initiation. D’ailleurs, cet épisode est bon dans sa narration et dans les faits : ça sonne juste au milieu des séries DC. La seule ombre au tableau provient de Amazons Attack qui n’est pas fini alors que certains protagonistes sont présents. Sinon, cela fait du bien de ne pas avoir à jongler avec des scènes qui passaient du coq à l’âne dans un numéro sans lien logique si ce n’était celui d’être dans le même bouquin. DC va-t-il enfin arriver à caler son calendrier ?  Niveau intrigues, même si beaucoup de protagonistes sont présents, j’avoue avoir enfin été rassasié avec les Rogues. Si Countdown 44 dessinait certaines choses, leur histoire promet une double chasse à l’homme !!!! Du côté de Jimmy Olsen, cela suit son cours alors que les Challengers Of The Beyond vont bientôt prendre la place des Lost In Space pour le grand voyage !!! Les 2 intrigues marquantes de la semaine sont Monarch qui en 2 premières apparitions m’avaient mis l’eau à la bouche pour et qui confirme largement son potentiel et donc Holly Robinson où c’est plus cryptique sur la portée future mais suffisamment surprenant actuellement pour miser 1 pièce.  Du bon, du fun !!! Merci Dini qui serait encore aidé de Palmiotti et de Gray… A voir si le duo crédité est bien présent ou si DC a encore gaffé, je pense que oui car ils ont ouvert les 2 autres mois. DC continue 1 autre habitude : le teaser Countdown dans ses revues ! La prochaine « victime » de Countdown sera Outsiders qui finira sa route en Septembre au numéro 50…  Par contre, niveau dessin, c’est un peu la cata alors que David Lopez est présent mais aidé en fill-in par Manuel Garcia sur quelques pages. Je ne sais pas qui a déteint sur l’autre mais les visages masculins à découvert sont d’une laideur pas possible. C’est moins visible avec un masque mais  Au moins, les héroïnes sont un peu mieux loties notamment dans la scène de Holly…  A croire qu’il fallait que pour 1 fois que le scénario me convenait, ma mauvaise fée décidait de flinguer le dessin… Enfin, je suis sûr que les 2 vont bientôt fonctionner de concert dans le positif. C’est d’autant plus dommage que la couverture de Terry Dodson retranscrit bien le contenu de la semaine. Le nez de Cassie est caractéristique de son trait ! Pour finir la semaine, History Of The Multiverse fait dans la relâche et se concentre sur des événements très récents ayant abouti à Infinite Crisis. Le petit problème est que cela a déjà été abordé dans History Of The DC Universe dans 52.  4 pages pour pas grand-chose si ce n’est un résumé des grands faits pour ceux qui n’auraient pas lu DC depuis 3 ans mais est-ce le rôle de cette back-up ? Si Jurgens (avec Rapmund) garde le cap sur All-New Booster Gold, ce sera un mal pour 1 pis d’une certaine façon cette attente.  Après avoir voir rétabli la ligne de flottaison au niveau acceptable le mois dernier suite à un démarrage loupé, Countdown commence son 3ème mois d’existence sous de bons hospices !  Bientôt, le retour de Giffen et l’arrivée de Beatty aux back-ups, je continue de croiser les doigts ! Bilan :  (pour le héros parti peut-être, pour le regain d’intérêt aussi)Countdown #42 Countdown #41 Countdown #40 All Flash #1 Green Lantern 21 Justice Society Of America 7 Justice League Of America 11
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Dernière modification par scarletneedle ; 10/10/2007 à 18h59. 
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#3
09/07/2007, 16h18
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(Sword of) the All-New Atom #13 (Simone-Norton-Green ; couv'de Ladrönn)
 Après des débuts passablement erratiques, voilà un titre qui s'est trouvé, l'espace de deux numéros, une véritable direction et un dessinateur attitré. Ryan Choi (le nouvel Atom) s'est en effet vu assigner comme mission de retrouver Ray Palmer (l'ancien Atom). Et c'est tout un univers (voire plus) qui hangs on the balance. Premier arrêt, l'Amérique centrale, où ce brave Ray se réfugia un temps et fit parler, le temps d'une poignée d'épisodes, une épée qui n'avait rien à envier à celles des meilleurs barbares de l'âge hyborien, hormis peut-être la taille. C'est l'occasion pour Gail Simone de revisiter ce petit peuple d'aliens jaunes aux us curieux et au parler zygomatique. Elle s'est visiblement bien amusée à la tâche et son enthousiasme communicatif a su inspirer Mike Norton, qui livre ici un travail très soigné. Le lecteur suit ainsi sans broncher ces pérégrinations, jusqu'au prévisible échec, DC ayant encore tout un tas de "Special" The Search for Ray Palmer à vous refourguer tout au long de l'année. In extremis, la dernière (pleine) page vous invite à la lecture d'un Countdown #42 censé prolonger l'intrigue et le plaisir. Et pour une fois on y croit. A ceux que l'envie d'aller voir de plus près l'épée de Ray Palmer titillerait, je ne saurais trop recommander d'attendre le 5 septembre prochain, date de sortie du TPB regroupant ces palpitantes aventures, illustrées quasi intégralement par le génial Gil Kane.  On appréciera au passage la réinterprétation signée Ladrönn de la couv' originale de Kane 
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#4
09/07/2007, 16h54
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je viens enfin de commencer à lire cette série pour cause de Countdown (les 6 premiers épisodes vont être avalés goûlument en 3 jours) : très bien cette série!!
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#5
11/07/2007, 18h39
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Countdown 42
 Shock To The System Writer : Paul Dini, Tony Bedard & Sean McKeever Penciller : Carlos Magno Inker : Mark McKenna & Jay Leisten Colorist : Rod Reis Allez, on y croit fort : Countdown a bien démarré le mois de Juillet. Il faut transformer l’essai maintenant.  La concurrence est forte cette semaine avec Green Lantern qui surfe sur le somptueux Green Lantern - Sinestro Corps Special, avec Justice Society Of America et Superman qui reprend du poil de la bête. Comment Countdown peut-il tirer son épingle du jeu si ce n’est en continuant sur sa lancée qui ne demande qu’à être stratosphérique !!!! Il rameute toute la troupe de personnages récurrents à l’exception de Monarch car Darkseid n’est toujours pas là… Cela veut dire qu’il va falloir s’ingurgiter Mary Marvel et Karate Kid qui ont écourté leurs vacances pour éviter le pont du 14 Juillet : franchement, il ne fallait pas mais vraiment pas…  Aussi, pas moins de 6 intrigues (enfin certaines n’en ont que le nom cette semaine) se partagent l’affiche : les Rogues, Holly (vraiment la côte inattendue), les Challengers Of The Beyond et Jimmy Olsen rejoignent les susnommés pour une semaine assez touffue… History Of The Multiverse continue de meubler en attendant de mourir de sa belle( ?) mort… Keith Giffen est toujours aux abonnés absents alors qu’il était sensé être présent, il aurait pu, il aurait dû… Trop dilué ce numéro : 6 intrigues, c’est trop même si certaines ne font qu’1 ou 2 pages, c’est toujours du papier de gâché quand il n’y a rien de concret à se mettre sous la dent comme Karate Kid (il sert à quoi dans la série ????) ou Jimmy Olsen : c’est bien simple s’il n’y a pas avancée, qu’est-ce qui peut justifier leur présence ? Montrer qu’ils sont présents ? Mouais. Heureusement les autres histoires en ont dans le ventre, même Mary Marvel il faut bien le reconnaître (mais je ris jaune). D’ailleurs, ceux qui se taillent la part du lion sont bien la chaudasse en noir et les Rogues en termes d’exposition et d’évolution. Cependant, force et de constater que Holly, l’invité de dernière minute (il faut vraiment que je lise Catwoman !), est très surprenant : Dini arrive à créer 1 intrigue et à concilier des chronologies de séries qui avaient tendance à se contredire. D’ailleurs, la force de cette semaine est que le numéro renvoie quasiment chaque intrigue à au moins 1 série du DC Universe soit directement avec les Challengers Of The Beyond, soit indirectement comme avec Mary Marvel. Est-ce pour cela que Dini est rejoint par à la fois McKeever mais aussi par Bedard cette semaine ? Trop d’histoires à chapeauter ? Après, j’ai bien aimé l’effet de transition d’une histoire à 1 autre avec un personnage qui commence 1 phrase et dont la fin supposée sort de la bouche d’un protagoniste de l’histoire suivante sans qu’il n’y ait de lien. Contrairement à la semaine dernière qui était marquée par une unité de lieu pour cause d’enterrement, les intrigues dispersent les protagonistes qui ne sont pas près de se recroiser : quelle menace globale pourra les réunir ? Il faut espérer que le lecteur débarquant maintenant ne sera pas trop largué : un comble devant l’immobilisme des 2 premiers mois !  Si l’histoire commence à tenir ses promesses, il n’en va plus du dessin qui confirme un net recul : personnages aux proportions douteuses (Inertia), visages d’une laideur (Jason Todd a un de ses cous) ou bourdes magistrales (l’anneau de la Légion se porte sur le majeur et non l’annulaire, enfin c’est plus u truc de fan mais dans le cross-over ils ne se trompent pas…). A part Mary Marvel et dans une moindre mesure Donna, le reste est à jeter. Il devient vital que Giffen ramène ses cliques et ses claques pour éviter ces dérives qui plombent le dessin et donc la série !!  Alors que le scénario ne décollait pas, le dessin sauvait les meubles : l’inverse se produit actuellement. Sincèrement, ce n’est pas agréable à regarder cette semaine alors que DC offre du Ivan Reis, du Carlos Pacheco et du Dale Eaglesham. Pour conclure la semaine, History Of The Multiverse tire ses dernières cartouches en racontant pour les retardataires Infinite Crisis et ses retombées : visiblement la semaine prochaine sera consacrée à 52 et la dernière partie sera 1 transition (vers la grosse menace?) pour faire place aux back-ups. Même en adorant Infinite Crisis comme moi, ce résumé est limite passable car il est trop succinct pour les non-initiés et « désordonné » pour les autres. Raconter cela sous la loupe des Terres Parallèles sabre beaucoup de choses de la saga. Ce qui est amusant ou navrant concerne les tentatives de DC à identifier Superboy Earth-Prime sans l’appeler Superboy : là, il est juste nommé Prime… Si jamais DC ne résout pas ces problèmes de droit, il risque de mourir pour éviter ces petits tracas administratifs ! Jurgens reste dans le ton mais je sens qu’il s’ennuie. Légèrement moins fluide que Coundown 43, la fournée 42 offre néanmoins son quota de bons moments mais le dessin flingue trop de pages pour en sortir repus ! Reviens Giffen, reviens parce que, Countdown, il a besoin de toi !!! Bilan : et demi
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#7
12/07/2007, 20h02
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le dessin pique de plus en plus les yeux quand meme
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#8
12/07/2007, 20h06
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je n'ai pas encore lu ce # 42 mais je pense de plus en plus à arréter le titre :
A part Jason & Donna et à la rigueur Mary , les intrigues ne me passionnent guère et le dessins à part Jesus Saiz ne remontent pas le niveau .
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes
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#12
14/07/2007, 12h44
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Green Lantern 21
 Sinestro Corps – Chapter One : Fear & Loathing Writer : Geoff Johns Penciller : Ivan Reis Inker : Albert Oclair Colorist : Moose Baumann Yes !!!!!!!!!!!!!! 2 semaine suivant ce fabuleux prologue qu’est Green Lantern – Sinestro Corps Special où Johns, Gibbons et van Sciver ont montré la marche à suivre aux séries DC pour faire pousser un râle de plaisir, voilà que débarque la suite qui prend pied dans Green Lantern. Cet épisode fête le retour de Ivan Reis après le magnifique intermède de Daniel Acuna qui, lui, s’en ira éclater les mirettes sur Flash!  Tous les ingrédients sont réunis pour emmener ce cross-over, il ne faut pas oublier Green Lantern Corps qui promet joyeusement. Superbe, c’est superbe !! Alors que le prologue allait à 100km/h, cette 1ère étape joue la carte du contrecoup pour montrer dans quelle configuration se trouve le Green Lantern Corps suite aux coups de semonce du prologue. Il y a vraiment très peu d’action : tout est dans l’avancée de l’histoire et dans le jeu des personnages, principalement Hal (c’est sa série, aussi), que Johns prend un malin plaisir à passer au crible tout en utilisant les graines plantées depuis Green Lantern – Rebirth jusqu’aux différents runs en passant par le Green Lantern - Secret Files 2005.  Si certains ont pu être gênés voire interloqués par le retour en grâce de Hal dans le DC Universe alors qu’il fut un fou furieux galactique en Parallax seront comblés de voir la faille dans la cuirasse du Daredevil DC : cela le rend à coup sûr plus humain. Suite aux révélations du prologue, ceux qui ont découvert l’univers des Green Lanterns avec Kyle comme moi peuvent se demander pourquoi, non pas « tirer un trait » sur 13 ans d’histoire mais plutôt, opérer un retournement de situation aussi profond dans les rôles des porteur de l’anneau : il est évident que cela va jouer dans l’histoire et le 1er teaser de Countdown est là pour montrer qu’il a 1 plan (sur le long terme ?) pour Kyle. Déjà, le clifhanger et le prochain numéro annoncent une suite explosive qu’il ne faut pas rater !! A côté de cela, Johns permet aux nouveaux arrivants de s’installer confortablement grâce à un résumé qui ferait pâlir History Of The Multiverse de Countdown, il distille aussi quelques indices sur le développement du DC Universe avec les Guardians et un certain personnage que j’affectionne plus ou moins, plus pour ce qu’il peut apporter que ce qu’il représente. Du Johns comme je l‘aime : quand il a un personnage qu’il affectionne, il nous en fait profiter ! Pour ne pas gâcher le reste, DC place la barre très haute au niveau graphique. Après Ethan Van Sciver, c’est Ivan Reis qui entre dans la danse. A voir le résultat, il est compréhensible que DC lui ait permis de peaufiner ses pages en plaçant Daniel Acuna sur le run de Star Sapphire.  Si le trait de Van Sciver participait à l’ambiance pesante et oppressante du cataclysme annoncé, le style plus fluide de Reis retranscrit bien les sentiments des protagonistes : les yeux et les bouches sont réalistes. C’est un sacré gars pour conter les histoires : il aime bien faire un dessin principal sur le quel greffer plusieurs cases pour montrer l’évolution de la scène tout en gardant un rythme intéressant. Plus ça va, plus son style évolue vers Brian Hitch sur certains plans tout en gardant sa propre identité que je lui connais depuis Action Comics (il fallait bien cela pour se taper Chuck Austen…) : il a la carrure pour les grandes épopées cosmiques !! Pour les couleurs qui claquent joyeusement depuis le prologue, Moose Baumann est toujours dans le coup et il n’altère pas le trait du dessinateur : au contraire, son contraste vert- jaune fonctionne à merveille pour personnifier la peur. S’il faut prendre son mal en patience pour avoir droit à cela, je suis prêt à attendre (fébrilement aussi) le prochain numéro.  Cet épisode continue sur la lancée du prologue : c’est 1 des séries où il faut être en ce moment à n’en pas douter. Surtout qu’avec un dessin de ce calibre, il faut vraiment être réfractaire au vert pour ne pas donner sa chance à ce cross-over ! Vite Green Lantern Corps !!!!!!!!!!!!! Bilan :
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#13
14/07/2007, 13h10
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Je ne peux que plussoyer cette critique et analyse.
Les 2 1ers pans de cette saga sont vraiment excellent dans 2 styles différents. Différence très bien expliquée par notre cher Scarlett. Edit: désolé pour le spoiler et merci à Scarlett d'y avoir remédier, pardon aux familles et tout ça... Dernière modification par Elýkar ; 14/07/2007 à 14h09. Motif: je m'incline devant le grand Scarletneedle
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#14
15/07/2007, 16h01
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Justice Society Of America 7
 Indestructible Writer : Geoff Johns Penciller : Dale Eaglesham Inker : Ruy Jose & Rodney Ramos Colorist : Jeromy Cox De retour sur la meilleure équipe de groupe DC du moment suite au cross-over avec Justice League Of America du mois dernier dont la conclusion directe influait justement sur l’équipe de la Trinité avec l’intégration immédiate du revenant. Seulement, si cette histoire s’est pas mal servi des Leaguers et des Societers comme sparring-partners, elle a permis de disséminer quelques indices très Legion Of the Super-Heroes sur le devenir du DC Universe : cela tombe bien car dans la composition des 2 équipes, c’est la Justice Society Of America qui abrite un Légionnaire qui fait beaucoup parler c’est-à-dire Starman.  En effet, l’épisode du jour, s’il est centré sur le nouveau membre intégrant l’équipe (la couverture très burnée de Ross est un indice ), revient aussi sur lui.Evidemment, Dale Eaglesham assiste Geoff Johns dans la manœuvre ! Allez hop, libéré des contraintes éditoriales DC (mais qui ont accouché d’un superbe cross-over), Geoff Johns revient à ses premières amours : héritage DC et développement des personnages. Niveau héritage et développement, le nouvel arrivant est bien servi : Citizen Steel dont l’origine est, certes un peu téléphonée car il fallait coller à la nature du personnage. Toutefois, cela ajoute un autre membre au destin tragique comme Damage (qui fera bientôt l’objet d’un épisode) mais leurs trajectoires sont opposées : le héros du jour, s’il est abattu au début, reprend pied et accepte ce qu’il est, bien aidé par sa famille. Geoff Johns semble justement vouloir s’affranchir du côté militaire coincé des 2 précédents Commander Steel en ancrant son personnage dans le côté familial : il a quelque chose à protéger. Le 1er était un soldat pur et dur et le 2nd une « caricature comportementale » du mec piégé dans son corps qui n’en faisait qu’à sa tête. En ce qui concerne Starman, c’est le contrecoup du cross-over qui est observé par le biais de Superman un peu dans la position du lecteur qui cherche à comprendre les motivations des Légionnaires. Comme Starman est légèrement perturbé, les informations sont cryptiques mais moins : elles confirment des données relatives au Multiverse tout en étayant la thèse d’un bouleversement. Ce qui est fort est que cela projette dans 2 aventures minimum : le prochain arc de Justice Society Of America centré sur Kingdom Come et Action Comics où Gary Frank débarque. Les sollicitations d’Octobre mettent l’eau à a bouche sur ces 2 titres justement du même auteur! Cela prouve bien que le cross-over a des répercussions sur le DC Universe et au-delà même jusqu’à Countdown… Geoff Johns est vraiment au centre des meilleures histoires DC du moment : il le prouve avec son conflit cosmique du côté des Verts mais aussi avec une dimension plus humaine en prenant le temps de caractériser suffisamment ses nombreux personnages de Justice Society Of America lui donnant un intérêt indéniable. Cela me rappelle un peu Chris Claremont de la grande époque des X-Men qui développait la personnalité de ses personnages tout en plaçant des indices sur des intrigues futures ici ou là sans gêner le cheminement du comic. Après pour Dale Eaglesham : je ne peux que me répéter… C’est somptueux. S’il faut ressortir une scène, c’et le dialogue entre superman et Starman mangeant un hamburger dégoulinant. Au-delà du grotesque qui aurait pu déborder sur la discussion, il arrive à maintenir sa « solennité » car Superman parle à un ami qu’il sait dérangé actuellement. Qu’il reste longtemps sur le titre !!! Sous ses faux airs de stand-alone, ce numéro reprend quelques pistes depuis le début de la série et permet aux nouveaux lecteurs de prendre le train en marche. Johns et Eaglesham se complètent à merveille donc jackpot !!!!!!! Bilan :
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#15
15/07/2007, 16h12
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Ah ,je me disais bien que ce Starman ne pouvait pas avoir rencontré XS ... Je commencais à douter .
Sinon oui , superbe épisode encore une fois, Johns aime ce titre et ça se voit tout comme Scarlet Sinon ,bluffé encore une fois Johns sur Green Lantern merveilleusement secondé par un Ivan Reis au sommet de son art et je préfère oublié la lecture de Countdown avec des dessins horribles de Magno et des intrigues vraiment ennuyeuses : le titre va passer à la trappe dans pas longtemps
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes
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) dans Detective Comics 831.
Mode linéaire
