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  #556  
Vieux 26/09/2016, 19h03
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Rien ne sert de courir, il faut partir à point...


Eh oui, je suis en retard de 3 ou 4 semaines, je sais. J'ai une circonstance atténuante ceci dit, puisque je ne pouvais pas taper de longs textes depuis quelque temps.
Pour la peine, vous devriez avoir droit à une double ration cette semaine, avec les news de mercredi à venir assez vite.

DC

Catégorie « Excellent »


RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 4

Genre : Une bonne satire

Harley est engagée pour mettre fin au fléau des escrocs téléphoniques opérant en Inde.
Avec l'aide de Bolly Quinn, une de ses associées dont la famille en est originaire, elle part mener son enquête et plus si affinités.

Un numéro qui retrouve enfin l'esprit de la précédente série, entre satire sociale qui fait (un peu, on est pas dans le DD de Nocenti ou le Howard the duck de Gerber) réfléchir et humour simple et de bon aloi.
Avec des dessins fort sympathiques de Linsner en sus!

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20




Catégorie « Sympa »

RIEN

Catégorie « Moyen »

Harley Quinn 3

Genre : Fin d'un premier arc raté

3ème et dernier numéro consacré à la lutte de Harley contre les zombies.
Et surtout, fin!
Rien à signaler de particulier si ce n'est que c'est lourd et indigeste, inutilement étalé sur 3 numéros et que même les dessinateurs ne sont pas à leur meilleur.

Scénario : 10/20
Dialogues : 12/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 10/20




MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Vote Loki 4

Genre : Final réjouissant

Loki joue son va tout dans la course à la présidentielle américaine et décide d'utiliser son ennemie jurée, la journaliste dont il a détruit la maison quand elle était enfant, à son profit.
Jurant de dire toute la vérité devant l'Amérique entière, il l'invite contre son gré sur un plateau rempli de ses supporters en lui demandant de l’interroger.
Consciente que tous ses reportages à charge contre lui ont été jusque là détournés par le dieu des histoires (son nouveau statut actuellement), elle refuse de s'exécuter, le pressant plutôt de répondre aux questions...de ses supporters...

Dernier numéro de cette mini série franchement réussie malgré des dessins assez déroutants, Vote Loki 4 dispose de savoureux dialogues et joue à fond sur la duplicité de l'ancien dieu des mensonges, baladant le lecteur qui est un peu triste de ne pas avoir eu au moins 5 numéros devant lui.
La fin est subtile et réussie, égratignant les politiques américains tout en se gardant de choisir un camp.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20



The Punisher 5

Genre : Fin d'un premier arc réussi

Frank infiltre le cartel qui a tout fait pour le tuer, en même temps que la DEA.

Un final explosif et riche en action et coups de théâtre.
Cloonan nous a fait profiter d'un scénario simple mais bien construit, se reposant sur les dessins très efficaces de Dillon.

Réjouissant.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Civil war II n°5

Genre : Grosse baston

Les camps de Captain Marvel et d'Iron man, poussés par les évènements, en sont réduits à faire parler les poings, tentant tout de même de convaincre leurs adversaires dans le feu de l'action.

Une vision d'Ulysses se matérialise de façon spectaculaire.

Un très bon numéro de pure baston qui laisse de côté la réflexion pour nous offrir des duels superbement mis en scène.
Après des numéros très bavards, ce 5ème opus nous laisse souffler et en prendre plein la vue et c'est pas plus mal.


Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20




Catégorie « Bon »

Civil war II : Amazing Spider-man 4

Genre : Spider Jiminy cricket

Spidey essaie de convaincre Clash de rester dans la légalité en affinant son discours.
Il décide de devenir la conscience morale du camp de Captain Marvel, lui faisant confiance dans l'utilisation du pouvoir d'Ulysses tout en mettant un bémol à sa participation.

Un final réussi mais en deçà du numéro précédent, qui donne à Spider-man une position taillée pour lui.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



Carnage 12

Genre : Tchos tchos sur une île déserte

Suite des mésaventures de Carnage sur l'île déserte qui semble sous l'influence de puissantes forces maléfiques.
La fin de la série semble se profiler.

Ce titre horrifique continue à remplir sa mission avec talent, confirmant l'orientation lovecraftienne prise dans le numéro précédent.
L'emploi des poursuivants de Carnage est bien faite et on suit avec plaisir un titre efficace.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Civil war II : choosing sides 6

Genre : Fin d'un titre chorale bien fichu mais pas exceptionnel

Ce dernier numéro de Choosing sides nous emmène tout d'abord avec la détective Jessica Jones, embauchée par Tony Stark pour trouver déterrer le passé d'Ulysses et en apprendre plus sur le jeune homme.

Une histoire bien faite mais qui n'apporte que peu de choses au crossover si ce n'est d'humaniser Ulysses. Son gros problème est qu'elle aurait dû être publiée bien plus tôt car elle se déroule avant Civil war II n°3...

La seconde histoire voit Captain Marvel tenter de rallier à son camp la super héroïne coréenne White Fox, entraperçue entre autres dans le titre Deadpool.

Un intérêt très limité mais des dessins vraiment beaux. de Takeda Sanada.

Pour conclure, nous avons droit au dernier chapitre de la série suivie consacrée à Nick Fury Jr qui fait face au responsable de tous ses malheurs depuis quelques numéros.
C'est bien fait et réussi à défaut d'être original.

Au final, un des numéros les plus faibles jusque là.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



Catégorie « Sympa »

Deadpool 18 (Civil war II)

Genre : Numéro de transition

Deadpool a une scène de ménage homérique et une discussion plus sereine avec Rogue.

Un numéro un peu ennuyeux, sans rien de notable.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 12/20




Doctor Strange 11

Genre : Autre numéro de transition

Strange tente de se faire à sa nouvelle condition suite aux évènements des dix numéros précédents.
Un ennemi de taille est de retour...

Un numéro qui vaut surtout par les beaux dessins de Nolan car rien n'est particulièrement passionnant à mon goût.

Scénario : 12/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 12/20




Catégorie « Moyen »

Civil war II : Gods of war 4

Genre : Final raté

Hercules et ses alliés foutent leur peignée bien méritée aux nouveaux dieux qui voudraient les remplacer et dont beaucoup ne sont, au final, même pas caractérisés dignement.

Un beau gâchis, malgré la qualité des deux premiers numéros.

Scénario : 10/20
Dialogues : 11/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 10/20




ARCHIE COMICS

Catégorie « Excellent »

Chilling adventures of Sabrina TPB 1

Genre : Rosemary's baby à la cambrousse

Ce TPB, qui regroupe les 5 premiers numéros de la série éponyme, propose une version horrifique très tranche de vie de la célèbre sorcière de l'univers d'Archie.

Dans cet univers parallèle qui se déroule dans les années 60, toute sa petite ville de Greendale et ses environs sont le cadre des pratiques plus ou moins maléfiques d'une assemblée de sorcières adorant le diable qui place en elle ses plus grands espoirs.

Même Betty et Veronica, de la ville voisine de RiveRdale, les amoureuses transies d'Archie, sont des sorcières dont une des conjurations va rater et ramener dans ce monde un puissant démon, Madame Satan, qui entreprend de se venger du père de Sabrina, sappant sournoisement et discrètement l'équilibre de la petite ville.


Chilling adventures of Sabrina est encore un titre marquant de la ligne horrifique des comics Archie, sûrement encore plus marquant qu'Afterlife with Archie car plus subtil.
Les dessins de Robert Hack, à la fois réalistes et un peu vieillots, fonctionnent à merveille car ils renforcent l'impression de lire une BD d'horreur façon EC comics.

La narration et les dialogues sont brillamment écrits et on est littéralement happé par l'histoire.
Une surprise réjouissante.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 17/20




UDON

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Street Fighter legends : Cammy 3


Genre : Le meilleur numéro jusqu'ici !

Cammy et son équipe tente de fouiller la mémoire de Decapre, le premier assassin génétiquement crée par Shadaloo mais leurs actes ont été parfaitement prévus par l'un des derniers agents de l'organisation, F.A.N.G, qui a un plan machiavélique pour recréer les jours de gloire de l'organisation.

En back up, Blanka fait la rencontre de Sasquatch, toujours à la recherche d'une terre pour sa tribu.

Ce numéro est le meilleur jusqu'ici, avec des dessins éblouissants d'un Dogan au top de sa forme et un scénario qui parvient à surprendre le lecteur.

La back up est la meilleure jusqu'ici, l'aspect comique de l'affrontement entre les deux monstres étant bien pris en compte.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Street Fighter swimsuit special

Genre : En retard!

Un peu en retard pour l'été, ce recueil d'illustrations par différents dessinateurs nous montre les street fighters à la plage. Ou plutôt les Street Fighteuses, car seuls Vega et Ryu on les honneurs pleine page de ce volume, les autres mâles faisant de la figuration.

La qualité graphique globale est de très haut niveau, avec des dessinateurs jouant la carte sexy ou comique selon les pages, voire les deux à la fois.

Un one shot dispensable mais qui plaira aux fans des oeuvres du studio canadien Udon, connu pour les très beaux art-books qu'il édite.

Scénario : Sans
Dialogues : Sans
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



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  #557  
Vieux 26/09/2016, 19h39
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Heureux cet homme qui a lu Sabrina en TP. Excellent titre je te suis tout à fait d'accord. Rien à jeter.
__________________
“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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  #558  
Vieux 01/10/2016, 14h01
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MARVEL

Catégorie « Excellent »

The Defenders epic collection TPB 6 "The six fingered hand"


Genre : Super-héros chrétiens

Un TPB que j'attendais avec impatience, ayant été marqué à l'époque par quelques numéros lié à la saga the six fingered hand parus dans le magazine VF Strange.

Ce tout premier opus dédié aux Defenders, alliance informelle de héros pour lutter contre les menaces notamment mystiques ou surnaturelles, regroupe les numéros 92 à 109 du volume 1 des aventures de cette équipe un peu oubliée aujourd'hui ainsi que Marvel Team up volume 1 n°101, qui regroupe Nighthawk et Spider-man dans une aventure qui se déroule avant le n°92 et qui aura des répercussions sur la suite des évènements mais aussi Captain America volume 1 n+268, qui est un crossover avec Defenders 106 et 107.

Le tout est écrit par un auteur que j'aime beaucoup, John Marc deMatteis, responsable du clute Kraven's last hunt mais aussi de mon run favori sur Captain America, entre autres bonnes choses.

L'ensemble des dessins est de Don Perlin pour les esquisses avec des finitions de Joe Sinott et parfois d'autres dessinateurs et encreurs, à l'exception du Marvel Team up (Jerry Bongham, efficace) et du Captain America (qui du très bon Mike Zeck).

De quoi ça cause? D'une très bonne période de la non équipe, à une époque où l'équipe est composée selon les numéros de Hulk, Daimon Hellstrom, la Valkyrie, Nighthawk, Doctor Strange, qui sert de chef, Clea, Demon slayer, Hellcat, la gargouille (qui fait sa première apparition dans le numéro 94, premier chapitre de la sage qui donne sont titre au TPB) et plus rarement Namor et le surfeur d'argent.

En voyant le nombre de personnages dont le nom évoque l'enfer ou les démons, vous ne serez pas surpris que ceux-ci constituent en 1981 et 1982 (date de parution initiale des numéros de ce TPB) l'essentiel des ennemis de l'équipe!
Avant d'évoquer la saga principale, on peut parler rapidement des numéros qui les précèdent et qui permettent d'apporter un autre éclairage sur l'équipe:

Le Marvel team up 101 est concentré sur Nighthawk et son passé, permettant de se familiariser avec ce looser magnifique, sorte de Batman à qui rien ne réussit.

Le numéro 92 de Defenders voit l'équipe approchée par le dieu cosmique Éternité (que Doctor Strange fut le premier super mortel à rencontrer) afin de récupérer des avatars qu'il a envoyés sur Terre et qui semblent avoir disparu. Leur absence prolongée de son essence menace la fin de la galaxie.

Le numéro 93 voit le retour d'un vieil ennemi des Defenders, qui révèle ici une nature plus monstrueuse que prévu et le retour de Namor à ses vieilles lubies d'invasion de la surface.

Ces deux numéros posent également de nouvelles bases pour la constitution de l'équipe et le statu quo de Nighthawk, qui ramasse décidément.

La saga proprement dite de la main à six doigts voit l'équipe s'opposer à une alliance de démons mineurs qui ont associé leur puissance et leurs pouvoirs pour corrompre un maximum de mortels et les faire déchoir. Leurs plans sont très variés, qu'il s'agisse de l'invasion démoniaque de la petite ville ravagée par le chômage de Christiansboro, la manipulation de Dracula et ses vampires, des messages subliminaux pendant les concerts de groupe de hard rock et même un messie israélien!
De la réussite de leurs plans dépend l'invasion démoniaque de la Terre et bien d'autres choses cachées.

Cette saga majeure est l'occasion de développer les personnages (notamment mineurs) de Hellcat, la gargouille ou encore Devil slayer, tous étant en lutte contre leur passé et certains actes qu'ils regrettent.
Mention spéciale par exemple pour la relation intelligemment brossée entre un hippie à la dérive, Sunshine, et l'ancien soldat Devil slayer.

Mention spéciale également à la relation entre Daimon Hellstrom et son père, Satan (en fait le démon majeur Marduk Kurios, que tout le monde appelait Satan à l'époque), bien plus complexe et subtile que ce qu'on pourrait en attendre, le héros étant un hybride d'homme et de démon partagé entre ses héritages.

Les thèmes de la vengeance, de la rédemption, de la responsabilité, de l'héritage, du Bien et du Mal, tous symptomatiques de l'oeuvre de DeMatteis, répondent tous présents et sont très bien mis en scène quitte à forcer le trait en concluant les épisodes de certaines morales (souvent le fait du "révérend père" Doctor Strange, figure du prêtre dans les Defenders) parfois un peu lourdes et trop appuyées. Ceci est peut-être dû au fait que les titres de l'époque étaient lus par des enfants ou de jeunes lecteurs.

Le crossover avec Captain América est de facture plus classique, avec une menace de troisième guerre mondiale dûe à la volonté de nationalistes en rupture de ban issus d'agences gouvernementales.
Il permet d'apercevoir des héros comme le fauve, Daredevil ou Spider-man, intelligemment utilisés, donc on ne va pas se plaindre.
Les deux derniers numéros sont consacrés au statu quo de la Valkyrie et sont eux aussi bien sympathiques bien qu'un peu inférieurs au reste car plus classique.

Il faut enfin parler des dessins de Perlin et de ses collègues. Si vous vous fiez à la superbe couverture de Michael Golden qui illustre le TPB, vous allez être déçu car Don Perlin a un trait beaucoup plus basique, limite enfantin par endroits (les expressions des personnages sont assez limitées) et surtout très figé et basique.
En clair, il fait le boulot mais il ne vous fera pas acheter le volume!
Tout cela est très daté et a vraiment mal vieilli, même si le niveau reste professionnel et d'une qualité acceptable.

Au final, un TPB qui n'atteint pas les sommets des numéros des Defenders par Steve Gerber mais est au niveau de la saga "Who remembers Scorpio?" de David Anthony Kraft (toujours dans les pages des Defenders), c'est à dire assez mémorable si vous faites abstraction des dessins souvent décevants et impersonnels.
Un volume Epic collection à acheter, assurément.


Scénario : 17/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 17/20



Sam Wilson : Captain America 13 (Civil war II)

Genre : Dans Falcap, il y'a "Falcon"

Sam affronte US Agent, bien décidé à lui reprendre le bouclier à cause de ses positions politiques orientées à gauche, dont le dernier avatar est son opposition à la violente milice des Americops. Or, Sam Wilson, contrairement à son adversaire, ne possède pas le sérum du super soldat dans ses veines...

Un numéro de combat qui n'a pas que ça à offrir et prépare l'avenir tout en faisant allusion à Civil war II de façon intelligente et pas lourde. Les deux évènements qui se déroulent dans les dernières pages promettent un futur assez sombre pour Falcap.
Superbes dessins et couleurs de Daniel Acuna!

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Catégorie « Très bon »

Doctor Strange annual 1

Genre : Une visite inattendue

Après les évènements de Doctor Strange 1 à 11, la belle Clea, ex compagne du mystique, rend visite au 177A Bleeker Street à New York, désarçonnant le bon docteur, qui se met en tête de lui servir du thé.
Pendant ce temps, Wong a maille à partir avec l'artisan surnaturel engagé pour réparer les dégâts de la maison, un personnage mal embouché mais très demandé, ce qui provoque une vive tension dans le Sanctum sanctorum et complexifie d'autant plus la discussion entre Strange et Clea.

La back up présente les premières pages de la série à venir Doctor Strange and the sorcerers supreme, se concentrant sur un certain jeune sorcier asiatique...


Excellente surprise que ce numéro écrit par Kathryn Immonen qui nous permet de connaître ls statu quo actuel de Clea, célèbre résidente du domaine de Dormammu.
L'histoire est construite comme une tranche de vie ordinaire de personnages extraordinaires et ça fonctionne parfaitement bien.

Les dessins de Leonardo Romero, que je ne connaissais pas, sont très plaisants, dans la ligne d'un Chris Samnee.

La back up ne m'a pas du tout emballé. J'ai du mal avec la narration et les dessins malgré le concept sympathique de faire une équipe de sorciers suprêmes issus de toutes les époques jusqu'à aujourd'hui.
Peut-être en TPB mais vraiment, les dessins de Jonathan Marks Baravecchia ne me plaisent pas.

Scénario : 15/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20




Steve Rogers : Captain America 5
(Civil war II)

Genre : Les coulisses de Civil war II


Oh, encore une belle couverture qui n'a rien à voir avec la choucroute!
Dans ce numéro, on continue à découvrir le passé lointain qui a conduit aux récents actes de Cap avec en prime des têtes connues qui essaient de brouiller les pistes.

Ce Cap 5 a également l'avantage de nous révéler quelques vérités cachées derrière certains des évènements les plus spectaculaires de Civil war II dont quelqu'un tire en partie les ficelles en coulisse. Plus dure sera la chute...

On a encore un nouveau dessinateur que je ne connais pas, Javier Pina, qui ne parvient pas à faire oublier l'excellent boulot réalisé sur les 3 premiers numéros (le 4 était déjà en dessous du lot).
Malheureusement, il contribue à faire de ce numéro 5 le plus faible jusque là car il peine rendre la tension sous-jacente des évènements, un peu trop mis en les uns à la suite des autres, ce qui est dommage.

Il reste une série qui demeure pour l'instant vraiment passionnante à suivre grâce à son postulat de base et qui explique pourquoi Steve Rogers s'est rallié au camp de Captain Marvel (hasard du calendrier, ce n'est toujours pas le cas dans la série principale, au numéro 5...)
Le fait de voir les évènements de la mini principale sous un éclairage nouveau rend ce numéro assez passionnant malgré sa faiblesse graphique.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20



Catégorie « Bon »

Civil war II : Kingpin 3

Genre : Caïd vs Pupu

Le Caïd est confronté à des trahisons internes à son organisation tandis que son atout maître pour contrer la politique Minority Report de Captain Marvel a disparu.
Le Punisher y voit un bon moment pour finir le travail...

Un numéro raconté du point de vue du Caïd en voix intérieure de très belle façon. On entrevoit son système de pensée, celui-ci se voyant comme un bienfaiteur inconnu de la société new yorkaise...
Le combat contre Pupu est prenant même si j'ai toujours un peu de mal avec les dessins d'Ortiz et Sherman qui ont tout de même pour mérite d'avoir un très bon découpage.
Malgré toutes ces qualités, ce numéro est bien moins convaincant que les précédents, principalement car il laisse tomber la trame principale lié à Civil war II le temps d'un numéro.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



The totally awesome Hulk 10(Civil war II)

Genre : Hulk vs Black Panther round 1

Les répercussions des actes de Hulk suite à sa confrontation avec les deux Captain dans le numéro précédent.
Black Panther est chargé par sa collègue de boulot Captain Marvel d'arrêter Amadeus Cho avec l'aide d'un agent du SHIELD.
Sortant sa plus belle armure Hulkbuster (pas de raison que seul Stark en ait une), ce dernier concocte un plan pour le mettre en face de ses contradictions et faire qu'il se rende.

Un numéro vraiment classique pour ce qui concerne le scénario sans surprises mais qui bénéficie d'une très belle mise en images.
Les dialogues sur le poids de la couronne sont également réussis.
J'ai hâte de voir la Hulkbuster de Spider-man. Ben oui, il semble que ce soit la hype d'en avoir une pour les super-héros à background scientifique en ce moment.


Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



Deadpool annual 1

Genre : Annual dispensable mais un peu étonnant

Ce numéro spécial est articulé autour de deux histoires principales.

La première est une parodie d'un vieux DA ricain pour enfants qui n'est pas parvenu chez nous, Spider-man and his amazing friends. Ici, Wade Wilson remplace Spidey, parti au Mexique manger de la junk food local.
Il affronte les sinister six et débute un maelstrom de violence dans un univers qui n'y est pas habitué...

La seconde histoire est d'Adam Warren, célèbre pour avoir été un des premiers à apporter un aspect manga dans les comics américains.
Dans l'histoire très bizarre qu'il nous présente ici, Deadpool affronte un étrange monstre biomécanique à la puissance colossale en compagnie d'une gynoïde habillée comme une gothic lolita.

Ces deux histoires sont bien dessinées, bien menées, assez amusantes mais très convenues.
Mention spéciale toute de même pour les dessins de Warren, qui est assez rare et livre ici une très belle copie malgré une histoire indigeste en diable.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 13/20



Deadpool 19

Genre : Deadpool 2099 II

Ce numéro est consacré aux aventures de Deadpool 2099 et nous révèle un futur possible pour le bavard mercenaire. Il fait suite à un assez récent numéro (le 12) qui nous présentait pour la première fois la version futuriste du héros avec quelques surprises.

Le problème est que celui-ci ne présente du coup plus aucune nouveauté et se contente juste de suivre le cours de l'histoire précédente tout en faisant quelques allusion aux évènements de la série de 2016.

Il est annoncé que la fin du scénario de ce pan temporel sera pour le numéro 25.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 13/20




UDON

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Street Fighter unlimited 10

Genre : Le combat final

Gill le messie abat ses cartes face au vainqueur du grand tournoi et le moins qu'on puisse dire est que, si il n'avait pas tout prévu, sa puissance colossale l'en dispense!

Le retour de Joe NG pour les derniers numéros est un vrai plaisir tant il nous pond des pages impressionnantes, notamment les dernières.

Le scénario de Street Fighter III (le jeu) est très bien mis en valeur dans ces pages et réserve même quelques surprises sympathiques.

On a même une back up très sympathique qui est un hommage à la version américaine du jeu Nintendo Street Fighter 2010 assez décalée avec Cruz efficace au dessin.

Facilement le meilleur numéro jusqu'ici.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

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Harley Quinn 5

Genre : Scénario nawak

Un gang de voleurs venus de la côte ouest défraie la chronique à New York.
Juché sur des chevaux et revêtus d’armure, ils sont également les membres d’un groupe punk radical.

Le nouveau chef de la police, qui a obtenu son poste grâce à l’aide d’Harley et de Red Tool dans le volume précédent fait une nouvelle fois appel à eux pour les mettre hors d’état de nuire.
Harley décide de monter un groupe punk pour infiltrer le milieu…

Premier numéro d’un nouvel arc narratif, ce 5ème opus est peut-être le meilleur jusque-là de ce nouveau volume de la série, la parodie fonctionnant très bien et les dessins étant superbes.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Doctor Strange 12


Genre : Old school is best school ?

Le doc a une touchante réunion avec son mystérieux « fils » et se retrouve confronté au bon vieux baron Mordo, juste à temps pour la sortie du film !

Un premier numéro d’arc narratif très plaisant, avec toujours de superbes dessins, une bonne utilisation du nouveau statu quo et un cliffhanger alléchant, le tout pour un retour aux sources réussi sur de nouvelles bases.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20



Deadpool: back in black 1

Genre : Deadpool team up


Après Deadpool’s secret secret wars, la mini serie qui nous révélait que Deadpool avait participle aux guerres secrètes de 1984 et brièvement porté le symbiote mais, ayant pigé que c’était un être vivant, avait préféré le laisser à Spider-man, nous retrouvons le cours de la fin des années 80. Fuyant des E.T qui semblent bien décidés à lui faire la peau, le symbiote trouve un nouvel allié après avoir été rejeté par Spider-man : Deadpool !
Celui-ci fait à l’époque équipe avec Machine man et est à la fois archéologue façon Indiana Jones et pompe à fric…

Un début vraiment réussi, avec fausses pubs en bas de pages, célèbre mention «continued after next page » (sous-entendu « après la pub »), beaux dessins et bonne exploitation du symbiote.
Deadpool est parti pour parodier cette fois-ci les titres de l’époque du tisseur, à commencer ici par Marvel Team, un titre qui rassemblait Spider-man et un héros moins connu à chaque épisode.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20


IMAGE

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

The walking dead TPB 26

Genre : Marche à la guerre

Voilà un tome qui bouge les lignes !
Suite aux évènements graves du TPB 25, la guerre est désormais larvée entre la communauté de nos héros et les chuchoteurs.

Rick fait tout pour se préparer sans que ses adversaires le sachent, entraînant ses concitoyens de manière quasi militaire avec l’ancien bras droit de Negan, qui a un background adéquat.
Il fait également tout pour augmenter la combativité de ses troupes, recourant même à la propagande.
Suite à une erreur psychologique de débutant, il va sans le vouloir enclencher le début des hostilités, en fournissant sans le savoir une situation en or à son pire ennemi…

Un très bon tome, qui change assez radicalement le statu quo.
On est baladé dans une atmosphère pleine de tension d’une faction à l’autre et certaines pages sont même carrément surprenantes.
L’antagoniste principal est enfin extrêmement bien écrit, en psychopathe capable de raconter à sa cible ce qu’elle veut entendre et à tout faire pour parvenir à ses fins.

Depuis le volume 22, on file décidément un bon coton. Vivement la suite !

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

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  #560  
Vieux 13/10/2016, 18h44
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MARVEL

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Punisher 6

Genre : Le passé de Pupu

Alors que notre protagoniste féminine est à la limite de de la mise à pied de la DEA après les évènements du 5, nous effectuons une plongée dans le passé du Punisher, vraisemblablement pendant la première guerre du golfe.
Le Punisher post Secret wars, plus jeune, semble donc avoir été soldat durant cette guerre plutôt que celle, désormais lointaine, du Viet-nam.
On n’y perd pas au change car son portrait montre un personnage à l’époque plus humain et on y apprend de nombreuses choses sur les autres personnages que nous avons rencontrés précédemment.
On referme ce numéro avec une sensation de trop peu, ce qui est bon signe.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Deadpool 20

Genre : Le suicide, c’est mal

A quel personnage penseriez-vous le moins pour dissuader un suicidaire de sauter ?
Deadpool tente de convaincre une jeune femme de se jeter de son immeuble, lui conseillant plutôt celui de Parker industries, quelques kilomètres plus loin.
C’est le début d’une étrange rencontre très intéressante pour un numéro qui délaisse un peu les arcs en cours.

Bonne surprise que ce stand alone sur un sujet grave, tourné avec intelligence en dérision ou presque. Le message des auteurs est bien mis en scène et conseille au lecteur d’orienter le suicidaire vers les professionnels de la santé, insistant sur le fait que même un super-héros n’a pas toujours la bonne réponse à apporter.
Bon, en même temps, elle est pas tombée sur le meilleur.

Dessins très chouettes.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

Howard the duck 11

Genre : This is the end

C’est fini et j’ai presque envie de dire “enfin” tant les deux derniers numéros avaient tendance à plomber la série.
On voit que les auteurs ont voulu faire deux numéros à la Stever Gerber mais c’est assez laborieux et relativement poussif.

Une annonce de nouvelle série (un jour) est faite mais je pense qu’une autre équipe créatrice serait souhaitable, même si les deux run cumulés que je viens de lire ont leur qualités (Iron Punisher, notamment).
Le problème avec ce personnage, c’est qu’il est tellement lié à son créateur qu’il est difficile de le mettre en scène et de ne pas être comparé avec lui.

Un final efficace mais qui aurait pu être bien meilleur.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20

Réponse avec citation
  #561  
Vieux 20/10/2016, 19h25
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Harley Quinn 6

Genre : Never mind the bollocks, here's the sex pistols

Suite de l’infiltration d’Harley dans le milieu punk pour confondre un group criminal à la demande du chef de la police de New York.
Comment tenir avec seulement trois chansons ? Il faut avoir le sens du spectacle, sentir son public et …truquer son entrée en scène !

Un bon numéro bien écrit qui vaut surtout par ses très bons dessins, dans un style proche de celui de Sean Murphy.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20




MARVEL

Catégorie « Excellent »

Sam Wilson : Captain America 14

Genre : Prise d’otages

Le nouveau Flag smasher et les terroristes d’Ultimatum ont pris en otage les convives d’un repas de collecte de fonds en l’honneur d’un sénateur du Texas anti Falcap. Il demande la présence des deux Captain America afin de leur faire une offre qu’ils ne peuvent pas refuser…
Pendant ce temps, la campagne en ligne afin que Falcap rende son bouclier à Cap (alors que celui-ci le lui a donné devant les caméras) bat son plein.

Encore un numéro de haute volée qui actualise les terroristes anti frontières d’Ultimatum en actualisant le propos, Flag smasher livrant un discours anti Wall street assez intéressant.
La conclusion, vers laquelle tout ce numéro plein de tension est dirigé, annonce du lourd.
Un début d’arc passionnant.

Scénario : 17/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Doctor Strange 13

Genre : Après toutes ces années, la psychologie de Strange lui échappe encore…

Après avoir fait face au retour du baron Mordo, la vie de Strange change du tout au tout. Ila toujours été un brillant chirurgien égocentrique, il vit dans un manoir dont il ne connaît pas le nombre de pièces et sort avec deux infirmières en même temps. Mais pourquoi aucun imprévu, aucun aspect irrationnel ou hasard n’existe dans sa vie bien rangée ?
Et les infirmières, pourquoi le nombre semble changer ?

Un superbe numéro à la résolution très bien faite qui rend justice à un des plus anciens et des plus grands ennemis de Strange.
Ce nouvel arc est parti pour être grand.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Carnage 13

Genre : Descente dans les tréfonds de la Terre

Carnage pénètre plus avant les vieilles ruines de l’île, poussé par les Tcho tchos locaux qui l’attaquent régulièrement et ayant bien du mal à faire le tri dans ses souvenirs, mêlés avec ceux du symbiote qui l’accompagne.

Son voyage semble toucher à sa fin. Accomplira-il la prophétie ?

C’est facilement le plus beau numéro de la semaine. L’ambiance lovecraftienne de l’immense cité souterraine est étouffante, inquiétante et majestueuse à la fois, les deux symbiotes ne dépareillant nullement en son sein.

Ce numéro d’ambiance nous prépare à une rencontre qui promet d’être impressionnante

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20



Civil war II : Kingpin 4

Genre : Le dernier mot

Le caïd, prisonnier du SHIELD, est contraint d’aider à démanteler son empire criminel par un jeune officier carriériste qui sous-estime clairement la menace.
Fisk débusquera-il la taupe qui lui a valu tous ses ennuis ?

Un numéro de fin très bien exécuté malgré ses dessins très particuliers.
Les dialogues constituent toujours le point fort de cette plongée dans le milieu criminel de Marvel, le personnage titre étant très bien compris par le scénariste.

Une série qui lui est dédiée est annoncée en fin de volume.
Ça peut valoir le coup…

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

Deadpool : back in black 2

Genre : Le retour des eighties

Revêtu du symbiote qui sera connu plus tard sous le nom de Venom et poursuivi à son insu par des mercenaires E.T, Deadpool joue les Spider-man bis et rencontre les enfants de Power pack, qui participent à un anniversaire durant lequel les fous de parents ont engagé Obnoxio le clown, ex mascotte du défunt magazine Crazy et personnage amoral et sale.

Encore un bon numéro d’une série qui retranscrit bien les années 80 et leurs personnages phares ou désormais oubliés.
Les fausses pubs sont toujours présentes, le dessin est bon…Pour une parodie, c’est convaincant mais on attend un peu plus de la suite.


Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20

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  #562  
Vieux 28/10/2016, 17h16
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Catégorie « Excellent »

Silver surfer 7

Genre : Le surfeur parie de l’argent


Le surfeur et Dawn se baladent sur des planètes de conte de fée. Désirant épater sa compagne qui ne souhaite pas être surprotégée, le surfeur l’emmène dans une gaalxie où tout peut être parié et y croise certains de ses vieux ennemis, très occupés.

Rien à redire, c’est encore une fois que du bon, avec quelques scènes presque improbables, notamment un surfeur qui a jeté aux orties sa prudence et son sérieux habituels.
Chaque numéro est un régal.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Deadpool 21

Genre : Enfin un arc à nouveau convaincant ?

Abandonné par presque tout le monde, Deadpool fait face au retour d’un de ses ennemis intimes et lui fait face seul.

Un hommage à Shakespeare de 5 chapitres complète l’histoire en cours.

Encore un énorme numéro en matière de pages, Marvel en profitant pour caser une longue histoire bonus et faisant monter le prix à 10 dollars. Ce doit être la 4ème ou 5ème fois qu’ils utilisent ce procédé depuis que j’ai commencé Deadpool. Le personnage est-il si populaire qu’il permet de vendre n’importe quoi ?
L’histoire principale est une réussite qui permet de revoir brièvement Hydra Bob.

L’histoire pastiche respecte très bien le style de Shakespeare et projette le merc with a mouth dans son univers bavard et en une époque où il n’a rien à faire.
Là aussi, c’est du bon, même si on aurait préféré avoir le choix d’acheter ou non la suite du run principal sans faire l’acquisition obligatoire de ce pastiche.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Steve Rogers : Captain America 6 (Civil war II)

Genre : Les coulisses de Civil war II

Décalque du Civil war II n°6 qui est sorti en même temps cette semaine, ce numéro continue à nous révéler les coulisses du crossover et est largement plus intéressant que celui-ci car nous avons rarement eu un Cap aussi…différent tout en restant fidèle à ses fondamentaux.
Très bonne séquence de dialogue entre lui et Iron man au sujet des deux civil wars.

La partie qui nous raconte comment il en est arrivé là continue à être passionnante et bien écrite et on se régale toujours en essayant de deviner où Cap veut en venir avec ses manœuvres.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20



Catégorie « Bon »

Civil war II n° 6

Genre : Crossover à la bourre

Version officielle de ce qui se passe dans Steve Rogers : captain America 6, Civil war II continue à avancer lentement.
Première apparition (pour moi en tout cas) de Riri Williams, qui semble liée à Iron man, vision frappante impliquant Cap et le jeune Spider-man qui achève de diviser les deux camps, naissance d’un troisième camp qui va faire bande à part dans cette guerre, héros qui changent de bord, Captain Marvel comme Iron man qui semblent assez paumés et sont bien écrits et Inhumains de plus en plus bizarres…

Un numéro tout de même très agréable à lire grâce aux toujours superbes dessins de Marquez et au talent de dialoguiste de Bendis.
Mais quand même, vivement la fin.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



Punisher annual 1

Genre : Dangereuse filature

Un jeune homme suit le Punisher qui est lui-même à la recherche d’un meurtrier le soir d’Halloween.
Fils de policier, il considère contre l’avis de son père que ce qui tient l’Amérique unie n’est pas la Loi mais la haine…

Un one shot écrit par un Conway très efficace et qui réserve quelques surprises.
L’idée de décrire l’intrigue principalement par les yeux du poursuivant de Pupu est bonne car elle renforce la proximité avec l’action.
Le dessinateur est bon et crée une ambiance inquiétante à souhait, presque brumeuse.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20




The totally awesome Hulk 11
(Civil war II)

Genre : Grosse baston très efficace

Suite de la grosse baston entre Black Panther envoyé par Captain Marvel et Hulk, qui menace un héros bien connu. Pendant ce temps, on en apprend un peu plus sur les monstres géants que le titan de jade affronte depuis le numéro 1 et on assiste à de superbes combats très bien mis en images.

Un numéro qui ne fait pas beaucoup avancer les choses mais qui est un régal visuel, Asrar étant particulièrement en forme et dynamique.
Il se passe clairement avant Civil war II n°6.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20

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  #563  
Vieux 04/11/2016, 17h13
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Catégorie « Bon »

Harley Quinn 7

Genre : God save the queen…

Fin de l’arc punk d’Harley qui découvre la vérité sur le groupe criminel et revoit un vieil « ami ».
C’est toujours aussi beau et toujours aussi simple et efficace.
Je suis curieux de voir ce que les auteurs nous réservent pour l’histoire suivante.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



MARVEL

Catégorie « Excellent »

Star wars epic collection : legacy 1

Genre : Dark star wars

Ecrire Marvel et Star wars dans la même phrase, j’ai toujours autant de mal, d’autant plus quand c’est Marvel (avec le joli logo Disney en 4ème de couv, absent des volumes relatant les histoires de super-héros) qui réédite dans la collection Epic de vieilles histoires de l’éditeur Dark Horse.
Tout le monde suit toujours ?

Ce gros volume très dense reprend la première des parties de la série Legacy écrite et dessinée entre autres par Ostrander et Duursema, principaux maîtres d’œuvre de cette superbe fresque.
On a donc les numéros 1 à 19 et le numéro 0 promotionnel qui les a précédés et explique en dessins et en textes cette nouvelle époque, heureusement relégué en fin de volume tant il spoile toute la série.

Se déroulant 120 ans après l’épisode 6 de la saga originelle et très inspiré d’un script non retenu avant la réalisation du premier des trois films de l’époque, Legacy conte les aventures de Cade Skywalker, ancien jedi devenu chasseur de prime avec deux acolytes rencontrés dans le navire pirate qui l’a recueilli après qu’il ait été jugé mort par son ordre après la mort de son père.

L’alliance galactique ne domine plus l’univers et un nouvel empire, qui s’appuie sur des chevaliers jedis « gris », vient d’asseoir sa domination après les guerres meurtrières contre les Yuzhan Vong, peuple guerrier venu d’une autre galaxie.
Ce nouvel ensemble s’est également allié avec un nouvel ordre sith dirigé par Darth Krayt, un homme imposant et charismatique qui trahit l’empereur avec la complicité de certains de ses moffs pour devenir le nouveau dirigeant. Mais son rival, en exil, attend son heure, recensant les troupes qui lui sont restées loyales.

Legacy se propose donc principalement de nous relater les affrontements de ces deux empires mais surtout les aventures de Cade, personnage qui navigue entre le côté lumineux et le côté obscur de la force comme naguère le jedi Quinlan Vos, meilleure création d’Ostrander et Duursema durant la guerre des clones dans la chronologie Dark Horse, désormais caduque.

Disons le tout de suite : c’est sombre, mais alors carrément.
C’est l’histoire la plus désespérée que j’ai lue sur Star wars tant l’univers semble mal en point entre les affrontements des deux empereurs, l’alliance galactique réduite à la portion congrue et des jedi totalement dépassés par leurs congénères sith, qui ont renié la règle des deux.

On découvre bien sûr de jolis retcons liés à tous ces nouveaux personnages dont certains ont connu et survécu à la guerre des clones et d’autres sont issus des autres œuvres d’Ostrander liées à Star wars, ce qui donne une belle impression de continuité.
La série met vraiment le côté obscur à l’honneur et offre une des premières visions moins manichéennes des choses, Cade faisant fréquemment appel à cet aspect de la force pour…guérir des blessures mortelles !
C’est un personnage réjouissant car il remet en cause les crédos des deux versants opposés des jedi et a tendance à utiliser ce qui fonctionne sans suivre les règles. Il fait parfois ado tête à claque mais est dans l’ensemble un personnage attachant car novateur et à la pensée bien définie.
Ses acolytes sont plus unidimensionnels mais relativement attachants, tout comme certains personnages secondaires.
Les siths sont vraiment flippants mais gardent pour la plupart une personnalité un peu ambivalente marquée par leur loyauté à leur maître mais surtout par la passion qui les anime (est-ce que ça explique la couleur rouge de la plupart d’entre eux ?). Par comparaison, les jedis croisés par le lecteur font bien plus penser à des moines rabat-joie et ennuyeux, Ostrander utilisant cet artifice pour détourner le manichéisme habituel. Le côté obscur reste ce qu’il est et a tout de même tendance à ravager le corps de ses utilisateurs, comme en témoigne le personnage de Darth Krayt, seul sith vraiment creusé et très charismatique (on est loin du piteux Darth Maul).

Pour ce qui concerne les planches de Jan Duursema, l’artiste s’est surpassée. C’est peut-être ce qu’elle a fait de mieux chez Dark Horse à ma connaissance. Sa Darth Talon est sublime.
Les autres dessinateurs employés pour les intrigues secondaires sont aussi assez convaincants.

Si vous avez envie de lire le meilleur d’Ostrander et Duursema sur un titre Star wars et si un titre plus sombre que la moyenne ne vous fait pas peur, Legacy est un excellent choix.

Scénario : 17/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20




UDON

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Street Fighter unlimited 11

Genre : La chute de Gill

Gill affronte tous les street fighters en même temps dans un combat grandiose mis en images par Joe Ng au sommet de son art.
Nous assistons à la conclusion de l’histoire de Street Fighter III (le jeu) dans ce numéro, mêlé à des éléments du V et c’est fait de façon souvent surprenante comme l’épilogue le montre.

Le numéro 12 et dernier de la série nous promet un combat épique entre deux combattants plus puissants que jamais.
En tout cas, on en prend plein les yeux.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

Street Fighter legends : Cammy 4

Genre : La fin du programme Dolls

Fin des aventures de Cammy, qui mène l’assaut contre les troupes de Shadaloo aux bien noirs desseins.
Omar Dogan se surpasse encore une fois pour l’aspect graphique, avec des couleurs somptueuses et des combats prenants.
Le scénario réserve sa part de surprises malgré le côté nécessairement convenu d’un numéro de conclusion.
La série boucle presque totalement l’intrigue des dolls de Shadaloo avec un message optimiste dans l’ensemble.
Il est amusant de constater que la même logique sous-tend désormais les actes du red Skull de Marvel et du Bison de Capcom/Udon.
Ça rend leurs personnages plus flippants que jamais.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 14/20

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  #564  
Vieux 08/11/2016, 22h25
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Genre : Le surfeur parie de l’argent


Le surfeur et Dawn se baladent sur des planètes de conte de fée. Désirant épater sa compagne qui ne souhaite pas être surprotégée, le surfeur l’emmène dans une gaalxie où tout peut être parié et y croise certains de ses vieux ennemis, très occupés.

Rien à redire, c’est encore une fois que du bon, avec quelques scènes presque improbables, notamment un surfeur qui a jeté aux orties sa prudence et son sérieux habituels.
Chaque numéro est un régal.

Scénario : 17/20
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Note finale : 17/20
C'est en effet très bon et surtout bien écrit (et jouissif de voir le Surfer se prendre au jeu puis arriver à rouler un expert) mais je suis quand même en léger manque d'affrontement cosmique. Après je ne peux pas reprocher non plus à Slott d'écrire un comics différent surtout vu l'originalité de l'orientation prise. C'était histoire de chipoter un peu.
__________________
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  #565  
Vieux 12/11/2016, 22h48
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J'attends la réédition du 1 de Deadpool Back in Black pour lire le 2.
Je l'ai pris après ton avis du 1 en pensant que c'était une couv différent du 1.
C'est ça de pas lire le numéro en couverture. ^^
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  #566  
Vieux 13/11/2016, 12h30
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Bunn pond de bonnes mini séries sur le personnage et on sent qu'il est nostalgique.

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Captain America 7

Genre : Heil Hydra! Heil Hydra! Heil Hydra!

Rarement on aura eu une couverture aussi à propos de Captain America, après les résultats du 9 novembre dernier.
Il faut dire que Spencer a clairement joué le jeu et mis en garde ses concitoyens dès le numéro 1 de Sam Wilson : Captain America, s'attirant les foudres de Fox news, entre autres.
Dès la fin du numéro 1 de Steve Rogers : Captain America, il enfonçait le clou et se faisait de nouveaux ennemis qui refusaient de lire la suite, tant le cliffhanger était marquant.
Pour faire clair, Spencer roule pour les démocrates et a mis en scène les discours de Donald Trump et des populistes européens par le biais de Red skull et d'un groupe de millionnaires Texans mais également d'un personnage clé de la série.
Hydra se bat sur trois fronts : un médiatique, par le biais des fascistes et néo nazis que le skull convainc par ses discours, un secret, par les actions d'un personnage public populaire pour apporter la division en Amérique et désormais, à partir de ce numéro, un militaire, à travers la Sokovie tirée du film Avengers 2.
Le plan du skull est à plusieurs facettes mais vise toujours la fin de son ennemi idéologique, l'Amérique qui a triomphé du 3ème Reich. Et le moins qu'on puisse dire est qu'il a toutes les cartes en mains, l'animal, d'autant plus que son plan en Sokovie est juste génial, jouant sur deux tableaux en même temps, afin de convaincre les EUA comme le monde que son action est bénéfique, le tout sans utiliser les pouvoirs de Charles Xavier dont il s'est emparé, avec ses seules intelligence et éloquence.

Le passé de Steve Rogers continue d'être peu à peu révélé et de passionner. En plus, on est enfin sortis de Civil war II, dont les titres Captain America étaient parmi les rares à bien se servir mais qui commençaient à faire long feu. Ce nouvel arc arrive donc à point nommé et confirme tout le talent d'un Nick Spencer mais également le retour aux crayons du très bon Jesus Saiz

Scénario : 17/20
Dialogues : 18/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Deadpool : Back in black 3

Genre : Kumo to Neko to Usa

Les gens le prennent pour Spidey, il lui a piqué son symbiote et maintenant il est à deux doigts de le faire avec sa copine de l'époque, Black cat!
On retrouve dans ce numéro ce qui faisait le charme des précédents, à savoir un vibrant hommage à une époque, une méchante ringarde, White rabbit, des dialogues amusants mais surtout beaucoup d'humour noir. Attention, la couverture ne ment pas mais c'est fait de manière acceptable.

Prochain numéro, Kraven's last hunt à la sauce Deadpool. J'ai hâte!

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20


Dernière modification par Man-Thing ; 13/11/2016 à 12h41.
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  #567  
Vieux 13/11/2016, 18h05
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Le Steve Rogers #7 est effectivement excellent, avec encore une dernière page que je n'avais pas vu venir !
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Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5

Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu.
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  #568  
Vieux 13/11/2016, 19h34
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Spencer est déjà un de mes scénaristes favoris de Captain America ever.
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  #569  
Vieux 27/11/2016, 10h44
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DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 8

Genre : Les peines de cœur d’Harley

Harley et Ivy ont été invitées par Sy Borgman et sa femme sur une île abritant un camping nudiste dont ils sont en partie propriétaires.
C’est l’occasion pour la clown de se détendre, d’autant plus qu’elle révèle à l’écologiste un certain « retour » du Joker via divers objets, comme s’il voulait la reconquérir…

Un numéro léger à la conclusion intéressante, qui appuie clairement sur la relation amoureuse qui existe entre Harley et Ivy (on voit même un vibromasseur, j’ai été étonné !)
Bien sûr, la couverture (réussie) en fait des tonnes pour pas grand-chose mais ce numéro plus fin qu’il n’y parait est peut-être le plus convainquant depuis le reboot.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



MARVEL

Catégorie « Très bon »

Doctor Strange 14

Genre : La galerie d’ennemis s’élargit

Le doc continue d’affronter sa galerie d’ennemis qui prend un malin plaisir à l’enlever et le menacer maintenant qu’il est affaibli.
Satanna et Master Pandemonium, qui est devenu son bras droit, entreprennent de lui faire visiter l’enfer régi par la fille de Satan, ou plutôt Marduk Kurios et sœur de Daimon Hellstrom.

Vous dites ? Satanna et Pandemonium n’appartiennent pas aux ennemis habituels du docteur ?
Pas grave, car leurs origines et pouvoirs magiques font qu’ils ne font pas tâche ici.
Par contre, je classais plutôt Satanna parmi les gentils moralement ambigus, comme Ghost Rider. Comme quoi.
Ce numéro comporte des bonnes idées, notamment le plan sympathique de la diablesse et les superbes dessins et couleurs de Bacchalo, qui signe un des plus beaux numéros de la série jusqu’ici.
Dans les moins, la résolution du dilemme posé à Strange, inférieure aux numéros précédents et un Master Pandemonium réduit au rôle de bouffon.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Sam Wilson : Captain America 15

Genre : Numéro de transition réussi

A l’occasion d’un gala de charité, D-man reprend le catch et ravive la ligue hors catégorie chère à la chose des Fantastiques dans les pages de Marvel two in one (et de Special Strange en France).

Un Falcap bien déprimé par son échec du numéro précédent contre Ultimatum essaie à cette occasion de se changer les idées.
C’est l’occasion de revoir un fameux personnage de l’ère Gruenwald et de se détendre avec un numéro sans gros enjeux…

…et du coup le titre est un cran en dessous de sa qualité habituelle.
Ceci dit, ça reste si bien exécuté qu’on ne va bouder notre plaisir nostalgique
Le fait de mettre Demolition man en avant est également très plaisant.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Carnage 14

Genre : Le point de vue des traqueurs

Carnage est parvenu au cœur de la grotte et du mal, préparant le rituel qui doit lui assurer une puissance démesurée. Pendant ce temps, ses traqueurs affrontent les indigènes tout en tentant de canaliser la lycanthropie du colonel Jameson.

Un numéro de transition qui conserve ses superbes qualités, notamment une ambiance bien angoissante comme il faut.
Le prochain numéro devrait être haut en couleurs après cette mise en condition bien faite.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

Deadpool 22

Genre : Encore un numéro de transition…

Deadpool se remet de son affrontement avec Madcap, alors qu’il était aux portes de la mort.
Il décide de se refaire une santé en reprenant son passe-temps favori : se déguiser en Spider-man.
Et encore un numéro de transition, un de plus ! Ce nouveau volume de Deadpool all new now est vraiment en dessous de la première mouture tant il est lent. A croire que Posehn apportait une touche que ne possède pas Duggan, seul resté à bord.
J’espère que la série va remonter un peu le cap tant c’est les montagnes russes depuis une dizaine de numéros.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Catégorie « Sympa »

RIEN

Catégorie « Moyen »

RIEN

Catégorie « Mauvais »

Civil war II n°7

Genre : ça sent mauvais pour la fin

Le jeune Spider-man décide de faire mentir la prophétie d’Ulysses en campant devant le capitole, ce qui fait enrager le SHIELD et Captain Marvel, qui craignent un bain de sang en direct à la TV.

Pendant ce temps, le prophète a une vision qui le conduit dans le monde post apocalyptique d’Old man Logan, qui lui dit que ce futur est le fruit d’un Iron man qui « l’a poussée à bout », sans pouvoir finir sa phrase.
Nanti d’un nouveau look (à la finalité inexpliquée) assez cool, le jeune hipster partage le fruit de cette révélation avec les Inhumains.

Devant le capitole, les choses se précipitent de façon assez stupide, avec notamment une sorte de pétage de câble d’Iron man…

Un scénario ? Quel scénario ? On comprend pourquoi Spidey agit comme il le fait, tout comme Captain Marvel…mais Iron man ? Quelle mouche l’a piqué ? Sa réaction est stupide et inintéressante, tout comme l’ensemble de ce numéro gadget au demeurant fort beau graphiquement qui vient gâcher l’intérêt relatif du crossover jusque-là, puisqu’il n’était vraiment intéressant que par ses spin offs.
En même temps, avec ses raccourcis et son sensationalisme qui ne vont jamais au fond des choses (à part dans le numéro 4), il est bien ancré dans une époque qui veut du drame, du sang et du chacun pour soi.
Un numéro ultra décompressé où l’on s’ennuie diablement, pour ce qui ressemble de plus en plus à un pétard mouillé.

Scénario : 08/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 08/20

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  #570  
Vieux 27/11/2016, 11h47
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Cela ne donne pas envie le numéro Civil War. C'est fou comme tu as réussi à résumer ce que je pense de cet évent (et de l'écriture perdue de BMB) alors que je n'en ai pas lu une miette depuis le début. Je dois être comme Ulysse, devin
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