#31
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Spéciale Avengers : Original Sin Numéro : 29 Titre du numéro : Infinite Avengers Auteur : Illustrateur : Leinil Francis Yu Encrage : Gerry Alanguilan Scénariste : Jonathan Hickman Pourquoi je l'ai pris : Tout de la faute du récapitulatif dans New Avengers, d'abord. Pitch : Captain américa se reveille et se souvient enfin d'avoir tout oublié. (Si je vous jure que ça peut être un pitch). Phrase qui fait écho à ma lecture : "We have a Traitor" (Et c'est pas la première fois ) Avis : Coté dessin Yu rend une copie propre. On peut pas dire qu'il y a un décor de folie avant le cliffanger qui rattrape donc bien le reste. Coté scénario après le petit "Dans les épisodes précédents" qui rappel les faits dérouler dans les debuts de New Avengers, voilà qu'on nous remet le couvert avec une version longue par Yu des débats houleux (Pour ce qui ne lirait pas les deux série. Ok je vais pas critiquer ne lisant habituellement que NA et MA). Ensuite on se retrouve devant le porte du labo de tony et ça m'a ramener très loin en arrière parce qu'elle est une belle copie de la fameuse porte dans les sous sol de la villa des vengeurs dans "the crossing". C'était qui déjà le traitre ? (Tony) Hawkeyes aussi doit s'en souvenir (Malgré le retcon) car il veut ne pas juger sur les erreur passé de leur ami inventeur (Vous savez le même qui s'était ranger au coté de l'état pour arrêter ses copain ne voulant donner leurs identités secrète). Bon on peut pas dire que lorsqu'on déteste Tony à mon point on ne jubile pas de ce qui va lui tomber dessus. Puis les vengeurs jouent les parfaits abruti laissant Tony parler (C'est comme le docteur, faut pas le laisser parler), mettre une oreillette pour rameuter toute les armures de son labo (Ou ils se trouvent) et mettre l'armure Après j'ai pas trop bien compris la page ou la Time Gem apparait. Y'a deux cap ? M'enfin on fini sur un cliffanger ... Le futur 48.5 ans plus tard. Merde je croyais qu'on aurait droit à un 8 mois après ... Ah oui après Par contre pour le lien a Original Sin ... A part que oui c'est une faute des Illuminatis qui apparait, on n'a aucun lien à l'oeil du Watcher ... Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 9/10 Scénario : 7/10 Intérêt : 5/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 8/10 Numéro : 30 Titre du numéro : Fifty into the future Auteur : Illustrateur : Leinil Francis Yu Encrage : Gerry Alanguilan Scénariste : Jonathan Hickman Pourquoi je l'ai pris : Toujours de la faute au résumer du New Avengers ... Damn ! Pitch : Les vengeurs sont dans le futur et se chamaille toujours avec Stark. Jusqu'à l'arriver de l'équipe du futur. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Sorry there's just no way i look that bad in the future." (De quoi tu te plein, au moins t'es pas aveugle ) Avis : 4 case de décor (En comptant celle cliffanger) et pis c'est tout. Yu est donc en mode je me foule pas sur les fonds. Mais au moins il tient ses personnages. Non parce que sa mise en page est pas terrible non plus. Coté scénar on apprend donc que dans se futur Cap semble manquant. Et que c'est sur la lune que ça se passe. Il aurait été drole de montrer un terre détruite au loin mais même pas. Du coup on n'est pas certain (Contrairement à Tony) que les illuminati aient réussi. Old Clint donne un mission a Stark dont je trouve la porte de sortit un peu facile. Et comme lui je suis pas certain que Stark va faire quoi que se soit. D'ailleurs y'a aucun flashback (Pour l'instant) lié a ce que clint lui a dit dans New Avengers. Mais ça fait plaisir de voir Old Clint lui la mettre sévère. Et on a droit à un nouveau sot cette fois de 422 ans dans le futur. (Donc ce futur parallèle n'est ni celui de Maestro, ni de Old man Logan. A voir pour les autres futurs existant déjà mais possiblement c'est encore un nouveau ... ) Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 8/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 6/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 8,5/10 Dernière modification par Slobo ; 13/06/2014 à 18h25. |
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Le traitre dans The Crossing c'était Tony tout simplement
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Oui je sais, j'ironisais
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Starlight #4
STARLIGHT #4 (Mark MILLAR / Goran PARLOV)
Le premier faux pas de Mark MILLAR pour cette mini se trouve ici. Après 3 numéros de pure plaisir, où les multiples références faisaient foi Millar attaque son histoire avec une discution sur les femmes de .... Tom CRUISE (avec du Dawson inside, si si c'est grave) Le fascicule m'est tombé des mains et j'ai vite vérifier la cover et le titre. C'est une vrai faute de gout pour jusque là un quasi sans faute. Passé cette déception le reste est très bien. Goldorak est à l'honneur et le scénariste invente un passé crédible et bien en phase avec du Flash Gordon ou du John Carter à son héros Duke McQueen. Sous les crayons magiques de Goran PARLOV en plein trip Moébiussien (sauras tu retrouver John Difool ?) c'est un véritable roudoudou que l'on déguste page après page (sauf les deux premières). Il y a plus que de la qualité dans ce Starlight. C'est une véritable déclaration d'amour à la Bande Dessinée. |
#36
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The royals masters of war #5
THE ROYALS MASTERS OF WAR #5 (Rob WILLIAMS / Simon COLEBY / Gary ERSKINE)
Les critiques se suivent et se ressemblent. C'est excellent à tout point de vu et cette mini ne possède qu'un seul défaut, celui de ne pas être une on-going tant le potentiel est là. Mais attention pour ceux qui lise la phrase précédente, Rob WILLIAMS a su très bien construire son récit depuis le début et les évènements se sont enchainés sans que l'on ai eu une seule fois l'impression de lire une histoire bâclée. Place au débarquement de Normandie (cela tombe bien en ce moment) sous les ordres de Churchill et Eisenhower et où l'histoire est encore une fois brillamment ré inventé. La série n'aura jamais aussi bien mérité son titre car on atteint désormais le point de non retour dans le conflit et la place des Royals est non seulement prépondérante pour la suite des évènements mais ils sont effectivement les Maitres de la Guerre quelque soit la forme de cette dernière. Trahison, pouvoir, allégeance sont au rendez vous et le final promet beaucoup. Superbe Uchronie, parabole de la famille Braddock de chez Marvel, The ROYALS est la mini qu'il faut avoir lu dans cette première partie de l'année. |
#37
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Shutter #3
SHUTTER #3 (Joe KEATINGE / Leila DEL DUCA)
Mon enthousiasme est légèrement retombé mais il reste d'énorme qualité à Shutter. La première étant l'univers mis en place par Joe KEATINGE qui laisse place à un bestiaire intéressant et varié. En plus il est très bien croqué par Leila DEL DUCA qui varie les représentations et les compositions (en strip dès le début par exemple). C'est haut en couleur, imaginatif et délire. Par contre je trouve qu'à côté de cela le scénariste délaisse un peu le côté aventurier de Kate, ce côté intrépide croisement entre Indiana Jones, Tintin et Jack London qui m'avait séduit au premier numéro. Le monde entourant Kate, que nous n'en finissont plus de découvrir (pour le plus grand plaisir des yeux également) prend finalement le plus d'importance. Il faudrait que Joe Keatinge remue un peu plus fort le cocotier, mais au vu de la fin de ce numéro j'ai l'impression que cela sera rebelote la prochaine fois, en espérant éviter le dix de der. Petite déception mais nous n'en sommes qu'au début d'une aventure que j'espère rythmé et grandiose. |
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Manifest destiny #7
MANIFEST DESTINY #7 (Chris DINGESS / Matthew ROBERTS)
On prend les mêmes et on recommence. Ce numéro, le premier du nouvel arc, est la copie conforme du tout premier, avec le même schéma narratif et les mêmes évènements, la différence étant dans le vécu des personnages et dans le lieu de l'action (la rivière). Du coup j'ai un sentiment mitigé. J'ai bien apprécié le fait que Chris DINGESS prenne le temps de rentrer dans la tête de Lewis et Clark et qu'à travers eux on puisse en savoir plus sur la dureté de la vie sur le navire (surtout que de nouveau personnage sont mis en avant) et les réactions de chacun (toujours dangereux d'avoir des femmes sur un bateaux). Par contre j'ai peur de la répétition dans le récit et si chaque arc doit faire 6 numéros sur une trame identique je vais très vite me lasser. Les dessins de Matthew ROBERTS continuent de me plaire. Il c'est bien approprié l'histoire et ses différents environnements (faune, flore, groupe d'aventuriers) L'effet surprise n'est plus là et même si la narration reste solide et intéressante j'espère que Chris Dingess en a encore sous le pied. |
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Infinity people and the forever people #1
INFINITY MAN AND THE FOREVER PEOPLE #1 (Dan DIDIO / Keith GIFFEN / Scott KOBLISH)
Je ne connais pas assez les Forever People de Jack KIRBY pour pouvoir comparer. Je me suis donc lancé dans ce numéro #1 car j'ai apprécié la feu série OMAC des mêmes auteurs. En cette période dominée par les évents incessants sans queue ni tête et en plein milieu d'un New 52 un peu bancal une série comme IMATFP (cela sera plus simple) apporte de la fraicheur voir même de la nouveauté, un comble au vu de l'historique des personnages. Mais, au contraire d'OMAC qui rentrait immédiatement dans le vif du sujet (comme si les auteurs savaient déjà qu'ils auraient peu de temps), cette introduction est un peu longuette et poussive. La bande de jeune qui nous est présenté m'a semblé un poil caricatural et manquant cruellement de noblesse à l'image des dieux qui semblent être. Je pense qu'en 2014 on peut exiger plus que des sempiternelle disputes sur des sujets assez futiles. On voit bien les efforts que fait Dan DIDIO pour rendre hommage à Kirby (il est même cité) et tenter de retrouver la magie et la puissance du King. Mais à trop être dans l'hommage il rate son entrée en jeu et la caractérisation des personnages qui manque pour l'instant cruellement de charisme. Pourtant, grâce notamment aux merveilleux dessins de la paire Keith GIFFEN/Scott KOBLISH la sauce prend au fur et à mesure et on referme ce premier numéro (excellente dernière planche très Kirbyesque) avec un plaisir non dissimulé surtout si on compare avec le reste de la production actuelle. Je dirais peu mieux faire mais très encourageant, car même si je suis resté un peu sur ma faim, ce premier numéro, arrive à puiser intelligemment dans la force et la puissance des récits de Jack Kirby, ce qui est un gage de qualité actuellement. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 16/06/2014 à 09h04. |
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The Empty Man #1
THE EMPTY MAN #1 (Cullen BUNN / Vanesa R.DEL REY)
Je n'avais pas encore lu de Cullen BUNN en dehors de ces travaux pour Marvel qui ne m'ont pas impressionnés. Je sais que son The Sixth Gun a très bonne presse je me suis donc lancé dans ce nouveau titre horrifique. The Empty Man possède pas mal d'atouts. Cullen Bunn utilise parfaitement la place qu'il a pour installer son récit. Après un prologue intéressant et intrigant qui remplie parfaitement son office, le scénariste relie immédiatement les horribles meurtres à un prétendu virus mais aussi à des diverses prédictions et groupuscules assimilé à des sectes. Est on en présence d'un Serial Killer ? D'une bande organisée ? D'un virus signe annonciateur de la fin des temps (et que vient faire ce pasteur arrivé dans les strates du pouvoir) ? C'est à ces diverses questions que vont tenter de répondre les agents spéciaux Jensen et Langford dont les certitudes vont tomber au fur et à mesure que l'on avance dans le récit jusqu'à une fin qui promet de moment épique pour la suite. J'ai été très agréablement surpris de voir comment on rentre facilement dans l'histoire mais aussi comment on identifie rapidement les divers protagonistes et leurs caractères. C'est en cela une réussite totale. Je m'etais également intéressé à cette série suite à la présence de la dessinatrice Vanessa R. DEL REY que j'avais découvert dans HIT. Son style ici se rapproche des derniers numéros de HIT, c'est à dire un dessin un peu brouillon, moins fin mais qui est très efficace pour caractériser des ambiances sombres et mystérieuse. Par contre j'ai été moins convaincu par sa représentation des scènes d'horreur (voir du bestiaire) qui perd en puissance visuelle à cause de l'aspect brouillon. THE EMPTY MAN réussi son entrée avec une tension permanente dans cette histoire d'horreur sous fond de prédiction religieuse apocalyptique. |
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J'ai pas envie de ce IM&tFP perso. C'est un des rares 1 du New52 que je testerais pas.
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#42
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Moi, je l'attends!
Demain, j'espère!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Très, très, très, sympathique… Dans la même veine qu'OMAC avec le duo Didio/Giffen qui revisite l'univers du King. Si l'on peut se poser la question "copier le King est-ce lui rendre hommage?" il se dégage une bonne humeur de cette vingtaine de pages et c'est là l'essentiel.
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#44
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Original Sin #4
Bon, à mi-parcours, je suis déçu, très déçu : je ne vais pas dire que c'est raté car la 2ème moitié peut très bien me retourner mais il y a du boulot. Tout cet épisode ne sert qu'à démonter le cliffhanger du #3 qui, évidemment, était du pipeau (ami lecteur, si tu y as crû, tu es vraiment candide ou n'as pas assez lu de comics des Big Two ce qui peut être une chance) pour un cliffhanger certes prévisible mais sans émotion (et pis ça invaliderait le rejeton, tout dépend de la chronologie des faits). Pour un event basé sur le péché, il n'y a rien mais rien, un peu comme Fear Itself où la peur était la grande absente de l'histoire. Ca n’évolue pas, tout est dans le dialogue des enquêteurs qui comprennent enfin qu'ils sont menés en bateau (comme le lecteur depuis le début sur l'importance de l'histoire?) : oh, il y en a des savoureux mais cela ne va pas loin et je suis triste pour Jason Aaron. Si c'est de son propre chef, il baisse dans mon estime, si c'est encore piloté par les éditeurs, honte à moi d'y avoir (encore) crû... Les sollicitations Marvel de septembre sont tombées et il n'y a quasiment rien en retombées vu que Axis prend déjà le relais : ça semble bien limiter l'impact du péché de la mini-série surtout que je ne lis quasiment rien en vo Marvel. Franchement, 3,99$ pour 20 pages de remplissage sur du papier dégueulasse à tenir en mains, ça me me gonfle bien.
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