Storm #5

[Dhargo]

Source : AIPT




THE ALL-POWERFUL STORM! STORM is mad as hell, and she’s not going to take it anymore! BLOWBACK’s mind-blowing secret is revealed, as the former X-Man reaches her ultimate breaking point! What are the consequences of Storm’s full power unleashed? You won’t want to miss the climax to the ultimate ORORO MUNROE masterpiece.
Written by: Ann Nocenti
Art by: Geraldo Borges, Andrew Dalhouse
Cover by: Alan Davis, Alejandro Sánchez
Page Count: 28 Pages
Release Date: September 27, 2023

[mrcitrouille]

Borges renonce à la prime décors. Faut que Marvel paie mieux ses artistes ou arrêté de nous vendre à 4 dollars des trucs dont on n aurait même pas voulu dans Marvel Comics Present à 1.5 euros.

Du coup quand Brevoort affirme faire en sorte de mettre les meilleurs comics sur les étals, il doit avoir oublié celui là

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par mrcitrouille
	Borges renonce à la prime décors. Faut que Marvel paie mieux ses artistes ou arrêté de nous vendre à 4 dollars des trucs dont on n aurait même pas voulu dans Marvel Comics Present à 1.5 euros. Du coup quand Brevoort affirme faire en sorte de mettre les meilleurs comics sur les étals, il doit avoir oublié celui là

Sans vouloir défendre spécifiquement Borges, cette impression, que je partage à 100%, se retrouve quand même sur pratiquement l'ensemble de la production. Même les cadors actuels et les valeurs surs s'y mettent.

C'est depuis quelques années, décennies, le type de narration graphique qui s'est malheureusement imposée. L'art séquentiel s'est effacé au profit de dessins iconique et coup de poing. On voit de moins en moins de cases ou de gaufrier. Et quand il y en a souvent c'est de la répétition, style popularisé par Bendis, qui ne raconte là aussi pas grand chose in fine. C'est beau, puissant mais cela ne raconte rien (je parle des dessins). J'en viens souvent à me demander si c'est encore de la bande dessinée.

C'est triste à écrire, mais les images boys avec touts leur défaut arrivaient à raconter plus de chose dans leurs dessins, si décriés pourtant, si vulgaires souvent, que la génération actuelle. Attention on ne discute pas scénarii.