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#64
31/03/2009, 15h36
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Finalement, pas de BATMAN. c'est reporté à la semaine prochaine, je n'ai pas eu le temps (saleté de boulot à la *****$$$$$$ ...).. Je me suis aperçu aussi qu'entre le BATMAN RIP et les reste, c'aurait été un peu long....
J'en ai profité pour faire d'autres séries, que j'ai lu il y a quelques semaines et dont j'ai enfin eu le temps de faire la critique à la place Et il y a du lourd.... 
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#65
31/03/2009, 15h36
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Critiques Doopiennes semaine 104 YOUNG LIARS TPB 1  (David Lapham) Bon, vu le succès critique de cette série sur le forum (pas sur les ventes malheureusement), vu le prix du TPB, (9.99 $ pour 6 épisodes) ma réflexion n’a pas été très longue quant à savoir si je mettais ce bouquin dans ma liste. Autant vous prévenir, je n’ai lu de LAPHAM que son BATMAN et son SPIDER MAN assez raté , je n’ai pas lu STRAY BULLETS , ni le reste et j’ai commencé ma lecture avec un œil attentif et un cerveau le plus ouvert possible, sachant qu’à la base, ce n’est pas vraisemblablement le genre d’histoire que j’apprécie le plus. Mais bon, c’est pas parce qu’on peut se permettre d’avoir la banane en lisant du X-FACTOR ou qu’on a aimé MESSIAH COMPLEX qu’on ne peut pas non plus apprécier SCALPED ou CASANOVA. Mon train étant tombé en panne pendant un bon moment , j’ai eu le temps de lire le TPB d’une traite pendant le trajet (qui a duré à peu près deux heures pour faire 80km.) YOUNG LIARS nous raconte donc l’histoire d’un groupe de jeunes adolescents totalement paumés et déjantés (le travesti, le petit escroc, l’anorexique, la groupie starkfucker, le loser amoureux qui veut faire du rock ) menés par une jeune demoiselle totalement borderline qui a une balle coincée dans la tête, ce qui lui a complètement bousillé le cerveau ; les inhibitions etc… La jeune demoiselle (qui est la fille d’un riche homme d’affaire pour l’instant extrêmement bizarre) est pourchassée par les sbires de son paternel et comme elle n’hésite pas à faire n’importe quoi (du genre arracher des nez ou coucher avec tout le monde) , cela va placer notre petit groupe dans une sorte de road-comics ou alternent scènes assez gores, délires visuels et surtout, mensonges de la part de chacun des personnages sur fond de sexe, de drogue et de rock n’ roll. Mouais. J’ai été assez dubitatif au départ (du genre sur le premier épisode) où j’ai trouvé le principe un peu too much et assez caricatural dans les réactions de la jeune fille (SADIE) et de son amoureux apprenti rock star (DANNY). On aurait pu penser à une pantalonnade gore et provoc, mais il se trouve que dans les numéros qui suivent, LAPHAM nous montre qu’il sait où il va et nous gratifie de flash-backs absolument pas linéaires qui permettent de hausser largement le niveau qualitatif de le série, car ils permettent d’avoir un meilleur approfondissement des personnages. Ils servent l’histoire, qui au premier abord peut sembler aussi déconstruite , fantaisiste et bordélique que les personnages qu’elle nous présente, mais qui commence , au fur et à mesure des révélations, à former un tout assez cohérent. C’est quand même assez gore , complètement barré et quand je vois que certains faisaient référence à du TARANTINO j’aurais plutôt tendance à rapprocher YOUNG LIARS d’un GREG ARAKI pour le côté sans concession qui tend vers une fin qui ne pourra pas être heureuse. Car beaucoup de gens meurent dans YOUNG LIARS , déjà une bonne partie du cast est mutilé ou mort lors de ces six premiers épisodes, et pour l’instant, je dois quand même vous avouer que je ne sais toujours pas ou LAPHAM veut m’emmener (tout en sachant que cela ne risque pas d’être très joyeux). Ce dernier alterne loufoquerie (le passage dans le bateau), délire gore et moments d’émotions (j’aime beaucoup la relation entre DANNY et SADIE , DONNIE et surtout CEECEE ) et il arrive bien a capturer la folie de ces années adolescentes, j’aurais pu retrouver chacun de ces persos dans des gens qui fréquentaient ma cité universitaire et qui pensaient pouvoir changer le monde avec rien. C’est sur cette nostalgie là que joue LAPHAM. Pour être honnête, j’ai moins pris mon pied que ce que j’espérais quand même, même si YOUNG LIARS a énormément de qualités. Le dessin peut être ? Disons que les graphismes de LAPHAM correspondent totalement à l’histoire qu’il veut raconter, ça ressemble un peu à du PIA GUERRA pour vous faire une idée, mais en moins lisse. Disons que ça va fonctionner tout de suite avec les personnes qui regrettent cette époque un peu post bac où on recherche sa voie et où on peut tout se permettre , tout essayer. Moi je ne voudrais pour rien au monde revivre ça, et c’est certainement cette nostalgie là qui ne fonctionne pas. La qualité de cette BD est quand même indéniable, et LAPHAM réussit son pari dans la mesure ou n’accrochant pas réellement aux personnages, le mystère qu’il construit autour est assez fort pour me donner envie d’y revenir. Je pense que vu le prix et la qualité de la chose ce serait un crime de passer à côté, ne serait-ce que pour se faire une opinion. J’attends de lire la suite, qui est semble t’il cent fois meilleure.  mais avec un bémol parce que si j’arrive à voir des qualités évidentes à l’histoire, son intrigue ne m’émerveille pas plus que ça (enfin un peu, mais pas autant). .THE BRAVE AND THE BOLD T2: le livre du destin  (Mark Waid / George Perez & Jerry Ordway / Bob Wiacek & Scott Koblish) Contient les épisodes 7 à 12 de la série BRAVE AND BOLD Suite de cette série et suite de l’histoire sur le LIVRE du DESTIN. Rappel des faits : dans le volume précédent, une association de héros a réussi à récupérer le LIVRE de DESTINY (oui, le frère de SANDMAN) et ce dernier l’a donné aux CHALLENGERS de l’INCONNU qui ont la particularité de ne pas apparaître dans le livre. Le volume précédent donnait la part belle aux situations drôles et cocasses (SUPERGIRL et LOBO dans le jardin de DESTINY ou la relation GREEN LANTERN / SUPERGIRL) sans aller vraiment très loin non plus et dessinée de main de maître par GEORGE PEREZ, qui avait pour l’occasion profité des talents de BOB WIACEK qui lui fournissait un encrage impeccable. Ce deuxième volume est quand même beaucoup plus anecdotique. Il nous raconte l’histoire d’un méchant terriblement mal développé appelé MEGISTUS, qui essaye tout au long de l’histoire de l’univers DC de récupérer des artéfacts qui doivent l’amener à la puissance suprême. Cela donne l’occasion à WAID et PEREZ de nous faire entrevoir des associations de plusieurs personnages assez méconnus avec des icones DC, comme le chevalier silencieux et superman, la doom patrol et flash, blackhawk et les boy commando. Vous savez quoi ? A la fin, les gentils gagnent. Autant le principe de cette série de BRAVE AND BOLD ne me dérange pas (à savoir que WAID et PEREZ se fassent plaisir à caser le plus de références et puissent faire joujou avec leurs envies inavouables, comme celles de réunir POWER GIRL et WONDER WOMAN, où alors celle de faire un épisode sur les BOY COMMANDOS), mais là, je trouve que c’est fait au dépends d’une trame scénaristique cohérente. On ne comprend pas parfois pourquoi les héros se trouvent là et il n’y a aucune explication qui nous permette de le comprendre si ce n’est : « ils sont là ». C’est flagrant dans le récit SUPERMAN, CHEVALIER SILENCIEUX. De plus, la plupart des aventures ne dure en gros qu’une petite dizaine de pages, voire moins et se déroule toujours sur le même principe ; à savoir les héros ses rencontrent, les héros affrontent MEGISTUS , MEGISTUS vole l’artéfact recherché. Hommage aux épisodes des années 60 et 70 , certainement, j’en en tête ne serait-ce que le JLA 200 (dessiné par PEREZ) qui est sur le même principe, sauf qu’il durait sur un numéro, pas six d’affilée. De plus, les CHALLENGERS OF THE UNKNOWN ont une place prépondérante dans le récit, et je dois vous avouer que ces personnages me laissent totalement de marbre, je ne les ai jamais lus et le peu que je connais ne m’intéresse pas. Le problème, c’est que WAID ne réussit pas du tout à les rendre intéressants, il n’a pas le temps puisque ses épisodes doivent contenir le plus d’histoires possibles. C’est franchement anecdotique au niveau scénario, et je ne parle même pas du méchant de base, dont le design reste à revoir. C’est bizarre parce que ce genre de comics à priori doit fonctionner sur moi, mais là, ça n’a pas marché. Il en ressort une impression de fouillis. C’est marrant, WAID semble en roue libre totale juste avant son départ de DC pour BOOM STUDIOS ; c’est franchement pas terrible si on regarde son travail sur FLASH et sur cet arc de B&B. (Il faut en plus qu’il nous ressorte ces deux gamins absolument horripilants que sont les enfants de WALLY , que j’aimerais rapidement voir repartir dans les limbes scénaristiques). Ce qui n’est pas fouillis bien évidemment ce sont les dessins de PEREZ, bien mis en valeur par WIACEK et un peu moins par KOBLISH, qui est en train de devenir son encreur attitré. On y retrouve un GEORGE PEREZ à l’aise avec tous les personnages , dans le plus pur style de ce qu’il produit depuis quelques années pour DC. Il est remplacé aux deux tiers de l’aventure par un JERRY ORDWAY qui fait du très bon travail, sauf sur les pages de fin que j’ai trouvées un peu moins réussies. Ca reste quand même largement au dessus du niveau graphiquement, mais la nostalgie old school cette fois ci n’a absolument pas pris, peut être parce que les personnages sont vraiment trop obscurs pour moi. La partie graphique fait remonter néanmoins l’ensemble, dans la mesure ou l’on aime PEREZ et ORDWAY. et demiX-MEN : MANIFEST DESTINY  Comme X-MEN : DIVIDED WE STAND, MANIFEST DESTINY est une anthologie de plusieurs petites histoires mutantes , sous fond de déménagement à SAN FRANCISCO. Seule originalité : un histoire complète de MIKE CAREY et MICHAEL RYAN qui est découpée en plusieurs parties et répartie sur les cinq numéros, formant dont l’histoire principale de MANIFEST DESTINY. Premier point négatif, les couvertures que je trouve absolument ratées de HUMBERTO RAMOS, les personnages ne sont pas identifiables. Oui, c’est DAZZLER sur la dernière couverture, et j’ai mis un sacré moment avant de la reconnaître ! KILL OR CURE (Carey / Ryan / Olazaba) Comme je le disais plus haut, cette histoire est répartie sur les cinq numéros de MANIFEST DESTINY. Elle nous raconte une course poursuite entre MYSTIQUE et ICEBERG qui vont pouvoir faire le point sur leur relation et la trahison de la mutante à la peau bleue avant MESSIAH COMPLEX. Je ne vois pas trop l’intérêt et il faut le dire, c’est quand même franchement raté. CAREY nous pond une sombre histoire de remède qui pourrait permettre à ICEBERG de mieux contrôler ses pouvoirs (ou mieux le tuer) et on a droit à une course poursuite pendant quatre épisodes avant d’assister à la confrontation finale qui n’apporte pas grand chose de plus que ça ! MICHAEL RYAN est en toute petite forme et sa prestation n’est pas du tout rehaussée par l’encrage de VICTOR OLAZABA qui ne fonctionne pas non plus. Pour une histoire principale, c’est peut être une des plus mauvaises de toute la série, ce qui n’augure rien de bon. et demiNUWA (James Asmus / Chris Burnham) Cette petite histoire met en scène BIG BANG (ou BOOMER ou MELTDOWN) aux prises avec une super vilaine tout à fait ridicule dans une histoire qui se veut humoristique mais qui est en fait assez lourde . Le dessin ne me convainc absolument pas, oscillant entre du sous SCOTT KOLINS et du STEFANO CASELLI, donc on oubliera très vite ! KARMA (CB Cebulski / David Yardin) Fait le point sur KARMA, qui se fait donner une véritable leçon par EMMA FROST, qui lui montre qu’elle n’assume pas vraiment ses pouvoirs. C’est plutôt bien écrit, l’idée est correcte sans être géniale (ce qui semble être la marque de fabrique de CB Cebulski qui livre toujours des prestations solides mais sans grande originalité) et les dessins de Yardin fonctionnent plutôt bien . et demiGOOD WITH THE BAD (Skottie Young / Dan Panosian) Deuxième fois que je vois SKOTTIE YOUNG en tant que scénariste, et deuxième fois qu’il m’impressionne. Il l’avait déjà fait avec le petit mutant lézard sur DIVIDE WE STAND, il remet ici le couvert avec le FLEAU, qui se retrouve dans un bar et se demande s’il est un gentil ou un méchant. C’est drôle, bien effectué et la chute, sans grande surprise toutefois est sympathique comme tout. Les gens qui ont souffert dans les années 90 auront remarqué avec effroi le nom de DAN PANOSIAN, oui, celui là même qui avait remplacé ROB LIEFELD sur X-FORCE. Force est de constater qu’il s’est grandement amélioré, nous livrant un dessin assez cartoony et caricatural qui fonctionne franchement bien. Intéressante progression ! En tout cas j’aimerais maintenant voir SKOTTIE YOUNG en tant que scénariste sur un épisode complet. FLAW (Chris Yost / Paco Diaz ) Cette histoire se penche sur les soucis d’EMMA FROST, qui ne se sent toujours pas à sa place chez les X-MEN. EMMA souffre toujours du fait que les autres héros ne lui font pas confiance, et c’est plutôt bien effectué et assez touchant. Seul problème, la fin trop convenue ou encore une fois c’est WOLVERINE qui intervient dans le rôle du grand manitou alors que j’aurais préféré SCOTT. Les dessins de DIAZ sont correct mais sans plus. et demiABOMINATION (Guggenheim / Paquette/ Lapointe) Nous offre plus ou moins les origines de GRAYMALKIN, un personnage utilisé dans les NEW X-MEN et les YOUNG X-MEN par GUGGENHEIM et LAPOINTE. C’est classique, pas trop mal dessiné, mais sans grand intérêt ! et demiUNCHEERABLE (Chris Yost / Humberto Ramos / Carlos Cuevas) S’attarde sur COLOSSUS , inconsolable depuis la disparition de KITTY et les efforts de autres mutants de l’académie pour le faire sourire. Plutôt sympa mais assez anecdotique là aussi, avec un RAMOS qui s’en sort plutôt pas mal sur ce registre de la comédie. MERCURY (CB Cebulski / Andre Coelho) Ca fait plaisir de retrouver ce personnage que j’aimais bien et qui avait disparu des radars. On a une jolie histoire, assez touchante sur cette jeune fille qui n e sait absolument pas se positionner quant à son statut de mutant. Elle va recevoir l’aide et les conseils de X-23. Classique et bien dessiné. et demiWORK IT OUT (James Asmus / Takeshi Miyazawa ) Il n’y a pas que COLOSSUS qui souffre de la disparition de KITTY, il y a aussi DIABLO, qui se noie dans le phases de combat de la salle des dangers. Plutôt sympa même si le DIABLO de Miyazawa à l’air d’avoir douze ans. NICK’S (Frank Tieri / Ben Oliver) Un criminel mutant est dépité de voir l’arrivée des X-MEN à SAN FRACISCO, qui viennent lui rendre une petite visite et le menacer de bien se tenir ! Là aussi, sans grand intérêt mais plutôt bien dessiné par un BEN OLIVIER qui tente une approche plus aquarelle et peinture que dessin. DAZZLER : SOLO (Kieron Gillen / Sara Pichelli) DAZZLER est dans un avion, un terroriste débarque et pour le distraire, elle chante…. Que dire de plus ? Le scénariste à réussi à m’ennuyer sur une histoire qui dure huit pages ! Rajoutez à cela des dessins moyens et dont les expressions des visages ne semblent pas adapté et MANIFEST DESTINY se conclut par une mauvaise impression En clair, MANIFEST DESTINY est loin d’être l’anthologie de l’année, : elle propose des récits assez anecdotiques dont certains sont assez agréables, mais noyés dans la masse. L’hisoitre principale est ratée. KICK-ASS #5  (Mark Millar / John Romita jr / Tom Palmer) KICK-ASS est vraiment une série très mal foutue qui navigue à vue. Son concept de départ (nous montrer ce qui se passerait si quelqu’un décidait de devenir un super héros) a explosé dés le deuxième épisode , où le héros se prend une raclée sévère qui aurait du le rendre infirme à vie mais qui reprend « le combat » quelques temps plus tard sans aucune séquelle. Difficile aussi d’assumer un ton très réaliste quand on voit une gamine de huit dix ans découper un homme en deux d’un seul coup de sabre et exterminer à elle seule une bande de mafieux. C’est ce qui nous est offert dans les numéros 3 et 4 qui sont totalement gore et sans aucun intérêt, parsemés de blagues « geek » très la mode en ce moment et sans aucune originalité (le héros est un lecteur de comics, parle de newsarama, se fait passer pour un homo afin de draguer sa petite copine et surtout , est très énervé quand il voit que son concurrent super héros à plus d’amis myspace que lui ! ). Oui, on en est à ce niveau là. Pour être honnête, ce KICK-ASS #5 a quand même réussi à me faire rire et a enfin proposer quelque chose d’assez inattendu : recoller à son concept de départ. KICK-ASS fait donc alliance avec un nouveau super héros et nos deux amis partent affronter le crime. Les voici qui se retrouvent devant un incendie, qui est quand même le passage obligé de tout super héros, sauf que là, ils hésitent. Et ca sonne assez juste : ils ne savent pas comment s’y prendre et foirent absolument tout. Comme n’importe qui dans cette situation. J’adhère déjà plus même si l’humour reste encore super lourd avec un MILLAR qui cabotine page après page , c’est beaucoup moins n’importe quoi que les numéros précédents, même si le retour du papa et de sa fifille écorcheuse me fait craindre le pire à la fin du numéro. ROMITA JR semble toujours autant s’éclater sur cette série à dessiner des choses qui lui étaient avant interdites (des seins) mais l’encrage de PALMER n’est vraiment pas le plus efficace. A mon sens, KICK-ASS est une série qui n’aurait jamais dû exister, un one-shot aurait été incroyablement plus efficace et cela aurait permis à MILLAR D’aller à l’essentiel sans enrober de hype et de choses finalement pas très drôles. C’est vraiment très bizarre, extrêmement déconstruit et je lis KICK ASS avec la curiosité malsaine de savoir jusqu’où MILLAR peut se moquer du monde (involontairement). et demiASTONISHING X-MEN 28  (Warren Ellis/ Simone Bianchi/ Simone Bianchi & Andrea Silvestri)) Tiens , dans le genre on se moque du monde, voici ASTONISHING X-MEN #28. Je ne reviens pas sur les retards habituels de cette série pour ne pas rallumer le débat sur les dessinateurs et le retard, mais quand même, on peut complètement comprendre un retard dans la mesure où l’artiste donne tout ce qu’il a , à la recherche d’une meilleure idée, d’un meilleur dessin. Ici, on a des moins de retard pour un Simone Bianchi affreusement moche et surtout pas fignolé. Sérieusement, je crois que c’est le plus mauvais numéro de Simone Bianchi qu’il m’ait été donné de voir. Ce n’est absolument pas un dessinateur de comics et c’est officiel maintenant, il ne sait absolument pas raconter une histoire. Il faut dire qu’il n’est pas vraiment aidé par le scénario de Warren Ellis, qui pourtant avait fait des choses plutôt intéressantes dans le côté cyberpunk de cette nouvelle histoire. Sur ce numéro il décompresse à fond et tout peut être résumé en deux lignes : Les X-MEN sont dans la base des mutants chinois qu’il ont découverte au numéro précédent, ils se séparent en trois groupes et se font chacun attaquer. A la fin, on apprend qu’il ont un commanditaire connu Donc Bianchi n’a pas grand chose à dessiner, si ce n’est des scènes de dialogue et d’exposition qui ne font que rappeler l’intrigue précédente et il ne sait pas le faire, puisqu’il nous gratifie de splash pages avec des idées assez confuses , du genre mettre toute la page dans une ombre et un dessin de WOLVERINE, ce qui est joli, mais en poster ; ou pire encore des scènes de bagarre encore plus confuses qu’un LEINIL YU qui aurait la tremblotte. Aucun détail, aucun décor, les personnages se baladent sur des fonds blancs et l’encrage et assez rudimentaire et grossier. C’est dommage car en dépit des dessins, ASTONISHING rebondissait pas mal. Maintenant, j’ai un peu peur quand je vois le nom du « méchant » car je me demande si ELLIS va nous sortir quelque chose de cohérent avec ce qui s’est passé dans MESSIAH COMPLEX. Les dialogues ne sont pas au mieux, mais c’est aussi normal d’avoir un coup de mou en plein milieu d’un arc, surtout quand on a tendance à utiliser les ambiances ou les atmosphères. Et ca peut fonctionner avec un gars comme DEODATO sur THUNDERBOLTS, avec des personnes qui savent mettre en valeur une histoire même s’il ne se passe pas énormément de choses, ce qui n’est évidemment pas le cas ici. Après je ne sais pas, peut être que les script de WARREN ELLIS sont réduits à l’extrême et qu’il n’arrive pas à faire des planches qui tiennent la route, mais c’est un mystère car BIANCHI on l’a vu bien dessiner sur 7 SOLDIERS voire même sur un GREEN LANTERN. Je pense que j’irai jusqu’à la fin de l’arc, mais si BIANCHI reste, je crois bien que je vais faire des économies en me passant de ce titre. Peut être l’épisode le plus insupportable du mois, Bianchi n’est véritablement pas à sa place sur ce genre de titre, incapable de retranscrire un script en image. Il ferait mieux de continuer à faire des couvertures ou des histoires spéciales en quelques pages. et demi Dernière modification par doop ; 01/04/2009 à 08h53.
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#66
31/03/2009, 15h55
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Je ne saisis pas pourquoi tu t'acharne à continuer Kick Ass Doop! Masochisme??
Pour Asto ça craint quand même cette histoire avec Bianchi. C'est hypra moche!
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman
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#67
31/03/2009, 15h58
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Adepte du bondage apparemment...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#68
31/03/2009, 16h39
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Pour Young Liars, la comparaison avec Araki est bien vu
Pour Kick Ass, je continue moi aussi car Millar qui se prend pour Garth Ennis, c'est plutôt fendard
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Mes critiques à moi Mon blog où je partage mes coups de cœur divers et variés https://cultureetgeekitude.wordpress.com/
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#69
31/03/2009, 18h21
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2 brocolis et demi pour le tres fanboy sympa Brave and the Bold (au fait, c'est LE principe de Brave and the Bold de faire des heros se rencontrer) et 4 pour le degoutant petard mouille Kick Ass?? des tomates a la rigueur...
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better.
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#70
31/03/2009, 19h18
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Tant pis pour Batman!
Tu m'avais pourtant alléché avec The Man who laughs, mais ce sera pour une prochaine... Concernant cette salve, je ne connaissait pas Young Liars, merci de m'éclairer! C'est vrai qu'on en entendait beaucoup parler sur ce forum, mais je ne pense pas rentrer dans la cible, je passerais donc mon tour! Pour Manifest Destiny, je croyais que c'etait un cross-over! Si j'avais assez aimé Divided we stand, là par contre, ça a pas l'air tip top, d'autant que lesz artistes que tu ennonces sont loin de me faire vibrer! Et d'accord avec toi, les couvertures de Ramos sont hideuses! Pour Asto, tu ne m'apprends rien, il y a longtemps que je sais que Bianchi n'est pas un dessinateur de comics! Ce mec ne sait absolument pas raconter une histoire, ne maitrise en aucun cas un story telling! C'est meme à se demander comment il a pu faire illusion sur 7 Soldiers! En revanche, cela reste un excellent illustrateur, comme le demontrent ces magnifiques couvertures de Detective Comics! Par ailleurs, je pense que la couleur ne rend pas service a son travail ... Pour Brave and the Bold, c'est le deuxieme avis nuancé que je reçois! Cela me surprend dans le sens ou vraiment le premier tome etait une réussite totale, qui m'avait completement emporté, d'une vraie fraicheur! Je vais vite essayer de me faire un avis! Enfin Kick Ass, qui semble etre tout ce que je n'aime pas dans Millar, a savoir le Millar grossier, trop imbu de lui meme, sans profondeur... Mais il reste Romita Jr, que tu dis etre en forme! Sachant que le dernier boulot de lui que f'ai vu etait WWH, et qu'il etait là en tres petite forme... ça me refera plaisir de le voir avoir repris des couleurs!
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#71
31/03/2009, 19h22
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Effectivement, KICK ASS est très très loin de ça.. CORRIGE .....
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#72
31/03/2009, 19h44
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C'est quand même vrai qu'il est nettement moins mauvais que le précedent.
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#73
31/03/2009, 21h02
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Ah, j'oubliais, le #1 de Young Liars est lisible en format PDF ici.
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#74
31/03/2009, 21h08
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rhaaaa faut que je me chopes absolument la suite de Young liars
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Mon blog http://morpheusmutant.blogspot.com/ Ma page Facebook https://www.facebook.com/stephanehobgallais Motstordusetbullescarrés Chronique littérature jeunesse Le Blog
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#75
31/03/2009, 22h20
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