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#2
15/01/2005, 22h39
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JLA #110 : "Syndicate rules" part 4
JLA #110 : "Syndicate rules" part 4
 Written by Kurt Busiek, art and cover by Ron Garney and Dan Green. Part 4 of the 8-part "Crime Syndicate of Amerika!" The CSA makes its boldest move yet: impersonating the JLA, bringing disgrace to the World's Greatest Heroes. Meanwhile the Qwardian Weaponers come to Earth as well. 32 pages, $2.25, in stores on Jan. 12. Resumé rapide des numeros 1, 2 et 3 Resumé de l'episode 110 : La critique : Critique de Niglo ici
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Dernière modification par Dil ; 15/01/2005 à 23h18. 
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#3
11/02/2005, 21h06
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Jla #111
Written by Kurt Busiek, art by Ron Garney and Dan Green, cover by Garney.
Part 5 of the 8-part "Syndicate Rules." The JLA arrive just in time to stop the Crime Syndicate of Amerika from reaching its goal, while the Qwardian super weapon rampages through the positive matter universe! Three worlds collide, forging an unexpected alliance. 32 pages, $2.25, in stores on Feb. 9.  Resumé : Critique :
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#4
11/02/2005, 22h07
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Absolument. Une bonne decharge d'energie avec cette confrontation tant attendue (au moins par moi et Dil
 ), et un Cliffhanger tres sympa pour conclure.Dommage que le dessin soit aussi passe-partout.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better.
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#5
07/07/2005, 01h14
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Une petite critique de numéros de la JLA que je viens d’enchaîner.
Syndicate Rules, JLA #107 à 114, Busiek/Garney Précédemment, je connaissais le Crime Syndicate of Amerika à partir de l’histoire de Grant Morrison.. J’ignore si ces personnages avaient de nouveau été exploités depuis ou non, mais je gardais un excellent souvenir de cette version distordue de la JLA. Le concept est archi-connu mais Morrison a le talent suffisant pour l’utilisé à bon escient. Donc j’ai attaqué cette lecture un peu par hasard, et sans avoir lu de JLA depuis… bah depuis Waid et Morrison justement, ou Morrison et Waid dans cet ordre là, je ne sais plus. Je me suis mis en bouche avec un épisode de Austen plus que passable, donc Busiek était très attendu. Et dès le départ, c’est du Busiek moyen. C’est du Busiek avec tous les défauts mais sans les qualités. C’est à dire que l’histoire est longue (8 parties), très longue même, avec beaucoup d’intervenants, plusieurs plots en parallèles (JLA, CSA, les Qwarks e tutti quanti). Ca ressemble un peu à sa fin de règne sur Avengers avec une saga de Kang qui tirait en longueur sans avoir de ressort pour tenir les lecteurs en haleine. Bref, même schéma ici, je n’ai pas retrouvé l’agencement des histoires qui me plaisait chez Busiek, la connaissance exhaustive de l’univers et des personnages qui permet de mixer intrigues majeurs et problèmes personnels, avec une évolution de personnages clés en toile de fond. Pas non plus de petites touches d’humour qui permettre de détendre la lecture et d’attacher le lecteur aux héros. Lorsqu’on est assez novice de l’univers DC, ça commence à faire beaucoup. Il demeure tout de même que les personnages du CSA qui sont ici plus en vedette que leurs alter ego positifs de la JLA présentent des personnalités intéressantes, peu convenables, intéressantes à suivre afin de voir comment l’auteur va être capable de jongler avec le référentiel positif du héros pour en livrer une version pervertie. Dans ce cas, le boulot de Busiek est mâché mais il livre des passages à voir avec Owlman, Super Woman, et Ultraman. Au contraire, rien à voir sur Power Ring et l’équivalent du Flash. Côté JLA, mis à part un numéro où l’équipe se prend une rouste par le CSA et est forcée de se remettre en cause (chose qui me paraît à priori inconcevable pour cette équipe de big guns), rien à noter. Tierce partie, les Qwarks sont une sorte de peuple de guerrier avec un chef qui fait marcher la loi du Talion et met la main sur une super arme, bref une race comme il y en a à la pelle dans les comics. Finalement, un mot sur l’intrigue. Le jeu sur les concepts du « on ne peut pas gagner dans la réalité inverse » puis « finalement on peut » m’a bien plu car il met la JLA en difficulté. De même, les différences entre Superman et Batman, qui pour moi sont respectivement les muscles et le cerveau de l’univers DC, sont trop souvent troublées dans la continuité habituelle. Chez le CSA, chacun sa place, chacun son rôle, et c’est très bien comme ça. La grosse baston de fin a peu d’intérêt. La JLA trouve un moyen de renvoyer tout le monde chez soit et de sauver la Terre, et la baston est d’ampleur cosmique bien sur. La routine j’ai l’impression. Côté dessin, j’aime bien Garney, je trouve qu’il a de la personnalité. Mais je trouve aussi qu’il devrait abandonner les séries à ambiance cosmico-pétaradante. Moi je l’ai bien aimé dans le milieu urbain de Captain America il y a quelques années. Son très simple s’y prêtait bien, des couleurs sobres, pas mal d’ombres, des visages assez expressifs, ça me convenait mieux que ce que j’ai vu là. En soit, il est toujours le même, mais il a du mal à rendre la puissance des grosses bastons à 20 personnages ou on éclate des planètes. Les couleurs un peu flashy n’arrangent rien. Je le verrais bien aller sur une série Batman, voir un compromis qui serait la JSA, un groupe, de l’aventure, mais le tout en plus sobre que la JLA. Au final, un Busiek qui livre le strict minimum, ça sent bon le taf de commande. Il n'était pas malade également lorsqu’il a fait ça ? Et pourquoi s’être étalé sur 8 numéros. Une histoire plus ramassée, sur 4 ou 5 épisodes, aurait donné plus de dynamisme à tout ça. Je pense qu’il y a pas mal d’autres choses à lire sur la JLA avant de passer par là. Au fait, ça existe les TPB de 8 numéros ? Côté français, ça peut être à la fois une bonne chose pour Panini de commencer par ça car c’est un bon tour d’horizon de la JLA (étant donné qu’il y a les réservistes qui interviennent) avant Crisis, mais d’un autre côté il faut peut être oser revenir plus en arrière et publier des arcs de meilleure qualité en attendant Crisis. Le dernier mot, ce sera pour parler du #115. Premier numéro d’un arc qui sera tie-in avec Crisis, je l’ai uniquement survolé et il m’a déjà plus excité que les 8 parties de Syndicate Rules.      Un petit mot sur Justice League Elite enfin. En parallèle à Syndicate Rules, j’ai lu quelques numéros qui ne m’ont pas bien passionné. L’ensemble a l’air d’une autre trempe que la JLA, mais totalement inabordable lorsque l’on n'est pas bien intégré dans l’univers DC. Dommage, l’assemblage de bad guys avec des héros undercover bien choisis (je ne dirais pas qui, je suis pas sur que ça soit explicité dès le début) pour monter une équipe black ops de la JLA est excellente. L’ensemble a l’air bien tordu, Kelly raconte bien, les dessins de Mahnke sont bien foutus, que demande le peuple. En plus, dès le départ la série est limitée à 12 numéros. C’est une mini-série que j’aimerais voir en français avec un solide contenu éditorial (du genre de ce qu’avait fait Semic pour JLA-Avengers) à côté pour « porter » le lecteur. Mais bon, là je suis un peu irréaliste  .  
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#6
07/07/2005, 03h31
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J'ai qu'une chose à dire: la Sal.pe!!!!!!!!!
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Oserez-vous ouvrir le.....CHEST of CHESTS?
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#8
07/07/2005, 13h29
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je ne vois pas bien en quoi jl elite est hérmetique à ceux qui n'e sont pas des habitués du Dc universe trés franchement...
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#9
07/07/2005, 13h48
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C'est pas évident du tout moi je trouve.
Ceux qui n'ont pas lu la mini-série, ne lisez pas ce message car c'est spoiler. . . . Pour commencer Revanche, y a Manchester Black. C'est pas Luthor ou le Joker qui sont des icones dont on a pas besoin de connaitre les détails du dernier coup tordu pour savoir ce qu'il représentent. Je sais vaguement que Manchester Black est un psychopate de la pire espèce. Un ennemi de Superman. Mais c'est tout. Pour el reste, quand il part dans ses délires psychologiques à la moitié de la série, je décroche complétement. Je ne sais pas ce qu'il a fait avant. Quels sont ses pouvoirs. J'ai même pas bien compris sa relation avec Vera Black. Je précise ici que je n'ai pas lu les 4 premier snuméros. J'ignorais au départ que c'était limité à 12 numéros. Ensuite y a la composition de l'équipe et son concept. Le concept ça va à peu près car sans avoir lu le #1, j'ai vite compris et j'avais entendu parler lors du lancement l'an dernier. Les personnages : on a Flash et Batgirl sous couverture. Green Arow plus ou moins aussi (mais bon, avec ses flèches vertes...). Les autres ce sont des inconnus. Vera Black qui est le personnage central de l'histoire sans que j'ai bien compris pourquoi. Le noir, la salope qui les trahi, les deux indiens et leur "agent de liaison", ce sont des nouveaux personnages créé pour l'occasion où ils existaient déjà auparavant ? Flash sous couverture, faut bien comprendre ses motivations également. J'ai oublié le poivrot enfin. Pareil que le sautres, c'est un "ancien" personnage ou pas ? Avec le recul, je relis mon message et je me rend compte que j'aurais du préciser que j'avais commencé au #5 Certains éléments que je n'ai pas compris doivent être explicités à la constitution de l'équipe. D'ailleurs Revanche, si tu veux compléter/répondre à mes question, je veux bien.Globalement, c'est donc tout le délire autour de M. Black qui est bloquant. C'est essentiel de bien connaitre le personnage pour bien comprendre le problème, et surtout s'y intéresser je crois. Ensuite, y a tout le contexte : lorsqu'ils changent de dimension, lorsqu'ils affrontent la JSA... Est ce qu'il y a bcp de références à l'univers DC ou pas. Ce sont des questions que je me suis posé, j'avais l'impression de rater des choses. Par comparaison, Countdown est bcp mieux amené je trouve. Même si j'ai bien compris que je ratais des références, ça ne m'a pas interpellé plus que ça dans la lecture. Finalement, y a une scène qui m'a bien plus quand même, c'est l'affrontement avec la JSA. C'est bien amené, tout de suite assez violent, avec le grand dilemne des héros sous couvertures et la nécessité de trouver un statagème pour se contacter. Vraiment bien.
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#10
07/07/2005, 17h19
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alors jen sais autant que toi sur les pouvoirs de black.
le truc que je sais c'est qu'il a avait créé un groupe nommé elite et qu i ls étaient plus ou moins pas trés gentils. on comprend aussi que major disaster est plus ou moins un ancien super vilain repenti et je ne connaissais pas les autres non plus... la seule reference que je vois est sur le worlogog, un item cosmique ayant des pouvoirs sur le temps, et qui est réccurent chez DC mais c'est tout... sinon c'est certain que les scripts de joe kelly sont tout le temps assez hermetiques et complexes, d'où ta gêne je suppose...
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#11
07/07/2005, 21h32
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Tu connaissais pas Major Disaster???
 Bon, il te faut une injection de Justice League Antarctica d'urgence
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#12
08/07/2005, 16h46
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mais, j'ai aussi l'impression de pas pouvoir en saisir toute la qualité à cause de connaissance limité d'où un léger sentiment de frustration (peut être infondé)
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Mode linéaire
