#16
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elle est lassante au bout du compte. kon la lise en mensuel ou a la suite, ca finit par faire mal aux yeux tellement ca part ds plein de direction...
Perso, elle a fini par m'ennuyer... car 12 partie, ca fait long, tres long...
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foyer: " J'ai tué des centaines de seigneurs du temps" Docteur: "Je les ai tous tué..." |
#17
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Tout pour la street credibility |
#18
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Comme je l'ai écrit ailleurs, j'ai eu du mal aussi sur la longueur, et en relisant l'intégrale, j'en arrive à la même conclusion : "l’histoire, aussi glauque et sordide soit-elle, ne manque pas de qualités malgré des dessins très inégaux d’une case à l’autre, mais elle souffre d’un trop plein de rebondissements, de cauchemars, de vilains qui défilent, de thèmes mêlant l’horreur urbaine au fantastique zombiesque.
Cette trop longue plongée dans la fange répugnante de Gotham servie par un dessin à l’unisson de l’ambiance sordide et puante du récit se révèle boursouflée jusqu’à l’écœurement pour se terminer sur un combat final explosif mais qui ne donne aucune véritable explication. En équilibre précaire entre l’horreur urbaine et les histoires de zombie, « City of crime » aurait gagné en légèreté, en clarté et en efficacité à choisir son fil conducteur et à s’y tenir, ainsi qu’à être soulagée de 3 ou 4 parties se roulant complaisamment dans le sordide et le cauchemardesque. Une déception pour une œuvre qui semble s’être voulue ambitieuse". |
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