Il y a 20 Ans : Juillet 1985

[Niglo]

Et la bio complète du zozo ici.

[ubiquit? 22]

c'était l'un des nombreux méchants à armure de cette période non ? il me smble que she hulk s'enquillait à l'époque un tas de zozos dans ce genre avec mega exosquelette de la mort . (jennifer trop introvertie!)

[XXL]

Allez hop, à propos de la censure vf de Power Pack 2:

Peu de censure cette fois, vu que les Snarks apparaissent peu. Une page en moins quand même avec un remontage de 3 planches en 2 en éliminant toutes les scénes avec les Snarks!

Sinon, dans les rares panels conservés de cet épisode où ils apparaissent, l'habituel lifting et effacement lorsqu'ils sont nombreux est appliqué.

Une première scéne coupée importante puisqu'il y est montré l'intérêt des Snarks pour le convertisseur , raison de leur venue sur Terre!



Et cette scéne finale, toute aussi importante, puisque les Snarks y découvrent le convertisseur en miettes, décident de capturer les enfants à la place pour leur reine et demandent que des filets spécifiques soient construits pour contrer leurs pouvoirs, utilisés dans l'épisode suivant!



A noter que la dernière page vf est en noir et blanc car elle dépasse sur les pages infos de Spidey, qui étaient un temps imprimées en noir et blanc à la fin du numéro pour économiser des sous!

(de mémoire toujours, corrigez moi si je me trompe! )

[XXL]

AMBUSH BUG LTD N°2
Publié par DC en Juillet 1985.
"The Koala who Walks like a man!! (Awwww, cute)", 23p.
Scénario: Keith Giffen et Robert Loren Fleming
Dessin: Keith Giffen
Encrage: Bob Oskner
cover: Keith Giffen encré par Bob Oskner


Tremblez!!!

Résumé:
Si vous avez raté l'épisode précédent...
Comme la dernière fois, dur de résumer un ambush bug mais bon, on na va vous parler en gros de la trame principale et des quelques scénettes d'entracte. Un homme se rend à l'agence de détective d'Ambush Bug et lui raconte la terrible genèse de..Quantis le koala, un scientifique qui travaillait sur l'essence même du "mignon" ("essence of cuteness") et qui testa son sérum sur lui! L'homme se trouve d'un coup piétiné par un pied de koala géant qui traverse le toit! Quantis est en ville, détruisant tout à la Godzilla!
Tout le monde le trouve bien mignon, bien sur....Jonni Dc, Continuity Cop se lance dans la bataille mais se fait rétamer....elle servira désormais de balle de golf pour notre koala qui, durant les entractes, participe à un tournoi de golf!8)

Jonni DC dans la place! Yo!

La police ne peut l'arrêter, ni Ambush Bug déguisé en Koalette qui finit dans son estomac où il retrouve le collégue de labo de Quantis qui lui donne la recette d'un sérum qui inverserait la mutation. Bien sur, Ambush Bug a du mal à faire la décoction (explosions etc..) mais finalement, après un coup de tampon imbibé d'alcool géant, hop, il chevauche une aiguille à la vue de laquelle tremble notre pauvre koala!

Assassin!!!!

Le sérum marche, tout rentre dans l'ordre et Ambush va se ayer à manger au Mac Do mais....running gag:

Va laver le local poubelle avec ta langue, Darkseid, sinon ton Contrat Nouvelle Embauche va pas durer! 8)

Commentaire:
Un numéro réussi, surtout grâce à Quantis mais aussi à Jonni DC qu'on aurait aimé voir plus souvent! Relativement peu de disgressions dans ce numéro, mais en voila une plutot inspirée: le ambush Bug guide to Collecting comics, dont voici un extrait:

Allez une autre pour la route: "Rule 13: Don't take your comic books to bed with you. It's not healthy."

Côté dessin, c'est toujours du Giffen de bonne facture, encré avec talent.

Un numéro un peu moins délirant mais qui vaut pour les séquences avec Jonni DC, Continuity Cop!

Visitez le topic consacré à AMBUSH BUG!

[scarletneedle]

Encore.

Le vaccin contre le grim & gritty.

[sim theury]

Un Koala géant, un Continuity Cop et Darkseid en vendeur de frites : je prends tout de suite.

[sim theury]

GROO the Wanderer #5, July 1985, Epic

"Slavers"
Sergio Aragones : Dessin / Mark Evanier:" Dialogist " / Tom Luth : Coloriste / Stan Sakai Lettreur

"Years ago, the one called Groo was shanghaied off to sea-
The boat, in thirty minutes, was a pile of debris.
The wanderer was picked up by a ship of awesome power-
Which made for awesome wreckage in a quarter of an hour.
And so it went as twenty ships(or maybe even more)-
Gave passage only to wind up upon the ocean floor.
If someday, you should take a cruise and chance to notice him-
The odds are you'd do better to jump overboard and swim."

Moral:
"Freedom is not an individual effort. Yours comes only when you grant others theirs."


Synopsis : Groo aide malgré lui des marchands d'esclaves. sa conscience le pousse à sauver ces malheureux d'un destin tragique. Après quelques échecs, les esclaves sont libres … et réduisent leur bourreaux en esclavage à leur tour.


La citation du jour :
Groo :" I was aboard a ship and it does not sink ! Not even a little !"


Les très riches heures du mercenaire Groo

	Citation:
	No comment

	Citation:
	La réputation de Groo n'est plus à faire chez les marins

	Citation:
	Charybe, Scylla ou Groo ?

Groo-ologeek :

Les premières lettres de chaque "bruit" donnent " Sergio Aragonés, Stan Sakai, Tom Luth, Mark Evanier"

Ex :"TOM LUTH"

- C'est la première et rare fois où Groo monte sur un bateau qui ne sombre pas.

- Histoire rééditée dans "The Groo Bazaar"

Pour lire toute l'histoire de GROO
© Sergio Aragones

[XXL]

	Citation:
	LEGION OF SUPER-HEROES N°309 Publié par DC en Mars 1984. Scénario: Paul Levitz et Keith Giffen "As the Sky Burns", 13p. Dessin: Keith Giffen. Encrage: Larry Mahlstedt. Princess Projectra et Karate Kid dans "Monarchs of all they survey", 10p. Dessin: Pat Broderick. Encrage: Mike De Carlo. Cover: Keith Giffen encré par Larry Mahlstedt.

Et là je vais sortir de mon manteau un......

Critique de l'épisode précédent...
Les légionnaires semblent impuissants contre Prophet, malgré les renforts d'autres membres appelés à la rescousse malgré les soucis diplomatiques que cela pose pour les Khunds qui n'apprécient pas cette aide. Finalement, Prophet est vaincu en lui obscurcissant les yeux qui lui servaient de panneau solaire!
Prophet est vaincu mais voila que débarque Omen!!

Mais c'est la Légion des bons à rien!

En lune de miel, Karate Kid et Princess Projectra follatrent dans un parc de loisirs. Mais ils sont attaqués par des menaces programmées du parc. C'est la faute de Pharrox, cousin de Projectra, qui veut se battre en duel avec Karate Kid. Celui-ci réussit à le vaincre (dans une magnifique tenue slip + chaussons jaunes) grâce à son agilité et sa rapidité, en faisant de Pharoxx la cible d'un de ses propres sorts. Pharrox disparait mystérieusement mais pas avant d'avoir prédit la chûte d'Orando!

Ah mais il va sentir "the real thing" dans pas longtemps s'il ne bouge pas!

A nouveau une demi-histoire+ back-up, comme les 2 mois précédents. L'histoire avec Omen est toujours aussi lente et peu logique: Omen est vaincu mais se actes et paroles n'ont pas grand sens. Giffen est manifestement pressé et livre des planches très dynamiques mais peu travaillées. Heureusement, il se dégage de ces pages une hardiesse et en même temps une certaine facilité qui laissent admiratifs.

Omen, dont on découvre la bouche et les passionnantes occupations...

La back-up, si elle a le mérite de mettre en avant des légionnaires un peu oubliés, et aussi illustrée par un duo qui fait peur: Pat Broderick et Mike De Carlo, encreur qui enlaidira Greg Larocque pendant des années sur le titre. Le résultat est assez atroce et comme l'histoire est peu inspirée.... Il est juste assez amusant de voir Karate Kid, chaud comme un lapin, réclamer à répétition une séance copulatoire avec Projectra, devenue sa femme.

Est-ce moche? Hennie soit qui mal y pense!

La disparition de Pharrox + une scéne de l'histoire principale sont des teasers des événements tragiques à venir sur Orando, qui seront chroniqués dans le nouveau titre Legion en préparation...
Un autre subplot est évoqué avec une nouvelle tentative, en vain, par Brainiac, de sauver la soeur d'Invisible Kid. Le même Invisible Kid s'exclame d'ailleurs, en parlant de Prophet:
"Beware Ultra boy, he is trés dangereuse!"

LA page qui sauve cet épisode!


Un numéro bien faiblard....

Visitez le topic consacré à la LEGION !

[Rhodey]

	Citation:			Posté par michel
	Captain America #269 : 05/82, A Mind Is A Terrible Thing To Waste ! par J. M. De Matteis / Mike Zeck / John Beatty On commence sur une scène sympa : Steve, Josh et Mike frôlent l'indigestion grâce au petit déjeûner copieux préparé par leur propriétaire, Anna Kappelbaum. Pendant la vaisselle, Anna s'inquiète de la brouille entre Steve et Bernie. Il lui explique qu'il n'est pas encore sûr des sentiments qu'il éprouve pour elle, et qu'il veut juste prendre un peu de recul pour faire le point. Ca tombe bien, Bernie débarque et semble vouloir enterrer la hache de guerre. La réconciliation devra cependant être enterrinée plus tard car Steve a un rendez-vous : un gala de charité au Madison Square Garden où Cap doit faire une exhibition à moto aux côtés de cascadeurs professionnels : Team America ! Les trois cascadeurs, Honcho, R.U. Reddy et Wolf, sont impressionés par les performances de Cap à moto, et la réciproque est vraie ! Tout d'un coup, un vortex apparaît au milieu de la piste, un géant jaune en sort, s'empare d'un Prix Nobel présent dans le public, Alfred Knopfler, puis repart via le vortex. Sans hésiter, Cap prend le même chemin, suivi après quelques hésitations par Team America. Les quatre hommes se retrouvent... au beau milieu d'une petite ville déserte. Et les premières personnes qu'ils rencontrent sont... Mark Twain et Albert Einstein ?! Les deux hommes s'empressent de leur présenter leurs amis : Shakespeare, Platon, Lincoln, Confucius, Machiavel, Socrate, Nietzche, etc... Ainsi que le responsable : le Mad Thinker ! Le Thinker a créé des androïdes a l'image des plus grands penseurs ayant existé, et il leur a donné un esprit programmé par ses ordinateurs à partir de leurs oeuvres. Le problème, c'est qu'ils manquent de pensées indépendantes, aussi le Thinker a décidé de kidnapper des détenteurs de Prix Nobel et de transférer leurs consciences dans des répliques androïdes, ce qui lui permettra d'avoir de brillants compagnons complètement sous son contrôle. Et si Cap est ici, c'est parce que le Thinker veut aussi faire une réplique de lui, pour pouvoir discuter des concepts de liberté et de démocratie ! S'il ne se laisse pas faire, les trois membres de Team America seront exécutés. Mais ce que n'avait pas prévu le Thinker, c'est l'apparition d'un mystérieux motard tout vêtu de noir, le Maraudeur ! En lançant sa moto contre les ordinateurs du Thinker, il permet à Cap de se libérer. Puis il disparaît d'un seul coup avant que les trois membres de Team America réapparaissent, les a-t-il libérés ? Son plan sorti de ses rails, le Thinker se laisse facilement capturer, Nick Fury et le SHIELD viennent le récupérer. C'est ici la première apparition de Team America, les lecteurs français ont pu les voir furtivement dans New Mutants #5-6, entre temps ils ont eu droit à leur propre maxi-série de 12 épisodes, et vous êtes gâtés c'est XXL, qui s'est déjà bien échauffé avec Human Fly, qui vous la racontera et vous dira tout sur ce mystérieux Maraudeur Quant aux robots imitant les plus grands penseurs ayant existé, eux aussi reviendront bientôt dans cette rubrique... Enfin Niglo vous reparlera du Thinker au mois de novembre.

Du #267 au 269, De Matteis nous propose une série de stand-alone aux sujets plutôt éclectiques.

Le premier est aussi le plus intéressant selon moi. Cap affronte le Everyman qui symbolise, comme son nom l'indique si bien, monsieur-tout-le-monde. C'est un peu l'antithèse de Cap, là où notre héros défend le rêve américain, Everyman défend les laissés pour compte du rêve américain.
Au départ, on suit le chemin classique :
- Cap fait son prêchi-prêcha sur les belles valeurs et les grand sprincipes (d'ailleurs à force de nous en rabattre les oreilles De Matteis est en permanence limite sur ce sujet, entre ce qui se justifie par une bonne caractérisation, et ce qui est excessif même pour Cap, ce qui veut tout dire)
- il rencontre une opposition farouche de jeunes désoeuvrés, il se retrouve confronté au réalité d'une Amérique toute en nuances de gris, et plus en blanc et noir comme pendant la guerre, et il subit un efgrosse chute de moral avec remise en question
- ensuite, on pressent facilement, le troisième acte. Cap va reprendre du poil de la bête, et mettre à prodit un évènement pour appuyer son propos et remettre les brebis égarées sur le droit chemin tracé par Oncle Sam.
Sauf qu'on est éagréablement surpris dans cet épisode, en tout cas moi je l'ai été. Les interrogations de Cap et ses inquiétudes vont beaucoup plus loin. On a bien sûr le happy-end, mais c'est clairement ponctuel. Cap, et on y reviendra tout au long du run de De Matteis (en tout cas pour ce que j'en ai lu pour l'instant), se redéfinit avec une vision plus réaliste de l'Amérique. Il reste fidèle à ses principes mais ne les met plus sur un piédestal. De Matteis n'essaye pas de nous vendre le héros qui touche les gens en leur demandant de vivre en fonction de sacro-saint principes, il nous présente un héros bcp plus concient de la réalité, plus crédible dans sa tolérance vis à vis des autres et dans la manière dont il arrive à les toucher, et donc un héros auquel les lecteurs peuvent s'identifier bien qu'il soit toujours aussi "parfait" par ailleurs.
En dépît de la qualité du fond, comme Michel je tiens à souligné que le concept Everyman, c'est une idée bien fumeuse. De Matteis aurait pu se creuser pour éviter le méchant en collants sur un sujet aussi sérieux.

Le #268 est la première partie d'un crossover avec les Défenseurs. La chute de l'épisode est totalement ouverte, cet épisode est donc difficilement lisible sans la suite et il ya peu de choses à dire. Si vous aimez les histoires de manipulation télépathique (écrite de manière un peu bâclée à mon goût), vous vous ennuierez un peu moins que moi. Mon verdict: ne pas se précipiter sur le numéro des Défenseurs pour obtenir l'histoire complète tant ça me semble inintéressant, se faire une raison en se disant qu'on profite de 22 pages de Zeck.

On finit avec le #269 sur une note plus fun. Pour le coup, il n'y a vraiment pas à réfléchir sur ce genre d'épisodes. C'est une histoire comme seuls les américains peuvent nous en proposer avec la présence des motards portes-drapeau de Team America. Sur la forme, les coups de théâtre se succédent sans trop de souci de vraisemblance et le plan du Penseur Fou est absurde (plus que la moyenne de ses plans, qui sont la plupart du temps déjà bien bêtes). De Matteis devait vraiment se faire chier à être payer pour vendre les idées marketing de Marvel.

Graphiquement, c'est de l'excellent Zeck. De toute façon, après un départ laborieux, il ne fera plus mentir sa réputation d'ici à la fin de sa prestation. J'espère simplement que le costume de Everyman est intentionnellement aussi moche, car ça me ferait mal au coeur pour Zeck qu'il ait fait l'objet d'une réflexion un tant soit peu sérieuse. Les deux premières couvertures sont sympas, la troisième moins (mais je suis profondément allergique au concept de Team America, j'ai de l'humour mais eux me gonflent trop pour qu'on puisse en rigoler).

Le numéro suivant sera encore un stand alone mais j'ai décidé d'en parler à part car De Matteis commence à y introduire des éléments (et surtout des personnages) qui seront récurrents dans les grandes sagas à venir.

La totalité des chroniques de Michel sur la série est disponible dans le topic Les inédits Marvel : Captain America